Ali

- Par l'auteur HDS Clar -
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Ali Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Ali
Il était une maison à l’abandon à la sortie du village dans laquelle vivait un ermite. C’était un algérien, arrivé avec une entreprise de travaux publics lors de la restauration du château, homme à tout faire, doté d’une force herculéenne et, faut-il le dire, d’un cerveau de la taille d’un petit pois. A la fin des travaux, il n’était pas reparti et s’était installé dans la maison abandonnée, obtenant l’aval de la mairie. Une assistante sociale lui avait permis de toucher une allocation et il vivait de petits boulots, payés le plus souvent au noir par les habitants.
Il était grand, musclé, le torse recouvert d’une épaisse toison brune. Certains habitants lui trouvaient une allure simiesque. Il faisait partie du paysage et plus personne ne faisait attention à lui. Parfois, il semblait disparaitre pendant plusieurs jours. Il ne parlait quasiment à personne, beaucoup d’habitants en avait peur, même si jamais on ne l’avait vu agressif envers quiconque. Petit à petit, il remettait la maison en état, avec des matériaux récupérés çà et là. Ou peut-être tombés d’un camion.
On l’a dit, certains l’employaient pour des gros travaux. Il ne rechignait pas à la besogne, faisant preuve d’un rendement insoupçonnable. Des entrepreneurs locaux avaient tenté de l’embaucher, lui promettant une paie convenable, mais il avait toujours refusé.
On racontait que Madame Urville, la femme d’un adjoint au maire, l’avait surpris en train d’uriner contre un arbre et avait été effrayée par la taille de son sexe. Effrayée ou émoustillée. Jamais ni elle ni son mari ne l’avait confirmé.
En ce mois de juin, le soleil commençait à chauffer l’air, les tenues vestimentaires devenaient plus légères. A la boulangerie de la place, Karim et Clotilde s’étaient retrouvés par hasard en allant chercher leur pain. Ils étaient seuls dans la boutique avec Judith, la boulangère. Karim avait été quelques mois l’amant de Judith, et avait eu l’occasion de goûter aux charmes de Clotilde à quelques reprises.
« Il parait que l’ermite de la route de Lubourg a une queue hors du commun. C’est Rocier qui me l’a raconté. Il le tient de sa femme qui fait le catéchisme avec Madame Urville qui l’a vu pisser contre un arbre. Il parait qu’elle en a été toute retournée. Elle a raconté ça avec des étoiles plein les yeux. Rocier m’a dit qu’en fait personne n’avait jamais mis les pieds chez lui et qu’on ne sait rien de ce mec. Les filles, une sexpédtion ça vous tente ? » demanda Karim.
« Tu sais, le genre livre des records, bof » lui répondit Judith.
Karim insista et leur proposa d’aller se promener vers la maison en passant par les bois. On verrait bien si on pourrait jeter un coup d’œil. Il insista si bien que les deux femmes finirent par accepter, plus pour lui faire plaisir que par envie véritable.
Ce fut un mardi en début d’après-midi que les trois se retrouvèrent près de la fontaine, à l’orée du bois. Clotilde, infirmière, ne travaillait pas ce jour-là, Judith avait laissé sa boutique à sa vendeuse et Karim avait prétexté des heures à récupérer. Karim était en short et polo, les deux jeunes femmes en jupe et en débardeur. L’œil avisé de Karim avait décelé chez l’une et l’autre une absence de soutien-gorge. La promenade s’annonçait des plus agréables !
Ils s’enfoncèrent dans le bois. Un chemin forestier les amènerait à deux cents mètres de la maison, il faudrait alors couper à travers bois. Ils étaient seuls sur le chemin forestier et Karim fit en sorte de se retrouver entre les deux femmes. Ils avançaient tranquillement en discutant. D’un geste naturel, Karim passa ses bras derrière elles et posa ses mains sur leurs hanches. Petit à petit, ses mains s’insinuèrent sous les débardeurs, caressant légèrement la peau nue. Les deux femmes laissaient faire, l’initiative de Karim n’étant pas pour leur déplaire. Les mains remontèrent lentement, jusqu’à éprouver le relief d’un sein. Ses doigts dansaient, agaçant les pointes qu’il sentait s’ériger.
Karim sentit une main se poser sur ses fesses, glisser vers le bas, s’insinuer sous le short et le caleçon et caresser sa fesse droite au rythme des pas, en profitant pour glisser de temps à autre contre ses bourses. C’était Clotilde qui avait pris l’initiative. Sous la caresse, il sentit son sexe se réveiller et se déployer. Il s’arrêta, entrainant l’arrêt des deux jeunes femmes. Il attira Clotilde contre lui en frottant son bassin contre le sien, lui faisant part de son érection débutante. Il se détacha de l’infirmière, et se retournant face à la boulangère lui fit sentir de même l’étendue de son désir. Ils se retrouvèrent bientôt enlacés tous les trois, s’embrassant à pleine bouche, mélangeant leurs salives, les mains glissant sur les fesses des unes et de l’autre. Les deux femmes avaient glissé leurs mains sous le short de Karim, malaxant ses fesses et agaçant les testicules, caressant à pleines mains la verge maintenant dressée. De son côté, Karim avait passé ses mains sous les jupes féminines et caressait les fesses complaisantes, écartant le tissu des sous-vêtements, s’égarant vers l’entrée des chattes à présent ruisselantes.
Ils reprirent leur chemin, excités, bien décidés à remettre ça au plus vite. Il y eut ainsi un nouvel arrêt alors qu’ils approchaient de la maison de l’ermite, maison qu’ils distinguaient au loin à travers le feuillage. Cette fois, Karim, après leur avoir peloté les fesses, les débarrassa de leur culotte. Les filles en retour s’occupèrent de caresser sa verge au travers du short. Elles sentirent le sexe grossir encore d’avantage, déformant l’avant du short.
Il cessa le jeu. En fait, son intention était de les maintenir dans un état d’excitation pour peut-être provoquer une rencontre explosive avec l’ermite. Ils quittèrent le chemin forestier, avançant entre les arbres. Heureusement, le terrain n’était pas difficile et ils purent avancer silencieusement. Ils arrivèrent en vue de la maison. Le mur en face d’eux n’était percé d’aucune fenêtre, ils ne pouvaient donc pas être vus. Ils avancèrent jusqu’au pignon. Karim décida de passer par la droite. Une porte fenêtre donnait sur un salon. Un certain désordre régnait dans la pièce. Un canapé éventré occupait le fond de la pièce. La fenêtre suivante donnait sur la cuisine, encombrée de vaisselle et de casseroles. Ils atteignirent l’autre côté de la maison. La première fenêtre donnait sur une chambre.
La vitre est sale. Toutefois, on distingue qu’elle est meublée par un lit aux montants métalliques. Au mur, juste à côté du lit, un poster représente une femme nue. Sur le lit, ils distinguent Ali, allongé sur le dos. Il est nu. Son torse est recouvert d’un épais tapis de poils. On dirait un fort des halles, tout en muscles. Les yeux regardant l’affiche, il astique son sexe en érection.
Confirmant les bruits circulants, le sexe de l’arabe est phénoménal. Epais de la base au bout, couleur pain d’épice au gland violacé, il dépasse largement le nombril. Le mouvement de la main est lent, enserrant la base, tirant sur le gland décalotté. Karim, pourtant favorisé par la nature est médusé. Pourtant il est excité à l’idée que cette barre vivante puisse pénétrer un sexe féminin. Il regarde ses deux voisines. L’une comme l’autre ont les lèvres pincées, leurs yeux fixant le mât gigantesque. Clotilde a glissé une main sous sa jupe et se caresse. Judith caresse ses seins, les mains sous le débardeur. Les deux imaginent sans doute une joute sexuelle avec le minotaure. Karim a désormais une envie : pousser les deux femmes dans le lit d’Ali. Il a remarqué que la porte est entr’ouverte. Ou bien pourrait-il n’en envoyer qu’une, se gardant l’autre pour jouir du spectacle.
Karim connait mieux Judith. Il se place derrière elle et déboutonne sa jupe qui tombe en corolle à terre. Sa main se pose sur le sexe inondé. Il la caresse doucement. Il tourne la tête vers Clotilde. D’elle-même, la jeune femme s’est débarrassée de sa jupe et s’enfonce deux doigts dans la chatte. Il déshabille entièrement les deux filles. Il contemple leurs seins aux pointes dressées et leur sexe luisant. Dans un état second, elles se laissent faire. A son tour, il se met nu, la verge déjà dressée et raide. Il les prend par la main et les guide vers la porte. Judith se cabre « Non. Reste avec moi, fais-moi ce que tu veux, mais pas ça. Je ne pourrai pas. ».
Clotilde se décide, elle entre dans la maison sans bruit. Une odeur de ragout flotte. Elle se dirige vers la chambre. Elle voit l’homme qui continue son mouvement de va et vient sur son sexe. Jamais elle n’en a vu un si gros, une mentule raide au gland dilaté. Ali sent une présence. Il voit la femme. Il découvre sa nudité. « N’aie pas peur Ali ». Une force irrésistible la pousse vers le lit. Elle tend la main et empaume le pic de granit. Avec l’index, elle agace le bout du gland, luisant. Elle le sent tressauter. Elle retire la main et approche sa bouche. Elle enduit le gland de salive. Elle ne peut l’absorber tout entier tant il est gros. Alors elle fait courir sa langue sur toute la longueur de la hampe, ouvrant grand la bouche pour téter les boules velues. Elle se sent excitée comme jamais. Sa cyprine coule de son sexe. Elle grimpe sur le lit et chevauche Ali. Elle attrape la verge bandée et promène le gland humide sur ses lèvres trempées. Petit à petit, le gland revient à l’entrée du vagin, appuyant chaque fois un peu plus, pour entrer, millimètre après millimètre dans le fourreau accueillant. D’un coup, n’y tenant plus, il projette son bassin en avant, investissant le conduit dilaté. Clotilde hurle. De douleur et de plaisir mélangés. A peine un tiers de la verge est entrée. Ali s’agite. Clotilde sent le sexe masculin se crisper. Un long jet gicle contre ses parois intimes, suivi d’autres. Il ne semble pas pouvoir s’arrêter. Enfin, la source se tarit. Clotilde tourne la tête : elle voit au travers de la fenêtre le visage déformé de plaisir de Judith, subissant les assauts de Karim qui la prend debout par derrière.
Ali a tourné la tête, gêné par la situation. Clotilde se retire. Du sperme coule le long de ses cuisses. Elle sort dehors. « Karim, baise-moi, baise-moi fort. Dilate-moi. Maintenant. Tout de suite. Laisse tomber Judith, occupe-toi de moi. Ouvre-moi complètement que je puisse retourner me faire fourrer par sa bite. ». L’épée tendue, Karim s’approche de l’infirmière, enfile un préservatif, la retourne, la faisant s’appuyer contre le mur de la maison, et l’investit d’une seule et longue poussée, venant buter dans le fond de la grotte dilatée. Il se déchaine. Il ferme les yeux, revoit le tableau de la jeune femme empalée par Ali dont les deux tiers du sexe restaient dehors. Il s’applique à la besogner, la sentant s’ouvrir encore d’avantage sous la pression. C’est ce qu’elle souhaite. Il se souvient de la première fois où il l’a possédée chez Rocier. Il l’avait prise debout, par derrière, dans le noir. Il se souvient de cet instant de plaisir. Cet instant unique de la découverte d’un corps nouveau. Et de cette sensation d’être aspiré dans ce sexe féminin dévoré par l’envie.
Le plaisir les emporte tous les deux. Rassasiée, Clotilde se retourne vers ses deux complices, leur sourit, et repart vers la chambre. Ali est allongé, le sexe toujours en érection. La jeune femme le rejoint. Elle s’allonge sur le dos, attirant l’hercule sur elle, le guidant en elle. Cette fois, il la pénètre plus facilement. Sa verge s’introduit plus aisément, plus profondément dans la chatte détrempée même s’il ne peut y faire renter le membre entier. Il la prend à grands coups de reins. Ali n’est pas un poète. Cette femme qu’il connait de vue, qui parait habituellement si sage, se tortille nue sous lui. Elle n’a pas peur de lui comme les autres. Il la laboure mécaniquement, dévastant son sexe à chaque coup de rein. Il y a tellement longtemps qu’il n’a pas eu de femme. Un orgasme titanesque la submerge brutalement, irradiant dans tout son corps. Elle psalmodie, soliloque, supplie, se contracte, se contorsionne pour mieux s’empaler, hurle longuement son plaisir et retombe inerte, comme foudroyée, crucifiée par le dard monumental et triomphant. Ali poursuit sa course, tel un marathonien. La jeune femme a noué ses jambes autour de lui pour mieux le sentir en elle. Vaincu, il l’inonde à nouveau et s’abat sur elle dans un grognement simiesque. Elle émerge lentement, en sueurs, encore pantelante, se dégage de l’étreinte. Le sexe d’Ali n’a rien perdu de son volume. Il saisit la jeune femme, la place à quatre pattes sur le lit et, se plaçant derrière elle, l’investit à nouveau. Elle n’est plus qu’un pantin désarticulé, défoncée par le pieu gigantesque qui se retire pour mieux la perforer, la projetant en avant. Elle ne sait plus combien de temps dure l’assaut. Il la tient aux hanches. Elle jouit à nouveau, hurlant son plaisir. Brutalement, il se libère, déversant en elle un nouveau torrent ininterrompu de sperme. Le sexe béant, elle repousse l’ouvrier, se lève avec difficulté, et presque à regret quitte la chambre.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
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Texte coquin : Ali
Histoire sexe : Une rose rouge
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