Anaëlle

- Par l'auteur HDS Clar -
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Anaëlle Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anaëlle
Anaëlle
Anaëlle marchait d’un pas pressé vers sa voiture. Elle venait de terminer sa journée. Elle regarda sa montre. Vingt-et-une heure vingt. Heureusement personne ne l’attendait chez elle. C’était toujours ça.
« Anaëlle, je peux te parler cinq minutes ? » La jeune femme se retourna. Elle reconnut Valentine, une infirmière qui travaillait en pédiatrie.
« Salut Valentine ! Ça va ? Pas trop crevée ? « Elle détailla sa collègue. Elle avait la beauté de sa jeunesse et était habillée avec classe comme à l’accoutumée.
« Ça va, on fait aller. Si on était plus nombreuses ce serait plus facile, mais bon...les sempiternelles restrictions budgétaires…. Dis, je voudrais te proposer quelque chose. C’est assez particulier mais je sais que tu es une fille ouverte qui n’est pas dans le jugement. Donc tu peux refuser et ça ne sera pas grave. Mais je te demanderai alors de garder ça pour toi et de n’en parler à personne. Voilà, il y a à Strasbourg un couple de bourges un peu déjanté, pété de thunes, qui a un fantasme qu’il assouvit assez régulièrement. Disons tous les deux mois environ. Ils veulent une infirmière. Attention, une vraie infirmière, pas une nana quelconque déguisée en infirmière. C’est la femme qui dicte le scénario. Un scénario sexuel comme tu peux le prévoir. Eux ils sont cleans, bien conservés. Et ils paient mille euros pour la soirée. Voilà. Je te laisse réfléchir. Prends ton temps. »
« En fait, tu me demandes de faire la pute ? » Anaëlle sentait la colère monter. « Tu me prends pour qui ? »
« Ecoute Anaëlle, je comprends ta réaction. J’ai eu la même. Et puis j’ai réfléchi. La personne qui m’a fait la proposition m’a dit qu’elle avait pris du plaisir et qu’elle avait passé une super soirée. Alors…. Je me suis laissée convaincre et franchement ce fut effectivement super. Réfléchis et dis-moi quand tu auras décidé. Si c’est oui, j’enverrai ton numéro de portable à la femme et elle te contactera. Ce n’est pas un piège. Juste un jeu entre adultes consentants. Allez, je te laisse. Rentre bien et à la prochaine. »
Anaëlle rentra chez elle. Elle repensait à cette proposition insensée. En fait, ce couple avait besoin de chair fraiche pour assouvir son plaisir. Il avait juste besoin d’une femme objet. Une infirmière. Et puis ensuite ce serait une hôtesse de l’air. Les fantasmes préférés des hommes……. Elle les enverrait bouler. Elle se reprochait déjà de ne pas avoir dit clairement non à Valentine. Ainsi Valentine y était passée…. Cela la surprenait un peu quand même. Et cela expliquait peut-être les fringues luxueuses. Combien déjà ? Mille euros la soirée. A oui quand même…… Cela représentait des jours de boulot. Et non imposable ! Anaëlle sourit à cette évocation d’avantage fiscal. Sans y prêter attention elle se mit à penser à ce qu’elle pourrait s’offrir avec mille euros.
Le lendemain, la première personne qu’elle vit sur le parking de l’hôpital fut Valentine. Valentine qui portait de magnifiques boucles d’oreille. Anaëlle, sans plus réfléchir prit sa décision. Elle sortit son téléphone et envoya un SMS à Valentine « c’est oui ». Elle se dirigea vers les vestiaires pour se changer puis alla prendre son poste.
Trois jours plus tard, alors qu’elle regardait un film à la télévision, son téléphone sonna. Elle regarda l’heure. Vingt-deux heures. L’écran affichait un numéro masqué. Repensant à ce que lui avait dit Valentine, elle baissa le son de la télé et décrocha.
« Allo ? Anaëlle ? C’est un charmant prénom. Bonsoir mademoiselle et veuillez m’excuser de vous déranger si tard. Mais vous êtes infirmière et je sais vos horaires parfois tardifs. Bien entendu, je me présente. Je m’appelle Thérèse et mon mari Jean. C’est votre amie Valentine qui a eu la gentillesse de nous communiquer votre numéro. » La voix était agréable. Anaëlle sentait son cœur se serrer. Ça y était, on entrait dans le vif du sujet.
« Voilà, êtes-vous libre vendredi ou samedi prochain ? Pas celui qui vient mais le suivant ? Nous habitons la banlieue de Strasbourg, ce n’est donc pas loin et vous pourrez vous garer dans la cour. »
« Oui madame, je suis libre, je ne travaille ni vendredi ni samedi. »
« Très bien, et bien disons vendredi. Voilà. Valentine vous l’a peut-être expliqué. C’est moi qui dirige les opérations et qui fixe les règles du jeu. Je tiens à vous rassurer tout de suite il n’y a aucune violence, aucune contrainte. Tout est sur le registre du plaisir partagé. Nous ne tenons pas à vous voir avant. Cela se passera chez nous, dans notre salon. Il est vaste et il y a trois grands canapés. Nous tenons à vous découvrir uniquement quand vous rentrerez dans la pièce. Le dress code tout d’abord. Des bas noirs, un porte-jarretelles de même couleur et une culotte assortie. Des chaussures à talons hauts. Pas de soutien-gorge. Et le haut de votre tunique de travail. Vous savez, celle avec le logo de l’hôpital et votre nom. Rassurez-vous nous resterons discrets. Vous serez accueillie par Bernard notre majordome. Il a toute notre confiance. Vingt-et-une heures trente chez nous, je vous enverrai notre adresse par SMS deux heures avant. Il vous faudra environ trente minutes pour venir de chez vous. Vous repartirez avec la somme convenue. Ah j’oubliais, cela fait partie des règles du jeu. Vous venez de chez vous habillée comme dit. Vous pouvez mettre un trench pour le trajet. Mais à condition qu’il ne recouvre pas les genoux. A vendredi Anaëlle. »
Anaëlle se sentait excitée. Elle rentrait dans un monde qu’elle ne connaissait pas. Heureusement elle avait les vêtements demandés. Il lui faudrait juste récupérer sa tenue de travail.
Vendredi arriva. Anaëlle tua le temps comme elle put essayant de ne pas penser à cette soirée insolite. A dix-neuf heures trente un signal sonore lui indiqua la réception d’un message. Y figurait l’adresse. A vingt heures elle commença à se préparer. Son sexe était déjà humide. Elle enfila le haut de sa tunique et passa son trench coat qu’elle boutonna. Elle se regarda dans la glace. Elle y vit une jolie brune, discrètement maquillée, aux jolies jambes gainées de noir. Ses talons réhaussaient son mètre soixante-treize. Elle attrapa son sac et les clés de sa voiture heureusement garée à deux pas. Elle entra l’adresse dans le GPS. La durée programmée du trajet était de vingt-huit minutes. Malgré le temps frais de cette fin septembre Anaëlle avait chaud. Elle se retrouva dans la rue indiquée. Une rue large desservant les belles villas des beaux quartiers. Elle ralentit devant le numéro. La grille était en train de s’ouvrir. Elle alla garer sa voiture dans la cour gravillonnée et descendit de voiture. Un homme s’approcha et ouvrit la portière. « Bonjour jeune fille. Anaëlle je crois. Je suis Bernard. Pour vous servir. Veuillez me suivre s’il vous plait. » Anaëlle s’extirpa de sa voiture. Elle suivit l’homme de service dans le hall. Il se tourna vers elle. « Veuillez me donner votre sac et votre manteau s’il vous plait. » Anaëlle obéit. « Vous êtes très jolie Anaëlle. Très sexy. Je vous souhaite une excellente soirée. » Il ouvrit une porte. « Je vous en prie. Entrez. » La porte se referma derrière elle.
« Bonsoir Anaëlle. Vous êtes magnifique. Avancez vers nous, ne soyez pas timide. Avancez jusqu’aux marches. Descendez-les, tournez-vous et remontez-les. Vous avez des jambes magnifiques. Votre tunique est courte. On voit la peau nue au-dessus de l’attache des bas ainsi que le bas de votre culotte. C’est magnifique. N’est-ce pas chéri ? Refaites-le une fois puis allez-vous appuyez contre le pilier. Penchez-vous en avant. Voilà. Comme ça. Vous avez un cul superbe. Tournez la tête vers nous. Vous ne nous voyez pas. Vous distinguez des ombres parce que nous sommes dans la pénombre et que les lumières sont dirigées vers vous. J’ai posé ma main sur le bas ventre de mon mari et je sens qu’il bande déjà. Il a un faible pour les petites infirmières. Et visiblement vous lui faites de l’effet. Beaucoup d’effet. Caressez-vous. Par-dessus votre culotte. Est-ce que vous mouillez ? »
Anaëlle sentait l’excitation monter. Elle regardait vers la partie obscure de la pièce d’où venait la voix. Elle distinguait deux ombres. « Oui madame, je suis toute mouillée ».
« C’est bien. Continue. Glisse une main dans ta culotte et pénètre-toi doucement avec le doigt. Caresse-toi le petit bouton. Doucement. Moi je viens de déboutonner le pantalon de mon mari. Il n’a pas de slip le coquin. Son sexe est déjà dur. Enlève ton pantalon mon chéri. Laisse-moi te caresser pour te faire encore grossir. Anaëlle, descends ta culotte et bloque là à mi-cuisses. Continue de te caresser. Tu as une belle chatte. Je veux voir tes doigts disparaitre en toi. C’est bien. Prends appui contre le pilier que je te voie de profil. Cambre tes reins voilà. Continue de te doigter. Quand tu seras prête tu feras glisser ta culotte par terre. Ce sera le signal. Va doucement Anaëlle. Laisse le plaisir, l’envie venir en toi. Regarde Jean, elle a resserré ses cuisses et la culotte a glissé au sol. Vas-y Jean. Va à elle. Elle est à toi, elle est à nous. Prends-là. Jean s’est levé. Il arrive vers toi. Il va te baiser par derrière, debout. Je te rassure, il est clean il a fait un test en début de semaine. Regarde sa bite, elle est dure et pulse à l’horizontale. Anaëlle, demande à Jean de te prendre. Je veux t’entendre le dire. »
« Jean, baisez-moi. Venez me foutre avec votre queue. Oui comme ça. Mettez-moi là. Prenez-moi. Oh c’est bon, je vous sens bien. Madame, Jean vient de rentrer en moi. Il glisse dans le fond. Il se retire, il revient. Il me laboure bien. C’est bon. J’aime sentir sa queue en moi. Oh, c’est bon. «
Pendant plusieurs minutes Jean, s’agrippant à ses hanches continua de la prendre, envoyant son ventre claquer contre les fesses de la jeune femme.
« Jean, mon chéri. Retire-toi et va t’assoir sur le canapé noir. Anaëlle, déboutonnez le haut de votre tunique et montrez vos seins. Ils sont ravissants. Allez vous assoir sur Jean en lui tournant le dos. Empalez-vous sur sa queue. Descendez doucement. Ouvrez-vous. Et c’est vous qui donnez l’allure. Jean, caresse-lui les seins. Joue avec ses bouts. Fais-les bander. Oui, vous êtes beaux tous les deux. Je vous regarde. J’ai retroussé ma jupe. Je n’ai pas de culotte. Je me caresse doucement. Anaëlle, regarde vers moi. Tu es belle ma chérie. Relève-toi. Branle Jean. Oui, décalotte le bien. Tire bien en arrière. Va t’assoir à genou sur le canapé. Retrousse ta tunique que je vois ton petit cul. Jean, fais le tour et mets-toi face à elle. Anaëlle va te sucer. Suce le bien. Enfonce sa queue dans ta bouche. Lèche bien le gland. Oui, comme cela. Mouille-le avec ta salive. Caresse ses bourses. Jean, quand tu sens que ça vient tu te retires. Oui. C’est plus prudent. Anaëlle, reste comme tu es. Mon Jean va venir te prendre en levrette. Vas-y mon chéri. Baise-la bien. Ne la ménage pas. Attrape ses seins. Anaëlle, regarde-moi. Je veux scruter ton regard. Tends bien ton cul que Jean te pénètre bien à fond. J’entends ta respiration qui devient plus forte. Tu as l’air d’apprécier. Tu sais, Jean peut durer longtemps mais ce soir il est très excité. Tu lui fais de l’effet. Vous êtes excitants tous les deux. Jean retire toi. Branle-toi sur son cul. Vas-y, arrose là. Anaëlle, continue de te branler. Oui mon Jean, vas-y crache ta semence. Oui jute bien. Jean, reviens avec moi. C’était super. Tu vas me donner du plaisir. Anaëlle, on va te laisser. Merci pour tout. Tu peux ramasser ta culotte. Tu la remettras dans ta voiture si tu veux. En sortant, tu trouveras sur le guéridon dans l’entrée une enveloppe avec la somme convenue. Si tu as envie, parce que tu n’as pas joui ce soir, tu peux demander à Bernard de te baiser. Il fait ça très bien. Il est très efficace avec les femmes. Je me souviens des cris de ton amie Valentine. Bon, on te laisse. Si tu as une amie dans ton genre, nous sommes preneurs…. Bonne soirée Anaëlle et merci d’être venue. »
Le lendemain, Anaëlle découvrit deux messages sur son téléphone. Un de Thérèse qui la remerciait chaleureusement pour sa venue et un autre de Valentine « c’était bien ? tu me raconteras ? »…

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Texte coquin : Anaëlle
Histoire sexe : Une rose rouge
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