Alice 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Alice 4
– Nous voilà parfaitement d’accord sur le but et les moyens. A y regarder de près, Sonia, d’une part, la femme de Léon, mon amant et ami de mon mari, et moi, Alice d’autre part, nous avons des points communs importants. Outre la volonté d’être solidaires, nous devenons proches en partageant nos maris. Car que peut-on faire de mieux ?
Sonia est de plus en plus chaleureuse :
- Voilà pourquoi j’aimerais sceller ce contrat en t’embrassant comme une sœur.
Sonia a-t-elle une sœur ? Je ne lui en connais pas, mais sa façon de m’embrasser est plutôt une preuve du contraire. Naïvement je tends ma figure pour ce baiser fraternel et je suis surprise de sentir les lèvres de Sonia s’emparer des miennes pendant qu’une main appuie dans mon dos et m’attire contre le corps chaud et doux de cette amie solidaire. Que m’arrive-t-il ? Jean m’embrasse comme ça. Léon m’a embrassée comme ça. Mais une femme qui écrase sa bouche sur la mienne, qui cherche à franchir mes lèvres, avec insistance, c’est nouveau : une révélation. En temps ordinaire, j’aurais une réaction violente, je repousserais de toutes mes forces cette tentative d’invasion d’un orifice de mon corps. Quoi, une langue de femme qui cherche…
Pourtant je me laisse faire, j’accepte la pénétration de cette langue entre mes dents, son contact contre la mienne, contre l’intérieur de mes joues. Cette action fait partie d’un processus plus vaste, dans lequel nous entrons comme en terre inconnue. Repousser ce baiser de Sonia serait tout remettre en cause, faire échouer notre plan, alors que toutes deux nous venons de déclarer ce plan comme la meilleure solution. Donc je supporte et même je participe presque aussitôt à ce baiser passionné entre femmes. Parce que, aussi surprenant qu’il soit, cet échange plus qu’affectueux est troublant, bon, délicieux !
Oui, je le reçois comme une révélation. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent, nos corps se serrent, nos mains passent des dos sur nos poitrines, les caressent, les excitent : nous nous enflammons pendant des minutes. Enfin nous nous regardons, étonnées de cet incendie et, après un léger recul, nous reprenons ce contact. Sonia enhardie ose davantage : une main se plaque sous mon nombril, descend, pousse ma robe dans mon entrejambe. Non, il ne faut pas, si je cède où Sonia s’arrêtera-t-elle, et moi, serai-je capable d’enrayer la tentation de laisser le plaisir saphique l’emporter ? Je ne dois pas oublier que Léon seul, en théorie, peut me faire l’enfant désiré. Ce que je ne peux pas refuser, je dois le détourner.
- Sonia, chère Sonia, n’oublions pas que nos hommes nous attendent, gardons un peu de notre affection pour eux. N’es-tu pas impatiente de te donner à Jean ? Ce sera si nouveau pour toi. Pour ma part, j’ai hâte de recevoir les spermatozoïdes de ton mari pour devenir mère au plus tôt.
– Oh ! ma très chère Alice, te rends-tu compte que nous allons commettre un adultère ?
- Mais non, puisque nous ne faisons qu’échanger nos maris pendant un temps limité et que tous quatre nous serons des adultes éclairés, conscients d’agir en connaissance de cause et parfaitement consentants. Du moins dès que mon mari saura de quelle façon il devra récompenser la participation de Léon et ta générosité d’épouse qui permet la réalisation d’une grossesse si fortement désirée. Le mot adultère ne convient pas dans notre affaire, puisque nous allons œuvrer, en accord, à la poursuite d’un but noble. Chasse toute idée péjorative, ce que nous ferons n’est pas sale, au contraire c’est beau, propre, grand. Je te serai toujours reconnaissante d’y prendre part et d’y apporter un équilibre auquel je n’avais pas pensé. On y va ?
- Tu es bien pressée de me fuir. Il te faut un mâle avant tout. Bon, voyons ce que nos hommes ont à nous donner.
Nous entrons doucement au salon. Sonia pouffe de rire et me désigne le canapé avant de remarquer :
- Tu croyais qu’ils s’impatientaient ! Regarde-les !
Il y a de quoi être déçue. A la télé se déroule un match de foot, Jean et Léon le suivent attentivement et discutent des choix des entraîneurs, bien loin de nos problèmes de couples. Ah ! Les hommes ! En silence Sonia s’est placée derrière moi pour me glisser à l’oreille :
- Eh ! Oui, ils sont comme ça quand ils sont entre copains. Tout le boulot est pour nous. Ne t’en fais pas, je prends les choses en main, laisse-moi faire.
Ses mains saisissent l’ourlet de ma robe et elle me dépiaute comme un lapin, me fait lever les mains pour me dépouiller et me laisser en sous-vêtements. Je m’étais donné tant de mal !
- Ne bouge pas.
Sonia quitte blouse et jeans, apparaît en petite culotte et en soutien-gorge. Maintenant elle me pousse. Nous contournons le canapé et allons faire écran entre la télé et le canapé provoquant l’hilarité des deux goujats. Léon réagit en premier :
- Sonia, qu’est-ce qui te prend ? Que fais-tu dans cette tenue ?
- Mais Léon as-tu déjà oublié ce que nous sommes venus faire ici ? Allez les paresseux, il y a mieux à faire que de regarder du foot. Quoi, vous ne comprenez pas ? Alors regardez, nous allons vous rafraîchir la mémoire : Alice montre leur.
Mon soutien-gorge tombe, mes mains montent pour cacher mes tétins. A côté de moi, Sonia expose sa poitrine abondante de jeune mère qui a allaité, balance ses nénés.
– Mais, nous sommes juste venus vérifier qu’Alice savait tout et acceptait le plan de Jean.
– Ne perdons pas de temps. Pendant que tu vidais ta canette de bière, j’ai procédé aux vérifications nécessaires. La tenue de la femme de Jean est à elle seule la réponse la plus claire. Vois, elle t’attend dès ce soir, car elle est par bonheur en période de fécondation. Elle va le confirmer. Alice, je t’offre mon mari, fais-en le meilleur usage.
Je m’avance enfin vers Léon, il se lève, me tend les bras. Je m’arrête, je souris, j’ouvre mes bras pour offrir mon corps et je le remercie d’être venu et d’accepter le rôle choisi par Jean.
– Voilà, je suis heureuse d’être parfaitement en harmonie avec Jean. Il n’aurait pas pu choisir meilleur compagnon pour me rendre mère. Merci mille fois à toi et aussi à Sonia qui facilite notre relation sexuelle. Mon cher Jean, j’ai une prière à t’adresser. Puisque tu confies à Léon le soin de me faire notre enfant, Sonia se retrouvera privée de son mari. Il me semble juste que tu penses à sa situation pour compenser le sacrifice qu’elle consent. Je souhaite que tu lui rendes les câlins dont son mari me couvrira.
– Mais ma chérie, tu n’y penses pas. Sonia ne souhaite certainement pas que je lui fasse un bébé. Et puis tu sais…
- Tout le monde sait. Mais je te demande simplement de lui faire l’amour. Tu m’as toujours vanté la beauté et les mérites de la femme exceptionnelle de Léon. Tu ne la trouves plus à ton goût tout à coup ? Ou tu ne te sens pas capable de l’honorer, employons les mots adéquats, de la baiser comme un homme.
– Là n’est pas la question. En premier le souhaite-t-elle, ensuite qu’en pense Léon ? Ce n’est pas à moi d’en décider.
Léon me prend dans son bras gauche, ouvre le droit à Sonia. Il déglutit difficilement, cherche une réponse qui ne jaillit pas spontanément, comme s’il venait de tomber dans un piège. Il nous examine lentement, est ennuyé et finalement consulte la principale intéressée :
- Ma chérie, j’avoue être surpris par la proposition d’Alice. Ce serait un échange de femmes à l’intérieur de deux couples d’amis. Qu’en dis-tu ?
- Tu dois penser en premier à donner la vie à l’enfant de tes amis. Il ne peut pas y avoir jeu égal, puisque Jean n’aura pas le même emploi. Crois-tu que ton ami va rester indifférent quand tu plongeras dans le corps de son épouse ? Il le veut, mais subira durement l’événement. Alice envisage difficilement de laisser Jean voir tristement comment tu feras pour engrosser sa femme. Elle me demande de m’occuper de Jean afin d’adoucir sa peine pendant que vous copulerez.
– C’est votre motivation ?
-Toi-même tu auras moins l’impression de me tromper, si tu m’offres à ton ami pendant que tu prendras sa femme. Chacun de vous trouvera alors une forme de paix. Pour chasser tout sentiment de culpabilité, je veux bien de Jean, si toutefois je ne lui inspire pas dégoût ou répulsion
Sonia a manœuvré habilement. Jean ne peut que présenter des excuses à ses amis :
- Pardon, j’ai dû mal m’exprimer. Reconnaissez pourtant que la demande de ma femme dépasse l’idée de départ. Non, Sonia, je t’ai admirée, je n’aurais jamais osé te faire la cour ou imaginer te faire l’amour. Je n’ai jamais voulu froisser ou offenser ton mari en marchandant l’immense service qu’il était prêt à nous rendre. Vous me mettez dans une situation horrible. Si j’accepte je peux perdre mon ami, si je ne saute pas sur l’occasion je vexe sa femme. Sans compter que la mienne peut supposer que je n’ai proposé le recours à Léo que pour m’envoyer impunément sa femme. Comment voulez-vous que je décide quoi que ce soit ?
- Mon amour, jamais je ne ferai une telle supposition. Je te prie même de trouver un réconfort amical auprès de Sonia qui veut bien endosser ce rôle. Si Léon le permet nos relations amicales sortiront renforcées de cette aventure. Que dis-tu Léon ?
- Il vous a fallu beaucoup de courage pour nous adresser votre demande assortie de détails douloureux. Je ne me sens pas le droit de vous décevoir. Ma chérie soit gentille avec Jean. Je ferai de mon mieux avec Alice pour que ses vœux soient bénis. Faut-il vraiment commencer aujourd’hui, n’est-ce pas précipité ?
Sonia sort plus forte de ces interrogations. Elle s’impose comme meneuse.
- Pourquoi remettre à plus tard ce qui peut se réaliser avec succès immédiatement, Il faut que cet enfant soit fabriqué dans une atmosphère de fête. Je vous demande donc de m’aider à créer une ambiance joyeuse. Livrons-nous à des jeux réjouissants. Pour débuter, messieurs, veuillez-vous déshabiller et exposer vos instruments. Alice aide ton mari, je te prépare Léon.
Les deux mâles se prêtent à ce déshabillage en riant. Sur ordre de Sonia, chaque mari dénude ensuite sa femme. Chacun caresse sa chérie, chacune glousse de plaisir. La meneuse ordonne alors de passer à la fellation, toujours par couple. Je suis à genoux devant Jean qui enfle entre mes doigts et mes lèvres. Debout à côté de nous, Léon s’ébroue dans la bouche active de Sonia. Elle assure la continuité de l’action :
- Très bien, ils sont enfin présentables. Ce cher Jean est magnifique, je ne vais pas m’ennuyer avec lui. Toi, ma chérie, tu ne seras pas volée, mon Léon t’est livré en parfaite érection. Accepterais-tu un petit jeu. Voilà, je pose un bandage sur tes yeux, tu t’allonges sur ton canapé. Tu seras soumise à nos caresses et tu devras deviner lequel d’entre nous te touchera, te léchera, te caressera, t’embrassera la bouche ou le sexe.
– Léon oui, mais aussi Jean ou toi ? Tu es coquine. Si ça peut aider. Attention à ma coiffure.
– Drôle d’idée de croire que nous voulons te dépeigner. Est-ce là qu’on se fait du bien ? Ferme les yeux, nous allons commencer. Tu pourras utiliser tes mains pour reconnaître celui ou celle qui te touche. Ecarte les cuisses, montre ton minou.
Sonia est de plus en plus chaleureuse :
- Voilà pourquoi j’aimerais sceller ce contrat en t’embrassant comme une sœur.
Sonia a-t-elle une sœur ? Je ne lui en connais pas, mais sa façon de m’embrasser est plutôt une preuve du contraire. Naïvement je tends ma figure pour ce baiser fraternel et je suis surprise de sentir les lèvres de Sonia s’emparer des miennes pendant qu’une main appuie dans mon dos et m’attire contre le corps chaud et doux de cette amie solidaire. Que m’arrive-t-il ? Jean m’embrasse comme ça. Léon m’a embrassée comme ça. Mais une femme qui écrase sa bouche sur la mienne, qui cherche à franchir mes lèvres, avec insistance, c’est nouveau : une révélation. En temps ordinaire, j’aurais une réaction violente, je repousserais de toutes mes forces cette tentative d’invasion d’un orifice de mon corps. Quoi, une langue de femme qui cherche…
Pourtant je me laisse faire, j’accepte la pénétration de cette langue entre mes dents, son contact contre la mienne, contre l’intérieur de mes joues. Cette action fait partie d’un processus plus vaste, dans lequel nous entrons comme en terre inconnue. Repousser ce baiser de Sonia serait tout remettre en cause, faire échouer notre plan, alors que toutes deux nous venons de déclarer ce plan comme la meilleure solution. Donc je supporte et même je participe presque aussitôt à ce baiser passionné entre femmes. Parce que, aussi surprenant qu’il soit, cet échange plus qu’affectueux est troublant, bon, délicieux !
Oui, je le reçois comme une révélation. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent, nos corps se serrent, nos mains passent des dos sur nos poitrines, les caressent, les excitent : nous nous enflammons pendant des minutes. Enfin nous nous regardons, étonnées de cet incendie et, après un léger recul, nous reprenons ce contact. Sonia enhardie ose davantage : une main se plaque sous mon nombril, descend, pousse ma robe dans mon entrejambe. Non, il ne faut pas, si je cède où Sonia s’arrêtera-t-elle, et moi, serai-je capable d’enrayer la tentation de laisser le plaisir saphique l’emporter ? Je ne dois pas oublier que Léon seul, en théorie, peut me faire l’enfant désiré. Ce que je ne peux pas refuser, je dois le détourner.
- Sonia, chère Sonia, n’oublions pas que nos hommes nous attendent, gardons un peu de notre affection pour eux. N’es-tu pas impatiente de te donner à Jean ? Ce sera si nouveau pour toi. Pour ma part, j’ai hâte de recevoir les spermatozoïdes de ton mari pour devenir mère au plus tôt.
– Oh ! ma très chère Alice, te rends-tu compte que nous allons commettre un adultère ?
- Mais non, puisque nous ne faisons qu’échanger nos maris pendant un temps limité et que tous quatre nous serons des adultes éclairés, conscients d’agir en connaissance de cause et parfaitement consentants. Du moins dès que mon mari saura de quelle façon il devra récompenser la participation de Léon et ta générosité d’épouse qui permet la réalisation d’une grossesse si fortement désirée. Le mot adultère ne convient pas dans notre affaire, puisque nous allons œuvrer, en accord, à la poursuite d’un but noble. Chasse toute idée péjorative, ce que nous ferons n’est pas sale, au contraire c’est beau, propre, grand. Je te serai toujours reconnaissante d’y prendre part et d’y apporter un équilibre auquel je n’avais pas pensé. On y va ?
- Tu es bien pressée de me fuir. Il te faut un mâle avant tout. Bon, voyons ce que nos hommes ont à nous donner.
Nous entrons doucement au salon. Sonia pouffe de rire et me désigne le canapé avant de remarquer :
- Tu croyais qu’ils s’impatientaient ! Regarde-les !
Il y a de quoi être déçue. A la télé se déroule un match de foot, Jean et Léon le suivent attentivement et discutent des choix des entraîneurs, bien loin de nos problèmes de couples. Ah ! Les hommes ! En silence Sonia s’est placée derrière moi pour me glisser à l’oreille :
- Eh ! Oui, ils sont comme ça quand ils sont entre copains. Tout le boulot est pour nous. Ne t’en fais pas, je prends les choses en main, laisse-moi faire.
Ses mains saisissent l’ourlet de ma robe et elle me dépiaute comme un lapin, me fait lever les mains pour me dépouiller et me laisser en sous-vêtements. Je m’étais donné tant de mal !
- Ne bouge pas.
Sonia quitte blouse et jeans, apparaît en petite culotte et en soutien-gorge. Maintenant elle me pousse. Nous contournons le canapé et allons faire écran entre la télé et le canapé provoquant l’hilarité des deux goujats. Léon réagit en premier :
- Sonia, qu’est-ce qui te prend ? Que fais-tu dans cette tenue ?
- Mais Léon as-tu déjà oublié ce que nous sommes venus faire ici ? Allez les paresseux, il y a mieux à faire que de regarder du foot. Quoi, vous ne comprenez pas ? Alors regardez, nous allons vous rafraîchir la mémoire : Alice montre leur.
Mon soutien-gorge tombe, mes mains montent pour cacher mes tétins. A côté de moi, Sonia expose sa poitrine abondante de jeune mère qui a allaité, balance ses nénés.
– Mais, nous sommes juste venus vérifier qu’Alice savait tout et acceptait le plan de Jean.
– Ne perdons pas de temps. Pendant que tu vidais ta canette de bière, j’ai procédé aux vérifications nécessaires. La tenue de la femme de Jean est à elle seule la réponse la plus claire. Vois, elle t’attend dès ce soir, car elle est par bonheur en période de fécondation. Elle va le confirmer. Alice, je t’offre mon mari, fais-en le meilleur usage.
Je m’avance enfin vers Léon, il se lève, me tend les bras. Je m’arrête, je souris, j’ouvre mes bras pour offrir mon corps et je le remercie d’être venu et d’accepter le rôle choisi par Jean.
– Voilà, je suis heureuse d’être parfaitement en harmonie avec Jean. Il n’aurait pas pu choisir meilleur compagnon pour me rendre mère. Merci mille fois à toi et aussi à Sonia qui facilite notre relation sexuelle. Mon cher Jean, j’ai une prière à t’adresser. Puisque tu confies à Léon le soin de me faire notre enfant, Sonia se retrouvera privée de son mari. Il me semble juste que tu penses à sa situation pour compenser le sacrifice qu’elle consent. Je souhaite que tu lui rendes les câlins dont son mari me couvrira.
– Mais ma chérie, tu n’y penses pas. Sonia ne souhaite certainement pas que je lui fasse un bébé. Et puis tu sais…
- Tout le monde sait. Mais je te demande simplement de lui faire l’amour. Tu m’as toujours vanté la beauté et les mérites de la femme exceptionnelle de Léon. Tu ne la trouves plus à ton goût tout à coup ? Ou tu ne te sens pas capable de l’honorer, employons les mots adéquats, de la baiser comme un homme.
– Là n’est pas la question. En premier le souhaite-t-elle, ensuite qu’en pense Léon ? Ce n’est pas à moi d’en décider.
Léon me prend dans son bras gauche, ouvre le droit à Sonia. Il déglutit difficilement, cherche une réponse qui ne jaillit pas spontanément, comme s’il venait de tomber dans un piège. Il nous examine lentement, est ennuyé et finalement consulte la principale intéressée :
- Ma chérie, j’avoue être surpris par la proposition d’Alice. Ce serait un échange de femmes à l’intérieur de deux couples d’amis. Qu’en dis-tu ?
- Tu dois penser en premier à donner la vie à l’enfant de tes amis. Il ne peut pas y avoir jeu égal, puisque Jean n’aura pas le même emploi. Crois-tu que ton ami va rester indifférent quand tu plongeras dans le corps de son épouse ? Il le veut, mais subira durement l’événement. Alice envisage difficilement de laisser Jean voir tristement comment tu feras pour engrosser sa femme. Elle me demande de m’occuper de Jean afin d’adoucir sa peine pendant que vous copulerez.
– C’est votre motivation ?
-Toi-même tu auras moins l’impression de me tromper, si tu m’offres à ton ami pendant que tu prendras sa femme. Chacun de vous trouvera alors une forme de paix. Pour chasser tout sentiment de culpabilité, je veux bien de Jean, si toutefois je ne lui inspire pas dégoût ou répulsion
Sonia a manœuvré habilement. Jean ne peut que présenter des excuses à ses amis :
- Pardon, j’ai dû mal m’exprimer. Reconnaissez pourtant que la demande de ma femme dépasse l’idée de départ. Non, Sonia, je t’ai admirée, je n’aurais jamais osé te faire la cour ou imaginer te faire l’amour. Je n’ai jamais voulu froisser ou offenser ton mari en marchandant l’immense service qu’il était prêt à nous rendre. Vous me mettez dans une situation horrible. Si j’accepte je peux perdre mon ami, si je ne saute pas sur l’occasion je vexe sa femme. Sans compter que la mienne peut supposer que je n’ai proposé le recours à Léo que pour m’envoyer impunément sa femme. Comment voulez-vous que je décide quoi que ce soit ?
- Mon amour, jamais je ne ferai une telle supposition. Je te prie même de trouver un réconfort amical auprès de Sonia qui veut bien endosser ce rôle. Si Léon le permet nos relations amicales sortiront renforcées de cette aventure. Que dis-tu Léon ?
- Il vous a fallu beaucoup de courage pour nous adresser votre demande assortie de détails douloureux. Je ne me sens pas le droit de vous décevoir. Ma chérie soit gentille avec Jean. Je ferai de mon mieux avec Alice pour que ses vœux soient bénis. Faut-il vraiment commencer aujourd’hui, n’est-ce pas précipité ?
Sonia sort plus forte de ces interrogations. Elle s’impose comme meneuse.
- Pourquoi remettre à plus tard ce qui peut se réaliser avec succès immédiatement, Il faut que cet enfant soit fabriqué dans une atmosphère de fête. Je vous demande donc de m’aider à créer une ambiance joyeuse. Livrons-nous à des jeux réjouissants. Pour débuter, messieurs, veuillez-vous déshabiller et exposer vos instruments. Alice aide ton mari, je te prépare Léon.
Les deux mâles se prêtent à ce déshabillage en riant. Sur ordre de Sonia, chaque mari dénude ensuite sa femme. Chacun caresse sa chérie, chacune glousse de plaisir. La meneuse ordonne alors de passer à la fellation, toujours par couple. Je suis à genoux devant Jean qui enfle entre mes doigts et mes lèvres. Debout à côté de nous, Léon s’ébroue dans la bouche active de Sonia. Elle assure la continuité de l’action :
- Très bien, ils sont enfin présentables. Ce cher Jean est magnifique, je ne vais pas m’ennuyer avec lui. Toi, ma chérie, tu ne seras pas volée, mon Léon t’est livré en parfaite érection. Accepterais-tu un petit jeu. Voilà, je pose un bandage sur tes yeux, tu t’allonges sur ton canapé. Tu seras soumise à nos caresses et tu devras deviner lequel d’entre nous te touchera, te léchera, te caressera, t’embrassera la bouche ou le sexe.
– Léon oui, mais aussi Jean ou toi ? Tu es coquine. Si ça peut aider. Attention à ma coiffure.
– Drôle d’idée de croire que nous voulons te dépeigner. Est-ce là qu’on se fait du bien ? Ferme les yeux, nous allons commencer. Tu pourras utiliser tes mains pour reconnaître celui ou celle qui te touche. Ecarte les cuisses, montre ton minou.
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