Amélie Passion Vieux: Episode 1: L'homme de l'abribus
Récit érotique écrit par Lili Fox [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amélie Passion Vieux: Episode 1: L'homme de l'abribus
- Très bien, vous commencez lundi !
- Merci Monsieur, je me donnerai à fond !
Amélie referme la porte de l’agence intérim spécialisée dans l’aide à la personne ; elle a enfin du boulot ! Cela fait quelques temps, deux ans maintenant, qu’elle cherche à quitter l’infame taudis de ses parents à Bellegarde – La – Rivière, un trou paumé du Nord Isère. Autant dire que tout le monde se connaît dans le coin, où connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un, bref, un bled comme tant d’autres dans le trou du cul de la France.
Du boulot, il était temps qu’Amélie en trouve ; depuis qu’elle a quitté le lycée deux ans auparavant, ses parents la tannent pour qu’elle travaille et que, accessoirement, elle quitte le domicile. Elle n’a jamais eu de très bonnes relations avec eux et son père, alcoolique, lui a toujours tapé dessus. Pour ce qui est de sa mère, elle a tout de la rombière fade et potache qui dit Amen à son mari pour ne pas ne pas non plus se prendre une rouste. Et surtout, elle n’a jamais vraiment été un soutien pour sa fille…
C’est avec le cœur léger qu’Amélie se met en route au volant de sa 207 blanche délabrée, afin de retourner vers le lotissement où vivent ses parents. Pendant le trajet (il faut environ une demi-heure pour rejoindre Bellegarde depuis Bourgoin) elle s’imagine en train de prendre ses aises dans un petit loft sympa en centre-ville et enfin vivre sa vie comme elle l’entend, sans avoir à subir de pression parentale.
Lorsqu’elle arrive, la pluie s’invite dans le Nord-Isère ; l’automne s’installe doucement et le froid fait son retour. Elle se gare et constate par la vitre que comme d’habitude, des trainards squattent l’abribus tout près. Ils sont trois et Amélie les connaît puisqu’elle a eu une « histoire » avec l’un d’entre eux : Nico. C’est le plus grand, le plus costaud, celui qui tire les ficelles de leur petite bande de petites frappes. Ils reconnaissent la voiture et se mettent à chuchoter entre eux en la regardant. Amélie se sent mal à l’aise et repense à la fois ou elle a sucé Nico sur un parking : C’était l’année dernière, elle venait d’avoir 18 ans et naïve, elle s’était imaginée alors que Nico éprouvait pour elle des sentiments mais son seul objectif avait été de se la taper. Amélie avait déjà couché quelque fois, alors qu’elle était au lycée, il y avait de ça deux ans mais là encore, elle avait juste servi de morceau de viande, de déversoir pour des mecs affamés, prêt à taper dans n’importe quoi… Lorsqu’elle sort de la voiture afin de rejoindre le pavillon délabré dans lequel elle vit, Nico, encapuchonné, lui lance : « Regardez les mecs ! C’est la reine des suceuses ! » Fou rire des deux autres.
Amélie ne les calcule pas et trace sa route en direction de la maison. Dans son dos, elle entend un : « Allez, reviens, fais nous juste une petite pipe ! »
Une fois chez elle, elle monte directement les escaliers pour rejoindre sa minuscule chambre mansardée, évitant ainsi son paternel en train de picoler dans le salon. Elle s’enferme, met la radio à fond et se regarde dans le miroir ; Du haut de ses 19 ans, elle n’a pas grand-chose pour elle ; de taille moyenne, elle possède un nez fin et pointu dont elle aurait bien retiré quelques centimètres, implanté au milieu de sa figure grêlée par les stigmates d’une acné qui lui a valu les moqueries de ses camarades au collège, et plus récemment au lycée. Ses yeux bruns, fades et éteints, témoignent sa lassitude de ne plaire à personne. Ses cheveux châtain foncé pendent lamentablement, fatigués, jusque sur ses épaules. Elle se met de profil pour constater un potentiel miracle mais…il n’en n’est rien : sa poitrine est plate, elle a un cul flasque et plat lui aussi, qui n’a vraiment pas de quoi émoustiller la gent masculine. Sans parler de la pâleur de sa peau…
Amélie le sait, l’a toujours su : elle ne plaît pas aux garçons, en tous cas ceux de son âge ; elle s’est faite rembarrée à de nombreuses reprises par des mecs (pas toujours des beaux gosses) et elle ressent un profond et amer sentiment de frustration, bien que ses hormones la travaillent.
En réalité, la seule et unique chose qu’elle a pour elle, c’est son jardin secret, son imagination faite de fantasmes dont elle sait qu’ils sont plutôt inavouables venant d’une fille de son âge…
Ce soir-là, avant d’aller se coucher, elle s’adonne à ses habituels plaisirs solitaires, juste avant de s’endormir, se laissant aller dans son fameux jardin secret en quête de son « fantasme interdit » comme elle aime le nommer dans ses rêveries. Depuis quelques temps, lorsqu’elle se masturbe, son imaginaire la ramène sans cesse à la même personne, à cause d’une rencontre qu’elle a faite : c’était juste après avoir sucé ce connard de Nico. Elle allait prendre le bus pour aller à Bourgoin. Un homme, 75 ans bien tassés, l’avait alors accostée sous l’abribus : il était petit, rondouillard et quasiment chauve. Vêtu d’une chemise en laine à carreaux et d’un pantalon côtelé. Il possédait des petits yeux noirs et malicieux mais surtout, il avait trouvé un prétexte bidon sur les horaires des bus afin de lui faire la conversation…l’homme avait terminé en lui disant qu’il la trouvait « jolie » et que s’il avait eu son âge, il l’aurait probablement invité à prendre un café.
Une fois dans le bus, assise, elle s’était sentie un peu honteuse en repensant à cette rencontre et pour cause ; cet homme, bien qu’étant très âgé, ne l’avait pas laissée indifférente. Et depuis ce jour donc, elle se fait le scénario dans lequel ce vieux l’invite à boire un café chez lui et les choses prenaient une tournure torride… elle lui appartient totalement et devient une véritable chienne dévergondée et avide de sexe tandis qu’elle l’entend à chaque fois lui susurrer à l’oreille : « Tu es jolie… »
Et le plus curieux, c’est que lorsqu’elle décide de fantasmer sur des garçons de son âge, ça ne lui procure pas autant de bien…
***
Le lundi matin, sous une pluie battante, Amélie prend la route à bord du véhicule de société. Elle commence fort car aujourd’hui, elle a toute une matinée de ménage à faire chez des personnes âgées. Uniquement des femmes bourrues qui la prennent pour une esclave et lui parlent de travers. Amélie fait son boulot sans broncher et pense dans sa tête à son émancipation future dans la « grande ville. » Quand elle vivrait enfin seule.
L’ennui, c’est que toute la semaine durant, elle se re-trouve chez les mêmes vieilles qui lui en mettent plein la gueule et arrivé le vendredi 15H, elle se sent au bord des larmes derrière le volant de sa voiture alors qu’elle rentre chez elle. Lessivée, au bord du craquage, elle est con-trainte de se garer sur le parking d’une supérette car ses larmes l’aveuglent…
Le parking est désert : le froid mordant ainsi que la pluie battante ont probablement eu raison des clients, même les plus téméraires. Alors qu’elle se mouche, les yeux encore plein de larmes, elle voit sortir un homme de la supérette : marchant de côté à l’aide d’une canne, un sac de courses dans l’autre main. Elle reconnaît immédia-tement ses yeux : c’est l’homme de l’abribus !
Elle le suit du regard tandis qu’il passe à côté de la voiture. Il ne semble pas très alerte et surtout, il a l’air dans ses pensées mais au moment de passer devant la vitre de la voiture, ses petits yeux malicieux se posent sur elle derrière le volant. Il fronce les sourcils et s’arrête. Amélie ne sait pas quoi faire…doit-elle fuir du regard ? Lui faire un signe de la tête pour le saluer ? En tous cas, nul besoin d’en faire autant : la bouche de l’homme se fend en un sourire jusqu’à ses oreilles en forme de chou et il tape doucement contre la glace avec le pommeau de sa canne. Amélie baisse la vitre :
- Euh…vous me reconnaissez ? Monsieur ?
- Une si jolie jeune fille ? Bien sûr ! Mais tu n’as pas l’air dans ton assiette, petite !
Cette voix…Amélie se souvient : assurée, quoiqu’un peu chevrotante, mais qui dégage quelque chose de chaleureux, un peu comme celle d’un papy un poil gâ-teux avec ses petits-enfants. Amélie rougit et baisse les yeux sur son volant :
- Je ne suis pas jolie…commence-t-elle.
- Hein ? T’as dit quoi ? Demanda l’homme en rap-prochant son visage de la fenêtre à un point qu’Amélie peut sentir son parfum d’aftershave, le même qu’il portait le jour de leur première ren-contre.
- Rien, ça n’est pas important, dit Amélie en s’efforçant de sourire.
Un silence s’installe entre eux : il la regarde avec son sourire qui exhibe une dentition irrégulière et incom-plète tandis qu’elle s’efforce de garder contenance mais ne peut s’empêcher de détourner ses yeux ; il l’impressionne mais surtout, elle se sent un peu hon-teuse de s’offrir régulièrement à lui dans ses songes alors qu’il est là, juste devant elle.
- Qu’est ce qui a bien pu faire pleurer ces beaux yeux ? Demanda-t-il.
- Oh, ce n’est pas grand-chose, répond Amélie en essayant de sourire en vain. Des petits trucs sans importance…
- Ah les garçons ! Dit le vieux d’un air plein de sa-gesse.
Il regarde au loin la route nationale ; le bus – le dernier de la journée – vient de passer à fond en pro-jetant des trombes d’eau sous roues.
- Ah ! Fait-il d’un ton las mais toujours en souriant. Il semblerait bien que je n’aie plus aucun moyen de rentrer chez moi…
Amélie se mord la lèvre ; c’est sa faute. S’il ne l’avait pas vue au volant de la voiture, il aurait proba-blement pu l’avoir. Naturellement, elle se sent rede-vable…
- Je suis désolée, m’sieur, vraiment ! C’est ma faute, si je ne m’étais pas retrouvée ici et mainte-nant, vous…
- Hé ! Du calme ! Fait l’homme en levant une main et en l’abaissant doucement de haut en bas. Je vais appeler un copain qui viendra me chercher et puis…
- Vous habitez où ? Demanda Amélie d’une traite avant de se dire que sa question pouvait paraitre très déplacée…
Mais pas pour l’homme qui sourit une nouvelle fois ; un sourire à la fois rassurant mais tout aussi « troublant. »
- Tu proposes de me raccompagner ? Dit-il dans un petit rire. A l’époque, c’était moi qui raccompa-gnais les filles, faut croire que les temps ont changés, ahah !
Cette fois-ci, pour la première fois depuis le début de cette semaine infernale, Amélie sourit, de bon cœur.
- Voilà ! Fait l’homme, c’est ça que je veux voir ! Un beau sourire et de la joie dans ces grands yeux magni-fiques ! J’habite à Jardin – Sur – Rivière, tu vois où c’est ?
- Oui, très bien, c’est à 10 minutes de chez moi.
- Eh bien allons-y !
***
Durant tout le trajet, Amélie l’avait senti. Alors oui, l’odeur d’aftershave, mais tout autre chose également…l’homme ne l’avait pas lâchée des yeux pendant qu’elle conduisait. Il lui avait raconté sa vie ; sa femme était décédée 25 ans auparavant, il ne s’était jamais remarié et vivait seul. Il avait un vieil ami qui venait lui rendre visite de temps en temps et aucune descendance ; pas d’enfants qui auraient pu lui donner la joie d’avoir des petits-enfants : « C’est la vie ! » Avait-il lancé avant de partir dans un petit rire. Amélie sentait le truc, cette impression, cette intense chaleur qui provenait de son bas ventre. Elle l’avait écouté d’une oreille sans quitter les yeux de la route. Dans son esprit, elle se refaisait quelques-uns de ses fantasmes dont l’homme – de 78 ans comme il l’avait dit – assit à côté d’elle, était le principal protagoniste. Elle avait l’impression qu’il savait. Comme si ce vieux bonhomme était doté de télépathie et qu’il lisait dans ses pensées…
Arrivés devant l’immeuble de deux étages délabrés du vieil homme, Amélie se gare et tire le frein à main. Nou-veau silence assez perturbant que le vieil homme brise :
- Tu veux venir boire quelque chose ? Un café peut-être ?
Amélie a du mal à déglutir ; elle revivait un de ses rêves humides mais entre le songe et la réalité, il y avait un monde. L’homme pencha la tête et posa sa main caleuse et ridée sur le poignet maigre et blanc d’Amélie :
- Hé petite ! C’est pour te remercier de m’avoir ra-mené.
Elle le regarde droit dans les yeux et son sourire s’étire enfin :
- Ok, je veux bien, décide-t-elle.
- A la bonne heure !
L’appartement de l’homme, minuscule et vieillot, refait penser à Amélie à sa semaine de travail. Les mêmes tapisseries désuètes, le même lino imitation parquet, les mêmes tableaux de paysages fleuris et ensoleillés, ainsi que la même odeur de chou que chez ses clientes. La télévision a tube cathodique trône fièrement dans le salon à côté d’un vieux transistor. Amélie est assise dans le canapé de cuir qui a bien vécu lui aussi et attend l’homme qui est à la cuisine.
- Du sucre dans ton café ? Lance-t-il depuis l’autre bout de l’appartement.
- Oui, un morceau s’il vous plaît, répond Amélie en regardant tout autour d’elle.
L’homme revient quelques instants plus tard, chargé d’un plateau sur lequel se trouvent deux tasses de café fumant ainsi qu’une petite flasque en métal à côté du sucrier.
- Qu’est-ce que c’est ? Demande Amélie, intrigué.
- Ma potion magique ! Annonce l’homme joyeusement. Mon élixir de longue vie ! Grace à ça, je jouis d’une seconde jeunesse, petite !
Amélie souffle un petit rire par le nez. L’homme lui tend la flasque qu’elle ouvre pour en humer le parfum : alors qu’elle s’attendait à quelque chose de fort, proche de la gnole, elle respire un parfum un peu entêtant de plantes par-dessus celui de l’alcool fort.
- Tu veux goûter ? Propose l’homme en prenant place sur le canapé à 20 centimètres d’elle.
- Euh, je veux bien oui.
Tandis qu’il verse quelques gouttes dans sa tasse et dans celle d’Amélie, il lui jette un petit regard et dit, sur le ton de la blague :
- Tu vas garder ta veste ? C’est un coup à prendre froid !
En effet, elle n’avait pas osé se déshabiller. Elle ap-prouve d’un signe de tête et retire son manteau un peu ample. En dessous, elle porte une veste de survête-ment gris assortie au pantalon qu’elle porte. Ses fringues pour le travail en quelques sortes.
Elle s’empare de sa tasse de café et l’homme vient joyeusement faire tinter la sienne dessus dans un « cling ! » Sonore :
- A la tienne, Amélie !
- A la vôtre, Monsieur ! Répond-elle.
- Ah non, je t’ai déjà dit dans la voiture : appelle-moi Armand !
- Ok, Armand.
***
C’est maintenant au tour d’Amélie de raconter sa vie au vieil homme ; elle lui parle de son bac, obtenu deux ans plus tôt et évoque ce qui la tracasse : le boulot. Au fur et à mesure qu’elle devient plus bavarde, Amélie descend son café aromatisé et se rend compte qu’elle a très chaud. L’alcool aidant, certainement, mais aussi la situation et leur proximité physique qui la rend un peu nerveuse. Après ça, il lui pose LA question :
- Tu as un petit ami, Amélie ?
Elle marque un temps d’arrêt et baisse les yeux sur sa tasse à café :
- Non, pas…pas actuellement, enfin…je…
- Tu n’en n’as jamais eu, c’est ça ? Lance-t-il sans détour.
- - Euh…
Elle se sent rougir jusqu’aux oreilles :
- Mais tu as raison, petite ! Il n’y a aucun mal à se faire du bien ! On n’est pas obligé d’être mariés pour…faire la chose !
Nouveau blanc. Amélie n’ose pas le regarder. Le fait d’évoquer la « chose » comme il dit, la titille entre les cuisses. Le silence s’installe, pesant, intense, et Amélie se lève doucement :
- Où…où sont les toilettes ?
- Au bout du couloir, dernière porte à droite. La lumière du couloir ne fonctionne pas mais je te garantis que le fantôme de ma femme n’est pas revenu me visiter depuis des lustres !
Amélie souffle encore un rire et se dirige dans le couloir obscur.
***
Assise sur la lunette des toilettes, le pantalon et le string baissés, Amélie pose une main sur sa chatte : elle est trempée. Le simple fait d’effleurer sa fleur lui donne des envies ; sa chatte lui commande de sortir des toilettes et d’aller voir le vieil homme pour qu’il la possède sur le canapé, mais sa tête lui dit tout autre chose : partir. Mais en même temps, elle en meurt d’envie… et toute cette frustration accumulée depuis des années, couplée à la semaine horrible qu’elle venait de passer la poussent à vouloir partir d’ici comblée, en réalisant ce qui la fait jouir depuis des mois ! Voire plus ?
Elle passe deux doigts sur son clitoris, les yeux clos, et déjà, elle sent un plaisir puissant monter en elle.
Soudain, elle entend marcher dans le couloir, ou plutôt, elle entend le « clac, clac, clac » de la canne taper le sol. Combien de temps est-elle restée enfermée dans les toilettes ?
Elle ressort après avoir tiré la chasse et referme la porte. Lorsqu’elle se retourne, il est là, dans la pénombre, à un mètre d’elle. Elle distingue vaguement les contours de son visage, chose qui l’arrange car elle a toujours honte de ce qu’elle ressent pour lui.
Il se rapproche doucement d’elle. Amélie sent son cœur tambouriner contre sa poitrine tandis qu’elle s’adosse à la porte. Une fois encore, elle baisse légèrement la tête pour ne rencontrer ses yeux. Il est tout près, elle peut sentir son souffle chaud lui parvenir. Doucement, il pose ses mains sur ses hanches et se met à les caresser sensuellement puis, il attrape la fermeture éclair de la veste de survêtement d’Amélie et la dézippe jusqu’en bas dans un geste lent. Elle la retire délicatement et la laisse pendre sur ses bras maigres. Leurs regards se croisent enfin et elle le voit sourire dans l’obscurité. Elle tente de lui rendre ce sourire mais n’arrive qu’à faire une grimace avant de tourner de nouveau la tête sur le côté et de fermer les yeux.
L’homme rapproche son visage de son « décolleté » et dépose quelques baisers mouillés et délicats dessus. Elle sent son cœur s’emballer encore plus vite et il l’embrasse encore, à plusieurs reprises, cherchant maintenant à passer sous son débardeur. Amélie lui facilite la tâche en retirant une bretelle, exhibant un minuscule sein blafard au bouton de rose dur et pointu. L’homme lâche un grognement de satisfaction et se passe la langue sur les lèvres avant de plonger dessus ; il embrasse d’abord le téton du bout de ses lèvres avec douceur, rendant le téton encore plus dur. Il le prend ensuite entre ses lèvres et le lape doucement avec la langue. Elle est prise d’un frisson. Il accélère le mouvement toujours en lâchant de petits grognements sourds. Amélie retire également l’autre bretelle, sa poitrine est totalement nue…
Au bout d’un moment, Il lui tette les deux seins tours à tours comme un affamé, dans des bruits de succions qui se mêlent aux soupirs de la jeune fille dont le corps se raidit. Elle est brûlante à l’intérieur et à l’extérieur, son visage prend la couleur d’une tomate et elle transpire un peu partout ! Le voilà quasiment contre elle et ce sentiment d’être prise au piège, collée contre une porte, contribue à faire grimper l’excitation d’Amélie. Elle sent sa queue en érection lui frotter la jambe tellement qu’ils sont collés et elle se rend compte que de la salive coule de ses tétons jusqu’à son ventre. La nuque collée à la porte, la tête relevée vers le plafond, elle prend un pied monumental !
Elle sent la main d’Armand descendre par-dessus son débardeur pour aller se positionner dans son entrejambe, là où sa chaleur se fait plus intense. En continuant sa tétée, il lui effleure la chatte par-dessus son bas de survêtement. Amélie sent ses jambes se tordre sous le poids du plaisir qu’elle ressent et son cœur s’accélérer de plus en plus. Il rentre sa main dans le survêtement et la caresse un peu par-dessus son string puis enfin, il d’y mettre la main à l’intérieur ; passant par la tonsure de son Mont de Vénus, il continue sa descente jusqu’à arriver sur sa zone humide ; c’est à ce moment-là qu’elle se dit qu’elle peut encore l’arrêter et retourner prendre ses affaires pour décamper. Mais trop tard : son corps lui supplie de rester là et d’attendre la suite !
D’une main experte, il la caresse avec deux doigts sur son clitoris en allant doucement et sans la brusquer. Le front trempé de sueur, les joues en feu, Amélie sent qu’elle ne peut plus se retenir et elle doit mordre ses lèvres pour ne pas exploser. Du regard, elle le supplie d’arrêter tout en l’implorant de continuer ce qu’il est en train de faire tellement que c’est bon ! Elle sent qu’elle flagelle de plus en plus sur ses jambes et il la retient par la hanche, poursuivant ses caresses sur sa zone chaude. Elle pousse à présent de petits cris qui restent piégés dans sa gorge. L’homme halète comme un animal, le visage trempé de sueur et la lèche un peu partout à présent : dans le cou, sur la poitrine et les tétons, puis même sous son aisselle ; il la dévore tout bonnement !
Tout doucement, il insère en elle un de ses petits doigts boudinés ; elle ne peut plus se retenir et laisse échapper un gémissement aigu qui résonne dans tout le couloir ! Il lâche un petit rire et pose sa main sur la bouche de la jeune fille qui se laisse faire. Il rentre et sort à sa guise avec son doigt, en toute délicatesse et très facilement vu comment elle mouille.
Il tire sur le bas de survêtement – le string suit également – et l’abaisse à mi-cuisse. Il alterne ensuite entre le plat de sa main sur toute la chatte et son majeur qu’il rentre et ressort. Peu après, il rajoute un doigt supplémentaire et fouille l’intérieur d’Amélie comme s’il cherchait à gratter quelque chose à l’intérieur et c’est là qu’elle pousse encore un petit cri aigu et doit se mordre férocement les lèvres pour ne pas exploser !
Elle sent qu’elle pourrait venir très bientôt quand Armand lui murmure à l’oreille : « Tu veux aller dans la chambre ? » Avant même qu’elle puisse réfléchir, elle s’entend murmure un : « Oui… » et l’homme se dégage d’elle en lui faisant un : « Suis moi »
***
La chambre est tout au bout du couloir. L’homme ouvre la porte et laisse entrer Amélie. Plongée dans l’obscurité, elle ne sait pas trop quoi faire mais l’homme reprend les devants : il arrive derrière elle et se colle contre son cul.
Elle sent sa queue se pétrir contre ses fesses et il lui retire son débardeur pour peloter (pour ce qu’il y a à peloter !) ses seins en l’embrassant sur la nuque et entre les omoplates. Avec une de ses mains, il redescend et va de nouveau fouiller dans le pantalon de la jeune fille pour se remettre à la toucher.
Petit à petit, il la pousse vers l’avant, c’est-à-dire vers le lit. Au début, elle ne s’en était pas rendue compte mais à présent, il est clair qu’il veut la faire monter dessus. Se laissant guider, Amélie s’avance jusqu’à ce que ses genoux buttent contre le matelas. Elle les pose sur le lit et l’homme s’empare de nouveau du bas de survêtement et le rabaisse jusqu’à ses genoux avec son string dedans, laissant découvrir ses deux grosses fesses et sa chatte ruisselante.
- Penche-toi, chuchote-t-il à son oreille.
Elle s’exécute et attend sous tension, ses deux mains sur le couvre-lit posées à plat, le cœur tambourinant. Derrière, elle entend un « cling ! » Métallique et devine qu’il est en train de retirer son pantalon…
Elle s’offre à lui en se cambrant encore plus, le menton flirtant avec le couvre-lit. Elle entend le pantalon tomber sur le sol dans un bruissement et sent les deux mains ridées s’emparer de ses hanches pour la tirer un peu en arrière, ce qui lui fout un nouveau frisson qui parcourt tout son corps…il vient se coller à ses flancs, elle sent la petite bosse – il a l’air de bander mou– venir à la rencontre de ses lèvres trempées de cyprine.
Elle attend le moment fatidique, ça allait arriver ! Il pousse du bassin vers l’avant mais sa queue butte à l’entrée, sans réussir à la pénétrer. Elle passe une main en dessous d’elle pour attraper sa tige : il a un gros gland, qu’elle sent sous ses doigts et en effet, il ne bande pas au max (peut-être l’âge ?) et sa queue ne doit pas dépasser 7 ou 8 CM mais qu’importe ? Elle n’a jamais été autant excitée ! Certes, lors sa première fois, le mec de son âge en avait une grosse et bandait bien dure, mais c’est néanmoins ici, avec ce vieil homme qu’elle se sent stimulée au maximum !
Derrière, il se frotte plus qu’autre chose à l’entrée de sa chatte, sans réussir vraiment à la pénétrer – ou alors il ne rentre que le gland et pas plus – mais elle est comblée quand même ! Elle gémit encore et encore, surtout en réalisant la chose ; se faire baiser à 19 ans, par un vieux croulant de presque 80, sans protection, ce qui est d’autant plus excitant !
Il respire de plus en plus vite même s’il reste dans sa « chevauchée » à un rythme lent et constant. Il s’agrippe à ses fesses flasques en effectuant ses mouvements de bassin maladroits en haletant :
- Oh petite ! Souffle-t-il dans un murmure. Oh, c’est trop bon !
- Allez-y, monsieur ! Chuchote-t-elle d’une petite voix aigüe. Oui ! Allez-y ! Encore !
En grognant, et peut être un peu galvanisé par les encouragements d’Amélie, il accélère un peu plus et elle sent qu’en elle, ça monte de plus en plus : elle est à deux doigts de jouir ! Elle passe une main jusqu’à son clito et le frotte platement. De ses doigts, elle va tâter jusque son trou la petite tige d’Armand qui la lime à moitié mais dont le gland est en dedans. Elle se cambre encore plus sur le couvre-lit, son cul offert, il grogne de plus belle, comme s’il s’apprêtait à jouir. Elle le sent faiblir, il s’affaisse de plus en plus en avant et son gros bide vient se frotter sur le bas du dos d’Amélie.
- Oh petite ! Ooooh petite ! Continue-t-il de lâcher d’une voix de moins en moins claire.
Elle gémit de plus en plus fort, elle rentre ses ongles dans le couvre-lit et mord encore dans ses lèvres tandis que des frissons la parcourent dans tout son corps ! Elle doit même mordre dans le tissu pour ne pas hurler tout en jouissant comme elle n’a jamais joui de toute sa vie !
Elle se libère totalement et hurle tout ce qu’elle sait mais son cri se perd dans le matelas et heureusement car sans ça, tout le voisinage se serait demandé ce qu’il se passe chez le vieil Armand !
- C’est bon, ma petite ?! Hein ? Je vais…oh ! Je ne vais pas tenir…
Elle le sent tomber sur elle doucement si bien que maintenant, Amélie est à plat ventre sur le lit ; Allongé sur elle, il l’embrasse dans le cou puis se met à pousser un long et profond râle de plaisir en venant : Elle sent le membre se raidir et faire comme des saccades à l’entrée de sa jeune chatte. Il jouit. En elle. Longuement.
Ils restent tous les deux comme ça, à bout de souffle, haletant comme des bêtes sauvages. En nage, Amélie essaye de se remettre de ses émotions car dans sa tête, c’est comme si des milliers d’étoiles venaient d’exploser
Derrière, Armand se redresse. Amélie ne se retourne pas tout de suite car elle redoute toujours de lui faire face et encore plus maintenant qu’il l’a possédée…
- Je reviens ! Annonce-t-il avant de ramasser son pantalon et de quitter la chambre.
Amélie l’entend s’enfermer dans les toilettes et c’est à ce moment-là qu’elle s’active : elle se lève du lit et constate qu’elle est non seulement trempée de son propre fluide vaginal, mais qu’elle est aussi recouverte sur la chatte du sperme épais d’Armand. Elle remonte son bas de survêtement et referme sa veste. Elle retourne au salon récupérer son sac et son manteau puis, sans rien dire de vive voix, sans prévenir le vieil homme, elle quitte les lieux rapidement un peu honteuse mais totalement rassasiée et satisfaite de sa première expérience.
A SUIVRE
- Merci Monsieur, je me donnerai à fond !
Amélie referme la porte de l’agence intérim spécialisée dans l’aide à la personne ; elle a enfin du boulot ! Cela fait quelques temps, deux ans maintenant, qu’elle cherche à quitter l’infame taudis de ses parents à Bellegarde – La – Rivière, un trou paumé du Nord Isère. Autant dire que tout le monde se connaît dans le coin, où connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un, bref, un bled comme tant d’autres dans le trou du cul de la France.
Du boulot, il était temps qu’Amélie en trouve ; depuis qu’elle a quitté le lycée deux ans auparavant, ses parents la tannent pour qu’elle travaille et que, accessoirement, elle quitte le domicile. Elle n’a jamais eu de très bonnes relations avec eux et son père, alcoolique, lui a toujours tapé dessus. Pour ce qui est de sa mère, elle a tout de la rombière fade et potache qui dit Amen à son mari pour ne pas ne pas non plus se prendre une rouste. Et surtout, elle n’a jamais vraiment été un soutien pour sa fille…
C’est avec le cœur léger qu’Amélie se met en route au volant de sa 207 blanche délabrée, afin de retourner vers le lotissement où vivent ses parents. Pendant le trajet (il faut environ une demi-heure pour rejoindre Bellegarde depuis Bourgoin) elle s’imagine en train de prendre ses aises dans un petit loft sympa en centre-ville et enfin vivre sa vie comme elle l’entend, sans avoir à subir de pression parentale.
Lorsqu’elle arrive, la pluie s’invite dans le Nord-Isère ; l’automne s’installe doucement et le froid fait son retour. Elle se gare et constate par la vitre que comme d’habitude, des trainards squattent l’abribus tout près. Ils sont trois et Amélie les connaît puisqu’elle a eu une « histoire » avec l’un d’entre eux : Nico. C’est le plus grand, le plus costaud, celui qui tire les ficelles de leur petite bande de petites frappes. Ils reconnaissent la voiture et se mettent à chuchoter entre eux en la regardant. Amélie se sent mal à l’aise et repense à la fois ou elle a sucé Nico sur un parking : C’était l’année dernière, elle venait d’avoir 18 ans et naïve, elle s’était imaginée alors que Nico éprouvait pour elle des sentiments mais son seul objectif avait été de se la taper. Amélie avait déjà couché quelque fois, alors qu’elle était au lycée, il y avait de ça deux ans mais là encore, elle avait juste servi de morceau de viande, de déversoir pour des mecs affamés, prêt à taper dans n’importe quoi… Lorsqu’elle sort de la voiture afin de rejoindre le pavillon délabré dans lequel elle vit, Nico, encapuchonné, lui lance : « Regardez les mecs ! C’est la reine des suceuses ! » Fou rire des deux autres.
Amélie ne les calcule pas et trace sa route en direction de la maison. Dans son dos, elle entend un : « Allez, reviens, fais nous juste une petite pipe ! »
Une fois chez elle, elle monte directement les escaliers pour rejoindre sa minuscule chambre mansardée, évitant ainsi son paternel en train de picoler dans le salon. Elle s’enferme, met la radio à fond et se regarde dans le miroir ; Du haut de ses 19 ans, elle n’a pas grand-chose pour elle ; de taille moyenne, elle possède un nez fin et pointu dont elle aurait bien retiré quelques centimètres, implanté au milieu de sa figure grêlée par les stigmates d’une acné qui lui a valu les moqueries de ses camarades au collège, et plus récemment au lycée. Ses yeux bruns, fades et éteints, témoignent sa lassitude de ne plaire à personne. Ses cheveux châtain foncé pendent lamentablement, fatigués, jusque sur ses épaules. Elle se met de profil pour constater un potentiel miracle mais…il n’en n’est rien : sa poitrine est plate, elle a un cul flasque et plat lui aussi, qui n’a vraiment pas de quoi émoustiller la gent masculine. Sans parler de la pâleur de sa peau…
Amélie le sait, l’a toujours su : elle ne plaît pas aux garçons, en tous cas ceux de son âge ; elle s’est faite rembarrée à de nombreuses reprises par des mecs (pas toujours des beaux gosses) et elle ressent un profond et amer sentiment de frustration, bien que ses hormones la travaillent.
En réalité, la seule et unique chose qu’elle a pour elle, c’est son jardin secret, son imagination faite de fantasmes dont elle sait qu’ils sont plutôt inavouables venant d’une fille de son âge…
Ce soir-là, avant d’aller se coucher, elle s’adonne à ses habituels plaisirs solitaires, juste avant de s’endormir, se laissant aller dans son fameux jardin secret en quête de son « fantasme interdit » comme elle aime le nommer dans ses rêveries. Depuis quelques temps, lorsqu’elle se masturbe, son imaginaire la ramène sans cesse à la même personne, à cause d’une rencontre qu’elle a faite : c’était juste après avoir sucé ce connard de Nico. Elle allait prendre le bus pour aller à Bourgoin. Un homme, 75 ans bien tassés, l’avait alors accostée sous l’abribus : il était petit, rondouillard et quasiment chauve. Vêtu d’une chemise en laine à carreaux et d’un pantalon côtelé. Il possédait des petits yeux noirs et malicieux mais surtout, il avait trouvé un prétexte bidon sur les horaires des bus afin de lui faire la conversation…l’homme avait terminé en lui disant qu’il la trouvait « jolie » et que s’il avait eu son âge, il l’aurait probablement invité à prendre un café.
Une fois dans le bus, assise, elle s’était sentie un peu honteuse en repensant à cette rencontre et pour cause ; cet homme, bien qu’étant très âgé, ne l’avait pas laissée indifférente. Et depuis ce jour donc, elle se fait le scénario dans lequel ce vieux l’invite à boire un café chez lui et les choses prenaient une tournure torride… elle lui appartient totalement et devient une véritable chienne dévergondée et avide de sexe tandis qu’elle l’entend à chaque fois lui susurrer à l’oreille : « Tu es jolie… »
Et le plus curieux, c’est que lorsqu’elle décide de fantasmer sur des garçons de son âge, ça ne lui procure pas autant de bien…
***
Le lundi matin, sous une pluie battante, Amélie prend la route à bord du véhicule de société. Elle commence fort car aujourd’hui, elle a toute une matinée de ménage à faire chez des personnes âgées. Uniquement des femmes bourrues qui la prennent pour une esclave et lui parlent de travers. Amélie fait son boulot sans broncher et pense dans sa tête à son émancipation future dans la « grande ville. » Quand elle vivrait enfin seule.
L’ennui, c’est que toute la semaine durant, elle se re-trouve chez les mêmes vieilles qui lui en mettent plein la gueule et arrivé le vendredi 15H, elle se sent au bord des larmes derrière le volant de sa voiture alors qu’elle rentre chez elle. Lessivée, au bord du craquage, elle est con-trainte de se garer sur le parking d’une supérette car ses larmes l’aveuglent…
Le parking est désert : le froid mordant ainsi que la pluie battante ont probablement eu raison des clients, même les plus téméraires. Alors qu’elle se mouche, les yeux encore plein de larmes, elle voit sortir un homme de la supérette : marchant de côté à l’aide d’une canne, un sac de courses dans l’autre main. Elle reconnaît immédia-tement ses yeux : c’est l’homme de l’abribus !
Elle le suit du regard tandis qu’il passe à côté de la voiture. Il ne semble pas très alerte et surtout, il a l’air dans ses pensées mais au moment de passer devant la vitre de la voiture, ses petits yeux malicieux se posent sur elle derrière le volant. Il fronce les sourcils et s’arrête. Amélie ne sait pas quoi faire…doit-elle fuir du regard ? Lui faire un signe de la tête pour le saluer ? En tous cas, nul besoin d’en faire autant : la bouche de l’homme se fend en un sourire jusqu’à ses oreilles en forme de chou et il tape doucement contre la glace avec le pommeau de sa canne. Amélie baisse la vitre :
- Euh…vous me reconnaissez ? Monsieur ?
- Une si jolie jeune fille ? Bien sûr ! Mais tu n’as pas l’air dans ton assiette, petite !
Cette voix…Amélie se souvient : assurée, quoiqu’un peu chevrotante, mais qui dégage quelque chose de chaleureux, un peu comme celle d’un papy un poil gâ-teux avec ses petits-enfants. Amélie rougit et baisse les yeux sur son volant :
- Je ne suis pas jolie…commence-t-elle.
- Hein ? T’as dit quoi ? Demanda l’homme en rap-prochant son visage de la fenêtre à un point qu’Amélie peut sentir son parfum d’aftershave, le même qu’il portait le jour de leur première ren-contre.
- Rien, ça n’est pas important, dit Amélie en s’efforçant de sourire.
Un silence s’installe entre eux : il la regarde avec son sourire qui exhibe une dentition irrégulière et incom-plète tandis qu’elle s’efforce de garder contenance mais ne peut s’empêcher de détourner ses yeux ; il l’impressionne mais surtout, elle se sent un peu hon-teuse de s’offrir régulièrement à lui dans ses songes alors qu’il est là, juste devant elle.
- Qu’est ce qui a bien pu faire pleurer ces beaux yeux ? Demanda-t-il.
- Oh, ce n’est pas grand-chose, répond Amélie en essayant de sourire en vain. Des petits trucs sans importance…
- Ah les garçons ! Dit le vieux d’un air plein de sa-gesse.
Il regarde au loin la route nationale ; le bus – le dernier de la journée – vient de passer à fond en pro-jetant des trombes d’eau sous roues.
- Ah ! Fait-il d’un ton las mais toujours en souriant. Il semblerait bien que je n’aie plus aucun moyen de rentrer chez moi…
Amélie se mord la lèvre ; c’est sa faute. S’il ne l’avait pas vue au volant de la voiture, il aurait proba-blement pu l’avoir. Naturellement, elle se sent rede-vable…
- Je suis désolée, m’sieur, vraiment ! C’est ma faute, si je ne m’étais pas retrouvée ici et mainte-nant, vous…
- Hé ! Du calme ! Fait l’homme en levant une main et en l’abaissant doucement de haut en bas. Je vais appeler un copain qui viendra me chercher et puis…
- Vous habitez où ? Demanda Amélie d’une traite avant de se dire que sa question pouvait paraitre très déplacée…
Mais pas pour l’homme qui sourit une nouvelle fois ; un sourire à la fois rassurant mais tout aussi « troublant. »
- Tu proposes de me raccompagner ? Dit-il dans un petit rire. A l’époque, c’était moi qui raccompa-gnais les filles, faut croire que les temps ont changés, ahah !
Cette fois-ci, pour la première fois depuis le début de cette semaine infernale, Amélie sourit, de bon cœur.
- Voilà ! Fait l’homme, c’est ça que je veux voir ! Un beau sourire et de la joie dans ces grands yeux magni-fiques ! J’habite à Jardin – Sur – Rivière, tu vois où c’est ?
- Oui, très bien, c’est à 10 minutes de chez moi.
- Eh bien allons-y !
***
Durant tout le trajet, Amélie l’avait senti. Alors oui, l’odeur d’aftershave, mais tout autre chose également…l’homme ne l’avait pas lâchée des yeux pendant qu’elle conduisait. Il lui avait raconté sa vie ; sa femme était décédée 25 ans auparavant, il ne s’était jamais remarié et vivait seul. Il avait un vieil ami qui venait lui rendre visite de temps en temps et aucune descendance ; pas d’enfants qui auraient pu lui donner la joie d’avoir des petits-enfants : « C’est la vie ! » Avait-il lancé avant de partir dans un petit rire. Amélie sentait le truc, cette impression, cette intense chaleur qui provenait de son bas ventre. Elle l’avait écouté d’une oreille sans quitter les yeux de la route. Dans son esprit, elle se refaisait quelques-uns de ses fantasmes dont l’homme – de 78 ans comme il l’avait dit – assit à côté d’elle, était le principal protagoniste. Elle avait l’impression qu’il savait. Comme si ce vieux bonhomme était doté de télépathie et qu’il lisait dans ses pensées…
Arrivés devant l’immeuble de deux étages délabrés du vieil homme, Amélie se gare et tire le frein à main. Nou-veau silence assez perturbant que le vieil homme brise :
- Tu veux venir boire quelque chose ? Un café peut-être ?
Amélie a du mal à déglutir ; elle revivait un de ses rêves humides mais entre le songe et la réalité, il y avait un monde. L’homme pencha la tête et posa sa main caleuse et ridée sur le poignet maigre et blanc d’Amélie :
- Hé petite ! C’est pour te remercier de m’avoir ra-mené.
Elle le regarde droit dans les yeux et son sourire s’étire enfin :
- Ok, je veux bien, décide-t-elle.
- A la bonne heure !
L’appartement de l’homme, minuscule et vieillot, refait penser à Amélie à sa semaine de travail. Les mêmes tapisseries désuètes, le même lino imitation parquet, les mêmes tableaux de paysages fleuris et ensoleillés, ainsi que la même odeur de chou que chez ses clientes. La télévision a tube cathodique trône fièrement dans le salon à côté d’un vieux transistor. Amélie est assise dans le canapé de cuir qui a bien vécu lui aussi et attend l’homme qui est à la cuisine.
- Du sucre dans ton café ? Lance-t-il depuis l’autre bout de l’appartement.
- Oui, un morceau s’il vous plaît, répond Amélie en regardant tout autour d’elle.
L’homme revient quelques instants plus tard, chargé d’un plateau sur lequel se trouvent deux tasses de café fumant ainsi qu’une petite flasque en métal à côté du sucrier.
- Qu’est-ce que c’est ? Demande Amélie, intrigué.
- Ma potion magique ! Annonce l’homme joyeusement. Mon élixir de longue vie ! Grace à ça, je jouis d’une seconde jeunesse, petite !
Amélie souffle un petit rire par le nez. L’homme lui tend la flasque qu’elle ouvre pour en humer le parfum : alors qu’elle s’attendait à quelque chose de fort, proche de la gnole, elle respire un parfum un peu entêtant de plantes par-dessus celui de l’alcool fort.
- Tu veux goûter ? Propose l’homme en prenant place sur le canapé à 20 centimètres d’elle.
- Euh, je veux bien oui.
Tandis qu’il verse quelques gouttes dans sa tasse et dans celle d’Amélie, il lui jette un petit regard et dit, sur le ton de la blague :
- Tu vas garder ta veste ? C’est un coup à prendre froid !
En effet, elle n’avait pas osé se déshabiller. Elle ap-prouve d’un signe de tête et retire son manteau un peu ample. En dessous, elle porte une veste de survête-ment gris assortie au pantalon qu’elle porte. Ses fringues pour le travail en quelques sortes.
Elle s’empare de sa tasse de café et l’homme vient joyeusement faire tinter la sienne dessus dans un « cling ! » Sonore :
- A la tienne, Amélie !
- A la vôtre, Monsieur ! Répond-elle.
- Ah non, je t’ai déjà dit dans la voiture : appelle-moi Armand !
- Ok, Armand.
***
C’est maintenant au tour d’Amélie de raconter sa vie au vieil homme ; elle lui parle de son bac, obtenu deux ans plus tôt et évoque ce qui la tracasse : le boulot. Au fur et à mesure qu’elle devient plus bavarde, Amélie descend son café aromatisé et se rend compte qu’elle a très chaud. L’alcool aidant, certainement, mais aussi la situation et leur proximité physique qui la rend un peu nerveuse. Après ça, il lui pose LA question :
- Tu as un petit ami, Amélie ?
Elle marque un temps d’arrêt et baisse les yeux sur sa tasse à café :
- Non, pas…pas actuellement, enfin…je…
- Tu n’en n’as jamais eu, c’est ça ? Lance-t-il sans détour.
- - Euh…
Elle se sent rougir jusqu’aux oreilles :
- Mais tu as raison, petite ! Il n’y a aucun mal à se faire du bien ! On n’est pas obligé d’être mariés pour…faire la chose !
Nouveau blanc. Amélie n’ose pas le regarder. Le fait d’évoquer la « chose » comme il dit, la titille entre les cuisses. Le silence s’installe, pesant, intense, et Amélie se lève doucement :
- Où…où sont les toilettes ?
- Au bout du couloir, dernière porte à droite. La lumière du couloir ne fonctionne pas mais je te garantis que le fantôme de ma femme n’est pas revenu me visiter depuis des lustres !
Amélie souffle encore un rire et se dirige dans le couloir obscur.
***
Assise sur la lunette des toilettes, le pantalon et le string baissés, Amélie pose une main sur sa chatte : elle est trempée. Le simple fait d’effleurer sa fleur lui donne des envies ; sa chatte lui commande de sortir des toilettes et d’aller voir le vieil homme pour qu’il la possède sur le canapé, mais sa tête lui dit tout autre chose : partir. Mais en même temps, elle en meurt d’envie… et toute cette frustration accumulée depuis des années, couplée à la semaine horrible qu’elle venait de passer la poussent à vouloir partir d’ici comblée, en réalisant ce qui la fait jouir depuis des mois ! Voire plus ?
Elle passe deux doigts sur son clitoris, les yeux clos, et déjà, elle sent un plaisir puissant monter en elle.
Soudain, elle entend marcher dans le couloir, ou plutôt, elle entend le « clac, clac, clac » de la canne taper le sol. Combien de temps est-elle restée enfermée dans les toilettes ?
Elle ressort après avoir tiré la chasse et referme la porte. Lorsqu’elle se retourne, il est là, dans la pénombre, à un mètre d’elle. Elle distingue vaguement les contours de son visage, chose qui l’arrange car elle a toujours honte de ce qu’elle ressent pour lui.
Il se rapproche doucement d’elle. Amélie sent son cœur tambouriner contre sa poitrine tandis qu’elle s’adosse à la porte. Une fois encore, elle baisse légèrement la tête pour ne rencontrer ses yeux. Il est tout près, elle peut sentir son souffle chaud lui parvenir. Doucement, il pose ses mains sur ses hanches et se met à les caresser sensuellement puis, il attrape la fermeture éclair de la veste de survêtement d’Amélie et la dézippe jusqu’en bas dans un geste lent. Elle la retire délicatement et la laisse pendre sur ses bras maigres. Leurs regards se croisent enfin et elle le voit sourire dans l’obscurité. Elle tente de lui rendre ce sourire mais n’arrive qu’à faire une grimace avant de tourner de nouveau la tête sur le côté et de fermer les yeux.
L’homme rapproche son visage de son « décolleté » et dépose quelques baisers mouillés et délicats dessus. Elle sent son cœur s’emballer encore plus vite et il l’embrasse encore, à plusieurs reprises, cherchant maintenant à passer sous son débardeur. Amélie lui facilite la tâche en retirant une bretelle, exhibant un minuscule sein blafard au bouton de rose dur et pointu. L’homme lâche un grognement de satisfaction et se passe la langue sur les lèvres avant de plonger dessus ; il embrasse d’abord le téton du bout de ses lèvres avec douceur, rendant le téton encore plus dur. Il le prend ensuite entre ses lèvres et le lape doucement avec la langue. Elle est prise d’un frisson. Il accélère le mouvement toujours en lâchant de petits grognements sourds. Amélie retire également l’autre bretelle, sa poitrine est totalement nue…
Au bout d’un moment, Il lui tette les deux seins tours à tours comme un affamé, dans des bruits de succions qui se mêlent aux soupirs de la jeune fille dont le corps se raidit. Elle est brûlante à l’intérieur et à l’extérieur, son visage prend la couleur d’une tomate et elle transpire un peu partout ! Le voilà quasiment contre elle et ce sentiment d’être prise au piège, collée contre une porte, contribue à faire grimper l’excitation d’Amélie. Elle sent sa queue en érection lui frotter la jambe tellement qu’ils sont collés et elle se rend compte que de la salive coule de ses tétons jusqu’à son ventre. La nuque collée à la porte, la tête relevée vers le plafond, elle prend un pied monumental !
Elle sent la main d’Armand descendre par-dessus son débardeur pour aller se positionner dans son entrejambe, là où sa chaleur se fait plus intense. En continuant sa tétée, il lui effleure la chatte par-dessus son bas de survêtement. Amélie sent ses jambes se tordre sous le poids du plaisir qu’elle ressent et son cœur s’accélérer de plus en plus. Il rentre sa main dans le survêtement et la caresse un peu par-dessus son string puis enfin, il d’y mettre la main à l’intérieur ; passant par la tonsure de son Mont de Vénus, il continue sa descente jusqu’à arriver sur sa zone humide ; c’est à ce moment-là qu’elle se dit qu’elle peut encore l’arrêter et retourner prendre ses affaires pour décamper. Mais trop tard : son corps lui supplie de rester là et d’attendre la suite !
D’une main experte, il la caresse avec deux doigts sur son clitoris en allant doucement et sans la brusquer. Le front trempé de sueur, les joues en feu, Amélie sent qu’elle ne peut plus se retenir et elle doit mordre ses lèvres pour ne pas exploser. Du regard, elle le supplie d’arrêter tout en l’implorant de continuer ce qu’il est en train de faire tellement que c’est bon ! Elle sent qu’elle flagelle de plus en plus sur ses jambes et il la retient par la hanche, poursuivant ses caresses sur sa zone chaude. Elle pousse à présent de petits cris qui restent piégés dans sa gorge. L’homme halète comme un animal, le visage trempé de sueur et la lèche un peu partout à présent : dans le cou, sur la poitrine et les tétons, puis même sous son aisselle ; il la dévore tout bonnement !
Tout doucement, il insère en elle un de ses petits doigts boudinés ; elle ne peut plus se retenir et laisse échapper un gémissement aigu qui résonne dans tout le couloir ! Il lâche un petit rire et pose sa main sur la bouche de la jeune fille qui se laisse faire. Il rentre et sort à sa guise avec son doigt, en toute délicatesse et très facilement vu comment elle mouille.
Il tire sur le bas de survêtement – le string suit également – et l’abaisse à mi-cuisse. Il alterne ensuite entre le plat de sa main sur toute la chatte et son majeur qu’il rentre et ressort. Peu après, il rajoute un doigt supplémentaire et fouille l’intérieur d’Amélie comme s’il cherchait à gratter quelque chose à l’intérieur et c’est là qu’elle pousse encore un petit cri aigu et doit se mordre férocement les lèvres pour ne pas exploser !
Elle sent qu’elle pourrait venir très bientôt quand Armand lui murmure à l’oreille : « Tu veux aller dans la chambre ? » Avant même qu’elle puisse réfléchir, elle s’entend murmure un : « Oui… » et l’homme se dégage d’elle en lui faisant un : « Suis moi »
***
La chambre est tout au bout du couloir. L’homme ouvre la porte et laisse entrer Amélie. Plongée dans l’obscurité, elle ne sait pas trop quoi faire mais l’homme reprend les devants : il arrive derrière elle et se colle contre son cul.
Elle sent sa queue se pétrir contre ses fesses et il lui retire son débardeur pour peloter (pour ce qu’il y a à peloter !) ses seins en l’embrassant sur la nuque et entre les omoplates. Avec une de ses mains, il redescend et va de nouveau fouiller dans le pantalon de la jeune fille pour se remettre à la toucher.
Petit à petit, il la pousse vers l’avant, c’est-à-dire vers le lit. Au début, elle ne s’en était pas rendue compte mais à présent, il est clair qu’il veut la faire monter dessus. Se laissant guider, Amélie s’avance jusqu’à ce que ses genoux buttent contre le matelas. Elle les pose sur le lit et l’homme s’empare de nouveau du bas de survêtement et le rabaisse jusqu’à ses genoux avec son string dedans, laissant découvrir ses deux grosses fesses et sa chatte ruisselante.
- Penche-toi, chuchote-t-il à son oreille.
Elle s’exécute et attend sous tension, ses deux mains sur le couvre-lit posées à plat, le cœur tambourinant. Derrière, elle entend un « cling ! » Métallique et devine qu’il est en train de retirer son pantalon…
Elle s’offre à lui en se cambrant encore plus, le menton flirtant avec le couvre-lit. Elle entend le pantalon tomber sur le sol dans un bruissement et sent les deux mains ridées s’emparer de ses hanches pour la tirer un peu en arrière, ce qui lui fout un nouveau frisson qui parcourt tout son corps…il vient se coller à ses flancs, elle sent la petite bosse – il a l’air de bander mou– venir à la rencontre de ses lèvres trempées de cyprine.
Elle attend le moment fatidique, ça allait arriver ! Il pousse du bassin vers l’avant mais sa queue butte à l’entrée, sans réussir à la pénétrer. Elle passe une main en dessous d’elle pour attraper sa tige : il a un gros gland, qu’elle sent sous ses doigts et en effet, il ne bande pas au max (peut-être l’âge ?) et sa queue ne doit pas dépasser 7 ou 8 CM mais qu’importe ? Elle n’a jamais été autant excitée ! Certes, lors sa première fois, le mec de son âge en avait une grosse et bandait bien dure, mais c’est néanmoins ici, avec ce vieil homme qu’elle se sent stimulée au maximum !
Derrière, il se frotte plus qu’autre chose à l’entrée de sa chatte, sans réussir vraiment à la pénétrer – ou alors il ne rentre que le gland et pas plus – mais elle est comblée quand même ! Elle gémit encore et encore, surtout en réalisant la chose ; se faire baiser à 19 ans, par un vieux croulant de presque 80, sans protection, ce qui est d’autant plus excitant !
Il respire de plus en plus vite même s’il reste dans sa « chevauchée » à un rythme lent et constant. Il s’agrippe à ses fesses flasques en effectuant ses mouvements de bassin maladroits en haletant :
- Oh petite ! Souffle-t-il dans un murmure. Oh, c’est trop bon !
- Allez-y, monsieur ! Chuchote-t-elle d’une petite voix aigüe. Oui ! Allez-y ! Encore !
En grognant, et peut être un peu galvanisé par les encouragements d’Amélie, il accélère un peu plus et elle sent qu’en elle, ça monte de plus en plus : elle est à deux doigts de jouir ! Elle passe une main jusqu’à son clito et le frotte platement. De ses doigts, elle va tâter jusque son trou la petite tige d’Armand qui la lime à moitié mais dont le gland est en dedans. Elle se cambre encore plus sur le couvre-lit, son cul offert, il grogne de plus belle, comme s’il s’apprêtait à jouir. Elle le sent faiblir, il s’affaisse de plus en plus en avant et son gros bide vient se frotter sur le bas du dos d’Amélie.
- Oh petite ! Ooooh petite ! Continue-t-il de lâcher d’une voix de moins en moins claire.
Elle gémit de plus en plus fort, elle rentre ses ongles dans le couvre-lit et mord encore dans ses lèvres tandis que des frissons la parcourent dans tout son corps ! Elle doit même mordre dans le tissu pour ne pas hurler tout en jouissant comme elle n’a jamais joui de toute sa vie !
Elle se libère totalement et hurle tout ce qu’elle sait mais son cri se perd dans le matelas et heureusement car sans ça, tout le voisinage se serait demandé ce qu’il se passe chez le vieil Armand !
- C’est bon, ma petite ?! Hein ? Je vais…oh ! Je ne vais pas tenir…
Elle le sent tomber sur elle doucement si bien que maintenant, Amélie est à plat ventre sur le lit ; Allongé sur elle, il l’embrasse dans le cou puis se met à pousser un long et profond râle de plaisir en venant : Elle sent le membre se raidir et faire comme des saccades à l’entrée de sa jeune chatte. Il jouit. En elle. Longuement.
Ils restent tous les deux comme ça, à bout de souffle, haletant comme des bêtes sauvages. En nage, Amélie essaye de se remettre de ses émotions car dans sa tête, c’est comme si des milliers d’étoiles venaient d’exploser
Derrière, Armand se redresse. Amélie ne se retourne pas tout de suite car elle redoute toujours de lui faire face et encore plus maintenant qu’il l’a possédée…
- Je reviens ! Annonce-t-il avant de ramasser son pantalon et de quitter la chambre.
Amélie l’entend s’enfermer dans les toilettes et c’est à ce moment-là qu’elle s’active : elle se lève du lit et constate qu’elle est non seulement trempée de son propre fluide vaginal, mais qu’elle est aussi recouverte sur la chatte du sperme épais d’Armand. Elle remonte son bas de survêtement et referme sa veste. Elle retourne au salon récupérer son sac et son manteau puis, sans rien dire de vive voix, sans prévenir le vieil homme, elle quitte les lieux rapidement un peu honteuse mais totalement rassasiée et satisfaite de sa première expérience.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo !!! Les personnages sont adorable, gardez les précieusement !
J’ai adoré votre façon d’amener en douceur les scènes. Vos descriptions font très bien leur travail, la tension grimpe très bien, et très vite ( et pas seulement la tension de votre héroïne , je peux vous l’assurez ☺️)
Merci pour ce jolie travail, vivement la suite
J’ai adoré votre façon d’amener en douceur les scènes. Vos descriptions font très bien leur travail, la tension grimpe très bien, et très vite ( et pas seulement la tension de votre héroïne , je peux vous l’assurez ☺️)
Merci pour ce jolie travail, vivement la suite