Mes Seins
Récit érotique écrit par Lili Fox [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes Seins
Depuis l'adolescence, ils me pèsent, même si je dois reconnaître qu'ils ont du succès. Mes seins. Je suis Lili, 18 ans. A l'aise dans ma tête, mais pas trop dans mon corps: je mesure 1,70 et fais 110 kilos. Adipeuse, je l'avoue, les cuisses parsemées de cellulites, j'ai néanmoins de beaux cheveux noirs, longs et soyeux, ainsi qu'un joli visage, d'après les divers compliments que l'on m'a fait jusqu'ici, bien que mes joues très charnues prennent un peu trop de place à mon goût. J'ai des yeux bruns, presque noirs et rieurs qui ont un certain charme/
Mais trêve de bavardage à propos de superflus, cette histoire se concentre sur mon épaisse et large poitrine d'un blanc laiteux. Je possède un bon 110 D, aux gros tétons roses. J'avoue que mes seins, lorsque je le les libère de l'étreinte d'un de mes soutifs à dentelles, pendent lamentablement contre mon corps mais ils ne perdent pas de leur superbe: je n'ai couché qu'avec un gars dans ma vie. Il s'était efforcé de venir entre mes cuisses, pour la forme, mais avait passé la majeur partie du temps la tête entre mes deux immenses vallons, concentré sur eux et rien d'autre! J'y avais pris beaucoup de plaisir et depuis, il m'arrive fréquemment de les toucher, sans oublier les tétons, et de m'imaginer des choses. Des choses qui me donnent des frissons dans tout le corps.
Malheureusement, une forte poitrine ne fait pas tout. J'ai beau tenter de séduire les mecs de mon âge, mais rien n'y fait. La frustration grandit de jours en jours et depuis peu, j'ai pris l'habitude de m'exhiber sur des sites de roulettes (dont je tairais les noms ici). C'est simple: Je fais en sorte que la webcam ne filme que ma poitrine, piégée dans mes soutifs mais sur le point d'exploser à l'écran. Dans mon studio, je fais ça lumières éteintes, laissant simplement l'écran de l'ordinateur m'éclairer et j'aime beaucoup le résultat: ma poitrine offerte au tout venant, sous le feu des projecteurs!
Cela fait quelques semaines maintenant que je montre mes nichons et la plupart du temps, les mecs s'arrêtent sur ma room. Pour deux raisons: et d'une, sur ces sites généralement, il n'y a que très peu de filles. Deuxièmement: mes seins font toujours leur effet. Les mecs me parlent de vive voix, mais je ne réponds pas. Je suis sourde aux ordres du genre: "Montre!" Je préfère les compliments sur ma poitrine. Jusqu'à maintenant, je me contentais de mettre mes mains sur mes baleines de soutif pour enserrer mes seins, mais c'est tout. J'ai ressenti aussi quelque chose quand des types se branlaient et jutaient simplement en voyant ma poitrine, mais rien de dingue non plus. Quelque fois, hormis les bites des mecs que je rencontre, je vois leurs visages. Mais c'est rare. Ce soir en revanche…
Je rentre de soirée, il est deux heures du matin. Frustrée de ne pas avoir choppé et bien bourrée, je décide de m'offrir aux voyeurs du site. L'alcool ou la frustration me rendent un peu plus coquine que d'habitude; je quitte une bretelle de soutien-gorge ou alors j'insiste un peu plus en pressant mes seins par dessus mon soutif, jusqu'au moment où je vais quitter, plutôt satisfaite, la culotte légèrement moite. Je tombe sur une room à l'image de mauvaise qualité: surement une webcam qui doit dater de l'âge de pierre! Je vois un homme: il doit avoir quatre vingt ans passés: il n'a presque plus de cheveux, son crâne est parsemé de tâches de vieillesse, son visage est creusé, décharné même et il porte des lunettes de vue devant des petits yeux marrons et perçants qui lui donne un regard un peu sévère. Ses sourcils broussailleux se froncent tandis qu'il me regarde. J'en suis certaine.
Habituellement, les vieux voyeurs ne m'intéressent pas plus que ça, surtout lorsqu'ils font des commentaires que je qualifie de déplacés mais lui, cet homme, posé devant son ordinateur dans cette pièce aux murs d'un blanc immaculés, ne me laisse pas indifférente. En fond, depuis mes haut-parleurs, j'entends quelque chose tourner, comme une télévision. Je vois dans sa localisation qu'il est en "Ile de France" (comme moi!) et je vois apparaître à l'écran trois petits points. Il est en train d'écrire:
- Bonsoir.
j'hésite, puis réponds:
- Bonsoir. Monsieur.
J'ai rajouté le monsieur à cause de son âge avancé qui me pousse à répondre de manière plus respectueuse. Il écrit de nouveau:
- âge?
- 18.
Je n'ose pas lui demander le sien, mais pas besoin:
- Moi 82. Tu es d'où?
- Paris. Et vous?
- Paris, également. Jolie poitrine :)
Il ne peut pas voir mais je souris.
- Merci :)
Il n'écrit plus pendant quelques instants et je ne fais rien non plus, je le regarde simplement et je me dis qu'il doit être seul chez lui. Depuis peut être bien trop longtemps. Dans un élan d'empathie, aidé par l'alcool je l'avoue, je pose mes mains doucement sur mes baleines de soutif. Je vois qu'il est stoïque, qu'il me mate avec insistance. Je bouge un peu mon buste de gauche à droite pour lui montrer ma poitrine sous plusieurs angles, j'aime beaucoup ce que je suis en train de faire. Je ressens un peu de honte car, je n'ai pas l'habitude de me montrer comme ça à une personne âgée et il ne peut pas le voir, mais mon visage prend des couleurs.
- J'aime beaucoup. Peux-tu continuer?
C'est demandé avec tellement de douceur et de politesse que j'accepte et poursuis mes mouvements de gauche à droite, doucement, pour qu'il n'en rate pas une seule miette. Il écrit, de nouveau:
- Mon âge ne te dérange pas?
J'ai envie de lui dire que si, un peu, mais au contraire:
- Non. Vous pouvez regarder autant que vous voulez.
J'hésite, mais je rajoute un:
- J'aime ça. Monsieur.
Il sourit, pour la première fois. On dirait que le mur solide qui obstruait son visage se brise en un éclair. J'aime beaucoup ça. Je lui fais de l'effet et ça me plaît! Je continue de bouger mon buste et passe les mains à l'arrière de mon crâne, dans ma chevelure, lui dévoilant mes aisselles rasées de près. Cette position que je prends commence légèrement à m'exciter.
- Magnifique!
Je souris. Je place mes mains sous les baleines comme pour soutenir mes obus. Il mate encore et toujours. Je décide de faire un peu comme d'habitude: d'une main, je retire doucement une de mes bretelles que je laisse glisser sur mon bras. J'en fais de même avec l'autre et j'attends. Je vois ses yeux se remplir d'une lueur de convoitise et une fois de plus j'adore ça! Je m'emballe et me mets à écrire:
- Vous voulez les voir, Monsieur?
- Oh oui!
Je vire mes doigts du clavier et abaisse complètement mes bretelles pour faire passer mes bras. Il n'y a plus que les agrafes qui sont à l'œuvre, pour retenir mes mamelles. J'hésite un instant, mais sent l'excitation me prendre les tripes: je passe mes mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge qui tombe jusqu'à mes cuisses, libérant mes gigantesques seins blancs comme le nacre dans une sacrée chute libre! Lorsqu'ils retombent tout contre moi, l'excitation me monte encore plus dans tout le corps: les voir ainsi à l'écran, libérés, avec leurs tétons au bout me procure une intense chaleur dans le bas ventre. Je vois mon sénior de l'autre côté de son écran qui entrouvre sa bouche, son visage happé vers l'écran pour voir de plus près. Je remets mes mains dans mes cheveux vers l'arrière, sentant que cette position dans laquelle je m'offre totalement à sa vue me fait encore plus monter le plaisir. Il bug sur moi. J'ai d'ailleurs l'impression que mon ordinateur bug pour de bon mais non: sans ciller, il se mord la lèvre inférieure doucement et se passe la langue discrètement dessus. Je pivote avec mon buste pour faire bouger doucement mes seins, la lumière de l'écran se projette dessus et leur donne une très belle teinte (de mon point de vue).
Je suis en culotte et je sens que je mouille; ce n'est rien comparé aux fois précédentes, là, je mouille vraiment beaucoup. J'ai honte certes, mais justement, le fait de me sentir coupable, de me dévoiler comme ça à un homme plus âgé que mon grand père me fait énormément d'effet! Il est tellement proche de l'écran que je vois toutes ses rides et les marques de vieillesse de son visage mais surtout, je l'entends soupirer: un murmure lent et discret. Je devine sans voir ce qu'il est en train de faire et ça aussi, ça me procure un plaisir fou! Je met mes mains sous mes seins, je joue avec en les faisant rebondir, je les serre l'un contre l'autre, les fait bouger en me tortillant sur ma chaise de bureau, bref, je fais comme si j'exécutais une chorégraphie qu j'avais répétée. L'homme entrouvre sa bouche, la referme, continue à se concentrer sur moi et ma poitrine. Je suis certaine de voir son front luire à cause de la sueur et je décide de me faire du bien également: j'amène une de mes mains jusqu'à mon entrecuisse et je fouille dans ma culotte: J'avais dit mouillée ? C'est un euphémisme, je vous assure, tellement que je suis humide là-bas dessous…
Je décide de me toucher aussi, la main sur ma chatte ruisselante. Je me titille le clitoris tandis que de mon autre main, je me pelote un sein puis l'autre. L'homme pose son menton sur son poing et continue de me fixer toujours aussi ardemment! Je ne sais pas s'il peut m'entendre mais je suis certaine que mes soupirs sont moins discrets que les siens tandis que je me tortille sur le fauteuil, je ne tiens plus. Mes tétons roses sont tout durs, ça se voit carrément sur l'écran, et je me caresse encore et encore le clitoris, je sens que ça arrive en trombe, que je vais venir à fond! Les soubresauts de mon corps font balancer mes deux immenses seins, je suis sure qu'il sait que je me masturbe, que je suis en train de me toucher face à lui alors que plus de soixante années nous séparent! Au moment fatidique, je suis prise de spasme, mes seins tressaillissent et malencontreusement, je lâche un petit glapissement, aigu, qu'il a nettement entendu, c'est certain! Je me renfonce doucement dans l'assise du fauteuil et reprend mon souffle.
- Tu es venue?
- Oui...
- Ca t'as plu?
- Oui, Monsieur. Vous avez aimé?
- C'était formidable!
Je lâche un rire dans un souffle qu'il a du entendre et une fois de plus, il sourit. Ca me plaît beaucoup. J'hésite un moment, il continue de me regarder puis, c'est moi qui demande:
- Vous avez Skype?
Ses yeux semblent encore se remplir de cette même lueur que précédemment: il s'empresse de taper sur son clavier:
- Oui.
Je lui donne mon adresse et lui fait un petit signe de la main, en mettant bien ma poitrine en avant. Il sourit de nouveau et m'adresse un signe également. Encore haletante, je quitte le site. Je décide que pour ce soir, j'ai eu mon compte…
Mais trêve de bavardage à propos de superflus, cette histoire se concentre sur mon épaisse et large poitrine d'un blanc laiteux. Je possède un bon 110 D, aux gros tétons roses. J'avoue que mes seins, lorsque je le les libère de l'étreinte d'un de mes soutifs à dentelles, pendent lamentablement contre mon corps mais ils ne perdent pas de leur superbe: je n'ai couché qu'avec un gars dans ma vie. Il s'était efforcé de venir entre mes cuisses, pour la forme, mais avait passé la majeur partie du temps la tête entre mes deux immenses vallons, concentré sur eux et rien d'autre! J'y avais pris beaucoup de plaisir et depuis, il m'arrive fréquemment de les toucher, sans oublier les tétons, et de m'imaginer des choses. Des choses qui me donnent des frissons dans tout le corps.
Malheureusement, une forte poitrine ne fait pas tout. J'ai beau tenter de séduire les mecs de mon âge, mais rien n'y fait. La frustration grandit de jours en jours et depuis peu, j'ai pris l'habitude de m'exhiber sur des sites de roulettes (dont je tairais les noms ici). C'est simple: Je fais en sorte que la webcam ne filme que ma poitrine, piégée dans mes soutifs mais sur le point d'exploser à l'écran. Dans mon studio, je fais ça lumières éteintes, laissant simplement l'écran de l'ordinateur m'éclairer et j'aime beaucoup le résultat: ma poitrine offerte au tout venant, sous le feu des projecteurs!
Cela fait quelques semaines maintenant que je montre mes nichons et la plupart du temps, les mecs s'arrêtent sur ma room. Pour deux raisons: et d'une, sur ces sites généralement, il n'y a que très peu de filles. Deuxièmement: mes seins font toujours leur effet. Les mecs me parlent de vive voix, mais je ne réponds pas. Je suis sourde aux ordres du genre: "Montre!" Je préfère les compliments sur ma poitrine. Jusqu'à maintenant, je me contentais de mettre mes mains sur mes baleines de soutif pour enserrer mes seins, mais c'est tout. J'ai ressenti aussi quelque chose quand des types se branlaient et jutaient simplement en voyant ma poitrine, mais rien de dingue non plus. Quelque fois, hormis les bites des mecs que je rencontre, je vois leurs visages. Mais c'est rare. Ce soir en revanche…
Je rentre de soirée, il est deux heures du matin. Frustrée de ne pas avoir choppé et bien bourrée, je décide de m'offrir aux voyeurs du site. L'alcool ou la frustration me rendent un peu plus coquine que d'habitude; je quitte une bretelle de soutien-gorge ou alors j'insiste un peu plus en pressant mes seins par dessus mon soutif, jusqu'au moment où je vais quitter, plutôt satisfaite, la culotte légèrement moite. Je tombe sur une room à l'image de mauvaise qualité: surement une webcam qui doit dater de l'âge de pierre! Je vois un homme: il doit avoir quatre vingt ans passés: il n'a presque plus de cheveux, son crâne est parsemé de tâches de vieillesse, son visage est creusé, décharné même et il porte des lunettes de vue devant des petits yeux marrons et perçants qui lui donne un regard un peu sévère. Ses sourcils broussailleux se froncent tandis qu'il me regarde. J'en suis certaine.
Habituellement, les vieux voyeurs ne m'intéressent pas plus que ça, surtout lorsqu'ils font des commentaires que je qualifie de déplacés mais lui, cet homme, posé devant son ordinateur dans cette pièce aux murs d'un blanc immaculés, ne me laisse pas indifférente. En fond, depuis mes haut-parleurs, j'entends quelque chose tourner, comme une télévision. Je vois dans sa localisation qu'il est en "Ile de France" (comme moi!) et je vois apparaître à l'écran trois petits points. Il est en train d'écrire:
- Bonsoir.
j'hésite, puis réponds:
- Bonsoir. Monsieur.
J'ai rajouté le monsieur à cause de son âge avancé qui me pousse à répondre de manière plus respectueuse. Il écrit de nouveau:
- âge?
- 18.
Je n'ose pas lui demander le sien, mais pas besoin:
- Moi 82. Tu es d'où?
- Paris. Et vous?
- Paris, également. Jolie poitrine :)
Il ne peut pas voir mais je souris.
- Merci :)
Il n'écrit plus pendant quelques instants et je ne fais rien non plus, je le regarde simplement et je me dis qu'il doit être seul chez lui. Depuis peut être bien trop longtemps. Dans un élan d'empathie, aidé par l'alcool je l'avoue, je pose mes mains doucement sur mes baleines de soutif. Je vois qu'il est stoïque, qu'il me mate avec insistance. Je bouge un peu mon buste de gauche à droite pour lui montrer ma poitrine sous plusieurs angles, j'aime beaucoup ce que je suis en train de faire. Je ressens un peu de honte car, je n'ai pas l'habitude de me montrer comme ça à une personne âgée et il ne peut pas le voir, mais mon visage prend des couleurs.
- J'aime beaucoup. Peux-tu continuer?
C'est demandé avec tellement de douceur et de politesse que j'accepte et poursuis mes mouvements de gauche à droite, doucement, pour qu'il n'en rate pas une seule miette. Il écrit, de nouveau:
- Mon âge ne te dérange pas?
J'ai envie de lui dire que si, un peu, mais au contraire:
- Non. Vous pouvez regarder autant que vous voulez.
J'hésite, mais je rajoute un:
- J'aime ça. Monsieur.
Il sourit, pour la première fois. On dirait que le mur solide qui obstruait son visage se brise en un éclair. J'aime beaucoup ça. Je lui fais de l'effet et ça me plaît! Je continue de bouger mon buste et passe les mains à l'arrière de mon crâne, dans ma chevelure, lui dévoilant mes aisselles rasées de près. Cette position que je prends commence légèrement à m'exciter.
- Magnifique!
Je souris. Je place mes mains sous les baleines comme pour soutenir mes obus. Il mate encore et toujours. Je décide de faire un peu comme d'habitude: d'une main, je retire doucement une de mes bretelles que je laisse glisser sur mon bras. J'en fais de même avec l'autre et j'attends. Je vois ses yeux se remplir d'une lueur de convoitise et une fois de plus j'adore ça! Je m'emballe et me mets à écrire:
- Vous voulez les voir, Monsieur?
- Oh oui!
Je vire mes doigts du clavier et abaisse complètement mes bretelles pour faire passer mes bras. Il n'y a plus que les agrafes qui sont à l'œuvre, pour retenir mes mamelles. J'hésite un instant, mais sent l'excitation me prendre les tripes: je passe mes mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge qui tombe jusqu'à mes cuisses, libérant mes gigantesques seins blancs comme le nacre dans une sacrée chute libre! Lorsqu'ils retombent tout contre moi, l'excitation me monte encore plus dans tout le corps: les voir ainsi à l'écran, libérés, avec leurs tétons au bout me procure une intense chaleur dans le bas ventre. Je vois mon sénior de l'autre côté de son écran qui entrouvre sa bouche, son visage happé vers l'écran pour voir de plus près. Je remets mes mains dans mes cheveux vers l'arrière, sentant que cette position dans laquelle je m'offre totalement à sa vue me fait encore plus monter le plaisir. Il bug sur moi. J'ai d'ailleurs l'impression que mon ordinateur bug pour de bon mais non: sans ciller, il se mord la lèvre inférieure doucement et se passe la langue discrètement dessus. Je pivote avec mon buste pour faire bouger doucement mes seins, la lumière de l'écran se projette dessus et leur donne une très belle teinte (de mon point de vue).
Je suis en culotte et je sens que je mouille; ce n'est rien comparé aux fois précédentes, là, je mouille vraiment beaucoup. J'ai honte certes, mais justement, le fait de me sentir coupable, de me dévoiler comme ça à un homme plus âgé que mon grand père me fait énormément d'effet! Il est tellement proche de l'écran que je vois toutes ses rides et les marques de vieillesse de son visage mais surtout, je l'entends soupirer: un murmure lent et discret. Je devine sans voir ce qu'il est en train de faire et ça aussi, ça me procure un plaisir fou! Je met mes mains sous mes seins, je joue avec en les faisant rebondir, je les serre l'un contre l'autre, les fait bouger en me tortillant sur ma chaise de bureau, bref, je fais comme si j'exécutais une chorégraphie qu j'avais répétée. L'homme entrouvre sa bouche, la referme, continue à se concentrer sur moi et ma poitrine. Je suis certaine de voir son front luire à cause de la sueur et je décide de me faire du bien également: j'amène une de mes mains jusqu'à mon entrecuisse et je fouille dans ma culotte: J'avais dit mouillée ? C'est un euphémisme, je vous assure, tellement que je suis humide là-bas dessous…
Je décide de me toucher aussi, la main sur ma chatte ruisselante. Je me titille le clitoris tandis que de mon autre main, je me pelote un sein puis l'autre. L'homme pose son menton sur son poing et continue de me fixer toujours aussi ardemment! Je ne sais pas s'il peut m'entendre mais je suis certaine que mes soupirs sont moins discrets que les siens tandis que je me tortille sur le fauteuil, je ne tiens plus. Mes tétons roses sont tout durs, ça se voit carrément sur l'écran, et je me caresse encore et encore le clitoris, je sens que ça arrive en trombe, que je vais venir à fond! Les soubresauts de mon corps font balancer mes deux immenses seins, je suis sure qu'il sait que je me masturbe, que je suis en train de me toucher face à lui alors que plus de soixante années nous séparent! Au moment fatidique, je suis prise de spasme, mes seins tressaillissent et malencontreusement, je lâche un petit glapissement, aigu, qu'il a nettement entendu, c'est certain! Je me renfonce doucement dans l'assise du fauteuil et reprend mon souffle.
- Tu es venue?
- Oui...
- Ca t'as plu?
- Oui, Monsieur. Vous avez aimé?
- C'était formidable!
Je lâche un rire dans un souffle qu'il a du entendre et une fois de plus, il sourit. Ca me plaît beaucoup. J'hésite un moment, il continue de me regarder puis, c'est moi qui demande:
- Vous avez Skype?
Ses yeux semblent encore se remplir de cette même lueur que précédemment: il s'empresse de taper sur son clavier:
- Oui.
Je lui donne mon adresse et lui fait un petit signe de la main, en mettant bien ma poitrine en avant. Il sourit de nouveau et m'adresse un signe également. Encore haletante, je quitte le site. Je décide que pour ce soir, j'ai eu mon compte…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment, c’est d’une simplicité, mais tout l’érotisme est là. Pour commencer le corps de l’autre est toujours perçu dans les yeux et celui qui sait regarder en étant patient et respectueux vivra toujours une expérience extraordinaire!
Bravo Lili Fox.
Bravo Lili Fox.
merci pas mal comme histoire
Merci Lili Fox , encore une fois, très bien mené, c’est tout en douceur ! J’adore 😊