Amorce de révélation: Alice est cachotière. (2)
Récit érotique écrit par Alisãsibl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Amorce de révélation: Alice est cachotière. (2)
15 minutes plus tard, me voilà dans la rue d'Alice. Je crois que je vis un simple cauchemar : je croise les deux vieux types alors même que je m'engage dans l'immeuble. Cette fois-ci je ne peux plus avoir de doute. J'hésite à monter, mes émotions se jouent de moi ; ai-je besoin de m'entendre dire le mot « cocu » ? Mais ma déception laisse très vite place à de la colère. Alice, la fille avec laquelle je sors, Alice, qui ne semble pas avoir de désirs particuliers, avec qui tout est calme et tranquille au lit, qui refuse la moindre nouveauté, semble être en réalité beaucoup plus ouverte.
Je monte, je pousse la porte et me retrouve dans l'appartement. Alice passe sa tête par l’entrebâillement de la porte de la salle de bain, une serviette nouée dans les cheveux, me sourit et commence à me parler tout en se séchant. Je l'écoute sans savoir quoi faire, la colère menace de me submerger à tout moment, pourtant je reste figé dans l'entrée. Soudain, elle m'interpelle : « Chéri, tu m'écoutes ? ». Il ne m'en faut pas plus pour réagir au quart de tour. Je pénètre dans la salle de bain et lui ôte sa serviette en l'embrassant, tout en la maintenant coincée entre mon corps et le lavabo. Elle se laisse aller dans mes bras et profite du baiser, la garce. Tout en poursuivant mon baiser, je baisse ton pantalon, ma verge bandée se retrouve contre son ventre et je sens sa main qui tente de me saisir. Je retourne Alice. Il est hors de question que je la laisse mener la danse et que j'oublie ses affronts dans les draps, le fait de la voir encline à coucher avec moi me rend encore plus furieux. Je la regarde dans les yeux au travers du miroir et j'aperçois mon visage, mes propres yeux, animés par la haine et le désir de la voir plier devant moi. De ma main gauche, je lui maintiens la tête droite, afin qu'elle se regarde tandis que ma main droite lui tire désormais les tétons avec une violence à peine contrôlée. Contre toute attente, Alice garde ses bras le long du corps puis tente même d'atteindre ma bite, collée contre ses fesses. Je bloque son bras, remets sa main le long de son corps et enfonce deux doigts dans sa bouche. Elle s'applique à les lécher avec une vigueur que je ne lui connais pas, je suis encore plus irrité et encore plus excité. Je rapproche ma tête de sa nuque et lui dis dans un souffle « Tu aimes ? » tout en enfonçant plus profondément mes doigts dans sa gorge. Alice est secouée par des hauts le cœur et je m'applique à pincer son téton droit tout en le tirant vers le bas. Le spectacle du miroir est surréaliste, pourtant, je sens bien que son souffle s'accélère et je constate que ses yeux sont fermés. « S'il te plaît, pas si fort » sont les seuls mots qui sortent de sa bouche. Je lui tords le téton si brusquement que ses jambes se plient, alors je lui plaque le ventre contre le lavabo, la tête écrasée contre le miroir et j'écarte ses jambes. Je la regarde dans les yeux pendant que mon index la pénètre. Elle est trempée et c'est bientôt trois doigts qui la pistonnent alors qu'elle ne cesse de gémir et ne gigote presque plus. Bientôt son cul se fait plus pressant et part lui-même à la rencontre de mes doigts. J'ai envie de l'insulter, de lui faire détester ce moment et pourtant, la voir pliée dans la salle de bain entrain de s'empaler seule tout en gémissant est la chose la plus excitante que je n'ai jamais vu. Je me détourne du miroir pour regarder mon œuvre, voir mes doigts entrer et sortir d'elle couverts de cyprine, puis je présente mon pouce à son anus. Anus qui a manifestement été visité peu de temps auparavant.
Je monte, je pousse la porte et me retrouve dans l'appartement. Alice passe sa tête par l’entrebâillement de la porte de la salle de bain, une serviette nouée dans les cheveux, me sourit et commence à me parler tout en se séchant. Je l'écoute sans savoir quoi faire, la colère menace de me submerger à tout moment, pourtant je reste figé dans l'entrée. Soudain, elle m'interpelle : « Chéri, tu m'écoutes ? ». Il ne m'en faut pas plus pour réagir au quart de tour. Je pénètre dans la salle de bain et lui ôte sa serviette en l'embrassant, tout en la maintenant coincée entre mon corps et le lavabo. Elle se laisse aller dans mes bras et profite du baiser, la garce. Tout en poursuivant mon baiser, je baisse ton pantalon, ma verge bandée se retrouve contre son ventre et je sens sa main qui tente de me saisir. Je retourne Alice. Il est hors de question que je la laisse mener la danse et que j'oublie ses affronts dans les draps, le fait de la voir encline à coucher avec moi me rend encore plus furieux. Je la regarde dans les yeux au travers du miroir et j'aperçois mon visage, mes propres yeux, animés par la haine et le désir de la voir plier devant moi. De ma main gauche, je lui maintiens la tête droite, afin qu'elle se regarde tandis que ma main droite lui tire désormais les tétons avec une violence à peine contrôlée. Contre toute attente, Alice garde ses bras le long du corps puis tente même d'atteindre ma bite, collée contre ses fesses. Je bloque son bras, remets sa main le long de son corps et enfonce deux doigts dans sa bouche. Elle s'applique à les lécher avec une vigueur que je ne lui connais pas, je suis encore plus irrité et encore plus excité. Je rapproche ma tête de sa nuque et lui dis dans un souffle « Tu aimes ? » tout en enfonçant plus profondément mes doigts dans sa gorge. Alice est secouée par des hauts le cœur et je m'applique à pincer son téton droit tout en le tirant vers le bas. Le spectacle du miroir est surréaliste, pourtant, je sens bien que son souffle s'accélère et je constate que ses yeux sont fermés. « S'il te plaît, pas si fort » sont les seuls mots qui sortent de sa bouche. Je lui tords le téton si brusquement que ses jambes se plient, alors je lui plaque le ventre contre le lavabo, la tête écrasée contre le miroir et j'écarte ses jambes. Je la regarde dans les yeux pendant que mon index la pénètre. Elle est trempée et c'est bientôt trois doigts qui la pistonnent alors qu'elle ne cesse de gémir et ne gigote presque plus. Bientôt son cul se fait plus pressant et part lui-même à la rencontre de mes doigts. J'ai envie de l'insulter, de lui faire détester ce moment et pourtant, la voir pliée dans la salle de bain entrain de s'empaler seule tout en gémissant est la chose la plus excitante que je n'ai jamais vu. Je me détourne du miroir pour regarder mon œuvre, voir mes doigts entrer et sortir d'elle couverts de cyprine, puis je présente mon pouce à son anus. Anus qui a manifestement été visité peu de temps auparavant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis d'accord une peu court et long à venir mais très très beau récit tout de même j attend la suite
Les épisodes sont courts, alors on espère que les suivants apparaîtront chaque deux jours au moins ou qu'ils doubleront de longueur pour mieux en déguster le contenu. Merci en tout cas à l'auteur et à HDS !