Amorce de révélation: Alice est cachotière.
Récit érotique écrit par Alisãsibl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amorce de révélation: Alice est cachotière.
Alice était sortie pour faire quelques achats et je me retrouvai seul dans l'appartement. Nous n'habitions pas ensemble mais je passais énormément de temps chez elle car son appartement était le plus spacieux. La matinée s'achevait et je savais que ma solitude allait perdurer jusqu'en milieu d'après-midi au moins, aussi je décidai de ranger afin que nous puissions nous retrouver tranquilles à son retour. Je ne connais Alice que depuis quelques mois, c'est une jolie fille très simple et vivoter avec elle est apaisant, rien n'est jamais trop haut, rien n'est jamais trop bas. Sur le long terme cela posera peut-être problème mais pour l'instant j'en profite. Alors que je cherche une serpillière je tombe sur un placard fermé à clef, tant pis, ça sera canapé DVD (un gros navet).
14H30, je n'ai aucune nouvelle d'Alice. Je l'appelle :
« Allo, oui, vu que tu ne me donnes pas de nouvelles j'en prends, tu en es où ?
Aaaah je suis désolée chéri, j'ai croisé une amie et... ben en fait là on a mangé un bout en terrasse et du coup j'ai pris un peu de retard. Ca t'ennuie si je ne rentre qu'en fin d'après-midi ? Je ne l'ai pas vue depuis longtemps... »
Évidemment cela ne me gène pas, mais si j'avais su j'aurai pu repasser chez moi, à force de squatter chez Alice mon appartement tombe en ruine. Animé par une motivation insoupçonnée je claque la porte de l'appartement et me met en route pour chez moi. 3 arrêts de métro et 5 minutes de marche, Alice ne sera sans doute pas rentrée quand j'aurai terminé mon bricolage, je marche sans me presser. Dans le métro je reste debout, il y a un peu de monde, c'est l'été, et beaucoup de jolies filles tiennent des sacs de plage contre leur robe. Je souris. A la deuxième station je me fige. Sur le quai d'en face, Alice, vêtue d'une jupe qui ne cache rien, gorge déployée, et entourée par deux hommes manifestement âgés. Elle semble les connaître et je m'apprête à sortir, mais soudain le métro passe et le mien quitte le quai. Mon imagination me joue des tours et je crois voir l'objet de mes désirs dans la moindre petite femme...
Soucieux, j'appelle tout de même Alice en sortant du métro. Messagerie. Boum. Je marche jusqu'à chez moi, m'installe sur le canapé, hésite et rappelle.
« Oui allo ma chérie, pour te dire que je suis repassé chez moi, j'avais des affaires à prendre et quelques trucs à réparer. Ca va toi ?
Euh oui oui ça va oui d'accord.. Je euh... Tu dors chez moi ce soir ?
Oui bien sûr, j'en ai pour une heure ou deux maximum.
Ok super, j'ai hâte de te voir ! Merci pour le rangement tu es un amour. Il faudra absolument que je te présente mon amie, elle a ouvert une petite boutique dans le quartier et ne connaît pas grand monde, on l'invitera un soir !
Très bien ma puce. A tout à l'heure.
Oui ! »
Elle raccroche. Je suis rassuré. La demoiselle aperçue sur le quai devait avoir une vague ressemblance et mon esprit s'est joué de moi. J'imagine très mal Alice si peu habillée et entourée par deux gaillards pareil. En plus elle est entrain de faire des courses en dehors de la ville, elle a pris la voiture, et n'a aucune raison de prendre le métro. Soulagé, je m'active chez moi, je range, je prépare une petite valise (de quoi tenir trois quatre jours chez elle), je débouche l'évier et je réalise. Alice m'a remerciée pour un rangement qu'elle n'a aucune raison de connaître. Mon sac, mes clefs, je suis déjà dans le métro, je veux vérifier ce que je pressens.
14H30, je n'ai aucune nouvelle d'Alice. Je l'appelle :
« Allo, oui, vu que tu ne me donnes pas de nouvelles j'en prends, tu en es où ?
Aaaah je suis désolée chéri, j'ai croisé une amie et... ben en fait là on a mangé un bout en terrasse et du coup j'ai pris un peu de retard. Ca t'ennuie si je ne rentre qu'en fin d'après-midi ? Je ne l'ai pas vue depuis longtemps... »
Évidemment cela ne me gène pas, mais si j'avais su j'aurai pu repasser chez moi, à force de squatter chez Alice mon appartement tombe en ruine. Animé par une motivation insoupçonnée je claque la porte de l'appartement et me met en route pour chez moi. 3 arrêts de métro et 5 minutes de marche, Alice ne sera sans doute pas rentrée quand j'aurai terminé mon bricolage, je marche sans me presser. Dans le métro je reste debout, il y a un peu de monde, c'est l'été, et beaucoup de jolies filles tiennent des sacs de plage contre leur robe. Je souris. A la deuxième station je me fige. Sur le quai d'en face, Alice, vêtue d'une jupe qui ne cache rien, gorge déployée, et entourée par deux hommes manifestement âgés. Elle semble les connaître et je m'apprête à sortir, mais soudain le métro passe et le mien quitte le quai. Mon imagination me joue des tours et je crois voir l'objet de mes désirs dans la moindre petite femme...
Soucieux, j'appelle tout de même Alice en sortant du métro. Messagerie. Boum. Je marche jusqu'à chez moi, m'installe sur le canapé, hésite et rappelle.
« Oui allo ma chérie, pour te dire que je suis repassé chez moi, j'avais des affaires à prendre et quelques trucs à réparer. Ca va toi ?
Euh oui oui ça va oui d'accord.. Je euh... Tu dors chez moi ce soir ?
Oui bien sûr, j'en ai pour une heure ou deux maximum.
Ok super, j'ai hâte de te voir ! Merci pour le rangement tu es un amour. Il faudra absolument que je te présente mon amie, elle a ouvert une petite boutique dans le quartier et ne connaît pas grand monde, on l'invitera un soir !
Très bien ma puce. A tout à l'heure.
Oui ! »
Elle raccroche. Je suis rassuré. La demoiselle aperçue sur le quai devait avoir une vague ressemblance et mon esprit s'est joué de moi. J'imagine très mal Alice si peu habillée et entourée par deux gaillards pareil. En plus elle est entrain de faire des courses en dehors de la ville, elle a pris la voiture, et n'a aucune raison de prendre le métro. Soulagé, je m'active chez moi, je range, je prépare une petite valise (de quoi tenir trois quatre jours chez elle), je débouche l'évier et je réalise. Alice m'a remerciée pour un rangement qu'elle n'a aucune raison de connaître. Mon sac, mes clefs, je suis déjà dans le métro, je veux vérifier ce que je pressens.
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