Amour africain.

- Par l'auteur HDS Trekkie -
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Amour africain. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
Tags : Blacks Gros sexe
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Couleur du fond :
Amour africain.
Ce récit se déroule à une époque ou les colonies existaient encore. J'ai essayé de recréer les relations qui existaient entre les colons et leurs serviteurs. Mais j'ai dû faire quelques adaptation sur le vocabulaire, car à notre époque il serait mal de prononcer certains termes et ce même si c'était pour relater des faits historique.

Quand je suis arrivée au Sénégal, je n'étais qu'une jeune mariée timide et pudique. Mon mari, qui est ingénieur avait accepté un poste de coopérant. Il m'avait précédée de quelques mois pour organiser notre vie là-bas.
Ce jour, il était venu me chercher à l'aéroport.
Paul, mon chéri !
Nadine, comme tu m'as manqué !...
A peine montée dans la voiture, il m'a presque sauté dessus.
Cela fait deux mois... j'ai envie de toi !
Si je l'avais laissé faire, il m'aurait prise dans la voiture ! Ce n'était pas dans ses habitudes, mais j'ai mis cela sur le compte des deux mois d'abstinence.
Non Paul ! On pourrait nous voir !
Bientôt, je n'y pensais plus. J'étais fascinée par cette Afrique que je découvrais sur le trajet jusqu'à ma nouvelle demeure. Ce jour-là, je n'étais au bout de mes surprises...
Voilà Nadine, tu es chez toi ! Ça te plaît ?
Mas c'est immense !!!
nous étions devant une bâtisse digne de l'époque coloniale, avec du terrain à perte de vue.
Je vais te présenter à nos domestiques Coralie et Djibril.
Bienvenue, patronne.
Bonjour, madame Nadine.
Tous deux avaient moins de trente ans et ils semblaient former un couple. Mais sans me laisser me remettre de toutes ces nouveautés, Paul m'a entraînée dans la chambre...
Une voiture, une villa, des domestique ! Mais tout cela doit coûter horriblement cher !
La vie est bon marché ici, et je gagne deux fois plus qu'en métropole !... Mais laisse ça, viens t'occuper de moi !...
Paul semblait vraiment pressé, il commençait déjà à enlever son pantalon et son sexe était en forme.
Je me suis ennuyé de toi, regarde comme j'ai envie.
Il était maintenant couché sur le lit la bite dressée comme un mat au milieu d'un bateau.
Allez, viens me sucer la bite !...
Tu ne m'as jamais parlé comme ça ! Que t'arrive-t-il ?
Sa brusquerie, son langage... Je ne le reconnaissais pas... D'autant que là, il me sauta dessus et m'arracha presque mes vêtements.
Il m'arrive que j'ai envie de te baiser ! Ça fait deux mois que je pense à ta chatte !...
Non, pas maintenant ! Les domestiques pourraient nous entendre !
Fais comme s'ils n'existaient pas !
Non, vraiment, ce n'étais plus le Paul que j'avais quitté, il y a deux mois. Il venait de me jeter, presque entièrement nue, sur le lit et me léchait la chatte.
Tiens, tiens... Tu sens comme j'avais envie de te baiser?!
Il venait de me pénétrer comme jamais il ne l'avait fait. Il a joui très vite, m'arrosant copieusement le ventre et la chatte.
Attrape ça sur ta moule !... Mais suce-moi ! J'ai encore envie !
Non ! C'est dégoûtant !
Il m'avait mis sa queue devant la bouche et comme je n'avais pas joui, j'étais encore excitée. Alors, pour la première fois, je l'ai sucé. Il me baisait la bouche. Je trouvais ça révoltant et troublant à la fois. J'ai pris sa bite en bouche pendant un bon moment le temps qu'il jouisse une seconde fois, mais cette fois sur mon visage et un peu dans ma bouche.
Je le trouvais vraiment changé !
Excuse-moi, mon amour, j'avais tellement envie.
Les jours passaient, il faisait toujours beau, les domestiques s'occupaient du ménage, des courses, de la cuisine... J'avais une vie paradisiaque. Je passais beaucoup de temps à bronzer dans la propriété.
Au début, j'étais gênée par la présence du personnel du maison qu habitait chacun dans une chambre d'un petit bungalow au fond du jardin.
Tu n'as pas soif, Madame Nadine ?
Puis je m'y suis habituée...
Ton jus d'orange, patronne.
Un matin où je me suis aventuré à explorer toute la propriété, j'ai fait la connaissance de ma voisine, une veuve qui vivait en Afrique depuis dix ans. Elle était propriétaire de plusieurs magasins qu'elle louait. Elle ne semblait pas pudique et possédait un corps magnifique, avec des seins gros e fermes. J'en ai été témoin quand je l'ai vue se promenant les seins nus et au lieu de m »éviter, elle entama la conversation.
Bonjour, je m'appelle Brigitte... Si vous avez trop chaud, ma piscine est à votre disposition...
Nous avons vite sympathisé. Brigitte m'a même fait visiter la ville. Et un après-midi j'ai accepté son invitation de profiter de sa piscine.J'étais en maillot une pièce et elle aussi, mais unique ment parce qu'elle n'avait pas de soutien.
Elle aussi avait du personnel et notamment un jardinier qui entretenait les parterres aux abord de la piscine.
Il te plaît ?
Qui ?
Dialo, mon jardinier ! Il a un corps superbe, non ?... Je vais te faire une confidence ; il a un membre énorme !
En disant cela, elle semblait déjà excitée, car elle écartait les cuisses et je pouvais voir qu'elle commençait à mouiller.
Je ne ta choque pas, j'espère. Entre femmes on peut tout se dire.
Malgré ma gêne, j'ai joué les blasées.
Ce n'est pas une légende, les noirs sont vraiment très membrés ?...
Mais oui, je vais te montrer... Dialo !... Viens ici !
L'homme laissa ce qu'il faisait et vint nous rejoindre.
Baisse ton pantalon, montre ta queue à la dame.
Ce n'est pas la peine, je te crois sur parole...
Mais elle insista et il nous montra son sexe. Elle était au repos et même comme cela je n'en n'avais jamais vu d'aussi grosse et longue. Je dois avouer que le seule que j'avais réellement vue jusque là, c'était celle de Paul.
Il était circoncis, sa bite était un gros boudin noir avec le bout rose. Ses couilles avaient la taille d’œufs de poule.
Regarde comme elle est grosse... et ses testicules, on dirait des couilles de singe !... Mais tu vas voir quand elle sera bien bandée... On dirait celle d'un âne !
Tout en me parlant, elle avait commencé à le masturber sans pudeur !
Vois, elle est vraiment énorme. Les africaines ne doivent pas s'ennuyer ! Elle en ont de la chance !... Mais excuse-moi, ma chère, mais je ne peux pas le laisser dans cet état... Il faut que je le soulage...
Elle activa d'autant plus sa main autour de cette énorme queue et son éjaculation était à la mesure de la taille de sa bite. On aurait dit que Brigitte maniait un tuyau d'arrosage. Elle en avait plein la main et l'avant-bras.
File te nettoyer ! Regarde comme il m'a salie ce vilain !
Cette scène m'avait choquée tout autant que troublée. Une fois rentrée chez moi, je me suis enfermée dans la salle de bain et je me suis branlée en repensant au sexe de ce domestique africain...
Le reste de la journée, j'ai observé Djibril en me demandant s'il avait une queue aussi grosse que celle de Dialo.
Le soir, j'étais encore excitée et c'est moi qui ai voulu baiser avec mon mari. J'ai commencé par lui branler la queue et même si elle était beaucoup moins imposante que celle de Dialo je l'ai ensuite sucée. Je sentais que Paul ne tiendrai pas bien longtemps, je me suis donc empressée de m'empaler sur sa bite pour qu'il me puisse venir en moi. Mais à ma grande surprise, il a su se maîtriser et j'étais tellement excitée que lorsqu’il voulu me sodomiser, je n'ai pas refusé.
Je vais te la mettre dans le cul !
Il m'a préparée avec son doigt pour bien me dilater l'anus. C'était la première fois que nous le faisions, mais j'ai eu l'impression qu'il n'en était pas à son coup d'essai.
Pousse comme si tu chiais, ça va entrer tout seul !
Je n'ai presque pas eu mal... quand Paul a joui, j'ai imaginé que c'était Djibril qui me déchargeait dans le cul !
Depuis ce soir, je me suis mise à fantasmer sur le sexe des noirs... C'était comme si la chaleur me rendait folle.
Mais un matin alors que je rodais du côté du bungalow des domestiques, dans l'espoir de surprendre Djibril nu, j'ai fait une découverte déplaisante. E, regardant discrètement à travers les stores de la fenêtre, au lieu de voir Djibril, j'ai vu mon mari, Paul que j'avais cru parti à son travail. Il était en compagnie de la domestique, Coralie.
Allez, Coralie, humidifie bien ma queue !...
Elle était agenouillée devant lui et lui faisait une fellation.
Bouffe-moi bien et je te donnerai de l'argent. Pompe-moi ! Tu aime ça, les queues blanches, pas vrai ?
Paul profitait d'elle, il la payait pour obtenir ses faveurs. Et j'ai compris comment il avait l'air de ne pas être novice quand il m'a sodomisé.
Mets-toi comme d’habitude, tu sais ce que j'aime...
Viens patron... Mets ta queue dans mon petit trou.
Ainsi, ils étaient amants ! Cela avait commencé alors que j'étais en France. C'est avec elle qu'il avait pris goût à la sodomie et à ce langage vulgaire... Cela me révoltait, bien sûr. Mais je ressentais également une véritable excitation. Voir mon mari enculer une autre femme me troublais énormément.
Malgré ma jalousie, je me suis masturbée en les observant. Cachée dans les buissons j'ai commencé à mouiller comme jamais auparavant.
Dans la cabane, les deux amants eux aussi continuaient à baiser.
Oh oui, patron ! Plus fort ! Enfonce bien ta queue !
Tiens ! Tiens, prends mon foutre de blanc sur ta moule de noire !
Ils ont joui ensemble et moi aussi, puis j'ai regagné la villa, le cœur déchiré de cette trahison. Mon excitation retombée, je me sentais offensée, trahie, bafouée. Cette nuit-là, prétextant une migraine, j'ai refusé de faire l'amour avec Paul.
Le lendemain, j'étais désemparée. Comme je n'avais ni famille, ni amie à qui me confier, j'ai été voir Brigitte, ma voisine. Quand je lui ai dit que j'avais quelque chose d’important à lui dire, elle posa la main sur mon genou.
Nous sommes amies, tu peux tout me dire.
Je lui ai raconté l'infidélité de Paul. Brigitte se montrait compréhensive et douce. Elle me consolait, j'étais envahie par une étrange chaleur et surtout quand elle me passa la main dans les cheveux. Elle dut s'en rendre compte car elle se pencha sur moi et posa sa bouche sur la mienne.
Laisse-toi aller, je vais te faire oublier tes soucis...
J'avais tant besoin de réconfort que je ne l'ai pas repoussée... C'était la première fois que je faisais ça avec une autre femme. C'était très agréable. En plus de m'embrasser, maintenant elle me caressait les seins et j'ai écarté les cuisses dès qu'elle voulu glisser sa main dans ma petite culotte.
Ça te plaît ?...
Oh oui, oui !
Je vais bien m'occuper de toi. Laisse-toi faire.
Elle m'a masturbée bien mieux que n'importe quel homme. Elle me tripotait le clitoris, puis enfonçait ses doigts dans ma chatte.
Je n'en pouvais plus, j'ai moi aussi commencé à lui caresser les seins.
Oui, occupe-toi de mes nichons pendant que je te branle !
Je n'en revenais pas de mon audace. Je me suis mordiller les tétons qu'elle avait durs et gros. Puis Brigitte s'est déshabillée et m'a retiré ma culotte.
Je vais te lécher la chatte, chérie.
Elle a passé sa langue sur tous les replis de ma fente, puis elle l'a rentrée dans mon con. En même temps qu'elle me tétais le clitoris, elle me fouillais la chatte de ses doigts ? Je n'arrêtais pas de mouiller.
Oui ! Ooooh ! Tu me fais jouir !
Jamais mon mari ne m'avait sucée aussi bien.
Ça va mieux ? Te voilà vengée de l'infidélité de ton mari.
Oui...
Viens dans ma chambre, on sera mieux.
Nous nous sommes toutes les deux déshabillée complètement et elle me coucha sur le lit.
Ils te plaisent, mes nichons ?
Oui, viens vite ! Donne-les moi !
J'avais vraiment envie de Brigitte et mon excitation m'avait complètement désinhibée.
Me voilà, chérie, je suis toute à toi.
Comme j'ai envie, c'est fou !
Brigitte a commencé à me faire l'amour. Elle me pinçait doucement les tétons, les mordillait, les aspirait.
Oh oui ! Chez-moi encore !
Hum... Tu mouilles ! J'aime le goût de ton jus !
Oui !!! Enfonce ta langue au fond ! Tu me fais jouir !...
Elle se redressa et vint m'embrasser à nouveau.
Tiens, goutte ta mouille sur mes lèvres... Tu aimes ?
Oh oui, chérie. Tu me rends folle.
On va se mettre en 69... Tu pourras boire mon jus...
Brigitte me suçait divinement. Je mouillais comme jamais. Je ne pensais plus à Paul, seulement au plaisir que me donnait ma nouvelle meilleure amie.
Hum... Tu dégoulines, chérie.
J'étais dans un tel état d'excitation que je me suis mise à lécher Brigitte, son sexe sentais fort, sa mouille était très salée et épaisse. J'ai tout de suite aimé ça.
Nous avons joui en nous léchant. Ensuite, nous nous sommes branlées, nous avons passé toute l'après-midi à faire l'amour.
Le soir, j'ai éprouvé un peu de remord, alors, pour ne plus penser à ce que j'avais fait, j'ai excité mon mari.
Tu as l'air très chaude, ce soir. Bouffe-moi bien.
J'ai commencé par lui faire une pipe. Ensuite je l'ai chevauché.
Empale-toi ! Enfile-toi ma queue jusqu'aux couilles.
Alors que je faisais l'amour avec Paul, j'imaginais que c'était Brigitte qui me branlait le clitoris !
Les jours suivants, j'ai essayé d'oublier ce que j'avais avec Brigitte. Je me sentais fautive, et de ce fait, je n'en voulais presque plus à Paul de m'avoir trompée.
Je pensais aussi que Brigitte me laisserait tranquille... Mais à la première occasion, elle m'a sautée dessus. C'était lors d'une partie de tennis à laquelle elle m'avait invitée. Lorsque nous avons rejoins les vestiaires, elle est passée à l'offensive.
Ça m'excite de te voir en sueur... Tu sens la chair chaude... Viens dans la douche...
La chaleur me rendait toute molle... Je n'ai pas pu résister... Nous nous sommes caressés, elle m'a branlée. Elle m'a même proposée d'utiliser un manche de raquette comme gode pour la pénétrer.
Oh oui ! Enfile tout n'aie pas peur, je suis bien large ! J'ai l'habitude des grosses queues de noirs !
Je la fis jouir et elle me fit jouir en me léchant la chatte
Sur la route du retour, tout en conduisant, elle me tripotait le clito, et m'enfilait un doigt dans la chatte.
Chez elle, je me suis laissée faire, j'étais sa chose sexuelle. J'avais l'impression que le climat de l'Afrique me rendait sans volonté.
Que fais-tu ?
Après avoir gouiné, j'ai envie d'une grosse queue dans la chatte...
Elle faisait tinter une clochette et Dialo est arrivé tout de suite. Nous étions couchée l'une à côté de l'autre dans son lit et j'avais honte qu'il me découvre en compagnie de Brigitte. Mais surtout, j'étais excitée par ce qui allait se passer.
Sans qu'on lui dise quoi que soit, il se déshabilla et monta nous rejoindre sur le lit.
Tu vois comme elle est grosse sa queue, ma chérie ?... Il va me défoncer.
En effet Dialo écarta au maximum les cuisses de Brigitte et lui enfonça sa queue dans la chatte Elle était énorme, mais manifestement Brigitte avait l'habitude car elle entra en elle sans aucun souci. Sa chatte s'écarta pour la laisser entrer jusqu'à ce que les couille de son domestique viennent frapper ses fesses. Brigitte gémissait à chaque fois que son membre remuait en elle et excitée par cette vision, je ne pu résister et j'ai lécher ses tétons.
Regarde, il va m'envoyer son foutre !... Tu as vu comme il décharge !... Il m'en met sur les nichons, le salaud !
Je n'avais jamais vu autant de sperme sortir lors d'une seule éjaculation et bien que Dialo semblait épuisé, Brigitte en voulais encore.
Fais-le rebander, Nadine... Branle-le bien !
Sa bite sentait le sperme et la mouille. Elle est redevenue vraiment énorme en quelques minutes.
Suçons-le... comme deux salopes.
J'étais excitée de sucer cette grosse bite, en compagnie de mon amie. Finalement, j'ai accepté que Dialo me baise.
Doucement Dialo, elle n'a pas l'habitude de recevoir de si grosse bites... Voilà, rentre doucement... Elle mouille bien, tu vas pouvoir la limer.
Brigitte avait pris la direction des opérations et maintenant je me faisait prendre en levrette par son domestique noir. Et elle en rajouta en se coucha et m'invitant à lui lécher le clitoris.
Oui, bouffe-moi bien, pendant qu'il te baise !
Oh Brigitte, ce qu'elle est grosse ! C'est si bon !
Je savais que tu aimerais les bites moires ! Tu es aussi vicieuse que moi !
Dialo m'a prise dans toutes les positions et alors qu'il allait enfin se lâcher, Brigitte intervint.
Retire-toi ! Il ne faudrait pas que tu lui fasse en gosse, la couleur donnerai des soupçons à son mari. Je vais te la tenir ! Asperge-la bien !...
J'ai été recouverte de son foutre, sur ma chatte, mon ventre et mes cuisses. Brigitte en avait aussi plein la main.
Depuis ce jour, j'ai souvent fait l'amour avec Brigitte et Dialo et tous les matins j'allais espionner Paul lorsqu'il allait retrouver Coralie. J'étais devenue vicieuse.
Mais j'ai aussi profité de la première occasion pour me venger de cette salope, et ce fut quand elle laissa tomber une assiette et la cassa.
Ce n'est pas possible, tu cassa trop de vaisselle, Coralie. Je vais devoir te renvoyer...
Oh non, madame ! Je t'en prie !...
Tu préfère que je te corrige ?
... si tu veux, patronne .
J’allais pouvoir m'en donner à cœur joie. Je la fit mettre à quatre pattes sur la table et pris une cuillère en bois pour commencer à la lui claquer sur les fesses.
Relève ta robe ! Et plus vite que ça !
Coralie avait un joli petit cul, rond et ferme. Une raie profonde séparait ses fesses.
Mademoiselle n'a pas de petite culotte !... Tiens, prends ça cochonne !
Aie !
Avoir cette fille à ma merci m’excitait. J'éprouvais du plaisir à la frapper. J'en mouillais ma culotte !
Cambre-toi bien, petite garce ! Je vais t'apprendre à casser de la vaisselle !
Je voyais tout ; son petit cul, ses grosses lèvres roses et charnues, et son bouton du clitoris qui dépassait d'un fouillis de poils noirs très frisés.
Tiens, tiens !... Et ça, c'est pour avoir couché avec mon mari !
Elle était terrorisée d'apprendre que j'étais au courant pour elle et Paul.
Ne me renvoie pas patronne, ne me renvoie pas !
Ne t'en fais pas, je ne vais pas te renvoyer... ça me plaît de voir mon mari te sauter et j'ai bien envie de m'amuser avec toi, moi aussi...
Là c'était moi qui m'assis sur la table, écartant les cuisses je l'invitais à venir s'occuper de ma chatte.
Je veux que tu me fasse tout ce que tu fais à mon mari... Allez, suce-moi !...
Par peur ou pour tout autre raison , elle obéi sans rouspéter.
C'est ça, passe bien ta langue partout. Fais-moi une bonne minette... Tu suces bien. Tu ne serais pas un peu gouine ?...
Je ne ma reconnaissais plus... J'avais envie de cette fille. Je voulais me conduire avec elle comme une traînée.
Mets-toi à poil ! Et pose ton cul sur la table !... C'est bien ce que je pensais ; tu mouilles ! Ça t'a plu de me lécher la moule !... Je vais moi aussi te rendre la pareille.
Je lui ai sucé le clitoris tout en lui enfonçant la langue, mais aussi ensuite les doigts dans la chatte.
Hum, c'est chaud. Tu es large. Tu as dû en prendre des bites ! Mais voyons voir ton petit trou...
Oh, non madame ! Pas ça...
Pourquoi ? Il s'en sert bien mon mari, de ton cul ! Et sa bite est bien plus grosse que mon doigt !... Je vais d’ailleurs t'enfiler autre chose...
Oh non, patronne, c'est trop gros !
Lors d'une de mes sortie avec Brigitte j'avais acheté, chez un marchand un peu spécial, un godemiché, artisanal africain. Rien à voir avec ceux que j'airai pu trouver en Europe.
C'est bien mieux que la bite de mon cher époux, n'est-ce pas ?! Et c'est beaucoup plus proche de la taille de celle de tes compatriotes !
Oh ! Madame ! Madame ! Oooooh !!!
Cette pénétration anale, l'avait fait mouiller et sa chatte dégoulinait de jus. J'avais encore envie de goûter à sa chatte noire.
Allons , je vais me faire pardonner... de cette intrusion.
Sa cramouille faisait un losange rose au milieu de ses grosses lèvres noires... ça m’excitait terriblement ! Elle mouillait beaucoup, son jus avait un goût prononcé et sentais fort la femme en chaleur.
Couche-toi, je vais me mettre sur toi !...
Nous avons pratiqué un 69 qui nous fit jouir toutes deux .
Il ne faudra rien dire à monsieur, hein ? Ça sera notre petit secret...
Oui patronne, c'est promis !
Viens dans ma chambre.
J'étais encore trop excitée, nous avons continué à nous gouiner une bonne partie de l'après-midi. Et elle retourna à ses occupations juste avant que Paul ne rentre du travail.
J'ai raconté mon aventure à Brigitte, et bien sûr, elle a voulu « essayer » ma jeune domestique. Ça c'est passé sur un banc dans un coin retiré de ma propriété. Nous étions assissent sur un banc et Coralie était agenouillée devant nous se partageant entre nos chatte. Quand elle en suçait une, elle branlait l'autre. Nous nous sommes aussi sucées, branlées, embrassées en formant un trio. Nous étions moites de sueur et de mouille. Toutes les trois nous avons passé cette journée à baiser et nous avons jouis à de multiples reprises.
Au fils des jours, je me dévergondais de plus en plus. La chaleur tropicale me rendait folle, j'étais tout le temps excitée ?
En semaine, la plage du cap des biches était pratiquement déserte. Mais je n'avais aucun mal à trouver un noir bien membré pour me défoncer dans un coin retiré. Petit à petit, certains on remarqué mes habitudes et se sont donné le mot pour venir à plusieurs. J'ai fini par prendre des bains de mer et des bains de sperme. Et ce n'étaient pas les premiers qui avaient ma préférence !...
Un après-midi, où je n'avais pas fait de rencontre sur la plage, je suis rentrée plus tôt que d'habitude. Mais chose étrange la douche coulais et Paul était censé travailler. Lorsque je suis entré dans la salle de bain, j'ai découvert Djibril, mon domestique, entrain de se branler en reniflant une de mes culottes. Comme in ne m'avait pas vu, je suis partie chercher une ceinture de mon mari.
Espèce de saligaud !
Excuse-moi madame Nadine. Je ne recommencerai plus, sur ma mère !...
Il avait une queue encore plus grosse que celle de Dialo. Mais j'ai jouée à la maîtresse offusquée et je l'ai frappé avec la ceinture.
Je vais t'apprendre à utiliser ma salle de bains.
La ceinture claquait sur ses fesses et il ne débandait pas. Sa queue était monstrueuse ! Et ses couilles grosses comme des mandarines. Plus je frappais et plus j'étais excitée. Je ne pensais pas que dominer un homme me donnerait autant de plaisir.
Tu aimes ça, hein ?
Oooh... oui maîtresse.
Couche-toi ! Ah, tu aimes mon odeur... et bien tu vas être servi !
Tiens, suce !
Je retirais ma culotte et je lui fourrais dans la bouche.
J'espère qu'elle a suffisamment le goût du sueur et de mouille !
J'étais vraiment excitée et sa bite dressée devant moi me donnait envie.
Tu n'as pas honte de bander comme ça devant ta maîtresse ?
Je me suis penchée sur lui et j'ai commencé à le branler, je voulais qu'il gicle tout son foutre.
Crache ! Vise tes grosses couilles !
Et quand il le fit, j'en eu plein les mains. Mais il bandait encore et je ne pouvais toujours pas détacher mon regard de cet énorme sexe.
Reste couché ! Je vais te calmer, petit obsédé !
Je me suis déshabillée et j'ai glissé sa grosse bite dans ma chatte. Je l'ai chevauché comme une folle !
Ha ! Salaud, comme elle est grosse ! Caresse-moi les nichons !
Jamais je n'avais pris une aussi grosse queue. J'étais remplis, dilatée comme jamais je ne l'avais été !
Ouiii ! Je viens ! Inonde-moi de ton foutre !
Oooh ! Ça vient aussi patronne !
Je n'ai jamais connu d'homme aussi viril ! Et j'ai voulu terminer en nous nettoyant, c'est pourquoi je me suis lancée dans un 69 avec lui. Je sentais son foutre couler hors de ma chatte et je l'imaginais le buvant avidement, pendant ce temps, je lui suçais la queue et j'avalais tout ce qui était encore dessus, un mélange de son foutre et de ma mouille.
Mmmm... qu'elle est bonne !
Après ça, j'ai pris l'habitude de me faire prendre par Djibril. Il me baisait dans la cuisine, dans le salon,dans ma chambre...Bien entendu, nous n'avons pas pu nous cacher longtemps de Coralie, et elle s'est jointe à nous. À trois c'était encore mieux, nous pouvions essayer de nouvelles positions.
Mais un soir, nous avons oublié l'heure et Paul nous a surpris. Moi suçant Coralie et chevauchant Djibril.
Il m'a fait une scène terrible, il menaçait de demander le divorce. J'ai contre-attaqué en lui parlant de sa liaison avec la domestique. Nous nous sommes jetés nos tors respectifs à la figure. Furieuse, je me suis réfugiée chez Brigitte et j'ai passé la nuit avec elle. Je lui ai tout raconté. Elle m'a dit qu'elle tenterait de parler à Paul. Mais en attendant, nous avons baisé toute la nuit.
Je ne sais pas ce qu'elle lui a dit, mais je sais ce qu'elle a fait pour le convaincre de me pardonner. Elle le connaissait et avait deviné qu'elle n'aurait pas de problèmes à le faire craquer et quand il l'a baisée, je suis apparue et nous avons fait la paix en compagnie de Brigitte.
Pour commencé, nous lui avons sucé la bite ensemble ensuite...je lui ai donné ma permission.
Baise-la.
Tu ne sera pas jalouse ?
Non, je veux te voir lui faire l'amour !... Je veux que tu lui mettes ta queue bien au fond ! Défonce-la bien !...
Et c'est ce qu'il fit pendant qu'elle me suçait le clitoris. Il continua à la prendre dans toutes les positions et pour finir elle joui sans retenue, mais c'est dans ma bouche que Paul se déchargea et j'ai tout avalé.
Finalement Paul et moi nous sommes réconciliés. Le lendemain, je lui ai avoué que ça m'excitait de la voir baiser avec Coralie. Lui m'a dit qu'il aimerait me voir me faire prendre par Djibril. Alors il s'est caché dans la penderie et j'ai sonné notre domestique qui arriva immédiatement.
Viens m'enfiler.
Tu n'as pas peur que monsieur, crie madame ?
Non, il n'est plus fâché. Fous-toi à poil et viens me baiser.
Il est venu me rejoindre dans le lit et j'ai commencé par lui faire une pipe. J'imaginais Paul se branlant dans la penderie et cela m'excitait encore plus. Mais dès que Djibril m'a enfilée, Paul est sorti de sa cachette. Ce qui apeura mon amant.
Continue, Djibril. Baise-la, c'est un ordre, défonce cette salope !
Oh, oui, mets -la bien au fond et toi mon cher mari. Encule-moi !...
C'était la première fois que j'étais prise par deux hommes en même temps. C'était une sensation fabuleuse. Leurs queues ramonaient mes deux trous en même temps. Ils ont giclé ensemble, me remplissant de sperme chaud. Ça dégoulinait de mes trous jusque sur leurs couilles. Ensuite j'ai nettoyé ces deux grosses bites. Ça les a fait rebander, alors je suis allée chercher Coralie pour qu'elle fasse l'amour avec Paul. Djibril m'a à nouveau baisé, mais j'ai voulu qu'elle connaisse aussi l'expérience de deux bites simultanément. Et cette fois c'est Djibril qui l'encula.
Tu aimes ça, deux bites pour ttoi toute seule, hein, jolie salope ?
Les deux hommes jouirent encore et c'est les trous de Coralie qui maintenant ruisselaient de leurs sperme.
Paul et moi sommes devenus très complice. Le couple de domestiques était notre jouer sexuel et souvent nous invitions Brigitte qui se faisait accompagner de Dialo. Il n'était pas rare que lors des jours de congés de Paul, nous imposions la nudité dans notre propriété et à chaque occasion, à chaque envie nous baisions celui ou celle que nous voulions, j'ai même un fois surpris Paul enculant Djibril.
Les mois que nous avons vécu au Sénégal se sot déroulé dans une atmosphère d'orgie permanente.
Lors de vacance que nous avons passées en France, nous avons cherché à recréer cette complicité sexuelle, mais même si nous avons fréquentés des clubs échangistes, nous ne trouvions que des étreintes furtives et sans âmes, et puis nous avions prit goût à la peau noire.
Aussi avons-nous décidé de rester définitivement en Afrique et cela même lorsque Paul eu terminé sa mission. Il démissionna et n’eut aucun mal à trouver une situation au Sénégal.
Nous avons acheté la villa voisine de celle de Brigitte, nous avons retrouvé nos domestique qui, tout en restant à notre service étaient aussi nos complices de débauche.
L'après-midi Coralie et moi nous nous gouinons, ou bien nous suçons Djibril sans le faire jouir... Nous nous réservons pour le retour de Paul. Bien entendu, je continue d'avoir des rapports avec Brigitte et Dialo.
Maintenant nous continuons notre vie dans notre paradis sexuel.

Fin...

Les avis des lecteurs

J'avoue un faible pour les histoires africaines. Quelques scènes très excitantes mais le
texte aurait mérité d'être un peu plus travaillé et "peigné".

Histoire Libertine
Très très excitant...

Un parcours très excitant!



Texte coquin : Amour africain.
Histoire sexe : Une rose rouge
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