La salle de sport.

- Par l'auteur HDS Trekkie -
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La salle de sport. Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La salle de sport.
Récit fictif.

Je m'appelle Arnaud. J'ai toujours aimé le sport, surtout le vélo. Étant plus jeune, j'ai suivi une filière sport/étude, mais tout le monde n'a pas le talent d'Eddy Merckx...
Aussi, après le bac, je suis devenu prof de gym pendant trois ans. Mais ça ne me convenait pas et j'ai vite laissé tomber. J'ai fait des petits boulots du style animateur au club med, mais rien de très intéressant.
J’étais au chômage depuis quelques mois, lorsqu'un ami m'a signalé qu'on cherchait un moniteur pour un club de remise en forme. Catherine, la patronne ne m'a pas reçu dans son bureau, mais dans une des nombreuses petites salles de musculation privée. C'était une belle femme, grande, élancée, musclée et énergique.
Elle ne m'a pas demandé mon diplôme, ni mon C.V. Tout ce qu'elle voulait voir, c'était ma musculature. Elle m'a fait faire un tas d'exercices. Parfois, elle venait me tâter les cuisses ou le ventre comme quand on choisit un cheval. Cela ne me gênait pas, au contraire, j'avais l'impression que cet examen d'embauche allait se terminer par une partie de jambes en l'air.
Malheureusement, une jeune femme de type asiatique a fait irruption dans la pièce.
Arnaud, je vous présente Miko, mon assistante.
Pendant que je me rhabillais, les deux femmes discutaient de ma candidature. Finalement, Catherine m'a annoncé qu'elle me prenait à l'essai durant 3 mois. Je commençais dès le lendemain. Puis elle m'a abandonné à Miko qui s'est chargée de me faire visiter le club.
Miko m'a tout de suite plu avec son air de petite poupée chinoise. Elle possédait une toute petite voix, un peu rauque, à l’accent indéfinissable.
Vous n'avez qu'à choisir un vestiaire... On vous donnera une tenue spéciale... Vous avez l'air costaud... J'espère que vous l'êtes de partout...
J'étais sidéré. Elle venait de me mettre la main au paquet et ne se gênais pas pour bien le presser. Après la patronne, c'était l'assistante qui me faisait des avances.
Hélas, Catherine est arrivée avant que nous puissions aller plus loin.
Miko, veux-tu venir dans mon bureau ? Il faut que nous organisions l'emploi du temps de la semaine !
Cette petite Miko m'avait mis dans tous mes états. Je venais de trouver un boulot, je pouvais bien me payer une pute pour fêter cela ! Je n'ai pas eu longtemps à chercher pour trouver une fille qui ressemblait à Miko. Je lui ai donné tout l'argent qu'il me restait. Nous sommes allés dans un hôtel minable.
Suce, prends toute ma queue dans ta bouche. Fais-moi bien bander, Miko... ça ne te dérange pas que je t'appelle comme ça ?
Elle avait des cheveux noirs et brillants comme ceux de Miko. Et la même petite bouche qui avait du mal à enfourner mon gros gland.
Bouffe-moi la bite jusqu'aux couilles ! Tu aimes la bite, hein, petite Miko ? Maintenant tu vas enlever ta jupe et te mettre à quatre pattes sur le plumard !
Elle s’exécuta et me présenta ses jolies petites fesses.
Tu regardes à queue, hein ? Tu as hâte que je te l'enfile...
Le corps de cette fille me rappelait beaucoup ce lui de Miko. Elle avait un petit cul ferme, presque un cul de garçon, et de minuscules seins d'adolescente. Son trou du cul était serré et sa chatte totalement rasée ressemblait aussi à celle d'une adolescente.
Tu la sens rentrer ma queue, Miko ? Tu sens comme je te la mets ?... Tiens ! Tiens, petite salope !...
Je l'ai retournée pour pouvoir lui gicler sur le visage.
Tiens, Miko ! Attrape ça ! Et maintenant avale !
Quand je suis rentré chez moi, la nuit était tombée. Je n’arrêtais pas de penser à Miko et à Catherine. J'avais hâte d'être le lendemain pour commencer mon nouveau boulot.
Le club s'étendait sur deux niveaux : en bas les vestiaires, une piscine, un bar et les saunas ; en haut, les salles de gym et de musculation. Les moniteurs portaient tous le même ensemble. Bizarrement, à part la patronne et son assistante le personnel était entièrement masculin. Heureusement, la clientèle était en majorité féminine.
J'ai rapidement sympathisé avec Eric, le responsable de la piscine.
Ça mène où ?
Vers les salles de gym privées ! Si la patronne est contente de toi, tu auras la clé, toi aussi.
Il m'a dit ça en me faisant un clin d’œil que je n'ai pas compris sur le moment.
Les clients, médecins, avocats, industriels et élus, représentaient toute la bourgeoisie de cette petite ville de province. La cotisation du club était très élevée, pourtant, on y voyait de jeunes et jolies étudiantes, qui renseignement pris, n'étaient pas des filles de notables. Étant chargé de la salle de musculation, j'avais plutôt affaire à des hommes. Le matin, le club était peu fréquenté, ce qui me laissait le temps de faire des exercices.
Éric venait souvent me joindre. Tôt le matin, nous apercevions fréquemment Miko qui allait faire une séance d'aérobic.
Je me demande si je n'ai pas un ticket avec la chinoise...
Ne rêve pas, elle est déjà en main ! C'est la petite amie de la patronne !
Des gouines ? Elles n'ont pas l'air, cependant !
Malgré les confidences d'Eric, je pensais que j'avais mes chances avec Miko. Cette fille m'attirait, même si elle n'avait pour ainsi dire ni seins, ni fesse. Elle avait une façon de me regarder qui me faisait bander aussitôt qu'elle posait les yeux sur moi.
Quant à Catherine, la patronne, elle ne semblait pas utiliser ses installations. Elle était toujours impeccablement vêtue d'un tailleur chic qui lui donnait l'allure d'une femme d'affaire. J'étais déçu, car elle paraissait m'ignorer totalement. Éric avait sans doute raison : elle n'aimait pas les hommes.
Un matin, tôt, je préparais la salle de musculation, lorsqu'une femme BCBG d'une quarantaine d'années est venue me demander de lui ouvrir son vestiaire avec mon passe.
C'est idiot, j'ai oublié ma clé à l'intérieur...
Le vestiaire ouvert, elle me tendit un billet...
Non, je vous en prie...
Ce n'est pas assez ?
Au contraire, c'est beaucoup trop !
À peine j’avais refusé qu'elle s’agenouilla et me caressa l'entre-jambe.
Allons ne faites pas l'idiot, vous savez très bien ce que je veux !
Elle fit glisser mon short et saisi ma bite pour la porter à sa bouche. J'étais sidéré de voir cette bourgeoise très comme il faut se mettre à me tailler une pipe comme la dernière des traînées ! Elle m'engloutissait la queue avec gourmandise. Elle savait s'y prendre et je sentais le foutre venir.
Vas-y, jute-moi dessus ! Asperge-moi ! Donne-moi ton foutre Elle semblait prise de folie, comme une droguée en manque !
Crache-moi sur la gueule ! Donne tout ton sperme !
Son langage ordurier m'excitait encore plus.
Hummm... C'est bon... du bon foutre chaud, bien épais... Oui, vide bien tes grosses couilles !
Après s'être barbouillée avec mon sperme, elle m'a nettoyé, savourant ma crème toute chaude, lapant chaque goutte sortant de mon gland. Elle le pressait pour en faire sortir le maximum.
Ensuite, au bar encore désert, j'ai raconté mon aventure à Eric qui s'est moqué de moi.
Tu as fait la connaissance de la mère Antigny ! Elle adore les pipes ! Elle est douée, pas vrai ?
Tu veux dire que toi aussi ?
Bien entendu ! Comme tout le monde ! Elle aime ça, elle le fait bien et en plus elle te file un billet, que demander de plus ?
Ça arrive souvent ce genre de truc avec les clientes ?
De temps en temps... tu comprends certaines femmes mal baisées préfèrent venir se faire sauter ici plutôt que de draguer dans la rue. Question de standing... si tu bandes dur et que tu sais tenir ta langue, tu peux te faire pas mal de fric !
Éric disait vrai : dès le lendemain, la mère Antigny a remis ça. Même excuse : la clé oubliée dans son placard. À peine arrivée dans le vestiaire, elle s'est collée contre moi. J'ai bandé tout de suite. J'ai refusé qu'elle me suce parce que je voulais la baiser d'abord. Je l'ai entraînée dans les douches. Elle avait de gros seins qui pendaient un peu et de grosses fesses bien fermes.
Laisse-moi te sucer ! Je veux boire ton foutre !
D'abord, je vais te mettre ma bite dans la chatte et te ramoner. Ensuite, je te juterai sur la gueule !
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, nous étions tous les deux à poil.
Penche-toi-en avant. Donne-moi ton cul... Regarde le gros morceau que j'ai pour toi... Bien dur, pas comme la bite molle de ton mari !
Elle avait un cul rebondi, chaud et tendre. Sa chatte absorbait ma queue comme une grosse ventouse. Je me suis enfilé jusqu'aux couilles, puis je l'ai ramonée à grands coups de bite. Mon bas-ventre claquait contre son gros cul. Quand j'ai senti que ça venait, j'ai changé de côté.
Maintenant, je vais te donner ce que tu veux ! Ouvre bien la bouche !
Comme la veille, elle a reçu tout mon sperme sur son visage. Elle le lapait avec la langue, se pourléchait les lèvres, l'avalait comme du sirop.
Je n'étais pas mécontent de mon boulot : je faisais quelque chose qui m'amusait, la paye était bonne et j'avais droit à quelques à-côtés pas désagréables... Entre 14 h et 16 h, comme il y avait très peu de monde au club, nous avions quartier libre chacun notre tour. J'en profitais pour faire mes courses.
Un jour, dans un magasin, j'ai rencontré Miko. Nous avons discuté et je lui ai offert un verre . À peine assise, elle a familièrement posé la main sur ma cuisse. Et tout en parlant de choses et d'autres, elle remontait le long de ma jambe vers ma braguette que ma bite raide déformait. Quand elle m'a sorti la queue, sous la table, personne ne s'est rendu compte de rien.
Tu es drôlement bien monté, dis donc ! Ça te plaît que je te tripote comme ça, sous la table ?
J'ai voulu la branler moi aussi, mais elle a serré les cuisses.
Il faut que j'y aille, Catherine m'attend. Retrouvons-nous au sauna, après la fermeture...
Et elle m'a planté là, avec ma queue à l'air, raide et décalottée.
En fin d'après-midi, dès que tout le monde a été parti, nous nous sommes retrouvés.
Et Catherine ?
Ne t'en fais pas elle est partie une bonne heure. Déshabille-toi et entre. Je te rejoins dans une minute.
Je bandais comme un malade à l'idée de baiser cette petite garce qui me faisait tant fantasmer. Quelque instant plus tard elle entrait nue et avec un pot à la main.
C'est quoi, ce pot ?
De la vaseline. J'ai envie que tu me mettes ta grosse bite dans le cul... Je vais te préparer la queue... Je veux qu'elle glisse bien...
Je crois que cela suffit, j'en ai jusqu'aux couilles, tu vas pouvoir te l'enfiler.
Il te plaît mon petit cul ?... Tu vas me le préparer, le lubrifier comme je t'ai lubrifié la bite... pour bien me défoncer le petit trou.
Elle devait avoir l'habitude de se faire enculer, car son trou s'est vite dilaté sous mes doigts. Je lui ai lubrifié l'intérieur du cul. Son anus était chaud, humide et doux comme une bouche.
Maintenant, vas-y ! Enfonce ta bite d'un coup ! N'aie pas peur de me faire mal !
Tiens ! Tiens ! Tu la sens bien, ma queue ?
Oh, oui ! Vides tes couilles dans mon cul ! Jute-moi dedans ! Je sens ton foutre qui coule, qui me remplit !
Après avoir quitté Miko, je suis allé faire un footing dans les bois en dehors de la ville. Je n'étais pas mécontent de ma petite aventure, et j’espérais bien pouvoir recommencer à sauter l'assistante de ma patronne. Mais le lendemain, lorsque Catherine m'a fait venir dans son bureau, j'ai déchanté...
Prenez un siège, mon petit Arnaud. Il faut mieux que vous soyez assis pour jeter un œil sur ces photos...
Mais ! Que...
Miko était un homme ! J'avais baisé un travelo ! Je l'ai appris plus tard : le sauna était aménagé spécialement pour prendre des photos. Et ce que je n'avais pas vu sur le moment, apparaissait clairement sur les clichés. Miko avait une queue entre les jambes.
Je pense que vous ne souhaitez pas que ces photos circulent dans la ville... Cela pourrait nuire à votre réputation.
C'est de l'argent que vous voulez ? Vous faites fausse route, je n'ai pas un radis !
De l'argent ? Comme ce serait vulgaire ! Et si peu original ! Non, ce que j'attends de vous, c'est que vous me rendiez de petits services de temps à autre... Des services un peu particuliers...
Durant toutes la semaine, je me suis demandé ce qu'elle attendait de moi.à force de me poser la question, je finissais par imaginer n'importe quoi. J'espérais qu'elle n'allait pas me demander de supprimer quelqu'un ! En fait, ce n'était pas ça du tout. Un jour...
On vous demande en salle de massage, mon petit Arnaud...
Un massage ? Mais ce n'est pas mon boulot...
Le sauna non plus n'est pas votre domaine... Allons venez, quelqu'un vous réclame !... Par là... Cabine 9...
Je me trouvais dans le couloir des salles de gym privées... et je suis entré dans la cabine 9.
Entrez et déshabillez-vous !
Je l'ai tout de suite reconnue : il s'agissait de Mme L. La femme d'un banquier de la ville. Ainsi, voilà ce que Catherine attendait de moi : que je fasse le gigolo pour occuper les après-midi des femmes des notables !
Tu t'appelles comment ?
Arnaud...
Pas mal... décidément cette chère Catherine a un goût sûr !... Pour commencer, tu vas te toucher devant moi. Je veux voir si tu bandes bien...
Elle me traitait comme un prostitué ! C’était vexant et excitant à la fois.
Doucement, voilà... tire bien la peau en arrière, fais sortir le bout... C'est bien, branle-toi lentement, fais grossir ta bite.
Malgré l'humiliation, je me suis mis à bander.
Touche-toi un peu les couilles... Oui, comme ça, écarte les jambes que je les vois ballotter !... J'aime regarder un homme se branler. Ça me fait mouiller, j'ai la fente toute ouverte et pleine de mouille... Viens me regarder la chatte. J'aime voir, mais j'aime aussi montrer... Tu sais ce qui m'excite le plus ? C’est que tu ne peux rien me refuser. Catherine m'a dit qu'elle te tenait, que je pouvais tout te demander... C'est comme si tu étais mon esclave... mon esclave sexuel... Alors maintenant, viens me lécher, esclave, viens fourrer ta langue dans mon trou à bites !
Elle cherchait à me rabaisser, mais, bizarrement, j'étais plus excité qu'humilié... une mouille abondante s'échappait de sa fente, en même temps qu'une forte odeur.
Oh, oui, bouffe-moi bien la moule ! Rentre ta langue dans mon con !... Oui !!! Tu me baises avec ta langue ! Tu me fais jouir, salaud !
Je n’en pouvais plus, j'avais besoin de lui mettre ma bite dans la chatte.
Non ! Je t'interdis de me baiser avec ta sale queue ! Je ne veux pas attraper une maladie !... Tu peux juter sur mes seins, si tu y tiens, mais pas plus !
À défaut de la remplir, j'ai dû me vider sur ses nichons.
Vas-y, astique-toi ! Crache-moi dessus !
Mon foutre sur ses seins, elle se massa l'entendant sur toute sa poitrine.
Tu peux te rhabiller. Et vas donc me chercher un martini au bar, ensuite, tu pourras disposer.
Elle me congédiait comme un mal-propre ! Quand je lui ai ramené son apéritif, elle m'a tout de même donné un bon pourboire. Catherine m'attendait dans le couloir, et m'a entraîné dans son bureau.
J'étais gêné parce que Miko se trouvait là... penser que j'avais baisé avec lui me dégoûtait... Mais j'étais bien obligé d'obéir à Catherine.
Alors, mon petit Arnaud, elle est bonne la moule de la mère L. ?
Bien entendu, elle avait assisté à la scène... Chacune des salles privées est équipée d'un système vidéo de tout voir depuis le bureau. Elle m'invita à la rejoindre pour voir ce qui se passait sur l'écran.
Il est temps que je t'explique comment fonctionne le club. Voici Nadège, une étudiante issue d'une famille très modeste. Mais les études coûtent cher, alors nous l'aidons... J'avais déjà vu cette fille traîner au bar... Disons qu'elle sert d'appât... Les minettes dans son genre attirent une clientèle d'homme seuls ou de maris qui chercher à tromper leur épouse discrètement. En échange, elle peut utiliser le matériel du club, et elle a droit à un pourcentage sur le montant de chaque adhésion de chaque nouveau client, sur les consommations du bar, etc. Une fille qui n'a pas froid aux yeux, ni ailleurs, comme Nadège, peut se faire un bon petit mois. Une façon de joindre l'utile à l'agréable. Quant aux moniteurs comme toi, ils sont là pour amuser les bourgeoises. Il faut penser à la clientèle féminine ! Avec mon système, tout le monde trouve son compte !
J'étais muet, cette garce avait bien organisé son affaire.
Dis donc, ça te fait de l'effet tout ça. La mère L. Ne t'a pas vidés les couilles ? Fais voir ça, assois-toi sur mon bureau. Miko et moi, on va s'occuper de toi...
Non, pas lui !
Allons, tiens-toi tranquille, si tu ne veux pas que certaines photos circulent en ville !
Les deux complices m'ont entièrement déshabillé. Je me concentrais sur le moniteur où le client qui baisait Nadège, pour oublier que Miko était un mec.
C'est normal que je goûte le produit que je propose à mes clientes.
Pendant que sur l'écran, le client sodomisait Nadège, ma patronne me suçait et Miko lui claquait le cul. Plus il frappait fort, et plus Catherine s'enfonçait ma bite dans le fond de la gorge. Miko a troussé sa jupe. Sa queue était celle d'un jeune adolescent : mince et élancée ; son pubis et ses couilles étaient dépourvu de poils. Il cracha dans ses mains et se branla pour le raidir. Il ressemblait tant à une femme que j'avais l'impression qu'il était harnaché d'un godemiché. Il s'approcha enfin des fesses de Catherine, les écarta et lui introduit sa fine queue dans la chatte. Rassasiée, elle se tourna vers nous...
Donnez-moi vos bites que je vous fasse juter !
Catherine branlait nos queues ensemble, les frottant l'une contre l'autre. Sentir la bite d'un autre homme contre la mienne me procurait un plaisir ambigu.
Jutez-moi dessus ! Crachez-vous l'un sur l'autre ! Aspergez-vous ! Que c'est beau deux bites qui déchargent !
Quand le sperme chaud de Miko a giclé sur ma queue, cela a déclenché mon plaisir. Catherine frottait nos queues gluantes, rependant notre sperme sur nos deux queues. Le contact de ce foutre me dégoûtait et m'excitait tout à la fois ! Ensuite, elle nous a nettoyé avec sa langue. Elle lapait le sperme et l'aspirait. Elle l'a gardé dans sa bouche et l'a donné à Miko en l'embrassant.
Dans la première salle, le client en finissait aussi avec Nadège. Il a déchargé sur son ventre, souillant ses poils et lui badigeonnant la fente de semence.
Le soir, chez moi, j'ai éprouvé un sentiment bizarre en pensant à ce qui s'était passé : la présence de Miko, le contact de sa queue contre la mienne, son sperme sur moi, tout cela me dégotait ; pourtant, je ne pouvais pas nier que j'avais pris mon pied. Plus je pensais à tout cela et plus l'excitation revenait. Énervé, je me suis branlé pour pouvoir m'endormir.
Le lendemain, je ne voyais plus les choses de la même manière. Finalement, me plier aux exigences de Catherine, n'était pas si terrible que ça.
Un midi que je mangeais avec Eric, celui-ci m'a demandé de le remplacer le soir pour l'entretien de la piscine. Il avait un rencard qu'il ne voulait pas repousser.
L'entreprise de maintenance se pointe dès la fermeture. Tu as juste à jeter un coup d’œil sur le boulot et à fermer derrière eux. Il y en a pour une demi-heure à tout casser... Je te revaudrai ça, vieux !
Le soir, alors que je surveillais les deux techniciens de maintenance, des voix féminines me sont parvenues du vestiaire. Je savais que la patronne et son assistante restaient fréquemment après la fermeture pour faire la caisse, pour prendre un bain ou utiliser le sauna. Intrigué, je me suis dirigé vers les voix. J'ai aperçu Catherine qui refermait la porte du couloir menant aux salles privées. Comme cet endroit m'était toujours interdit, je me suis rendu dans le bureau de la patronne. Grâce au système vidéo. J'allais voir ce que Catherine et Miko faisaient après le départ des clients. Je n'ai pas mis longtemps à trouver ce que je cherchais. Catherine et Miko se trouvaient en compagnie d'une cliente, une commerçante de la ville, qui tenait un magasin de lingerie. Catherine l'embrassait, lui fourrant sa langue loin dans la bouche. Mais tout à coup elle se saisit d'elle et Miko, avec un couteau, a découpé des trous dans le body de la cliente, laissant apparaître ses seins ronds et fermes. Malgré la peur que je lisais sur son visage, la femme excitée, car ses tétons avaient pris la taille de grosses olives. Puis Miko lui a fendu le fond de son body pour mettre à jour sa chatte et son cul, qu'elle lécha immédiatement. Ensuite, Catherine et son assistante ont immobilisé la femme contre le mur. Tout en l'attachant, elles en profitaient pour lui pincer les seins, lui mordiller les tétons ou lui tripoter l'entrecuisse. Le spectacle m'émoustillait singulièrement. Puis les deux complices se sont mises en tenue. Catherine portait une guêpière en cuir. Depuis la dernière fois, elle s'était rasée le pubis. Quant à Miko, « elle » affichait un style sado-maso. Catherine s'est mise à fouetter les seins et les cuisses de la cliente qui gémissait à chaque coup. Pourtant, elle ne protestait pas. Au bout d'un moment, j'ai vu de la mouille couler une grosse larmes hors de sa fente, le long de ses cuisses. Miko est alors venu la lécher pendant que Catherine lui rougissait les fesses à coups de cravache. Dans le bureau, j'avais ouvert mon pantalon et je me branlais comme un malade. Puis Catherine s'est harnachée d'une fausse queue pour sodomiser le travesti qui devait avoir l'habitude, car le godemiché est entré dans son cul sans effort. Ensuite ils ont détaché la cliente et se sont amusés avec elle, notamment en s'enculant en enfilade. Pour finir, Catherine a fait jouir Miko sur le visage de la cliente.
Mon boulot dans ce club de gym somme toute assez spécial se révélait très agréable. Au bout de quelque temps, Catherine m'a confié une clé donnant accès à la partie privée de l'établissement où les notables de la ville se livraient en toute discrétion à la débauche. C'est dans ces circonstances que j'ai vécues quelques aventures assez excitantes. Je me souviens d'une femme qui ne pouvait faire l'amour qu'attachée... Elle avait tout un attirail de menottes, de liens en cuir et de vêtements sado-maso qu'elle entreposait à l'insu de son mari dans son vestiaire !
Oh, ou ! Viole-moi, salaud ! Couvre-moi de ton foutre ! Souille-moi !
Il y avait aussi ces deux copines inséparables qui voulaient que je les baise l'une devant l'autre.
Regarde comme il ; me la met bien ! Il est mieux membré que le prof d'aérobic !
À mon tour ! Oh, je le sens bien ! Il me remplit !
Elles me faisaient tester plusieurs positions, notamment en lécher l'une pendant que l'autre s'empalait sur ma bite et ensuite elles échangèrent leurs positions. Je devais me retenir de jouir pour les contenter toutes les deux. Quand elles avaient pris leur pied, elles me faisaient décharger en me suçant ensemble. Elles me bouffaient les couilles et se passait mon gland comme deux chiennes qui se disputent un os. Parfois leurs langues ou leurs lèvres se frôlaient. Quand j'éjaculais, elles se partageaient mon sperme. Elles se retenaient de s'embrasser. J’avais l'impression qu'elles avaient envie de coucher ensemble, mais qu'elles n'osaient pas.
Une autre cliente par contre, affichait ouvertement sa bisexualité. En plus de moi, elle faisait venir une de ces étudiantes sans le sou que Catherine « embauchait » pour l'amusement de ses habitués.
Regarde sa queue... elle est belle, épaisse, bien dessinée... On va faire des cochonneries toutes les deux pour l'exciter. Quand in bandera bien, j'enfilerai sa grosse bite dans ta petite chatte.
Elle commençait toujours par déshabiller la jeune fille, elle la caressait partout, l'embrassait à pleine bouche. Quand la fille était nue, elle passait de longs moments à lui toucher la chatte vicieusement. Bien vite, je voyais le clito de la fille se dresser et sa fente briller de mouille. Moi, je devais continuer mes exercices de musculation en exhibant ma queue qui se dressait rapidement devant un tel spectacle.
Hum... Encore... caressez-moi...
J'arrive, ma chérie...
Me revoilà, ma belle. Je vais bien m'occuper de ta petite chatte.
Elle se mettait l'une contre l'autre, seins contre seins, chatte contre chatte et se frottant ainsi. La femme ondulait, avançait le bassin d'avant en arrière, donnait des coups de reins comme un homme. J'avais du mal à ne pas décharger devant un spectacle si bandant !
Hum, c'est bon ton clito qui branle le mien ! Tu me plais ma chérie.
La femme arrivait à faire jouir la fille comme ça, rien qu'en se frottant contre elle !
Passons à un autre exercice, ma belle... Hum, tu sens bon et tu es pleine de mouille. Je vais me régaler...
Pendant qu'elle léchait la fille, elle me faisait venir à côté d'elle pour pouvoir regarder ma queue et me tripoter les couilles. Je voyais sa langue rentrer et sortir de la chatte de la fille comme une petite bite. Elle la suçait avec des bruits mouillés et la faisait jouir plusieurs fois de suite. Ensuite, c'était à moi de jouer...
Vas-y, défonce-toi sur sa grosse queue ! Enfonce-la bien dans ton con !
La cliente devait avoir peur de tomber enceinte ou d'attraper une maladie, car elle ne me laissa jamais la baiser. C'est ainsi que j'ai pu me taper toutes les minettes du club. Par contre, quand je jouissais, la cliente exigeait que je lui décharge dans la bouche ou bien, elle buvait mon sperme coulant de la chatte de la fille.
Hum, c'est bon toute cette mouille et ce sperme mélangés !
Je me suis vite constitué une clientèle d'habitués. Même des couples faisaient appel à mes services. La première fois, j'étais gêné ; j'avais peur que l'homme me demande de lui faire des trucs... mais il s'est contenté de me regarder baiser sa femme.
Mets-toi à quatre pattes, chérie, le cul tourné vers moi que je vois bien sa queue coulisser dans ta chatte... Surtout, ne jouissez pas dedans ! Je veux voir votre sperme gicler sur ses fesses !
Il ne se branlait pas, il ne bandait même pas !
Tenez, laissez-nous à présent !
Il me tendit un billet et tout ce qu'il désirait, c'était de lécher mon sperme sur le cul de son épouse ! Drôle de type !
Régulièrement, je rencontrais un autre couple, des culturistes, qui venaient à mon cours de musculation. Le type était plus carré que moi ! Et la femme était baraquée comme un homme ! Malgré tout, son corps ferme ne me déplaisait pas. Le type avait une bite énorme. Mais il faut croire que cela ne suffisait pas à son épouse. Leurs muscles puissants roulaient sous leur peau bronzée et rasées. Ils n'avaient aucun poil sur le pubis. La chatte de la femme était aussi lisse que celle d'une fillette.
Oui, fous-moi à poil ! J'ai hâte de sentir vos grosses bites dans mes trous !
La queue de son mari était vraiment énorme ! On aurait dit une grosse matraque de chair ! Elle était si épaisse qu'elle avait du mal à la prendre entre ses lèvres ; seul le gland entrait dans sa bouche !
Tiens, on va te remplir ! Te mettre nos bites dans tous les trous ! C'est ce que tu voulais, pas vrai ?
Le type et moi, on changeait de place régulièrement. On lui baisait la chatte et la bouche à grands coups de reins. Elle n'en avait jamais assez !
Viens la prendre par le petit trou !
Elle adorait se faire prendre en sandwich. Mais cela ne lui suffisait pas.
Viens là, toi aussi ! Je veux que vous rentriez tous les deux dans mon con !
Oui !!! Ooooh !!! Oui, c'est énorme ! Défoncez-moi, salauds ! Jutez ensemble !
Le contact d'une autre queue contre la mienne, coincée dans la chatte humide de cette femme, m'a fait jouir. En sentant mon sperme remplir la chatte de sa femme et envelopper sa bite, l'homme a éjaculé à son tour.
Parfois, j’avais affaire à des sœurs qui voulaient chacune un homme, alors j'invitais Eric. Il me renvoyait l'ascenseur dès qu'il le pouvait. On s'échangeait les bons coups et on se prévenait quand certains clients n'étaient pas réguliers.
Putain, ce qu'elles sont bonnes, les frangines !
Ouais, la mienne à une chatte de velours !
Et elles finissaient toujours en recevant notre foutre sur le visage et ensuite en se léchant mutuellement.
Finalement, les choses se passaient plutôt bien pour moi. Mes prestations d'étalon me valaient de solides pourboires qui augmentaient d'autant mon salaire. J'ai rangé mes états d'âme au placard : cela ne me dérangeait pas d'être payé pour faire l'amour. Je pensais qu'au fil du temps, Catherine me ferait confiance et finirait par jeter les photos compromettantes qu'elle avait de moi. Elle allait le faire, mais pas avant de m'avoir fait subir une dernière épreuve.
Un jour, elle m'a demandé de passer la voir, après la fermeture. Elle avait quelques détails à régler à propos du planning de la salle de musculation. Elle était seule ??? J'avais toujours envie de la sauter et la garce s'en rendait compte. Elle n'y est pas allé par quatre chemins.
Vous voulez coucher avec moi, Arnaud ?
Moi, je veux bien, mais à une condition : c'est moi qui mène la danse... Vous m'obéissez au doigt et à l’œil ou bien vous rentrer vous branler chez vous ! D'accord ?
Je ne suis qu'un homme. Je n'ai pas refusé. Elle m'a entraîné dans la salle de musculation. J'étais sur mes gardes.
Asseyez-vous...
Mais quand elle s'est mise à me pomper, je ne me suis plus méfié.
Allons ; laissez-vous vous attacher, je ne peux faire l'amour avec un homme que comme ça... Je vais m'empaler sur toi... comme sur un gros gode vivant...
La garce m'ensorcelait...
Tu sens comme je mouille, comme je suis chaude et ouverte... je me caresse avec ta grosse bite. Tu voudrais bien me la rentrer, hein, mon salaud... Peut-être que tu pourras me la mettre tout à l'heure, si tuas été bien obéissant.
À ce moment, Miko est entré. Je me faisais piéger pour la deuxième fois.
Hé ! Qu'est-ce que vous voulez ?!
Il n'y a rien qui m'excite plus que de voir deux types ensemble... après tu pourras me baiser...
Miko se pencha sur moi et englouti ma bite dans sa bouche.
Finalement, ça te plaît bien de te faire sucer par un mec...
Le pire, c'est qu'elle avait raison ! J’étais excité malgré moi !
Baisez-vous bien, mes mignons ! Comme c'est excitant !
Viens ! Viens me baiser, tu l'as bien mérité !... A toi de jouer maintenant, Miko !
Voilà le prix que j'ai dû payer pour baiser ma patronne... Je dois dire que je ne le regrette pas. Je ne suis pas homosexuel, pourtant, la bite de Miko dans mon cul m'a procuré un fantastique orgasme...
Quelque temps plus tard, Catherine m'a rendu les photos compromettantes. Je n'ai plus jamais couché avec elle. J'ai bossé pour elle encore deux ans, puis j'ai rencontré une fille avec qui je me suis installé.
Aujourd'hui, je travaille à mon compte comme coach sportif.

Fin.

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Texte coquin : La salle de sport.
Histoire sexe : Une rose rouge
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