Avec ma cousine

- Par l'auteur HDS Trekkie -
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Avec ma cousine Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Tags : Cousins
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Avec ma cousine
J'étais dans une impasse. Mon colocataire venait juste d'abandonner ses études et avait mis les voiles. Il n'avait résisté qu'un mois à la fac. Maintenant j'allais être coincé avec la totalité du loyer, une dépense que je ne pouvais pas me permettre.
Je savais aussi que je ne pouvais pas me retourner vers mes parents pour m'aider, car ils avaient du mal à joindre les deux bouts. Ils étaient retournés vivre à la ferme. Papa s'occupait de l’élevage, mais il réparait aussi des voitures et faisait de la soudure à côté. Maman aidait à la ferme, mais travaillait principalement à la banque en tant que caissière. Ils payaient mes cours, mais c'était tout ce qu'ils pouvaient faire.
J'ai essayé de trouver un autre colocataire, mais en cette période du semestre, chacun avait déjà trouvé un lieu où s'installer. En désespoir de cause, j'ai fini par appeler mes parents. Peut-être pourraient-ils quand même me prêter de l'argent pour payer le loyer pour un mois.
Papa répondit et je lui expliquai mon problème. Mais au lieu de m'expliquer pour la millionième fois combien ses finances étaient justes, il me passa ma mère au téléphone.
Maman ?
Mon chéri ! Nous étions sur le point de t'appeler. Nous avons une faveur à te demander.
C'était bien la dernière chose dont j'avais besoin ! Habituellement, une « faveur » signifiait qu'ils voulaient que je rentre à la maison pour le week-end et aider à la ferme. D'habitude, c'est papa qui me demande ça, mais des fois, c'est maman qui s'en charge à sa place.
Tina, ta cousine a trouvé un boulot dans l'agence bancaire près de ton campus. Alors, vois-tu, elle va avoir besoin d'un pied-à-terre pour la semaine, le temps qu'elle puisse trouver un appartement dans le coin. Vu que tu as une chambre libre et que tu recherches un colocataire, je me demandais si tu la laisserais s'installer chez toi. Je veux bien, mais la seconde chambre est pour le moment en travaux, on devra se serrer un peu.
Tina était la fille de la grande sœur de maman et elle avait 4 ans de moins que ma mère, c'est-à-dire 35 ans. Et elle était très belle pour son âge. Mais je m'entendais bien avec elle depuis toujours. C'était une excellente cuisinière, je pourrais donc manger de bons petits plats.
J'ai donc accepté de bon cœur, et Tisa a donc débarqué le dimanche soir, valise à la main.
Oh Jeff, tu es un jeune homme si galant !
Après une agréable discussion sur le « bon vieux temps », je tombais de sommeil, et offris mon lit à ma cousine. Je pris le divan-lit, assurant qu'il était assez confortable. Je me suis surpris moi-même en m'endormant directement au moment de se coucher. Je ne me suis pas réveillé avant que le réveil de Tisa ne sonne à 6h15. J'essayais de me rendormir, mais sans succès, alors je restais étendu là.
Elle avait laissé la porte de la salle de bains ouverte. Lorsqu'elle sortit de la douche, je pus la voir toute nue. Tisa, pour une raison que je ne m'explique pas, j'étais fasciné. Mais bon sang, c'était ma cousine !
À un moment je cru qu'elle avait vu que je l'observait ! Et pourtant, j’étais incapable de détourner les yeux tandis que je la regardais enfiler sa culotte, avec son cul pratiquement sur mon visage quand elle tira ses bas.
J'ai réalisé que je bandais, ce qui me fit flipper. Je gardais le yeux presque fermés et prétendais ainsi être endormi. Après que Tina eut fini, elle se pencha vers moi et m'embrassa sur la joue et me glissa à l'oreille ...
On se revoit ce soir, Jeff. J'espère que tu as apprécié le spectacle.
Avant que je ne pus répondre, elle s'était déjà retournée pour partir.
Ce soir-là, quand je suis rentré à l'appart, Tina agissait parfaitement normalement. La seule chose qui était différente, tenait dans le fait qu'elle portait toujours ses vêtements de travail. Elle se justifia en répondant qu'elle était rentrée tard, et donc, n'avait pas eu le temps de se changer. Après le dîner je suis allé étudier dans la chambre ? Je fut interloqué lorsqu'elle me rejoignit et me dit qu'elle allait se changer.
Je commençais à penser que ma cousine était en train de flirter avec moi. Mais cela serait dingue. Je veux dire, objectivement parlant, Tina était à tomber par terre. Elle se maintenait en forme, gardant sa taille de jeune fille. Son corps était finement moulé, et son visage était sublime. N'importe quel gars adorait l'avoir dans son lit, mais là, il est question de ma cousine. Je ne pouvais donc pas être ce gars.
Et tandis que j'étais assis, elle se mit en petite culotte, et se mit à fouiller durant quelques minutes jusqu'à ce qu'elle trouve les affaires voulues. Cette nuit-là, je dus veiller tard afin d'étudier pour un examen. Quand je fus prêt à aller me coucher, elle était déjà endormie. Prudemment, je me suis glissé dans mon lit silencieusement. J'avais à peine posé ma tête sur l’oreille que j'entendis Tina…
Bonne nuit Jeff !
Le matin suivant, j'entendis Tina se lever. Je ne pus m'empêcher de me retourner pour voir si elle avait encore laissé la porte de la salle de bains ouverte. Et en effet, c'était le cas. Je vis alors son cul nu. Elle m'offrit une vue parfaite sur ses jolies fesses. Elles étaient somptueuses.
Ensuite, elle enfila des bas. D'abord, une jambe, puis la seconde en étant assise sur le bord du lit juste devant moi. Bien évidemment, je bandais allégrement. Je pouvais voir la lanière de son string s'enfoncer entre ses fesses. J'ai bien failli me jouir dessus à cet instant. Ensuite, elle s'appliqua du maquillage avant même d'enfiler un chemisier et une jupe. Cette fois, elle était tournée vers le miroir, ce qui me permettait d'admirer par réflexion ses seins. Quand elle présenta le rouge à lèvres, celle-ci se tendirent ensemble comme si elles voulaient l'embrasser.
C'est à ce moment-là que j'ai cru mourir. Elle enfila une robe, se retourna, et me demanda…
Jeff, pourrais-tu me tirer la fermeture Éclair ?
Sa voix était si ordinaire. Comme si elle avait l'habitude de s'habiller devant moi tous les jours. Je tendis la main, tira vers le haut la fermeture Éclair de sa robe.
Mon Dieu ! Elle savait que j'étais réveillé et que je regardais tout le temps !
Elle se réajusta ensuite la taille puis elle se retourna et m'embrassa… sur mes putains de lèvres !
Merci, on se revoit plus tard, ok !?
Et c'est sur ces mots qu'elle m'abandonna.
J’étais tellement surexcité qu'il fallait que je me branle. J'ai bazardé mon pyjama et j'ai empoigné ma grosse queue. Je pouvais encore l'entendre dans le couloir quand j'ai commencé à me branler. Et juste au moment d'éjaculer, elle s'est mise à crier…
- À bientôt !
Quand je suis rentré ce soir-là, Tina était dans un short ultra court. Il ne lui couvrait absolument pas les cuisses. L'ayant vue nue ce matin, et maintenant, la voir dans une tenue aussi excitante et cachant si peu de choses finirent par me faire bander à la minute où elle se pencha. Elle agissait comme si rien n'était inhabituel.
Après avoir débarrassé la table, je me suis mis à étudier pendant que Tina regardait la télé. J'ai fait une pause dans mes révisions. Le fait est que j'étais très nerveux quand je me suis assis sur le divan près d'elle. Après quelques minutes, elle a posé sa main sur ma cuisse. Je l'ai regardé, pour constater qu'elle me regardait également et après une longue pause, j'ai demandé. ...
Quoi ?
Je voulais te dire combien je te suis reconnaissante. Tu as accepté que je vienne ici, chez toi. Et cela au risque que les filles ne veilles pas venir.
Elle ne cessait de caresser ma cuisse et je commençais à bander dur, très dur !
Elle continua à me fixer et je compris qu'elle attendait une réponse. Je balbutiai…
Oh, ah, pas si, euh…, Je souhaite juste rendre service.
Puis elle dit avec un clignement malicieux de l’œil ...
Continue comme ça ... et tu réussiras très bien tout ce que tu essayeras. ... Et je ne me fais pas de soucis pour ce qui est de trouver une fille. N'importe quelle fille dans cette ville serait heureuse d'être dans ton lit, n'importe quelle fille.
Oui… Tina… euh… je suppose.
Elle me serra la cuisse, tout en se replongeant dans le programme télé. Je m’apprêtais à retourner dans mes bouquins, mais quand je me suis levé elle me demanda. ...
J'aimerais bien un verre.
En plus du sien, je m’en suis servi un aussi ? J'en avais besoin ! Et quand je me suis approché pour lui tendre son verre, elle me déclara…
Écoute chéri, j'ai envie de regarder le film qui passe plus tard dans la soirée, alors pourquoi est-ce que tu n'irais pas plutôt dormir dans le lit ? Il est assez grand pour nous deux.
Je n'avais pas envie de discuter ! Et cette nuit-là, Tina resta très tard devant la télé. J'étais au lit quand elle s'approcha. Je me suis réveillé, mais j'ai fait simplement comme si je dormais encore. Tina se déshabilla tandis que je l'observais, les yeux entrouverts. Elle ne portait pas de culotte, j'avais donc une vue imprenable sur sa chatte. J'étais aux anges. C'était grandiose. J'ai bandé à la seconde même.
Elle se rendit ensuite nue à la salle de bains. Et quand elle revint dans la chambre et enfila une nuisette transparente. Puis elle grimpa dans le lit. Et cela sans culotte ! Je me suis retourné, essayant d'agir comme si je dormais toujours. Tina se blottit contre moi sa poitrine pressée contre mon dos. Elle posa son bras sur mon ventre et chuchota à mon oreille…
Bonne nuit Jeff.
Le matin suivant, il m'a semblé qu'elle restait un long moment sous la douche. Et au moment où elle a commencé à s'habiller, il était beaucoup plus tard que d'habitude. Elle était en soutif et en petite culotte.
Flûte ! Regarde-moi l'heure !
Je pouvais ressentir l'urgence dans sa voix, et je suis sorti du lit sans réfléchir. Mais elle envoyait sur le lit tous ses vêtements qui traînaient à terre et une culotte n’atterrit sur la tête.
Oh, désolé Jeff, puisque tu es réveillé, peux-tu bien être un ange et faire passer le café pour moi ? Je suis à la bourre ce matin.
Je me suis levé et quand elle se tourna vers moi, elle me sourit, alors que je vis ses yeux se braquer vers le bas.
Ma bite bandée se dressait fièrement hors de mon short. Vite fait, je l'ai fourrée à l'intérieur, mais elle ressurgit aussitôt.
Ne t'en fais pour ça, contente-toi d'aller faire passer le café.
Elle me le dit en rigolant, mais non sans la quitter des yeux pour autant !
Je lui avais préparé une tasse de café lorsqu'elle est revenue de la salle de bains, prête à partir.
Merci.
Elle me dit avec un sourire sournois…
Désolée de t'avoir mis au garde à vous. J'espère que ça ne sera pas trop dur de te recoucher.
Elle but une gorgée, sourit et puis elle m'embrassa, elle m'embrassa à nouveau sur la bouche. Et cette fois cela dura bien dix bonnes secondes.
Quand elle partit, je réalisai que j'avais eu la bite en l'air durant tout ce temps. Et comme elle l'avait dit, c'était trop dur d'aller se recoucher. Je me suis branlé sous la douche avant de m'habiller.
Comme on était vendredi, elle devait rentrer chez elle. Mais quand je suis revenu à l'appartement au soir, il y avait une casserole dans le microonde. Elle m'en avait assez pour tenir tout le week-end. Il y avait aussi un mot sur le frigo : 'Je t'ai acheté des bières, mais ne bois pas tout. Le dîner est dans le microonde. On se revoit dimanche soir. Bisou, maman. Ps : J'ai passé une semaine formidable, merci coloc !'.
Cette nuit-là après le boulot, j'ai fait du rangement dans l'appartement, comme ça, Tina aurait de la place pour ranger ses vêtements. Le dimanche, quand je suis rentré de mon job d'étudiant, ma cousine était déjà là. Je ne l'attendais pas avant le soir. Je lui ai demandé pourquoi elle était là de si bonne heure.
Je suppose que je ne pouvais plus attendre pour revenir.
Je n'étais pas sûr si elle plaisantait ou pas.
On dirait que ma chambre personnelle ne sera pas dispos avant un bon moment. J’avais l'intention de voir pour un appartement, mais tu sembles vouloir que je reste avec toi, n'est-ce pas ?
Je reste sans voix un moment, mais elle se contenta de sourire et me dit…
C'est parfait. J'aime avoir quelqu'un dans mon lit. C'est si triste de se réveiller seule. ... À présent, qu'allons-nous faire ce soir ? J'avais prévu de réorganiser mes affaires. Mais j'ai vu que tu t'en étais déjà occupé de cela.
Elle était déjà décontractée et tout naturellement elle me demanda…
Eh bien, as-tu beaucoup de trucs à réviser ?
Non, pas vraiment.
Alors on va aller au cinéma.
C'est ainsi qu'il fut décidé que l'on allait sortir. Tina se changea et enfila une super mini-jupe qu’elle venait de rapporter de chez elle. Elle mit de bottes avec des talons aiguilles. Elle était très sexy, je ne m’attendais pas à cela de ma cousine.
Une fois arrivés sur place, j'ai insisté pour payer au moins le pop-corn et les boissons. Elle me remercia d'un baiser. Je dois avouer que je commençais à me sentir plus à l'aise vis-à-vis du comportement de Tina, aussi lorsqu'elle m'embrassa, je lui ai rendu son baiser. Ce baiser dura bien plus que de coutume et quand elle y mit fin, elle me déclara…
Tu embrasses bien.
Le film était super et lorsqu'il fut terminé, Tina me suggéra que nous commandions une pizza pour manger à l'appartement. J'ai commandé sur le trajet du retour et elles sont arrivées dix minutes après que nous soyons rentrés. Elle paya la note tandis que je préparais des bières. Puis nous nous sommes assis à même le sol.
Tu as été un rencart vraiment sympa, Jeff. Je passe une très bonne soirée !
J'ai passé moi aussi une bonne soirée, Tina.
Ce que j'avais dit me fit prendre conscience du fait que je commençais à oublier qu'elle était ma cousine.
J'aimerais que l'on arrête de toujours s'appeler par nos noms, accepterais-tu que je dise 'mon chéri' ?
Ok, Tina… heu… ma chérie.
Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai chaud…
Sans gêne, elle se mis en soutif. C'était déjà très excitant, mais elle avait aussi des bas avec un porte-jarretelles qui accentuait cette impression. Elle s'était couchée par terre sur le dos et sans m'en rendre vraiment compte, je me suis étendu sur le ventre avec une vue directe sur son entre-jambe. Et cela ne semblait pas la déranger.
Ça fait une éternité que je ne me suis pas payé une soirée pizza avec des bières. Pourtant j'aimais cela avant.
Ma cousine essaya ensuite de me brancher pour un deuxième rencart. Le plus drôle, c'est que j'en étais super heureux. Elle était un rencart très agréable.
Ç'aurait été génial s'il y avait un ciné en plein air ! Tu en connais un par ici ?
Je ne sais pas. Je n'en ai jamais entendu parler dans le coin.
Eh bien peut-être qu'on aura la chance d'en trouver un. Samedi, je dois travailler. Alors je resterais a nuit de vendredi. Si tu n'es pas trop occupé avec tes cours ou ton job, on pourrait peut-être se refaire une sortie ?
Bien sûr, j'adorerais ça ... ma chérie.
L'appeler comme ça était encore un peu étrange, mais elle me sourit si gentiment que je n'ai pu que lui sourire en retour.
Quelle était le meilleur moment de ta soirée ?
Juste pouvoir passer du temps rien qu'avec toi je pense.
Je lui avais répondu sincèrement.
C'est la chose la plus belle que tu m'aies jamais dite.
Et là, je vis ses lèvres se rapprocher des miennes et elle m'embrassa. Baiser que je lui rendis bien volontiers. Quand on s'est séparé, je l'ai fixé dans les yeux. Ils étaient si magnifiques.
Sais-tu quelle est la partie de la soirée que moi j'ai préférée ?
Heu… non ?
Quand tu m'as embrassée dans le cinéma, tu embrasses vraiment bien.
Je l'ai alors à nouveau embrassé. Mais cette fois, nos lèvres se sont écartées et la langue de ma cousine s'est aventurée dans ma bouche. J'embrassais réellement ma cousine… mais aussi une femme qui avait presque l'âge de ma mère ! C'était trop génial. Je n'avais jamais pensé à elle de manière sexuelle avant cette semaine, mais maintenant je m'étais mis à me masturber en pensant à elle.
Nous nous sommes enlacés un long moment sur le sol. Mes mains commencèrent à vagabonder sur son dos. Et quand je trouvai l'attache de son soutien-gorge, j'ai tenté de la dégrafer. Elle hocha la tête m'invitant ainsi à continuer. Puis son soutien-gorge glissa, exposant sa poitrine à mon regard… et à mes mains qui les saisirent tous les deux.
Oh, Jeff ! ... C'est si bon !
Elle posa les siennes sur les miennes pour m'inviter à les masser plus franchement. Ensuite, j'approchai mes lèvres d'un de ses seins tandis que je continuais à masser l'autre.
Nous n'étions pas assez à l'aise entre la table u salon et le canapé. Nous avons fait de la place et couché sur le tapis, Tina commença à caresser mon sexe à travers mon pantalon.
Est-ce que je peux la sortir, mon chéri ? J'ai envie de la revoir.
Sans lui répondre, je me suis relevé et elle s'est agenouillée devant moi. Elle tira ensuite mon pantalon le faisant glisse sur mes chevilles. Elle resta immobile une seconde… son regard voyageant entre mes yeux et mon sexe. Quand elle est sortie de sa torpeur, elle ôta sa jupe. À présent, elle ne portait plus qu'une culotte Tonga.
J'ai caressé ses tétons, faisant rouler ses mamelons entre mes doigts.
Oh, mon chéri embrasser n'est pas la seule chose que tu fais bien. J'aime ça. J’aime quand tu joues avec mes tétons.
Tous en disant cela, elle se saisit de mon sexe.
Qu'elle est grosse ! Oh oui, très grosse, et bien dure. Est-ce que ça te plaît que je joue avec ta grosse queue bien dure, mon chéri ?
Oh oui, c'est génial…, euh… ma chérie.
Elle continuait de l'admirer, elle humidifia ses lèvres et abaissa sa tête. Elle a sorti sa langue qui glissa sur mon gland… puis elle enfonça profondément ma queue dans sa bouche.
Oh, Tina ! C'est bon ! Je n'arrive pas à le croire !
Elle était en train de me sucer tout en me malaxant les couilles. J'étais au paradis.
Nous nous sommes étendu l'un sur l'autre et j'ai fini par avoir son cul tout près de mon visage. Je lui ai empoigné les hanches pour l'attirer au-dessus de ma tête, j'ai ensuite fait glisser sa culotte. Et tout en continuant à me sucer la queue, elle leva les genoux pour me permettre de la lui ôter. Elle se replaça ensuite sur mon visage m'offrant ainsi sa chatte à lécher. Je n'avais pas léché beaucoup de chatte auparavant, mais celle de ma cousine était à tomber. Elle était toute trempée.
Oh mon chéri ! Oh, mon Dieu !
Je venais de lui fourrer ma langue à l'intérieur de son intimité. Puis elle se remit à me sucer la queue. De mon côté, j'ai enfoncé deux doigts dans sa chatte. Elle commença à geindre et à gémir. Ensuite quand j'y mis un troisième doigt, elle se redressa pour que je puisse bien les enfoncer et en un rien de temps, elle jouit sur mon visage.
Oh, bon sang ! Jeff ! Ne t'arrête pas ! C'est fantastique ! ... Ooohhhh… oui… ouiiii !!!
Quand elle reprit ses esprits, elle s'est écartée de mon visage et s'est retournée. Lorsqu'elle m'embrassa, je croyais qu'elle était sur le point d'enfoncer ma bite au fond de sa chatte. Mais au lieu de cela, elle rampa à mes pieds et se remit à me sucer. Elle usa tant et si bien de sa bouche et de ses mains que bientôt je fus prêt à relâcher tout mon plaisir. Je l'ai prévenue…
J'y suis presque, tu devrais arrêter, sinon…
Elle se contenta de faire oui de la tête. Mais elle voulait que j'éjacule dans sa bouche. Il n'en fallait pas plus pour moi. Ma queue explosa d'excitation dans sa bouche, envoyant jet après jet mon sperme chaud directement au fond de la gorge de ma cousine.
Elle avala pratiquement tout, laissant juste une petite goutte sexy perler le long de son menton. Puis, elle s’allongea sur moi tandis que nous nous embrassions. Finalement, elle me fixa dans les yeux et me dit…
Il faut qu'on fixe des limites. Nous ne pouvons pas aller jusqu’au bout. Nous sommes déjà allés trop loin. Mais, il fallait vraiment que j'obtienne quelque chose de toi, et j'ai vu que tu me désirais également.
Tu voudras quand même bien continuer à me faire des fellations et me laisser déguster ta délicieuse chatte ?
Oui, mais notre famille ne doit rien savoir, ou nous sommes morts tous les deux. C'est ok pour toi ?
Bien sûr. Je saurai m'en contenter.
Tant mieux… maintenant, une douche me tente et je n'ai pas envie de la prendre seule !
Ma cousine et moi avons passé une semaine incroyable. On dormait et prenait notre douche ensemble. Tous les matins, je lui préparais son café, toujours à poil. Elle sortait de la chambre, nue aussi, et si elle avait le temps, elle me taillait une petite pipe. Sympa comme début de journée, non ?
On se l'était promis : on n'a jamais baisé. Bien sûr, je n'aurais pas été contre le faire vraiment, mais jamais je ne lui en ai montré le moindre signe. Pas question de risquer de perdre toutes les bonnes choses qui étaient devenues notre quotidien.
C'est un jeudi soir qu'on est allé le plus loin. On était au pieu et on faisait semblant, je glissais mon sexe entre ses fesses. Si j'avais bougé mes hanches comme il fallait, c'est sûr que je serais entré en elle.
Oups !
Je me suis immédiatement retiré…
Elle a simplement souri et a dit que c'était Ok. Puis je l'ai doigté la chatte et elle a joui comme une folle.
Le lendemain soir, on est de nouveau sorti ensemble. Pas de ciné-parc dans le coin, donc on est retourné au même cinéma que la dernière fois. Tina avait encore mis une jupe super sexy, et cette fois, j'ai pu la regarder la mettre. Je savais ainsi très bien qu'elle ne portait as de culotte ! Pendant la projection, elle m'a vraiment chauffé et lorsque nous sommes rentrés à la maison, vers 23 h. Nous étions trop excités pour aller se coucher tout de suite. Elle a eu envie de champagne. Et c'est là qu'elle a eu l'idée de s'enfoncer la bouteille dans la chatte. Elle a joui comme une dingue. Tina m'a branlé en même temps et quand j'ai éjaculé dans sa bouche, elle a avalé tout mon sperme. On s'est embrassés, on s'est caressés. Elle avait ses jambes autour de mes hanches et on s'est embrassé encore et encore. Et je me suis remis à bander. Je bandais comme un taureau et ma bite a commencé à effleurer sa chatte. Je savais que c'était proscrit, mais j'avais du mal à me contrôler. Tina devait le sentir aussi, mais elle n'a rien fait de spécial. Je me demandais si elle voulait qu'on le fasse vraiment. Puis doucement, j'ai senti mon gland pousser à l'entrée de sa chatte. Tina ne disait toujours rien. J'ai eu peur qu'elle reprenne ses esprits et qu'elle se fâche, alors j'ai essayé de me retirer en tirant mes hanches vers l'arrière. Mon gland est ressorti. Je ne voulais surtout pas briser notre petit arrangement.
On a continué à s'embrasser. Et évidemment, c'est devenu de plus en plus difficile de contrôler mes hanches. Je devais me détendre, mais j'avais très peur que ma bite entre dans la chatte de ma cousine.
Et puis, j'ai commencé à fatiguer et mes hanches l’on fait glisser. Le gland est de nouveau rentré, et cette fois, le reste a suivi aussi… Pendant ce temps, sa langue fouillait sa bouche et il m'était impossible de parler.
Bon sang, c'était génial, mais en même temps, impossible d'en profiter, j'étais très inquiet. Je suis resté comme ça quelques secondes, puis dans un effort presque surhumain, j'ai réussi à me retirer… Et aucune réaction de ma cousine. Puis cette fois, je n'ai pas pu empêcher que ça recommence. J'ai essayé de repousser ma cousine, mais en vain.
Soudain, mes forces m'ont lâchées et ma bite s'est enfoncée au plus profond d'elle !
Oooooohhh !
Je suis désolé. J'ai essayé de la retirer, mais je n'y suis pas arrivé !
Je sais, mais nous devons arrêter.
Tian m'a dit ça très doucement et sans réelle conviction… mais elle n'a pas bougé non plus. Ma bite était toujours enfoncée jusqu'à la garde dans sa chatte si accueillante. Et moi je n'ai pas osé faire le moindre geste. Puis elle a roulé sur le côté et ma bite est ressortie.
Jeff, nous devons faire plus attention. Je suis désolée.
Non, non, c'est moi, désolé.
Nous ne pouvons pas.
Je sais.
Il était tard, alors on s'est fait un câlin et on s'est endormis.
Le lendemain matin, nous avons pris notre douche ensemble comme à l'habitude. Et nous sommes chacun partis à nos occupations de la journée. Tina travaillait de 9h à 13h, puis elle rentrait chez elle pour le week-end.
Mais quand je suis rentré, au soir, ma cousine était dans la cuisine au téléphone. J'ai deviné que c'était sûrement son petit copain, mais je n'ai saisi que la moitié de la conversation.
Je prends le risque de rentrer avec la roue de secours ?
Oui, toi aussi, tu me manques.
Promis, je t'aime aussi.
Puis elle a raccroché…
Tu as un pneu crevé ?
... Heu… Non… je pensais qu'on pourrait peut-être sortir.
Bien sûr.
J'ai sûrement répondu de façon trop empressée.
Je veux dire… je ne suis pas sorti beaucoup, depuis que tu es là.
Ça sera notre troisième rendez-vous, ça veut dire que ça devient sérieux ?
Ah, je… je ne pensais pas à notre petit arrangement.
Ben oui ça ferait ma cousine ma petite copine.
Ce n'est pas simple d'envisager la chose sous cet angle.
L'appeler ma chérie a aidé, mais n'empêche que la femme dans mon lit, c'était ma cousine.
J'arrête de te taquiner. Mais je m'amuse vraiment, tu sais ? C'est comme si j'étais de nouveau à l'école. Je ne devrais pas te voir ainsi, mais je n'ai jamais eu un petit ami comme toi.
Et celui à qui tu parlais ?
J'étais assez nerveux, mais je voulais vraiment savoir ce qu'elle pensait et ressentait.
Eh bien, c'est mon mari, il est mon premier petit ami, on est sorti deux fois ensemble et puis sous la pression de nos parents, nous nous sommes mariés. J'ai raté les rencards de l'adolescence.
Forcément, Tina a remarqué que je n'étais pas très à l'aise, alors elle a ajouté…
C'est pour ça qu'on ne peut pas aller jusqu'au bout, Jeff : je ne veux pas tromper mon mari. Si nous pouvons garder cette frontière entre nous, je suis convaincue que ça peut rester seulement un petit jeu innocent.
Ok, Tina, j'ai accepté les règles.
Ça devient sérieux, donc. Je m'amuse vraiment.
Moi aussi.
Bon sang ce que ça fait comme bien de la serrer de nouveau dans mes bras. Je n'avais jamais fait attention avant, mais qu'est-ce qu'elle sent bon : un mélange de shampooing, de parfum et… d'elle. Aussi proches, c'est le paradis des sens.
On est resté là longtemps à nous embrasser. Avant d'aller nous coucher.
Le lendemain, elle était passée chez le coiffeur et ensuite comme elle avait amené plein de costumes , elle les essaya. J'ai bien vu qu'elle avait voulu faire ça pour me plaire et m'exciter. Le soir, elle avait prévu que nous sortions et son costume choisi, celui d'une jeune écolière, je me suis rasé, j'ai mis l'eau de Cologne qu'elle m'avait offerte, et pour mon anniversaire et j'ai enfilé mon costume.
On s'est regardés dans le miroir de la chambre. On allait vraiment bien ensemble. Personne n'aurait jamais pu imaginer qu'elle était une femme de l'âge de ma mère.
On prit sa voiture, mais elle a insisté pour que je conduise jusqu'au restaurant. J'ai trouvé ça très érotique quand Tina m'a donné à manger. Mais ça l'a été encore plus quand c'est moi qui lui ai donné à manger. Puis on a trouvé une boîte qui avait l'air cool et on a dansé pendant un bon moment. Je n'aurais jamais pensé qu'elle était aussi branchée. Elle connaissait les groupes et les chansons par cœur. Je ne m'attendais pas à m'amuser autant. On serait rentrés plus tard si je n'avais pas eu cours le lendemain, mais on savait tous les deux qu'on n'allait pas pouvoir se coucher tout de suite. On a quitté la boîte vers 22 h.
Dans l'appartement, on est rentrés en trébuchant à moitié et on a foncé directement sur le canapé.
Tu es vraiment doué…
Je n'ai pas pu répondre, car j'avais un de ses seins en bouche. On s’est caressés et fait des câlins pendant plusieurs minutes, puis on est allés sur le lit en semant sur le trajet nos vêtements.
J'ai fait un petit rappel avant de la déposer sur le lit…
Rappelle-toi, Tina, nous devons faire attention.
Je ferai attention, mais j'ai besoin que tu sois fort, si jamais j'ai une petite faiblesse…
Je ne pus n’empêcher de penser que ma cousine désirait qu'on aille jusqu'au bout. Ça bouillonnait en moi. Je comptais sur elle pour être forte. C'est sûr qu'il y avait un risque : on était nus tous les deux et excités comme pas permis. Mais il n'était pas question de s'arrêter. Risque ou pas, je devais continuer.
Tina se retrouva vite avec ma bite en bouche et moi je lui léchai le clito. Sa fellation était trop bonne, il fallait que je lui donne au moins autant de plaisir. Il faut croire que j'étais carrément plus excité qu'elle ... parce qu'en moins de deux minutes, je lui déchargeai dans la bouche.
Quelques secondes pour me remettre et je me suis concentré sur sa chatte. J'ai commencé par la doigter, puis je me suis agenouillé entre ses jambes, la tête plongée entre ses cuisses. Le parfum âcre de sa chatte me remplit les narines alors que je goûtai enfin à son délicieux nectar. Mes doigts fouillaient son intimité pendant que ma langue glissait sur son clitoris.
Oh, Jeff ! C'est carrément fantastique !!!
Tina avait commencé à jouir, alors j'ai redoublé d'efforts en bougeant mes doigts et ma langue encore plus vite.
Oh, mon dieu, ouiiii !!!
C'était grisant de lui donner des orgasmes aussi ... explosifs !
Elle ne pouvait plus arrêter de crier en jouissant. Nos voisins ne nous connaissaient pas, heureusement, parce que n'importe qui qu'il vive au-dessus, en-dessous ou sur le même palier, pouvait deviner ce que nous étions en train de faire.
Quand Tina a repris ses esprits, j'ai levé la tête vers elle. Elle avait l'air aux anges.
On dirait que tu as aimé, hein ?
Oui ... c'était génial ...
Et on a éclaté de rire !
Elle s'est approchée pour m'embrasser.
Jeff, tu m'as fais jouir comme une dingue ! ... Tu crois que l'on peut continuer ?
Je rebandais déjà, mais ma bite était encore loin de sa chatte : j'avais bien fait attention de ne pas trop m'en approcher. Mais cette fois au bout de cinq minutes, on s'est retrouvé dans les bras l'un de l'autre et elle était assise sur mes cuisses. Maintenant, ma bite effleurait sa chatte. Je ne pouvais pas la rentrer, mais ça faisait déjà tellement de bien que je l'ai laissé faire.
Ma cousine devait aussi aimer cela, parce que j'ai senti ses hanches s'ouvrir, ce qui eut pour effet de la glisser et mon gland pressait contre ses grandes lèvres ... On approchait grave de la limite qu'on s'était fixée ... Si l'un de nous bougeait, ma bite allait rentrer dans sa chatte. J'ai essayé de rester aussi immobile que possible, et c'est elle qui a commencé à remuer doucement ses hanches. Puis elle s'est arrêtée un peu. J'ai pensé qu'elle voulait que ce soit moi qui bouge maintenant. Ce que j'ai fait, mais je pouvais pas aller et venir parce que sinon, je serais entré en elle. Ce qu'on essayait de ne pas faire, justement. Je me suis arrangé pour que mon gland seulement frappe aux portes de sa chatte. C'était pas aussi bon que quand c'est elle qui bougeait, mais vu que c’était le même mouvement que si je la pénétrait, mais en plus petit, ça a réveillé en moi de sacrées sensations.
Quelques minutes plus tard, on était tous les deux sur le point de jouir quand le téléphone sonna. Ça nous a tellement pris au dépourvu que j'ai joui et Tina aussi, et ma bite à glissé en elle ...
On s'est regardé une seconde. Puis il à résonné. Comme nous étions encore emboîté l'un dans l'autre, Tina ne pouvait pas attraper son portable. Je me suis tourné pour mettre la main dessus, et avec ce mouvement, ma bite à commencé à ressortir ... puis en me retournant, je l'ai de nouveau pénétrée.
Je lui ai rapidement tendu le portable, tout en retirant tout doucement ma bite de sa chatte toute mouillée. Mettant la main sur le combiné, elle me dit :
Tout va bien, tout va bien.
Je me suis assis à côté d'elle. J'ai entendu que c'était son mari.
Non, tu ne me dérange pas, il est dans le salon et je me change dans ma chambre.
Allez, ferme les yeux et imagine que ma main est là où tu sais.
Son mari l'appelle pour lui faire l'amour au téléphone !? Et sur le côté, elle était en train de me faire à moi ce qu'elle décrivait à son mari. Et elle commença par prendre ma bite en main.
Tu veux que je te la suce ?
Je m'agenouille entre tes jambes.
Oh oui, je sens bien ta bite bien dure.
Tu es tout dur ! Je te manque à ce point ? Dis-moi à quel point je te manque pendant que je suce ta grosse bite.
Tina commença à me sucer pendant que son mari lui parlait au téléphone. Régulièrement, elle enlevait ma queue de sa bouche pour me demander :
Hmm ... Alors, c’est bon ?
Tina mettait vraiment du cœur à l'ouvrage. Et forcément, je me suis retrouvé sur le point d'éjaculer. Quand soudain elle s'arrêta et dit à son mari :
Ça va mieux maintenant ? Toi aussi, tu me manques. On le refera. Si tu veux, je t'appelle demain.
Puis elle raccrocha et reprit ma bite en bouche. Il ne fallut pas longtemps pour que j'éjacule encore, mais cette fois sur son visage. Puis après qu'elle ai tout fait glisser jusqu'à sa bouche, j'ai dis :
Je suis désolé, quand le portable à sonné ...
Je comprends. C'était un accident, on était un peu trop près l'un de l'autre.
Ensuite on est retourné sur le lit. Pendant quelques instants, rien ne s'est passé. Et c'est Tina qui fini par rompre le silence.
Jeff, c'était vraiment intense, mais j'ai presque joui en l'écoutant et en te suçant.
Ah bien, je ne ne peux pas te laisser comme ça, alors !
Je me suis agenouillé pendant que ma cousine écartait ses cuisses et m'offrait sa chatte. J'ai commencé par enfoncé deux doigts dedans. Quand je les ai agité en elle, elle n'a pas tardé à crier de plaisir.
Oh, Jeff !!! ... Mon dieu ! ... Oui ! Oooohhh ! Ouiiii !!!
Je ne pouvais plus le cacher.
Je t'aime Tina !
Et là un jet son jus jaillit et m'aspergea tout le visage.
Je t'aime aussi, Jeff.
Mais devant mon visage dégoulinant elle ne put se retenir de sourire.
Comme le lendemain je travaillais, nous avons arrêté là. Nous avons été prendre une douche pour bien terminer la soirée et au matin je me suis réveillé tôt. Tina dormait encore. Je suis resté étendu près d'elle plusieurs minutes, en repensant à la nuit dernière. Ma bite était bien restée dans sa chatte presque une minute, avec l'histoire du portable. Bon sang, ça avait été génial.
Ce souvenir réveilla ma bite. Je me suis tourné vers elle et j'avais ma cousine devant moi, elle était couchée sur le côté. Ma bite alla caresser ses fesses. Mais j’eus peur et je me suis reculé. Mai elle n'était qu'à moitié endormie et elle m'a dit :
Tout va bien, on ne fait rien de mal. Glisse-la entre mes jambes.
J'obtempérai aussitôt et je sentis bientôt sa chatte mouiller et commencer à faciliter le passage. Si être en elle c'était mieux, mais juste après avant il y avait ce que je faisais. Je m'imaginais la prendre de cette façon. Et Tina devait penser à la même chose.
Je continuais à glisser sur sa chatte et je sentis qu'elle y glissa deux doigts. Elle se caressait.
Oh oui, Jeff ! Baise-moi comme ça !
Comme ses doigts étaient devant sa chatte, ça devait être pour ça qu'elle disait qu'il n'y avait pas de problème. Du coup, je me suis laissé aller et j'ai bouger mes hanches plus fort.
Oh merde ! Baise-moi, Jeff ! ... C'est ça, oui ! Je la sens tout contre moi !!! Ouiiii !!!
Entendre ma cousine me demander cela était géant. Soudain elle écarta les doigts et prit ma bite en main. Ça faisait comme si j’étais en elle ! On était allé trop loin pour arrêter maintenant. On ne baisait pas pour de vrai, bien sûr, mais c'était tout comme. J'ai commencé à remettre en question notre petit accord, mais sans jamais franchir la ligne interdite.
Fais bien attention, Jeff, tu es vraiment tout proche, là !
Ma bite vint se ficher dans quelque chose. Tina sursauta. Je devais m'être coincé entre les lèvres de sa chatte. J'étais allé trop loin. Je me retirai pour trouver un meilleur angle. Je m'éloignai ainsi de la zone interdite. Ouf, ça avait été moins une. Je devais lui faire confiance. Je redoublai d'efforts et je fus bientôt sur le point de jouir. Tina aussi. Ses mouvements allaient à l'inverse des miens et la sensation était incroyable !
On a joui tous les deux en même temps. J'ai éjaculé comme un fou sur sa chatte et je pouvais voir mon sperme dégouliner de sa fente. Jamais je n'oublierai cette vision.
Je bossais dans trente minutes. Je me dépêchai de m'habiller. Ma cousine était étendue sur le lit, elle me regardait.
Je t'aime Tina.
Moi aussi, je t'aime Jeff.
Je ne pouvais pas partir comme ça, surtout pas après la nuit d'avant et ce matin. Je me suis allé lui faire un gros câlin. Ça me mettrait peut-être en retard, mais j'avais trop envie de la serrer contre moi.
Allez, file avant que je te jette sur le lit et que l'on baise à nouveau comme des fous !
Dimanche après-midi, je suis rentré à la maison vers 15h15 et ma cousine n'était pas là. J'ai commencé à avoir peur que nous soyons allés trop loin et qu'elle soit partie, mais cinq minutes après être arrivé, j'ai entendu sa clé dans la serrure. Elle était allée au centre commercial. Elle avait beaucoup de sacs dans sa voiture et je l'ai aidée à les porter dans notre chambre. J'ai remarqué que beaucoup de sacs venaient de Victoria's Secret. Ma cousine m'a surpris en train de regarder dans un des sacs et m'a tapé sur les mains.
Vilain garçon !
Je regarde les nouveaux vêtements sexy de ma cousine. Seul son petit ami sexy peut la voir dans ces trucs.
Tina a rangé ces sacs et a commencé à trier ses autres achats. Elle a acheté beaucoup de vêtements de sortie, comme elle dit. Je commençais à regretter de ne pas avoir le temps de sortir avec elle ce soir-là, nous ne l'avons pas fait parce que j'avais un test de physique le lendemain matin. Nous ne l'avons pas fait parce que j'avais un test de physique le lendemain matin. Non seulement je devais étudier, mais je devais aussi passer une bonne nuit de sommeil.J'ai dit à ma cousine que je voulais sortir avec elle lundi soir pour fêter ça (et pour la voir dans des vêtements sexy et hors de ses vêtements sexy). Elle était au courant de mon test et a compris. J'ai tout de suite commencé à étudier pendant que ma cousine allait à l'épicerie. Pendant son absence, j'ai été tenté de jeter un coup œil dans les sacs de linges, mais j'ai résisté. Je devais étudier et je me suis dit que je verrais le contenu de ces sacs bien assez tôt, j'ai entendu la cousine rentrer, je me suis retourné sur ma chaise et je l'ai embrassée.
Une fois le dîner prêt, Elle a mis la table avec des bougies, de nouvelles serviettes et quelques fleurs. C'était très romantique. Elle a éteint les lumières et mis de la musique douce sur la stéréo. Et deux verres de vin nous attendaient sur la table.
Wow !
Ai-je dit alors qu'elle me rejoignait à table.
Tu y as bien travaillé.
Je savais que nous ne pouvions pas sortir, alors j'ai pensé qu'un dîner romantique à la maison serait la prochaine meilleure chose.
Elle a dit en m'attirant près d'elle. On s'est embrassés, c'était un moment très spécial. Je tombais amoureux d'elle. C'était pire que de baiser. Ce serait une trahison totale vis-à-vis de son mari, mais je ne pouvais pas résister.
Je t'aime, Tina.
On s'est regardé dans les yeux. J'ai su alors qu'elle le ressentait la même chose. Je l'ai embrassée à nouveau. C'était notre baiser le plus intense jusqu'à ce moment-là. Je l'ai serrée si fort que j'ai eu peur de la casser. Avant que le moment ne devienne incontrôlable, ma cousine a dit :
Allons manger.
Je lui ai tenu sa chaise et nous nous sommes assis. J'ai proposé un toast auquel elle s'est jointe avec enthousiasme. Nous nous sommes regardés avec amour et nostalgie après avoir bu notre vin. Le dîner était fabuleux et je n'ai pas manqué de le dire à Tina plusieurs fois. Elle était rayonnante. Pour le dessert, elle a apporté un gâteau au chocolat. On a mangé du gâteau comme on l'avait fait au restaurant le soir précédent. Quand nous avons eu fini, j'ai commencé à débarrasser la table mais ma cousine m'a dit de laisser ça pour demain.
Nous avons commencé à danser dans le salon. J'aimais la tenir dans mes bras tandis que nous nous balancions sur la musique. Nous avons partagé de nombreux baisers pendant que nous dansions. Finalement, nous avons rejoint notre chambre. Tina a retiré mon T-shirt pendant que je défaisais les boutons de son chemisier. J'ai dégrafé son soutien-gorge et l'ai laissé tomber sur le sol. J'ai pris les magnifiques seins de ma cousine dans mes mains et je l'ai embrassée pendant qu'elle fouillait dans mon pantalon. Nous avons commencé à danser dans le salon. J'aimais la tenir dans mes bras tandis que nous nous balancions sur la musique. Nous avons partagé de nombreux baisers pendant que nous dansions. Finalement, nous avons rejoint notre chambre. Tina a retiré mon T-shirt pendant que je défaisais les boutons de son chemisier. J'ai dégrafé son soutien-gorge et l'ai laissé tomber sur le sol. J'ai pris les magnifiques seins de ma cousine dans mes mains et je l'ai embrassée pendant qu'elle fouillait dans mon pantalon. J'ai retiré mon doigt et fait descendre sa culotte. On s'est retrouvés au lit avec rien d'autre que nos chaussettes. Je me suis glissé entre ses jambes ouvertes et j'ai commencé à lui bouffer la chatte. Elle a adoré ça et j'ai mis deux doigts dans son trou. Son jus coulait le long de sa fente et mouillait déjà le lit. Je ne l'avais jamais vue aussi chaude. Quelque chose m'a dit "baise-la". J'ai essayé de résister. Nous nous l'étions promis et j'aimais trop Tina pour rompre cette promesse, mais la voix dans ma tête ne voulait pas s'arrêter. Je me suis concentré pour la faire jouir avec mes doigts et ma langue. Au début, ça marchait, mais la voix devenait de plus en plus forte. J'ai remarqué que mes hanches bougeaient en même temps que mes doigts, comme si c'était ma bite qui était là. Le souvenir du bref moment où j'avais été entré profondément dans sa chatte m'est revenu. C'était aussi clair que si c'était à peine plus tôt. Je pouvais sentir les parois douces et humides de son vagin lorsque ma bite y glissait. Je pouvais sentir les lèvres de sa chatte comme ils ont encerclé mon sexe. J'ai essayé de chasser ces images de ma tête mais ça ne marchait pas. Plus j'essayais de les oublier, plus elles devenaient fortes. J'étais perdu dans mon fantasme de baise quand elle a joui.
Oh Jeff ! C'est tellement bon, putain ! Oh mec ! Oh, oui, oui !! Oh oui !!!
Ses jambes ont bloqué mon visage contre sa chatte et je pouvais à peine respirer. Pourtant je n'ai pas arrêté de tourner et de caresser mes doigts dans son vagin, et ma langue n'a pas arrêté de lécher son clito.Je pourrais mourir mais ça donnerait à Tina un super orgasme. Quand elle m'a relâché, j'ai levé les yeux. Ses yeux étaient fermés et sa bouche était ouverte. Ses tétons étaient bien dressés et j'ai eu l'envie soudaine de les sucer. Je me suis approché et j'en ai pris un dans ma bouche. La main de Tina est passée derrière ma tête. J'ai pris l'autre entre mes doigts et j'ai commencé à le pincer légèrement.
Oh, oui. Jeff, tu sais exactement ce que je veux. C'est tellement bon.
Tina m'a laissé jouer avec ses seins pendant un moment mais a finalement voulu m'embrasser. Elle a attiré ma tête vers la sienne. Je devais aller encore plus haut. Maintenant, ma bite touchait sa chatte.
Tina, nous devons trouver une nouvelle position. Je suis presque en toi et je perds le contrôle.
Elle m'a regardé pendant de longue seconde. Je pouvais lire dans ses pensées. Elle était presque prête à me demander de le mettre dedans. Elle a commencé à se mordre la lèvre inférieure. Je sentais que sa résistance diminuait à chaque seconde.
Non, on ne peut pas. Tu m'as dit comment tu te sentirais. Je ne veux pas que tu te sentes mal si nous faisons. Mon Dieu, j'adorerais te baiser Tina, mais c'est vraiment ce que tu veux ?
Oui !
Mais elle a ajouté tristement.
Et non. Je n'ai pas pu chasser de ma tête l'idée de ta grosse bite épaisse dans ma chatte humide depuis la nuit dernière. J'en ai rêvé. J'ai fantasmé dessus toute la journée. J'ai tellement besoin de toi en moi que ça me fait mal. Mais, j'ai peur. J'ai peur de ce qui arrivera si je vais aussi loin. Je suis en train de tomber amoureuse de toi, Jeff. Je ne peux pas m'en empêcher. Tu es mon petit ami maintenant. J'aime mon mari mais je t'aime encore plus. Je ne sais pas quoi faire.
Je suis aussi amoureux de toi, Tina. Mais je ne veux pas non plus faire de mal à ton mari. Que pouvons-nous faire ? Que va-t-il se passer ?
Nous étions tous les deux en train de pleurer. Je l'ai prise dans mes bras et l'ai laissée sangloter sur ma poitrine. Ma bite était toujours aussi dure. Mon Dieu, si ce n'était pas ma cousine. Ce serait si facile. On serait un couple normal.
Je me disais juste que si tu étais une petite amie normale et que nous étions aussi engagés l'un envers l'autre, je t'emmènerais à la maison pour que tu rencontres mes parents. Mes parents l'aimeraient,
Je suis beaucoup trop sexy et je pense qu'ils s'inquiéteraient que nous couchions tous les deux ensemble. Si ils découvraient que je vis avec toi, elle seraient très en colère.
Sur ce, elle m'a demandé. Je l'ai embrassée et j'ai commencé à jouer avec ses seins. L'ambiance précédente a été rompue. La menace de nous voir baiser était passée, mais elle reviendrait et tôt ou tard, elle nous dominerait. Nous le savions tous les deux maintenant. C'était juste une question de temps.
Le lendemain, Tina comme d'habitude m'a sucé et pourtant il n'était pas très tard, seulement environ 9h30. Si nous restions au lit, les choses risquaient de se gâter à nouveau. J'ai suggéré que nous allions faire une promenade et Tina a rapidement accepté. Nous nous sommes habillés et nous sommes sortis. Nous n'avions pas de destination précise en tête mais nous nous sommes promenées dans la direction générale du campus. Quelque part sur le chemin, nous avons commencé à nous tenir la main. Nous avons atteint le campus et nous nous sommes arrêtés pour nous reposer près de la fontaine du centre commercial principal, comme le faisaient d'autres couples. Une fille d'une de mes classes était là avec son petit ami. Ils se sont approchés et se sont présentés.
Bonjour ! Je m'appelle Jenn, Jenn Lakemont et voici mon petit ami Guy Gutierez. Je crois que tu es dans mon cours de psycho.
Je pensais avoir reconnu ton visage de quelque part.
J'ai dit en serrant sa main et celle de Guy.
Je m'appelle Jeff Schmid et voici ma petite amie Tina.
Tina Hobart.
C'est une belle nuit pour une promenade, n'est-ce pas ?
C'est sûr !
Nous allions chez Pop's pour un manger un morceau. Vous voulez vous joindre à nous ?
On a commencé à parler de Jenn et de nos cours, mais on a vite étendu la conversation à nos rendez-vous.
Alors, comment vous êtes-vous rencontrés ?
Jenn voulait savoir.
On s'est rencontrées chez nous.
Ce qui était plus vrai que ce que Jenn ou Guy pouvaient imaginer.
Alors vous avez suivi Jeff jusqu'ici ?
Pas tout de suite. Mais j'ai finalement été transféré dans cette agence il y a environ un mois.
Oh, alors c'est plutôt sérieux.
Jenn a demandé.
Nous sommes très sérieux. On ne sait pas encore à quel point c'est sérieux.
Ce qui m'a frappé en écoutant tante et Jenn parler de notre histoire d'amour, c'est qu'elle semblait si naturelle et saine. Et c'était vrai à 100 %. Ma tante a juste omis quelques détails pas si mineurs. Nous bavardons avec Jenn et Guy, échangeons nos numéros de téléphone, et rentrons à la maison vers 23 heures. Quand nous sommes rentrés à l'appartement, nous avons sommes aller au lit. Cela semblait maintenant si ordinaire de se tenir nus à côté de ma tante. Pendant que je me brossais les dents et qu'elle enlevait ses lentilles. Je me suis couché le premier, comme d'habitude. Quand ma tante m'a rejoint, elle m'a dit.
Jenn et Guy semblent être un gentil couple ?
Je suis sûre qu'ils disent la même chose de nous, Mlle Hobart.
J'ai plaisanté.
Je n'ai pas menti.
Elle a dit ça , tout en se blottissant contre moi.
Tu es mon petit ami et je t'ai rencontré chez nous.
Je sais.
Mais j'ai presque craqué quand elle t'a demandé ce que ta mère pensait de notre vie commune.
Eh bien, qu'en pense ma mère ?
Elle pense que c'est très bien. Elle pense aussi que nous faisons un joli couple.
Nous avons ri et nous nous sommes embrassés, mais nous avons vite dû aller nous coucher. Je devais voir Jenn le lendemain en psy et je me demandais ce qu'elle aurait à dire sur ma petite amie. Après un cours le lendemain, Jenn m'a rejoint et nous avons marché ensemble jusqu'à nos prochains cours. Elle avait vraiment apprécié de nous rencontrer. Elle et Guy voulaient nous revoir bientôt. J'ai pris le risque de les inviter à dîner le jeudi soir. Elle a proposé, vendredi, mais je lui ai expliqué que nous avions déjà des projets. Ma tante devait rentrer chez elle, mais ce n'est pas ce que je lui ai dit.
Ma tante et moi, nous nous sommes mis à agir de plus en plus comme un couple. On se taquinait constamment, on se touchait et on se chatouillait.
Tante est très chatouilleuse. Au lit, les choses se sont un peu calmées. L'intensité du week-end était un peu trop forte pour être supportée. Nous avons commencé à faire des promenades presque tous les soirs. Auparavant, nous aurions passé la soirée à baiser. Marcher était plus sûr et, étonnamment, presque aussi satisfaisant. Marcher main dans la main autour du campus nous a fait sentir beaucoup plus proches. Nous n'étions pas seulement en désir pour le corps de l'autre. Ce que nous ressentions était plus profond et très réel. C'est juste que nous ne savions pas comment y faire face. Comment aller plus loin sans tout gâcher. On a beaucoup plus parlé, en marchant et même au lit.
Tante avait regretté d'avoir épousé son mari presque dès le premier jour, mais elle avait fini par l'accepter et même par l'aimer. Elle ne pouvait pas se permettre de le blesser en le quittant. Elle l'aimait trop pour que ça arrive, mais elle n'était plus amoureuse de lui. Elle était amoureuse de moi. Maman m'a dit que j'étais un bien meilleur amant que lui. J'en étais fier, mais aussi un peu mal à l'aise. Elle avait eu de meilleurs rapports sexuels avec moi, et nous n'étions même pas allés jusqu'au bout, qu'elle n'en avait eu en avec mari. A présent, il ne voulait plus faire l'amour qu'une ou deux fois par semaine et s'endormait dès qu'il avait fini. Ma tante a appris à prendre soin d'elle il y a longtemps. Elle plaisantait en disant qu'elle ne l'avait jamais fait.
Elle ne s'était plus masturbée depuis des semaines, un record pour elle. Tante aimait mon sexe, ce que je savais depuis un certain temps maintenant. Elle en aimait tout, l'odeur, le goût et bien sûr les sensations. Elle aimait crier " baise-moi ". Elle aimait se réveiller dans le lit avec moi tous les matins. Le jeudi, Tante et moi étions profondément amoureux. Si Jenn et Guy n'étaient pas venus, nous aurions passé la soirée au lit. On ne pensait même pas à son retour chez elle le vendredi.
Nos invités sont arrivés à notre appartement vers 19h30. Ma tante avait fait des lasagnes et des pains à l'ail. Nous avons ouvert une bonne bouteille de vin rouge. Pendant le dîner, nous en avons appris davantage sur Jenn et Guy. Ils étaient presque fiancés. Jenn était en première année et Guy en terminale. Ils voulaient se marier juste après la remise des diplômes de Jenn. Nous avons parlé avec eux jusqu'à près de 22 heures. Quand ils sont rentrés chez eux, le silence était inconfortable dans l'appartement. Nous avions tous deux dit tout ce qu'il y avait à dire. C'était maintenant le moment de vérité. Soit nous tenions bon pour une nuit de plus et espérions que le temps et la distance permettraient aux choses de s'arranger, soit nous cédions à nos désirs et tentions notre chance avec le destin.Nous nous sommes préparés pour aller au lit sans dire un mot. Nous étions tous les deux trop nerveux. Quand ma tante a grimpé dans le lit, la tension était au point de rupture. J'étais dur, mais j'avais habituellement une érection quand ma tante venait au lit.Cette nuit-là, ça semblait différente, comme si c'était la première fois. Nous étions mal à l'aise. C'était difficile de faire des câlins. Nous ne semblions pas savoir où mettre nos mains. Aucun des deux ne voulait s'approcher trop près de la zone dangereuse.
Mon Dieu, j'ai besoin de toi ce soir.
Tina, pourrais-tu agir normalement avec lui si nous faisions l'amour ?
Je ne sais pas. Mais si je ne couchai pas avec lui, il se douterai de quelque chose. Mais si je le fait avec lui, tu sais que c'est à toi que je penserai.
Je sais. Mais assure-toi qu'il ne te surprenne pas à l'appeler Jeff.
On mon dieu !
Manifestement elle n'avait pas pensé à cela. Le nom de son mari, Jack, était un peu trop proche du mien. Elle venait de crié mon nom au lit pendant les deux dernières semaines.
Tu penses qu'on peut prendre le risque ?
Je ne sais pas. Mais je suis presque prête à essayer. Je te veux vraiment.
Je te veux aussi.
Mais, nous aurons le temps. Une fois que nous aurons trouvé une solution, nous pourrons profiter de notre première fois sans peur et sans regret.
Tu as raison.
Mais j'ai besoin de quelque chose ce soir. Je ne veux pas retourner frustrée.
J'ai souri. C'était quelque chose dont je pouvais m'occuper. Je me suis rapidement retourné dans le lit et j'ai mis ma tête entre ses jambes. En utilisant seulement mes lèvres et ma langue, j'ai rapidement fait gémir Tina. Elle avait ma queue chaude dans sa gorge et me chatouillait les couilles avec ses ongles. Par trois fois, je me suis retiré de sa bouche pour ne pas jouir trop tôt. Elle a eu plusieurs orgasmes en criant mon nom à chaque fois. C'était très excitant d'entendre ma tante crier...
Oh oui, Jeff, je jouis !
Mais maintenant j'avais peur qu'elle dérape quand elle serait avec son mari.
J'essayais de ne pas penser à elle faisant l'amour avec lui. Je ne voulais pas le détester, mais plus je pensais à lui au lit avec ma copine, plus j'étais en colère. Tina était ma copine maintenant. Elle ne l'aimait plus de cette façon. Si le monde était juste, elle lui aurait dit ce qui se passait et nous aurions pu vivre libres et sincères.
Cette nuit-là, j'ai rêvé que nous vivions ensemble comme mari et femme. J'ai rêvé qu'on faisait l'amour pendant des heures.
Nous avions mis le réveil une heure plus tôt pour avoir la possibilité de nous dire au revoir correctement. Nous avons commencé dans notre lit, en nous embrassant et en nous caressant, mais nous sommes rapidement passés à la douche. Nous sommes restés sous le jet d'eau dans les bras l'un de l'autre. Ma bite était dure et ma tante la caressait. J'ai enlevé sa main et je l'ai serrée contre moi. Je voulais être aussi près d'elle que possible. Ma bite était coincée entre nous. Tante avait gardé sa chatte rasée et je glissais facilement sur sa peau humide. J'ai commencé à pousser dans un mouvement de baise simulée. C'était exactement ce dont nous avions tous les deux besoin. Ma tante s'est impliquée en me parlant crûment à l'oreille.
Baise-moi, Jeff. Baise-moi fort. Donne-moi cette grosse bite épaisse. J'en ai tellement envie. J'adore ça. Dieu, je n'ai jamais été baisée aussi bien.
Ma bite glissait sur tout son ventre. Elle a commencé à fléchir ses hanches aussi. Maintenant, il y avait des moments où ma bite était libérée pendant une seconde ou deux quand nos corps s'éloignaient. Parfois, elle sortait tout droit et quand nous nous rapprochions, elle se coinçait et elle ou moi devions la remettre en place. Maintenant, je glissais entre ses jambes. Cela devenait dangereux et nous le savions tous les deux, mais nous étions trop excités pour arrêter. Je pouvais sentir les lèvres de sa chatte humide glisser sur ma bite. Si elle bougeait juste un peu, je serais au fond de sa chatte une fois de plus. J'ai attrapé le cul de ma tante et j'ai commencé à la tirer vers moi. Elle criait maintenant.
Baise-moi Jeff ! Pour l'amour de Dieu, baise-moi !
J'ai déplacé mes mains un peu plus bas sur son cul et la fois suivante où je l'ai tirée en arrière, ses hanches ont tourné juste assez. Ma bite a glissé et s'est enfoncée complètement en elle. Elle a couvert ma bouche avec la sienne alors que je commençais à la baiser pour de vrai. Ma bite s'enfonçait en elle, avec force et profondément. La tante a levé une jambe et l'a enroulée autour de ma taille. Maintenant je pourrais m'enfoncer encore plus loin. Elle a retiré sa bouche et a crié.
Oh oui ! Baise-moi ! Enfonce-la ! Oh, oui ! Oui ! Je jouis ! Je jouis !
J'ai senti sa chatte saisir ma queue alors que son orgasme atteignait son paroxysme. J'ai senti mes boules se resserrer alors que mon sperme était proche. Je savais que je ne devais pas jouir en elle, mais je ne pouvais pas m'arrêter. Elle semblait savoir ce qui allait se passer et m'a serré plus fort avec sa jambe.
Attention, je vais ...
Je sais, fais-le. Ne t'arrête pas. Fais-le.
J'avais le feu vert. Ma bite s'enfonçait dans sa chatte avec assez de force pour la soulever du sol. La langue de ma tante était de retour dans ma bouche quand le premier coup est parti... J'ai continué à jouir et jouir, remplissant la chatte de ma tante avec mon sperme. Je sentais la tension des dernières semaines s'évacuer de moi à chaque giclée. Finalement, j'avais fini. Je l'ai juste tenue serrée avec ma bite profondément en elle.
Oh, Tina. Oh, mon Dieu.
J'avais tellement envie de toi. Je ne me laisserai pas le regretter. C'était merveilleux. Sentir ta grosse bite exploser en moi était, oh mon dieu, fantastique.
Je l'ai embrassée et je l'ai serrée fort. Aucun d'entre nous ne voulait que ce moment se termine. Nous ne sommes sortis de la douche que lorsque l'eau a commencé à être froide. Quand nous nous sommes séchés, je bandais à nouveau. Elle m'a regardé avec un sourire timide et s'est assise sur le meuble-lavabo. Elle a écarté les jambes. Elle en voulait plus. Moi aussi. Je me suis approché d'elle, elle a attrapé ma tige et l'a guidée à l'intérieur. Nous avons tous les deux regardé comment il disparaissait dans sa chatte. Quand il était complètement entré, nous nous sommes regardés. J'ai commencé à la baiser à nouveau, avec des coups complets et doux. La baise frénétique de la douche avait fait place à un amour passionné. J'aimais cette femme. Il semblait naturel de partager nos corps de la manière la plus intime.
Je t'aime !
Moi aussi, je t'aime !
J'ai commencé à bouger plus vite. Je savais que nous n'avions pas beaucoup de temps. Tante a enroulé ses jambes autour de mes fesses et a commencé à me tirer vers elle. J'ai vu ses yeux se révulser.
Oh putain ! Jeff ! Je jouis encore. Oh, mon dieu ! Fais-moi jouir ! Oh, mon Dieu ! Oui ! Oh putain, ouiiiiii !
Je suis venu aussi, la remplissant une deuxième fois. Il faudra qu'on en parle. Je ne voulais pas être le père de mon cousin ou de ma cousine, du moins pas encore, mais ce matin-là, je n'aurais pas pu m'arrêter. Même si j'avais eu la moindre envie de m'arrêter, ses jambes m'auraient maintenu en elle jusqu'à ce que la dernière goutte de sperme sorte. Nous nous sommes enlacés et embrassés mais le temps passait vite. Je me suis éloigné et j'ai laissé ma tante se préparer pour le travail. Je me suis assis sur le lit pendant qu'elle sortait ses vêtements. Soudain, elle s'est arrêtée.
Jeff. Donne-moi un chiffon humide.
Je me suis précipité vers l'évier, j'ai mouillé le chiffon le plus proche et je l'ai jeté à l'autre bout de la pièce. Elle l'a mis entre ses jambes et s'est essuyée.
Ton sperme dégouline de ma chatte. Mon Dieu, tu as dû en envoyer des litres là-dedans.
On a tous les deux rigolé. On l'avait fait et ce n'était pas la fin du monde. Il ne nous était pas poussé des cornes et des queues ou toute autre chose terrible. Je me suis précipité dans la cuisine pour lui préparer du café. Quand elle est sortie, elle était déjà très en retard, mais elle s'est arrêtée pour m'embrasser et me dire .
Il faudra qu'on mette les choses au point à mon retour. Mon Dieu, tu vas me manquer.
Je t'aime Tina.
Je t'aime aussi.

Fin

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire, bien bandante. Dommage que la fille change de parenté au court de l'histoire.

Histoire Erotique
Oufffff qu’elle belle histoire, je suis bandé dur et je ne fais que penser à une cousine avec qui je ferais l’amour à coup sûr

Histoire Erotique
Une excellente histoire ^^
Juste un peu étrange quand la cousine devient la tante de notre héros.



Texte coquin : Avec ma cousine
Histoire sexe : Une rose rouge
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