Andrée est plus qu'une salope - histoire érotique

Il est vrai que durant cette période de confinement, il est très difficile de rencontrer du monde mais parfois un passage dans les grandes surfaces à son bon côté.
Je me balade dans les rayons et une femme bien potelée fait ses emplettes et rempli son caddie.
Pour ma part, je n’ai besoin que de quelques bricoles et je suis vite à la caisse, je paie et me rends à ma voiture où je patiente un peu en fumant une cigarette (je n’aime pas fumer dans la voiture) La bonne femme sort du magasin et se rend au coffre de sa voiture qui est juste derrière moi, elle se penche dans son coffre et un coup de vent relève sa jupe ! Oups ! je vois la raie de son cul, elle n’a même pas de culotte. Je ne peux que regarder en espérant un second coup de vent, ben non !
Je ne l’avais pas vue de face jusque-là et quand elle se dirige vers le parc pour déposer son caddie vide je la reconnais, c’est Andrée qui habite la maison au début de la rue.
A son retour, elle me voit et me demande comment se passe le confinement. On discute un peu et me dit que je peux passer chez elle afin de changer un peu de la solitude ; en effet je suis veuf depuis quelques temps déjà et ne vois quasi plus personne si ce n’est mon voisin direct.
J’accepte la proposition et rendez-vous est pris pour l’après-midi.
Je ne suis pas encore garé chez elle que la porte s’ouvre et Andrée me fait rentrer dans le salon, un verre et elle vient s’asseoir près de moi, calée dans le fond du divan sa jupe fendue sur le devant s’écarte et on peut presque voir toute sa jambe. Les minutes passent et ses changements de position font remonter les pans de son vêtement que c’est ses fesses que je vois, elle s’en rend compte mais ne change rien.
Elle se lève et se dirige vers le bar pour nous resservir un verre, a son retour sa jupe s’écarte et c’est l’intégralité de sa chatte qui s’offre à moi, et oui comme au parking du magasin, elle n’a pas de culotte, ma queue commence à se déchainer dans mon jeans et elle le remarque sans rien dire.
Elle se remet dans le fond du divan et se colle à moi en m’embrassant sur la joue puis se rapproche de ma bouche, nos langues se touchent et un baiser passionné suit, elle descend sa main vers la bosse du jeans et je me dit que ça va être chaud !
En moins d’une minute, elle sort ma bite dure de son logement et me masse en douceur, mais que c’est bon, il y avait si longtemps ; je ne reste pas de bois et m’aventure sur sa jambe ; je crois qu’elle ne demande que ça et écarte ses cuisses pour me faciliter le passage vers sa chatte, un doigt sur sa foufoune qui est déjà bien chaude et je la doigte doucement de son clito à ses lèvres, elle avance son cul pour que j’y aille plus profond ce que je fait avec un second doigt, elle est déjà bien chaude et humide, pas nécessaire de se battre, ça rentre tout seul et sa mouille commence à couler sur ma main ; pour ne pas humidifier sa jupe elle se lève et la retire, la voila à poil, reste le haut qui ne reste pas très longtemps et c’est totalement nue qu’elle se retrouve devant moi, elle n’avait pas de soutif non plus. Je ne peux que retirer jeans et T-shirt et me colle à son corps ; nous sommes debout l’un contre l’autre et ma queue dressée frotte sa chatte humide, elle se serre sur ma bite et se pousse son antre sur elle, un petit mouvement et crac dedans, je la repousse en travers sur le divan et je la fourre un max, elle adore et me le fait savoir par ses soupirs.
Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, elle se plie tout à coup pour je m’enfonce plus loin encore, quelques gros coups au fond de son antre et déverse mon sperme en une série de jets, sa chatte doit être bien pleine cette fois ! Je reste un moment à fond, elle me retient comme ça un bon moment et ma queue faibli et sort lentement, elle se retourne vivement et me prend en bouche pour me nettoyer ; oh que c’est bon, je ne savais pas Andrée si salope.
On se caline encore un moment mais il faut bien que je parte ; je m’habille et me prépare à partir, Andrée toujours nue et le sperme sort doucement de son vagin et coule le long de ses jambes, un nouveau baiser langoureux et elle me fait promettre de revenir.
J’accepte l’invitation et je penses déjà à ce que sera la prochaine visite mais ce sera certainement encore plus chaud.
21h, je regarde la TV quand la sonnette retentit, qui peut venir à cette heure ?
J’ouvre et me retrouve devant Andrée ; c’est pas vrai, elle encore chaud au cul ?
Je la laisse entrer, elle est vêtue d’un manteau bien en dessous de ses genoux et je suis étonné, il ne fait pas si froid que ça pourtant !
Direction le salon et stupéfaction, elle ôte le vêtement et elle est complétement nue ! La séance de cette après-midi ne lui a pas suffit ? Qu’importe, on avisera !
Elle s’installe complétement nue dans le fauteuil en face de moi, je suis juste avec mon petit short et déjà une bosse se dessine. Elle écarte les jambes et sa chatte est béante là devant moi, elle a certainement joué toute seule avec car elle me semble bien humide.
Je lui fait remarquer et elle m’annonce qu’il y avait tellement longtemps qu’elle ne sait plus se retenir, elle s’est encore fait jouir plusieurs foisCette fois, je suis bien décidé à en profiter un max et visiter tous ses trous.
Ma queue grandi et durci, elle finit par passer par le côté de mon mini short, Andrée se lève et vient directement baisser mon vêtement et ne peut s’empêcher de la prendre en bouche, elle sait bien y faire la salope, elle suce de la base à mon gland avec sa langue et ses lèvres, mais que c’est bon, je ne vais pas tenir, je la préviens mais rien n’y fait, elle suce et aspire sans arrêt et un premier jet se retrouve dans le fond de sa gorge, elle déglutit avec délice sans en perdre une goutte ; elle me sourit et apprécie le goût et la quantité.
Mais je n’en ai pas fini avec elle, elle est venue pour ça, nonJe l’installe sur le divan et lui procure un cunni pour la faire monter un peu plus, de sa chatte à son cul, je lèche et aspire sa mouille que je repousse sur son cul et un doigt pousse sa rosette et s’y introduit sans aucune difficulté. Elle s’est sûrement occupée de son cul aussi car deux doigts rentrent tout seul, j’agrandi l’orifice et présente ma queue, pousse et elle rentre doucement, pas suffisant pour la salope, elle se recule d’un coup et hop, je me retrouve au fond avec mes couilles contre sa chatte, c’est chaud, serré mais je la lime comme un malade, ce cul s’élargit et elle en redemande, je pousse, pousse et lui envoie la sauce au plus profond de son cul ; je me retire lentement et elle supplie de rester, elle attrape son manteau et retire un plug de sa poche, c’est alors que je me retire et elle se cale le plug dans le cul. « Comme ça je te garde tout à l’intérieur ».
Mais quelle salope !
Sa chatte n’a rien eu et je vais voir jusqu’où on peut aller, j’avais remarqué quelques heures plus tôt qu’elle était bien large aussi je la doigte et mes doigts rentrent comme dans du beurre ; elle jouit encore et encore, me supplie d’aller plus loin et plus fort, je n’hésites plus et lui met ma main et ça rentre, je ne croyais pas que sa chatte était aussi large ; elle doit sûrement rentrer autres choses que ses doigts ; je tourne fais des vas et vients et fini par rentrer jusque mon poignet, je sens le plug au travers des parois de son vagin et cela la fait jouir à hurler de plaisir, une séance de fist de 10 minutes et Andrée et au bord de l’évanouissement, les gouttes de sueur lui coulent partout, elle n’en peut plus, je sors d’un coup ma main et sa chatte reste béante, on y rentrerai une bouteille !
Quelques instants plus tard, elle se remets et me remercie par un baiser fougueux, remet son manteau, se recolle à moi, re baiser et elle part non sans m’avoir dit qu’elle reviendrait, « c’est beaucoup mieux que toute seule » me dit-elle !
Je n’aurais jamais pensé me faire cette femme, je la croyais beaucoup plus sérieuse, comme quoi !