Chauffeur PMR (2) - histoire érotique

Depuis que je suis chauffeur PMR, je n’aurais jamais cru que cela arriverait ! Quand on se rend en clinique il faut prévoir et Monique une fille de 25 ans que j’ai déjà véhiculé quelques fois m’appelle de l’hôpital pour aller la rechercher, son frère est parti pour son boulot et elle est bloquée.
« Mais il y a un problème, je suis dans une chambre et suite à la petite intervention je ne sais plus remettre mes vêtements, ils me serrent juste sur le pansement » me dit-elle.
« Je vais prendre un de mes longs anoraks pour te couvrir » elle est toute contente et attends mon arrivée.
Je la croyais plus intelligente mais bon. 40 minutes et je suis devant la porte, un infirmier me guide vers la chambre où attend Monique. Elle est juste revêtue de cette chemise de chirurgie jusqu’à ses genoux et ouverte dans le dos. Pas très pratique pour revenir dans cette tenue, je lui tends mon anorak et sans se détourner, elle fait tomber cette chemise et se retrouve nue devant moi, elle enfile mon vêtement, récupère le sac avec ses fringues et on se dirige vers la voiture, elle s’installe à côté de moi et on démarre.
Elle me raconte l’opération qui n’est qu’une bricole mais qui gêne à sa ceinture, j’avais effectivement aperçu le petit pansement.
Monique est une fille super fine et aime porter des fringues hyper sexy et moulantes et là évidemment !
Durant le trajet, elle n’arrête pas de gigoter et mon vêtement remonte allégrement sur ses cuisses, on peut presque apercevoir la naissance de sa chatte.
Arrivé chez elle, elle prend son sac et me fait rentrer pour me rendre l’anorak salvateur mais tout dérape, d’abord elle est seule, ses parents sont partis à une soirée de boulot et son frère également absent ; je m’attends à ce qu’elle parte vers sa chambre pour se mettre quelque chose mais non, elle retire mon vêtement et le dépose sur le bras du fauteuil où je suis assis, évidement, un sein vient frapper mon visage et j’ai du mal à ne pas lui emboucher son téton super dressé, il est vrai qu’elle est super bien foutue, je ne l’avais jamais vue qu’en tenue sexy lorsqu’elle faisait son jogging en passant devant chez moi.
Après m’avoir offert un apéro, elle se dirige à l’arrière de la maison, sa chambre je suppose, et quelques minutes suffisent, Monique est de retour.
Un top transparent sans soutien et une mini au ras des fesses sans culotte, je ne peux que voir sa fente à chacun de ses mouvements et elle ne se gêne pas pour me chauffer, déjà je commence à sentir une douleur dans mon pantalon.
Elle se sert une boisson et se laisse tomber dans le fauteuil face à moi, quelle vue surtout qu’elle laisse ses jambes bien écartée, je vois les bords de sa chatte parfaitement épilée et je sens que j’aurais du mal à rester de bois ; elle se lève et fait le plein de mon verre qui se trouve sur la petite table et se retrouve le cul à hauteur de mon nez, je n’en peux plus et tente une main sur sa cuisse, elle dépose la bouteille, se retourne vers moi et me prend la figure pour un baiser torride, sa main descendant vers la bosse de mon pantalon, un geste et ma bite se retrouve emprisonnée dans sa main.
Tout se passe alors très vite, mon froc et mon boxer au sol, ses nichons dans mes mains que je masse en faisant tourner ses petits bouts et Monique qui commence à être de plus en plus chaude ; et petit tour et je lui retire le top et la mini et la voilà de nouveau nue ; elle s’appuie sur la table en me présentant son cul, je m’avance et lui lèche la raie de son clito à son anus en y allant franchement, un doigt rentre dans son vagin et un autre entre tout seul dans sa rosette que je rode au maximum, son petit cul s’élargit et elle se recule pour m’envoyer plus loin, encore quelques allers-retours et l’entrée est bien ouverte, je pose ma bite sur son orifice et pas besoin de forcer, c’est elle-même qui se recule pour se l’introduire à fond, je la lime ainsi un long moment, elle adore et hurle, mon plaisir arrive également et une violente décharge se déverse dans ce cul ; elle se doigte et je sens son doigt sur ma bite au travers de sa paroi vaginale, je n’avais encore jamais ressenti cette sensation, il n’en faut pas plus pour que l’effet soit immédiat, je rebande comme un taureau, me sort de son fondement et plonge dans sa chatte en la tenant fermement par les hanches et la martèle de mon calibre, pas tellement nécessaire de la tenir, elle fait aussi les allers-retours pour me sentir bien au fond contre l’entrée de son utérus et une nouvelle décharge de sperme crémeux tapisse son vagin.
Je reste encore un moment dans cette environnement sublime et ma queue faiblit et sort mollement.
Je suis exténué et elle aussi, elle prend mon sperme avec sa main tant à sa chatte qu’à son cul et avale le tout avec délice Je remets mes vêtements et, avant de sortir, elle me roule un patin avec encore le goût de mon sperme sur la langue.
La prochaine fois que je dois aller à l’hosto je ferais appel à toi me dit-elle.
Je l’espère et je n’hésiterais certainement pas d’en profiter encore.