Anna, l'étudiante m' envoie un signe

- Par l'auteur HDS Capuche7 -
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Récit libertin : Anna, l'étudiante m' envoie un signe Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Anna, l'étudiante m' envoie un signe
-Je vous aurai croisé du regard en amphi,
Me serai levé pour jeter quelque chose.
Pas de culotte, juste des bas dont vous verriez le haut car ma jupe remonte un peu.

Et quelques instants après la cloche sonne...
-

À la sonnerie de l’amphi, toutes les personnes de la salle rangent leur affaires et commencent à sortir.
Toi, tu prends ton temps, tu as de plus en plus chaud, doutant des prochains moments. Je reste assis à une table, continuant d'écrire jusqu'au dernier claquement de porte qui nous laisse à deux. Tu es près de moi quand je me lève, ta jupe couvrant à peine jusqu'en haut de tes cuisses, je te regarde dans les yeux et te demande : "tu attendais ce moment ?". Sans réponse attendue, je passe ma main dans ton dos, la mets sur ta nuque et te dis de te retourner. Tu t'exécutes.
Serrant, je te pousse à te pencher en avant, ta jupe remontant et faisant apparaître ton beau cul rond et deviner le début de tes lèvres. D'autant que, d'instinct d'allumeuse, tu cambres ton dos ouvrant tes fesses roses... Tu lâches un cri. Une vive douleur vient de t'asséner la fesse droite, ma main t'a joliment claquée. "Tu as joué jolie peste, à mon tour" te dis-je à cet instant avant de te claquer aussi vivement l'autre fesse. Tu serres les dents à la troisième et gémis cette fois.
Châtiant durement ton joli cul maintes fois, il en devient bien rouge et tes gémissements s'en font plus aigus. Te voir ainsi me stimule, me plaît énormément. Tu tentes de te maîtriser encore, quand je t'assène la dernière fessée, tu es tremblante des cuisses et essoufflée par la douleur. Pourtant, quand je te dis de te mettre sur le dos, sur la table et d'écarter tes cuisses, c'est une chatte complètement trempée que je découvre.

Je te regarde alors, la chatte trempée entre tes cuisses ouvertes et tremblantes, ta jupe froissée et retroussée bien excitante, ton chemisier à moitié ouvert et déformé par les pointes érigées de tes seins, tes cheveux lâchés, ta bouche ouverte entre tes lèvres roses, et ton regard, pupilles toutes dilatées d'excitation, scrutant mes gestes.
Je gifle ta cuisse sur le tissu de ton bas résille, tu mords ton doigt d'un petit cri. Je m'approche de ta tête, sors un collier et te le noue autour du cou avec une lanière que je tiens bien. Tu es toute excitée quand tu vois mon autre main s'approcher de mon pantalon qui, l'ouvrant, libère mon sexe bandant durement depuis le début... Tu le regardes alors, à quelques centimètres de ton visage, presqu'à en sentir la chaleur de mes couilles juste en dessous. Les veines apparantes qui le gonflent de désir jusqu'à mon gland rose te fait ouvrir la bouche d'envie. Tu approches celle-ci, sortant ta langue pour caresser mon gland avec quand, juste avant de le goûter, je tire d'un petit coup sur le collier, te privant de ma queue.
"Tu ne peux que regarder pour l'instant", te dis-je en ouvrant sèchement ton chemisier, les boutons sautant. Tu es toute chaude d'envie, agitée de désir et je joue avec ton plaisir. Je caresse un de tes beaux seins blancs, le prends dans ma main. J'en pince la pointe, ton téton dressé et tout sensible te fait gémir. De mon sac juste derrière, je sors deux petites pinces en bois que je viens placer sur ces deux tétons tout roses, tu t'agrippes à la table le temps de les placer... Une douleur te tiraille mais le plaisir l'enveloppe.
Ta poitrine et le reste me font bander. Tu peux la voir juste au-dessus de tes lèvres, ma belle queue qui te fait si envie mais que tu ne peux lécher, mes couilles chaudes que tu ne peux prendre en bouche. Et cela à cause de ce collier qui t'excite pourtant tant. Tu es tiraillée...

-
Je suis alors face à vous, collier attaché jambes trempées et écartées. Mes seins rougissent et vous jouez avec, je gémis de douleur et de plaisir.. Je me demande ce qu’il va m’arriver.. vous tirez sur la laisse et je tombe à genoux seins dressés fesses cambrées pour vous offrir une jolie vue. Vous poussez votre queue dure dans ma bouche que j’ouvre pleinement pour recevoir
Je vous lèche vous humidifie bien avant que vous n'intensifiez le mouvement. Vous me baisez la bouche tout en tirant sur la laisse pour que je vous regarde. Mes yeux sont insolents parce que j’en veux encore, j’adore vous avoir au fond de la gorge. C’est délicieux.
Vous tirer fort sur la laisse ça m’étrangle un peu .. Vous souriez en me caressant de l’autre main : « c’est bon de te dominer petite peste » je ne peux pas vous répondre ma bouche est prise.
Je redouble d’effort car la cadence devient encore plus rapide et profonde. Vous êtes dans ma gorge et puis de temps en temps vous sortez pour que je puisse gober vos couilles, prendre les deux dans ma bouche.
Je sens que vous vous raidissez vous sentez le jus monter...
-

Tu es à genoux dans cette salle vide, collier au cou que je tiens, ton chemisier ouvert entoure tes seins rougis à cause des pinces sur tes tétons que je tire entre deux mouvements pour te faire lever la poitrine. Ta jupe est retroussée sur tes cuisses bien écartées sur le sol laissant voir ton entrejambe gonflé de frustration : il ne lui est encore rien arrivé à cette chatte trempée.
Ta bouche bien ouverte par ma queue salive beaucoup, tes yeux humides regardent mes réactions de plaisir quand tu me lèches ensuite avidement les couilles. Une de tes mains branle ma longue verge et tu explores avec l'autre derrière, venant titiller, tourner autour de mon anus, ce que j'apprécie. Je te prends les cheveux, les tire et enfourne encore ma queue jusque ta gorge, te baise la bouche obstruant tes gémissements tout en giflant un peu tes joues déformées. Tu sens que je viens, mes couilles avec lesquelles tu joues se contractent, ma queue se raidit entre tes joues, mon anus serre ton doigt que tu viens de rentrer. Et d'une vive montée dans ma verge, mon sperme vient emplir le fond de ta bouche. Je tire ton collier et j'éjacule sur ta bouille de suceuse. Tu l'as ouverte et le visage en arrière quand de longues saccades de sperme chaud viennent s'abattre sur celui-ci.
Tu passes ta langue autour de ta bouche, satisfaite et souriante de me voir prendre plaisir de tes talents.
Après quelques inspirations reprises en te regardant, je te dis tranquillement : "Maintenant, à quatre pattes ma belle.". Tu le fais bien sûr, dos à moi. Une claque s'abat sur tes fesses pour que tu relèves celles-ci, "toujours cambrée ma soumise." te dis-je. Tu m'entends sortir quelque chose de mon sac, je caresse tes fesses rouges... Tu sens deux de mes doigts s'approcher de ton cul. Je viens sur ton anus, tourne autour, joue avec, le dilate un peu avec de l'huile. Après deux ou trois minutes à trouver ce massage anal agréable, tu sens un objet dur contre ta peau, une petite boule lourde. Je la pose en haut de tes fesses ouverte, je la descends, tu remues le bassin d'excitation, je vois juste en dessous ta chatte qui n'en peut plus. La boule te dilate, écarte doucement et entre dans ton joli cul.
"Il y a quatre boules attachées".
À l'insertion de la deuxième, tu retiens à peine tes gémissements. À voir ces boules disparaître en toi, je sens mon érection revenir, ta voix ne fait que l'entraîner. Tu te tiens face presque contre terre, le bassin bien relevé, les hanches agitées, les fesses écartées. Tu sens ces boules en toi, tu ne connaissais pas cette sensation, tu es surexcitée. La troisième entrant, tu mouilles le long de tes cuisses. J'admire la vue offerte par ta posture, tu me plais beaucoup. Je te dis de te relever en tirant sur ta laisse, je te fais un bisou sur le front en te disant que tu a été bonne. Je laisse ton collier mais retire la lanière et noue ton chemisier en vérifiant l'heure. Je prends tes joues entre ma main et viens embrasser et mordre ta lèvre. Ton envie se décuple dans ta tête qui tourne, surtout que tu perçois mon érection sous mon pantalon tout juste remis.
La sonnerie retentit, j'ouvre la porte, tu dois me suivre de près, tu sors de la salle avec moi. Beaucoup de monde sort d'un coup dans ce grand couloir, tu es à côté de moi, au milieu de tout le monde avec ta légère chemise, ta jupe courte, ton visage à peine essuyé, sans culotte tu sens les courant d'air chatouiller ta vulve ultra sensible, et surtout, trois boules moyennes enfoncées dans ton anus, la dernières sortie juste avec une boucle. Et tu marches ainsi entre tous, bousculée, dévisagée ou même ouvertement matée par des gars qui se disent juste qu'ils te caresseraient bien les seins alors que tu as des pensées bien plus perverses qui te font tourner la tête depuis que tu m'es soumise... Tu sens ta chatte mouiller tant à ce moment-là que tu te demandes si quelques gouttes ne s'en sont pas échappées mais tu n'oses pas regarder derrière. Chaque toucher, chaque effleurement te fait vriller tant tu as envie de te sentir enfin déflorée. Ces regards, ces contacts te rendent folle sans qu'ils ne sachent ce que tu as en toi. Nous continuons de marcher ainsi, ces secondes sont longues et intenses, tu me suis essayant de paraître sereine. Nous tournons dans un couloir moins grand, marchons encore jusqu'à une porte, tu t'arrêtes devant. Tu vois les autres quelques mètres plus loin en posant ta main sur la poignée quand tu sens ma main passer dans et te prendre les cheveux, ma bouche se poser sur et mordre ton cou, mon torse appuyer ton dos, ma main serrer ton sein, mon autre venir sous ton jupon et prendre ta fesse... Quand mon index, en contournant le jouet en toi, vient passer rapidement sur tes lèvres intimes, tu te cramponnes, tu attends qu'il t'explore plus profondément. Mais tu me perçois reculer d'un pas et lécher mon doigt .
Quand tu me regardes, je te dis :"Je voulais juste goûter, ouvre."

-
Après m’avoir gouté et m’ayant rendu plus que moite, vous me dites d’ouvrir la porte. En ouvrant je tombe nez à nez avec un professeur d’amphithéâtre qui me dit que je n’ai rien à faire ici. Je le regarde dans les yeux et le voit me dévisager du regard. Il mate le chien. Je lèche mes lèvres en le fixant et écarte légèrement mes jambes comme une invitation …
Il pose ses dossiers et me dit eh bien rentrez
Je suis si mouillée et le voir bander dans son costume sachant que c’est vous qui allez décidez de mon sort est tellement excitant.
On rentre dans la salle et le professeur vous dit bonjour et ferme la porte à clef.
Vous me faites faire un tour sur moi même pour me montrer vous ouvrez mon chemisier pour montrer mes gros seins qui se percutent ! Les tétons sont encore rouges
Puis vous me rattachez en laisse !
Vous me faites me penchez sur une table visage plaqué
Puis vous relevez ma jupe
Il y a dun côté ce professeur et de l’autre vous mon maître.
Vous bandez tous les deux fort.
Vous lui montrez que c’est vous qui décide en claquant mes fesses et insérant la dernière boule dans mon cul
-

Puis, à le voir presque baver devant ton beau cul rond enfilé de quatre boules et avec les marques de mes mains encore présentes, je lui souffle : "Vous voulez goûter cette soumise ?". Sans attendre, le voilà agenouillé, le visage à quelques centimètres de ta vulve trempée et gonflée de désir. Il ouvre la bouche et plonge sa langue dans ta chatte qui explose enfin de sensations. Il prend tes fesses à pleine mains, les écarte et explore sans ménagement ton intimité ainsi offerte à sa bouche. Toi, de l'autre côté de la table, comme shootée, tes yeux sont perdues, ta bouche est ouverte contre la table, tes seins pressés contre celle-ci et des spasmes te parcourent le corps sous l'exploration du prof. Quelques minutes trempées jusqu'à tes cuisses passent, je me délecte de te voir ainsi. J'ouvre ton sac, prends ton gode, dis au prof de se pousser, tu ne sais pas ce qu'il se passe, et te l'enfonce d'un coup dans la chatte. Les 18 centimètres s'enfoncent tout seul, tu gémis, et c'est au dernier que tu jouis. Tu es contre la table, ta petite jupe relevée sur ton cul cambré et écarté, tes gros seins rouges, ton visage perdu dans tes cheveux, ton torse qui se soulève par ta respiration qui ralentit tout juste, tes bras agrippés aux bords. Et en toi, quatre boules de quatre centimètres de diamètre t'ont écarté l'anus pour entrer en toi et ton gros gode est complètement enfoncé dans ton vagin, tes lèvres rouges l'entourant avec ton clitoris tout gonflé que le prof en chien vient aspirer du bout de ses lèvres.
Approchant de toi, je te prends les cheveux t'invitant à te redresser, te retourne. Te tenant toujours et observant ton visage, mon autre main descend et s'empare de la base de ton gode pour le retirer très lentement et scruter tes réactions. Doucement, tu sens ainsi ton sexe se détendre au fur et à mesure que l'objet sort. Je le retire complètement, je le hume sous ton regard entre honte et excitation, le lape une fois et le pose délicatement sur ta lèvre inférieure. Je n'ai pas besoin de te le dire que ta langue apparaît, tes lèvres s'empare du bout et descendent dessus goûtant alors à ta jouissance. Tu le lèches avec entrain, ma main te fait suivre le mouvement. Quand ta cyprine a laissé place à ta salive sur la surface, je le pose sur la table.

"Tu es une bonne soumise." te dis-je. Toujours les boules métalliques dans le cul, je viens m'amuser à les titiller. Tu te retournes, Tu me sens contre toi, mes mains s'emparent de tes seins, tes fesses appuient mon érection que tu sens bien dure entre elles, je te mords le cou et te dis : "Que veux-tu de lui ?".
Tu ouvres les yeux et vois ton professeur à peine relevé, le menton encore luisant de ta mouille, le visage rouge et sa queue bandée depuis tout à l'heure qu'il touche...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bien ! La suite ?

J'aime beaucoup

Histoire Libertine
Très beau texte merci pour cet écrit



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