Baise féérique
Récit érotique écrit par Capuche7 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Baise féérique
Te voilà belle nymphe… De légères ailes scintillent dans ton dos à travers une robe de soie mauve dont la couleur te couvre des épaules aux cuisses bordées d’un tissu dentelé descendant jusque tes pieds chaussés de souliers lacés hauts sur tes jambes fines. Tes cheveux entourent longuement ton visage blanc dont les yeux brillent d’un air innocent et pourtant… Sortant furieusement de la maisonnée, tu fermes la porte d’un claquement de doigts à ta mère s’efforçant de te faire revenir après la découverte de quelques objets coquins dans ta chambrée. N’attendant pas qu’elle s’ouvre encore, tu te diriges vers le cœur du bois. Ruminant ton agacement, tu marches encore et encore cherchant à t’éloigner tant que tu peux de l’étouffement familial. D’autant plus frustrée que tes seuls plaisirs solitaires sont maintenant découverts et que tu n’as pu te soulager aussi longuement que tu l’aurais voulu. Les larmes de colère finirent par partir de ton visage telles que les gouttes du jus de ta flore intime étaient parties sur tes draps quand ton égarement luxurieux fut interrompu. Et, ressassant la dispute, le bruit, l’irritabilité de l’atmosphère du moment précédant, tu avances sans voir vers où.
Quand un animal s’enfuya à ton passage, sortie soudainement de ton entêtement, tu t’aperçus de ton égarement. En cette fin du jour et ce début de printemps, la brise encore fraîche fit frémir tes ailes et flotter la soie de ton habit court-vêtu. Reprenant tes esprits, les arbres t’entourent et font chuchoter leur cime à ton oreille. Traversant cette clairière, fatiguée des derniers évènements et de cette marche, tu avances un peu jusqu’à entendre un bruit d’eau. Sous les différentes nuances du crépuscule, tu restes boire à ce ruisseau. Les arbres bruissent, le hululement d’une chouette prend le pas sur le roucoulement des tourterelles, un souffle lève ta robe, s’engouffre entre tes jambes et rafraîchit le bas de tes fesses. Ne pouvant alors t’assoupir, tu penses à te réchauffer. Ce faisant, tes ensées reviennent aux sensations, reprendre ce moment, plaisant et suspendu. Alors, au bord du ruisseau, adossée à une roche, tu relèves légèrement la soie qui te couvre les cuisses abavnt de les écarter lentement. Ta main, de tes doigts fins, se laisse descendre doucement le long de ton ventre… C’est ainsi que tu pars dans un moment de caresses, tes doigts rencontrant tes poils fins. Isolée entre les arbres si grands, tu te livres ensuite à toutes ces caresses reflues malgré cette fois le manque de quelque jouet. De longs instants durant, ta main blanche danse sur ta vulve toute reluisante avec les seins découverts pointant dans la fraîcheur du soir caressés par l’autre. Ta bouche ouverte laisse échapper de petits gémissements et tes yeux clos laisse ton esprit divaguer dans le plaisir. Dans ce moment d’offrande charnelle, tu ne t’aperçois de la présence de deux loups que lors d’un moment d’accalmie. Effrayée, tu t’arrêtes net, le souffle court, contre la roche, les yeux maintenant écarquillés. La nuit tombée, sans même être sûre de l’endroit où tu te trouves, tu ne sais que faire et commence à angoisser.
« - Ils ne te feront aucun mal. »
Tu me vois, sautant d’un tronc devant toi, vêtu de fourrure, un arc en main, avançant vers toi de quelques pas, longues chevelure et barbe, mon regard bleu sur toi. Prenant conscience de ta nudité, et de ton intimité dévoilée ainsi, tu te refermes.
« Dis, je ne te dérange pas, tu me lorgnes du regard ! Me lances-tu.
- Oh, c’est que.. je suis étonné de telles prouesses de la part d’une nymphe.
- Qui es-tu ?
- Je suis appelé le Charmeur de Loups. Je cherchais des simples à quelques arbres de là quand je t’ai entendue, puis vue ou.. sentie. »
Tu te lèves quand tu vois les loups partir. Alors, d’un geste et par ton esprit, tu commandes aux lianes de jaillir de terre pour me saisir les membres. Surpris, je me retrouve immobilisé par ton maléfice, tu t’approches.
« Je ne sais pas si tu es gentil, je prends mes précautions.
- Tes précautions ? Et maintenant, que te disent tes précautions ? De continuer ce que tu étais en train de faire ?
- Ne sois pas médisant, je ne pensais pas croiser quelqu’un. »
Tu me prends le visage sans gêne, me serrant les joues.
« Prenez garde, gente dame, je pourrai mordre.
- Persiste dans tes moqueries et je te laisse là. »
Comme pour m’ausculter tu me tournes la tête, me scrutes, me touche les cheveux, la barbe. Je mime une morsure, tu me griffes d’un doigt le haut du poitrail et commences à t’amuser de la situation… De mon côté, je grogne. Tu me griffes vivement une deuxième fois un peu plus bas et me regardes fixement pour me dire :
« Si tu oses me faire le moindre mal, je t’ensevelis vivant si profondément que même tes compagnons à crocs ne pourront te déterrer.
- Je veux bien te croire, jolie créature… Tu peux me lâcher maintenant ? »
Tu me tournes autour, m’inspectes sous divers angles tout en flottant dans l’air par tes ailettes silencieuses, me frôlant à chaque mouvement. D’une vive contraction de mon corps, je tente de forcer les lianes m’entourant, alors, d’un geste, tu les guides, qu’elles me serrent et me plaquent au sol. Maîtrisé si aisément, je fais la moue. Te voyant près de moi, je remarque cependant l’aisance avec laquelle, aidé par la coupe de cette robe, je peux admirer tes jambes décorées de bas dentelés blancs et deviner le haut de tes cuisses. Apercevant mon petit jeu, du bout de ton pied, tu me redresses la tête, virevoltes jusqu’au-dessus de celle-ci, m’offrant ainsi tout le loisir de voir et deviner même ta toison plus foncée. Les effluves charnelles émanant de ce jardin choyé il y a peu me font oublier l’odeur de la terre sur laquelle je suis pris et me chatouille plus que l’odorat. Cette stimulation s’intensifie dès lors que cette source sensuelle s’approche. Tes pieds touchent maintenant terre, tes jambes se fléchissent, plient et les sensations n’en sont que plus fortes pour un forestier comme moi. Tes genoux cette fois posés, un très court espace séparent mon visage de ton intimité m’affolant l’odorat d’odeurs enivrantes à souhait. Tu fais durer cet instant, prudente.. et amusée. Tu te penches un peu en avant saisissant mes bras. Sous ta robe, à travers la clarté lunaire qui traverse la soie, tes cuisses claires recouvertes de fine dentelle s’ouvrent. À ma barbe se mêlent quelques poils et deux jolies lèvres de chair dessinent, du sommet à l’entrée, ta vulve reluisante d’une cyprine translucide et enchanteresse.
J’inspire un souffle, hume cette explosion d’odeurs tournantes qui s’évanouissent complètement au premier effleurement de cette fleur à mes lèvres. Toutes les sensations de mon corps se concentre sur ce léger contact, j’entrouvre ma bouche et goûte… Les odeurs deviennent saveurs, la stimulation passe de mon nez à ma bouche, une petite lèche fait frémir tes cuisses. Je dépose un baiser, mon esprit tourne, j’embrasse ces belles lèvres, mon esprit s’abandonne. Je goûte avec envie ton sexe chaud, ma langue passe glisse et monte lentement, frôle le sommet, redescend, s’arrête. Ton clitoris se fait sentir, je le prends délicatement entre mes lèvres, et suce ce petit lobe gonflé de plaisir. À cela tu te fais entendre, ton bassin commence à se mouvoir sur mon visage, ton ventre crispé se tord, tes mains s’agrippent et ta bouche, elle, donne écho à tout ce qui se passe sous ta robe. Tant et si bien que même tes petites ailes en vibrent de sensations. D’une légère ouverture des yeux, tu vois devant toi le reste de mon corps qui, au beau milieu, dessine une bosse sur mon pantalon. Ce détail t’éveille légèrement perverse, mais tu le laisses tranquille sentant ton sexe offert à de multiples sensations. Tes fesses allant maintenant d’avant en arrière, ma bouche, elle, suit le mouvement. Je mords quelques fois la chair de tes cuisses qui me serrent la tête. Je lève ensuite le menton, trouve l’entrée de ton sexe qui dégouline sur mes joues, j’y glisse ma bouche, y avance ma langue ondulant et te pénètre ainsi. Ton gémissement à cette entrée en toi parvient crûment jusque mes oreilles. Encouragée, cette danse buccale redouble d’habileté pour t’entendre mieux encore. Tes saveurs féeriques de miel et douces épices emplissent mes papilles, mes lèvres, quant à elle, emplissent ton antre de sensations parcourant tout ton corps.
Haletante, tu lèves un peu tes hanches pour reprendre ton souffle, je redécouvre alors la jolie vue de ta vulve trempée après un tel plaisir. Je l’admire, entière et ouverte, ta chaire marquée de quelques morsures et, un peu plus haut, un endroit pas encore exploré mais tout offert dans cette position, ton anus. Au milieu de deux globes blancs écartés par ta cambrure. Ce petit endroit resserré m’apparaît joliment. Te remettant tout juste du plaisir précédent, le toucher du bout de ma langue à ce petit orifice t’électrise quand je soulève ma tête pour l’atteindre. Jouissant de l’effet produit, je commence à m’amuser entre tes jolies fesses rondelettes. Je passe autour, j’embrasse et mords la peau l’entourant, y salive… J’appuie un peu, y tourne ma langue et le dilate légèrement à force de stimulation. Ton excitation est telle que tes mains, descendent sur tes fesses, les prennent et les écartent plus encore. Tout à mon aise, je te lèche l’anus, te l’écarte, il se dilate, se serre et se détend.
Ta stupeur est complète quand tu sens ta nuque prise, tes bras saisis dans le dos et te retrouves poussée en avant jusque plaquée contre terre.
« Apprendre des loups pour trancher ses liens est une chose plutôt pratique. Maintenant que tu as pris ce doux plaisir, nous allons pouvoir continuer en partageant. » te dis-je dans le creux de l’oreille.
Étant incapable de répondre par le bâillon que je viens de t’accrocher pour éviter quelque formule de ta part, tu te retrouves face contre terre, robe sur les hanches découvrant ainsi ton joli cul de fée sexuelle. Je t’y assène une gifle imprimant ma main sur ta peau, tu lâches un bruit de surprise. Une deuxième, plus vive, de l’autre côté, t’arrache cette fois un gémissement étouffé. Mon autre main tenant toujours tes bras dans ton dos fait que, de l’autre côté, tes seins dénudés frottent la terre d’une façon douloureusement excitante.
« Relève tes jambes, je veux voir cette jolie chatte dont la cyprine m’a recouvert le visage. »
Tu t’exécutes sentant sinon venir la claque. Tes petites fesses en hauteur et écartées dû à la position dans laquelle tu es, ta chatte s’offre à mon désir aussi. M’avoir gardé lié pour profiter de moi m’a fait contenir toutes mes envies, tu sais en cet instant que tu vas en sentir le lâcher avec ardeur. Mon majeur s’introduit en toi, lentement mais entièrement. Je le retire, et l’accompagne de mon index au deuxième mouvement, les retire, et trois doigts sont en toi au mouvement suivant. Sentant cela, ta bouche s’ouvre suivant la dilatation de ton antre. Si bien que quand l’auriculaire rejoint les autres doigts, ta bouche est grande ouverte. Je retire cependant le dernier pour qu’il appuie chaque mouvement contre contre ton clitoris érigé. Mon index à la base de ton vagin se retire aussi pour monter un peu et y trouver ton petit anus qui l’accueille aisément après avoir été abondamment léché. Un doigt dans le cul, deux dans la chatte, un sur le point si sensible, c’est ainsi que je pénètre tes voies toutes dilatées et que tes gémissements se font entendre entre les arbres. Après de nombreux tendres va-et-vients, je porte ma main près de ton visage, que tu sentes ton odeur de sexe puis te la fait lécher pour y goûter, tu le fais sans broncher.
Caressant ta fesse, tu m‘entends te dire :
« Tu vas te retourner, et si tu fais le moindre geste magique, je te dévore. »
Tes bras lâchés, tu te relèves un peu, me regarde de tes pupilles recouvrant presque ton iris et tu te tournes lentement. Ton visage éprouvé, tes joues pourpres, ta bouche entrouverte et, entre les pans de ta robe ouverte tes beaux seins éraflés, rouges décorés de terre, cela me procure un ardent désir. Tu te redresses face à moi, nous sommes à genoux, et sans prévenir, tu plonges ta main dans mon vêtement, y touche la peau douce et chaude de mon sexe, le saisis serré et le sors. L’un en face de l’autre à se regarder, tu m’embrasses d’un coup, prête à m’arracher les lèvres, ne me laissant d’autre choix que d’ouvrir ma bouche à ta langue qui s’y engouffre, à tes dents qui me mordent et à tes lèvres qui me recouvrent. Tu branles mon phallus dur sous ta main pendant que ton autre vient rejoindre, tu la descends jusque mes bourses dont tu sens la chaleur qui en émane. Je me laisse faire, prenant plaisir à ton engouement, à ton envie de moi.
D’un battement d’ailes, tu élèves un peu ton corps l’approches du mien.. Puis redescends d’un mouvement vif enfonçant en toi l’entièreté de ma queue. Ton sexe s‘est ouvert aisément à l’entrée du mien qui a disparu profondément en toi, nous coupant ainsi le souffle.
Quand un animal s’enfuya à ton passage, sortie soudainement de ton entêtement, tu t’aperçus de ton égarement. En cette fin du jour et ce début de printemps, la brise encore fraîche fit frémir tes ailes et flotter la soie de ton habit court-vêtu. Reprenant tes esprits, les arbres t’entourent et font chuchoter leur cime à ton oreille. Traversant cette clairière, fatiguée des derniers évènements et de cette marche, tu avances un peu jusqu’à entendre un bruit d’eau. Sous les différentes nuances du crépuscule, tu restes boire à ce ruisseau. Les arbres bruissent, le hululement d’une chouette prend le pas sur le roucoulement des tourterelles, un souffle lève ta robe, s’engouffre entre tes jambes et rafraîchit le bas de tes fesses. Ne pouvant alors t’assoupir, tu penses à te réchauffer. Ce faisant, tes ensées reviennent aux sensations, reprendre ce moment, plaisant et suspendu. Alors, au bord du ruisseau, adossée à une roche, tu relèves légèrement la soie qui te couvre les cuisses abavnt de les écarter lentement. Ta main, de tes doigts fins, se laisse descendre doucement le long de ton ventre… C’est ainsi que tu pars dans un moment de caresses, tes doigts rencontrant tes poils fins. Isolée entre les arbres si grands, tu te livres ensuite à toutes ces caresses reflues malgré cette fois le manque de quelque jouet. De longs instants durant, ta main blanche danse sur ta vulve toute reluisante avec les seins découverts pointant dans la fraîcheur du soir caressés par l’autre. Ta bouche ouverte laisse échapper de petits gémissements et tes yeux clos laisse ton esprit divaguer dans le plaisir. Dans ce moment d’offrande charnelle, tu ne t’aperçois de la présence de deux loups que lors d’un moment d’accalmie. Effrayée, tu t’arrêtes net, le souffle court, contre la roche, les yeux maintenant écarquillés. La nuit tombée, sans même être sûre de l’endroit où tu te trouves, tu ne sais que faire et commence à angoisser.
« - Ils ne te feront aucun mal. »
Tu me vois, sautant d’un tronc devant toi, vêtu de fourrure, un arc en main, avançant vers toi de quelques pas, longues chevelure et barbe, mon regard bleu sur toi. Prenant conscience de ta nudité, et de ton intimité dévoilée ainsi, tu te refermes.
« Dis, je ne te dérange pas, tu me lorgnes du regard ! Me lances-tu.
- Oh, c’est que.. je suis étonné de telles prouesses de la part d’une nymphe.
- Qui es-tu ?
- Je suis appelé le Charmeur de Loups. Je cherchais des simples à quelques arbres de là quand je t’ai entendue, puis vue ou.. sentie. »
Tu te lèves quand tu vois les loups partir. Alors, d’un geste et par ton esprit, tu commandes aux lianes de jaillir de terre pour me saisir les membres. Surpris, je me retrouve immobilisé par ton maléfice, tu t’approches.
« Je ne sais pas si tu es gentil, je prends mes précautions.
- Tes précautions ? Et maintenant, que te disent tes précautions ? De continuer ce que tu étais en train de faire ?
- Ne sois pas médisant, je ne pensais pas croiser quelqu’un. »
Tu me prends le visage sans gêne, me serrant les joues.
« Prenez garde, gente dame, je pourrai mordre.
- Persiste dans tes moqueries et je te laisse là. »
Comme pour m’ausculter tu me tournes la tête, me scrutes, me touche les cheveux, la barbe. Je mime une morsure, tu me griffes d’un doigt le haut du poitrail et commences à t’amuser de la situation… De mon côté, je grogne. Tu me griffes vivement une deuxième fois un peu plus bas et me regardes fixement pour me dire :
« Si tu oses me faire le moindre mal, je t’ensevelis vivant si profondément que même tes compagnons à crocs ne pourront te déterrer.
- Je veux bien te croire, jolie créature… Tu peux me lâcher maintenant ? »
Tu me tournes autour, m’inspectes sous divers angles tout en flottant dans l’air par tes ailettes silencieuses, me frôlant à chaque mouvement. D’une vive contraction de mon corps, je tente de forcer les lianes m’entourant, alors, d’un geste, tu les guides, qu’elles me serrent et me plaquent au sol. Maîtrisé si aisément, je fais la moue. Te voyant près de moi, je remarque cependant l’aisance avec laquelle, aidé par la coupe de cette robe, je peux admirer tes jambes décorées de bas dentelés blancs et deviner le haut de tes cuisses. Apercevant mon petit jeu, du bout de ton pied, tu me redresses la tête, virevoltes jusqu’au-dessus de celle-ci, m’offrant ainsi tout le loisir de voir et deviner même ta toison plus foncée. Les effluves charnelles émanant de ce jardin choyé il y a peu me font oublier l’odeur de la terre sur laquelle je suis pris et me chatouille plus que l’odorat. Cette stimulation s’intensifie dès lors que cette source sensuelle s’approche. Tes pieds touchent maintenant terre, tes jambes se fléchissent, plient et les sensations n’en sont que plus fortes pour un forestier comme moi. Tes genoux cette fois posés, un très court espace séparent mon visage de ton intimité m’affolant l’odorat d’odeurs enivrantes à souhait. Tu fais durer cet instant, prudente.. et amusée. Tu te penches un peu en avant saisissant mes bras. Sous ta robe, à travers la clarté lunaire qui traverse la soie, tes cuisses claires recouvertes de fine dentelle s’ouvrent. À ma barbe se mêlent quelques poils et deux jolies lèvres de chair dessinent, du sommet à l’entrée, ta vulve reluisante d’une cyprine translucide et enchanteresse.
J’inspire un souffle, hume cette explosion d’odeurs tournantes qui s’évanouissent complètement au premier effleurement de cette fleur à mes lèvres. Toutes les sensations de mon corps se concentre sur ce léger contact, j’entrouvre ma bouche et goûte… Les odeurs deviennent saveurs, la stimulation passe de mon nez à ma bouche, une petite lèche fait frémir tes cuisses. Je dépose un baiser, mon esprit tourne, j’embrasse ces belles lèvres, mon esprit s’abandonne. Je goûte avec envie ton sexe chaud, ma langue passe glisse et monte lentement, frôle le sommet, redescend, s’arrête. Ton clitoris se fait sentir, je le prends délicatement entre mes lèvres, et suce ce petit lobe gonflé de plaisir. À cela tu te fais entendre, ton bassin commence à se mouvoir sur mon visage, ton ventre crispé se tord, tes mains s’agrippent et ta bouche, elle, donne écho à tout ce qui se passe sous ta robe. Tant et si bien que même tes petites ailes en vibrent de sensations. D’une légère ouverture des yeux, tu vois devant toi le reste de mon corps qui, au beau milieu, dessine une bosse sur mon pantalon. Ce détail t’éveille légèrement perverse, mais tu le laisses tranquille sentant ton sexe offert à de multiples sensations. Tes fesses allant maintenant d’avant en arrière, ma bouche, elle, suit le mouvement. Je mords quelques fois la chair de tes cuisses qui me serrent la tête. Je lève ensuite le menton, trouve l’entrée de ton sexe qui dégouline sur mes joues, j’y glisse ma bouche, y avance ma langue ondulant et te pénètre ainsi. Ton gémissement à cette entrée en toi parvient crûment jusque mes oreilles. Encouragée, cette danse buccale redouble d’habileté pour t’entendre mieux encore. Tes saveurs féeriques de miel et douces épices emplissent mes papilles, mes lèvres, quant à elle, emplissent ton antre de sensations parcourant tout ton corps.
Haletante, tu lèves un peu tes hanches pour reprendre ton souffle, je redécouvre alors la jolie vue de ta vulve trempée après un tel plaisir. Je l’admire, entière et ouverte, ta chaire marquée de quelques morsures et, un peu plus haut, un endroit pas encore exploré mais tout offert dans cette position, ton anus. Au milieu de deux globes blancs écartés par ta cambrure. Ce petit endroit resserré m’apparaît joliment. Te remettant tout juste du plaisir précédent, le toucher du bout de ma langue à ce petit orifice t’électrise quand je soulève ma tête pour l’atteindre. Jouissant de l’effet produit, je commence à m’amuser entre tes jolies fesses rondelettes. Je passe autour, j’embrasse et mords la peau l’entourant, y salive… J’appuie un peu, y tourne ma langue et le dilate légèrement à force de stimulation. Ton excitation est telle que tes mains, descendent sur tes fesses, les prennent et les écartent plus encore. Tout à mon aise, je te lèche l’anus, te l’écarte, il se dilate, se serre et se détend.
Ta stupeur est complète quand tu sens ta nuque prise, tes bras saisis dans le dos et te retrouves poussée en avant jusque plaquée contre terre.
« Apprendre des loups pour trancher ses liens est une chose plutôt pratique. Maintenant que tu as pris ce doux plaisir, nous allons pouvoir continuer en partageant. » te dis-je dans le creux de l’oreille.
Étant incapable de répondre par le bâillon que je viens de t’accrocher pour éviter quelque formule de ta part, tu te retrouves face contre terre, robe sur les hanches découvrant ainsi ton joli cul de fée sexuelle. Je t’y assène une gifle imprimant ma main sur ta peau, tu lâches un bruit de surprise. Une deuxième, plus vive, de l’autre côté, t’arrache cette fois un gémissement étouffé. Mon autre main tenant toujours tes bras dans ton dos fait que, de l’autre côté, tes seins dénudés frottent la terre d’une façon douloureusement excitante.
« Relève tes jambes, je veux voir cette jolie chatte dont la cyprine m’a recouvert le visage. »
Tu t’exécutes sentant sinon venir la claque. Tes petites fesses en hauteur et écartées dû à la position dans laquelle tu es, ta chatte s’offre à mon désir aussi. M’avoir gardé lié pour profiter de moi m’a fait contenir toutes mes envies, tu sais en cet instant que tu vas en sentir le lâcher avec ardeur. Mon majeur s’introduit en toi, lentement mais entièrement. Je le retire, et l’accompagne de mon index au deuxième mouvement, les retire, et trois doigts sont en toi au mouvement suivant. Sentant cela, ta bouche s’ouvre suivant la dilatation de ton antre. Si bien que quand l’auriculaire rejoint les autres doigts, ta bouche est grande ouverte. Je retire cependant le dernier pour qu’il appuie chaque mouvement contre contre ton clitoris érigé. Mon index à la base de ton vagin se retire aussi pour monter un peu et y trouver ton petit anus qui l’accueille aisément après avoir été abondamment léché. Un doigt dans le cul, deux dans la chatte, un sur le point si sensible, c’est ainsi que je pénètre tes voies toutes dilatées et que tes gémissements se font entendre entre les arbres. Après de nombreux tendres va-et-vients, je porte ma main près de ton visage, que tu sentes ton odeur de sexe puis te la fait lécher pour y goûter, tu le fais sans broncher.
Caressant ta fesse, tu m‘entends te dire :
« Tu vas te retourner, et si tu fais le moindre geste magique, je te dévore. »
Tes bras lâchés, tu te relèves un peu, me regarde de tes pupilles recouvrant presque ton iris et tu te tournes lentement. Ton visage éprouvé, tes joues pourpres, ta bouche entrouverte et, entre les pans de ta robe ouverte tes beaux seins éraflés, rouges décorés de terre, cela me procure un ardent désir. Tu te redresses face à moi, nous sommes à genoux, et sans prévenir, tu plonges ta main dans mon vêtement, y touche la peau douce et chaude de mon sexe, le saisis serré et le sors. L’un en face de l’autre à se regarder, tu m’embrasses d’un coup, prête à m’arracher les lèvres, ne me laissant d’autre choix que d’ouvrir ma bouche à ta langue qui s’y engouffre, à tes dents qui me mordent et à tes lèvres qui me recouvrent. Tu branles mon phallus dur sous ta main pendant que ton autre vient rejoindre, tu la descends jusque mes bourses dont tu sens la chaleur qui en émane. Je me laisse faire, prenant plaisir à ton engouement, à ton envie de moi.
D’un battement d’ailes, tu élèves un peu ton corps l’approches du mien.. Puis redescends d’un mouvement vif enfonçant en toi l’entièreté de ma queue. Ton sexe s‘est ouvert aisément à l’entrée du mien qui a disparu profondément en toi, nous coupant ainsi le souffle.
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