Années de fac 6 et épilogue
Récit érotique écrit par Le relieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Années de fac 6 et épilogue
Fac 6Retour sur le passé
Puis après s'être assis sur le lit, il fait monter Barbara face à luiElle s'accroche à son cou et elle descend lentement son bassin à la rencontre de ce mandrin épais.
Au moment où les deux sexes se touchent je vois Barbara trembler de désir et dire"Oh oui prend moi tonton je veux ta grosse bite"Alors l'oncle la prend par les fesses et d'un seul coup de rein il se plante entièrement dans la fente de sa nièce"Allez suce bien ma queue avec ma chatte c'est bon la bite de tonton George ?"Pour toute réponse Barbara la bouche grande ouverte comme à la recherche d'air, commence un lent va et vient sur le mandrin qui doit bien la dilater. Je n'en vois pas plus Renée m'entraîne au salon, et tandis que l'on peut entendre Barbara gémir de plaisir Renée m'explique le pourquoi de ce qui ce passe.
Barbara a perdu ses parents alors qu'elle n'avait que quatre ans donc à cette époque là je n'étais pas avec George mais avec un autre homme qui est décède 10 ans plus tard après que l'on nous ai confié la garde de Barbara puis je me suis mise en ménage avec George, il me fallait bien vivre après un an de vie commune, je me suis bien aperçu que je ne lui suffisait plus assez et que George lorgnait souvent sur Barbara.
Il me semblait qu'elle non plus n'était pas indifférente aux regards de GeorgeBarbara portait des vêtements plus sexy comme si elle voulait l'exciter un peu plus.
Ce qui devait arriver arriva une nuit je me suis réveillée. George n'était plus dans le lit.
Je m'inquiétais je me levais j'ai vu une lueur dans le couloir j'ai pensé qu'il était aux toilettes en tendant l'oreille j'ai entendu chuchoter.
Je me suis levé et j'ai rejoint le couloir, la lumière provenait de la chambre de Barbara et par la porte entrebâillée j'ai vu George nu devant Barbara assise sur le lit, en train de sucer le sexe de George et vu la facilité avec laquelle elle accomplissait cela, ce ne devait pas être la première fois.
Je pouvais entendre George lui dire "allez suce moi bien salope et après je vais te baiser ». S’en était trop pour moi et je suis repartie me coucher. J’ai fait semblant de dormir quand George est venu se recoucher, il sentait le parfum de Barbara et le sexe. Bien je n’ai pas pu me rendormir.
Le lendemain matin tout s’est passé comme si de rien n’était. Mais le manége a duré un moment avant que je décide d’intervenir. Cette nuit là je suis entré dans la chambre et j’ai découvert Barbara accroupie sur George elle lui tournait le dos et George la faisait monter et descendre sur son sexe en la tenant par les hanches.
En me voyant Barbara a tenté de stopper le mouvement imposé par son oncle, mais lui ne m’ayant pas vue il tenait à pleines mains le corps frêle de Barbara pour l’agiter sur son gros mandrin comme si il se branlait.
Il a fallu que Barbara s’écrit : « non ma tante !!! »A ce cri George s’est arrêté et a fait basculer Barbara sur le coté, j’ai pu voir son gros sexe luisant de plaisir, j’ai commencé à l’injurier et à le menacer, que j’allais le dénoncer.
Lui ne s’est pas démonté, il s’est levé et il m’a mis une gifle magistrale ce qui m’a clouée sur place, et George en a profité pour me passer la main sur le sexe et me mettre deux doigts dans la chatte.
« Mais tu mouilles salope, t’es une gouine ou bien t’as envie de ma queue ». Ce faisant il me pousse vers le lit où je m’écroule sur le dos, et aussitôt, écartant mes jambes il m’enfonce sa grosse queue dans la chatte.
« Toi la petite salope, viens te faire lécher la chatte par ta tante ».
Barbara est vraiment sous sa domination, vient au dessus de ma bouche pour se faire lécher la fente.
Depuis mon premier mariage je n’avais plu goûté à une femme, la chatte de Barbara sentait bon le sexe, et je l’ai sucé jusqu’à la jouissance. Elle a un clito aussi gros que le mien, et des babines longues et délicieuses, et je ne te parle pas de son trou de femme, c’est un régal, elle jute tellement que ça coule tout seul dans la bouche.
Et depuis ce jour, nous avons fait ménage à trois. George ne m’a pas laissé le choix, et je n’ai pas refusé, il y a les études de Barbara, mais aussi le plaisir commun.
« Maintenant que tu sais tout, on va retourner les voir on pourra peut être baiser tous les quatre !!!!. »Nous arrivons dans la chambre, Barbara et à quatre pattes entre les jambes de Georges elle est en train de le sucer.
« Nettoie bien ma queue qu’il ne reste rien avant que je te la remette dans la fente !!! »Je vois la chatte bien ouverte de Barbara qui dégouline de sperme. Renée s’approche et elle pince le gros bourgeon en le faisant ressortir plus de son capuchon et de son autre main elle étire les petites lèvres au maximum. Si elle continu je vais jouir sans même me toucher. Puis Renée se penche un peu plus et elle lèche tout cet étalage de chairs gluantes, c’en est trop je viens derrière Renée et le premier trou que trouve ma bite je m’y enfonce et en l’occurrence c’est son petit cul, deux allers retours et je décharge un flot de sperme au fond du cul de Renée.
J’entends George qui prévient Barbara qu’il va jouir et qu’elle le prenne bien au fond de sa gorge.
Tant que je bande je reste entre les fesses de Renée. Barbara s’écroule au coté de George qui commence à s’endormir Barbara est collée contre lui, Renée et moi-même restons sans bouger puis George s’endort alors Renée me repousse et elle me dit : « prends Barbara avec toi et va la coucher dans ton studio je m’arrangerai avec George !!!! »
Je prends Barbara dans mes bras, elle repose sa tête sur mon épaule et elle s’accroche à mon cou.
Renée prend nos vêtements et tous les trois nous prenons l’escalier qui monte au premier. Voir les grosses fesses de Renée qui ondulent devant moi à chaque marche me donne de nouveau de la vigueur.
Arrivés dans mon studio je dépose Barbara sur le lit mais au moment où je veux mettre le drap sur elle ; Renée la fait mettre à quatre pattes et elle me dit : « viens la fourrer tu l’as mérité !!!! »Je ne me fais pas prier je monte sur le lit entre les jambes de Barbara, Renée s’empare de ma queue et la frotte tout le long du sillon d’amour et puis elle choisi le petit trou, je m’y enfonce sans mal, George a du passer par là, le conduit semble déjà bien lubrifié, bien que le passage soit facile, le reste du conduit est serré. Je m’enfonce avec délice dans cette gaine chaude et serrée.
Epilogue
Renée m’embrasse et nous laisse, voilà c’est la première fois que je fais l’amour avec Barbara. Ce ne sera pas la dernière, Barbara et moi nous avons continué de voir Renée et George, pour des week-end de sexe, puis à la fin de nos études nous nous sommes mariés, nous avons continué de rencontrer Renée, George et bien sur tante Danielle.
A ce jour où je vous écrit cette histoire, nous habitons dans l’appartement de Danielle, et nous louons les deux studios à des étudiants, la maison de Renée c’est notre résidence secondaire, nous n’avons jamais pu nous résoudre à vendre ni la maison ni l’appartement, trop de souvenirs dans ces murs.
Nous n’avons pas eu d’enfant et nous ne sommes pas loin de la retraite, nous venons de vendre notre étude de notaire.
Barbara et moi avons décidé de nous occuper de nos petits locataires en souvenir des tantes et de l’oncle.
Puis après s'être assis sur le lit, il fait monter Barbara face à luiElle s'accroche à son cou et elle descend lentement son bassin à la rencontre de ce mandrin épais.
Au moment où les deux sexes se touchent je vois Barbara trembler de désir et dire"Oh oui prend moi tonton je veux ta grosse bite"Alors l'oncle la prend par les fesses et d'un seul coup de rein il se plante entièrement dans la fente de sa nièce"Allez suce bien ma queue avec ma chatte c'est bon la bite de tonton George ?"Pour toute réponse Barbara la bouche grande ouverte comme à la recherche d'air, commence un lent va et vient sur le mandrin qui doit bien la dilater. Je n'en vois pas plus Renée m'entraîne au salon, et tandis que l'on peut entendre Barbara gémir de plaisir Renée m'explique le pourquoi de ce qui ce passe.
Barbara a perdu ses parents alors qu'elle n'avait que quatre ans donc à cette époque là je n'étais pas avec George mais avec un autre homme qui est décède 10 ans plus tard après que l'on nous ai confié la garde de Barbara puis je me suis mise en ménage avec George, il me fallait bien vivre après un an de vie commune, je me suis bien aperçu que je ne lui suffisait plus assez et que George lorgnait souvent sur Barbara.
Il me semblait qu'elle non plus n'était pas indifférente aux regards de GeorgeBarbara portait des vêtements plus sexy comme si elle voulait l'exciter un peu plus.
Ce qui devait arriver arriva une nuit je me suis réveillée. George n'était plus dans le lit.
Je m'inquiétais je me levais j'ai vu une lueur dans le couloir j'ai pensé qu'il était aux toilettes en tendant l'oreille j'ai entendu chuchoter.
Je me suis levé et j'ai rejoint le couloir, la lumière provenait de la chambre de Barbara et par la porte entrebâillée j'ai vu George nu devant Barbara assise sur le lit, en train de sucer le sexe de George et vu la facilité avec laquelle elle accomplissait cela, ce ne devait pas être la première fois.
Je pouvais entendre George lui dire "allez suce moi bien salope et après je vais te baiser ». S’en était trop pour moi et je suis repartie me coucher. J’ai fait semblant de dormir quand George est venu se recoucher, il sentait le parfum de Barbara et le sexe. Bien je n’ai pas pu me rendormir.
Le lendemain matin tout s’est passé comme si de rien n’était. Mais le manége a duré un moment avant que je décide d’intervenir. Cette nuit là je suis entré dans la chambre et j’ai découvert Barbara accroupie sur George elle lui tournait le dos et George la faisait monter et descendre sur son sexe en la tenant par les hanches.
En me voyant Barbara a tenté de stopper le mouvement imposé par son oncle, mais lui ne m’ayant pas vue il tenait à pleines mains le corps frêle de Barbara pour l’agiter sur son gros mandrin comme si il se branlait.
Il a fallu que Barbara s’écrit : « non ma tante !!! »A ce cri George s’est arrêté et a fait basculer Barbara sur le coté, j’ai pu voir son gros sexe luisant de plaisir, j’ai commencé à l’injurier et à le menacer, que j’allais le dénoncer.
Lui ne s’est pas démonté, il s’est levé et il m’a mis une gifle magistrale ce qui m’a clouée sur place, et George en a profité pour me passer la main sur le sexe et me mettre deux doigts dans la chatte.
« Mais tu mouilles salope, t’es une gouine ou bien t’as envie de ma queue ». Ce faisant il me pousse vers le lit où je m’écroule sur le dos, et aussitôt, écartant mes jambes il m’enfonce sa grosse queue dans la chatte.
« Toi la petite salope, viens te faire lécher la chatte par ta tante ».
Barbara est vraiment sous sa domination, vient au dessus de ma bouche pour se faire lécher la fente.
Depuis mon premier mariage je n’avais plu goûté à une femme, la chatte de Barbara sentait bon le sexe, et je l’ai sucé jusqu’à la jouissance. Elle a un clito aussi gros que le mien, et des babines longues et délicieuses, et je ne te parle pas de son trou de femme, c’est un régal, elle jute tellement que ça coule tout seul dans la bouche.
Et depuis ce jour, nous avons fait ménage à trois. George ne m’a pas laissé le choix, et je n’ai pas refusé, il y a les études de Barbara, mais aussi le plaisir commun.
« Maintenant que tu sais tout, on va retourner les voir on pourra peut être baiser tous les quatre !!!!. »Nous arrivons dans la chambre, Barbara et à quatre pattes entre les jambes de Georges elle est en train de le sucer.
« Nettoie bien ma queue qu’il ne reste rien avant que je te la remette dans la fente !!! »Je vois la chatte bien ouverte de Barbara qui dégouline de sperme. Renée s’approche et elle pince le gros bourgeon en le faisant ressortir plus de son capuchon et de son autre main elle étire les petites lèvres au maximum. Si elle continu je vais jouir sans même me toucher. Puis Renée se penche un peu plus et elle lèche tout cet étalage de chairs gluantes, c’en est trop je viens derrière Renée et le premier trou que trouve ma bite je m’y enfonce et en l’occurrence c’est son petit cul, deux allers retours et je décharge un flot de sperme au fond du cul de Renée.
J’entends George qui prévient Barbara qu’il va jouir et qu’elle le prenne bien au fond de sa gorge.
Tant que je bande je reste entre les fesses de Renée. Barbara s’écroule au coté de George qui commence à s’endormir Barbara est collée contre lui, Renée et moi-même restons sans bouger puis George s’endort alors Renée me repousse et elle me dit : « prends Barbara avec toi et va la coucher dans ton studio je m’arrangerai avec George !!!! »
Je prends Barbara dans mes bras, elle repose sa tête sur mon épaule et elle s’accroche à mon cou.
Renée prend nos vêtements et tous les trois nous prenons l’escalier qui monte au premier. Voir les grosses fesses de Renée qui ondulent devant moi à chaque marche me donne de nouveau de la vigueur.
Arrivés dans mon studio je dépose Barbara sur le lit mais au moment où je veux mettre le drap sur elle ; Renée la fait mettre à quatre pattes et elle me dit : « viens la fourrer tu l’as mérité !!!! »Je ne me fais pas prier je monte sur le lit entre les jambes de Barbara, Renée s’empare de ma queue et la frotte tout le long du sillon d’amour et puis elle choisi le petit trou, je m’y enfonce sans mal, George a du passer par là, le conduit semble déjà bien lubrifié, bien que le passage soit facile, le reste du conduit est serré. Je m’enfonce avec délice dans cette gaine chaude et serrée.
Epilogue
Renée m’embrasse et nous laisse, voilà c’est la première fois que je fais l’amour avec Barbara. Ce ne sera pas la dernière, Barbara et moi nous avons continué de voir Renée et George, pour des week-end de sexe, puis à la fin de nos études nous nous sommes mariés, nous avons continué de rencontrer Renée, George et bien sur tante Danielle.
A ce jour où je vous écrit cette histoire, nous habitons dans l’appartement de Danielle, et nous louons les deux studios à des étudiants, la maison de Renée c’est notre résidence secondaire, nous n’avons jamais pu nous résoudre à vendre ni la maison ni l’appartement, trop de souvenirs dans ces murs.
Nous n’avons pas eu d’enfant et nous ne sommes pas loin de la retraite, nous venons de vendre notre étude de notaire.
Barbara et moi avons décidé de nous occuper de nos petits locataires en souvenir des tantes et de l’oncle.
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