Le peintre et sa muse chapitre 12 2
Récit érotique écrit par Le relieur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le peintre et sa muse chapitre 12 2
Le peintre et sa museChapitre 12/2Déplacement pour une exposition
Tout le long de la route j'ai pu me régaler de la vue des belles cuisses d'Annie, en passant ma main dessus et jusqu'à sa fente disponible, recevant mes doigts dès que la route le permettait. Et c'est dans un état d'excitation pas possible que nous nous sommes arrêtés devant une petite auberge sympa.
Avant d'entrer Annie me dit :- Je dois aller me rafraîchir tu m'as rendue dingue avec tes attouchements je dégouline.
- J'ai senti ma chérieet j'adore ça.
Si je pouvais je te mangerais la chatte, là, devant la porte.
- Arrête je vais jouir rien que d'y penser.
- Nous entrons dans l'auberge et juste à côté de l'entrée, deux tables sont déjà occupées par plusieurs hommes, l'aubergiste nous accueille et nous donne une table dans le fond en nous disant :- Vous serez plus au calme pour déjeuner, à l'entrée ce sont des routiers et ils sont toujours un peu bruyants.
Après nous être installés, Annie, sur la banquette dos au mur les fesses nues sur la banquette, cherche les toilettes du regard.
Et quand le patron nous apporte la carte elle lui demande où se trouvent les toilettes.
Après le bar dit-il en lui montrant la direction.
Annie quelque peu pressée se dépêche de gagner les toilettes, en passant devant les deux tables de routiers, sans remarquer qu'ils la suivent du regard avec un sourire complice.
J'entends un des hommes dire "Je vais aux toilettes" et un autre dire "Je te suis", mais je ne prête pas plus attention surtout que le patron vient prendre la commande, je choisis et il me dit : "Et pour votre dame ?"Je connais les goûts d'Annie donc je choisis pour elle trouvant quand même étonnant qu'elle prenne autant de temps pour aller aux toilettes.
Juste au moment où on nous apporte le repas Annie revient seulement des toilettes.
Rouge comme un coquelicot elle reprend sa place- Il t’en a fallu du temps.
- Pour faire ce que j'avais à faire il m'a fallu tout ce temps.
- Explique-moi !
Je t’ai laissé pour aller aux toilettes, le patron de l’auberge m’a indiqué le lieu, et je m’y suisrendue.
Mais arrivée là sur les toilettes pour dame, une affiche indiquait « hors service ».
Donc je n’ai pas eu le choix et je suis entrée dans les toilettes pour homme.
Il y avait une série d’urinoirs pour les hommes et une seule cabine, mais quand j’ai vouluy entrer, la porte était condamnée et j’avais trop envie alors il ne me restait qu'une seule solution.
- Et laquelle ?
- Et bien utiliser un urinoir !
- Tu rigoles ?
- Non, j’ai relevé ma robe et je me suis approchée d’un urinoir, puis je me suis arquée en arrière et en étirant ma vulve vers le haut j’ai commencé à uriner.
- Et cela t’a pris tout ce temps ?
Mais non ! À ce moment la porte des toilettes s’est ouverte et trois hommes sont entrésbrusquement, les routiers.
Deux m’ont prise sous les cuisses et en me tenant dans le dos en me disantOn va t’aider ma jolie !
- Tu sais, quand je commence à faire pipi j’ai du mal à m’arrêter.
- Et alors la suite ?
- Le troisième est venu étirer ma chatte en me prenant à pleine main.
Mais alors que je pensais uriner dans l’urinoir ils m’ont tournée de l’autre côté et j’ai fini defaire pipi par terre.
- C’est tout ?
- Non ensuite ils m’ont reposée en m’empêchant de rabaisser ma jupe et en me disant :« On t’a bien aidée sur ce coup là, à toi maintenant de nous faire plaisir ».
Deux des hommes ont ouvert leur braguette pour exhiber deux beaux sexes bien tendus.
Et j’ai dû me pencher pour les sucer alternativement, j’ai bien tenté de prendre les deux en même temps pour aller plus vite mais c’était impossible.
Et soudain j’ai senti un doigt entrer dans mon vagin et un pouce branler mon clitoris.
Le troisième homme s’est écrié « Putain la salope elle mouille je vais te fourrer mon gourdintu va t’en souvenir ! »Et sans plus attendre il a posé une chose énorme à l’entrée de mon vagin ; il m’a attrapée parles hanches et tout en avançant et en tirant sur moi il m’a enfoncé un gourdin énorme.
Un autre sexe bien enfoncé dans la bouche m’a empêché d’hurler tellement j’avais mal car le sexe était énorme j’ai cru qu’il me déchirait, il a attendu que je me calme un peu et que mon vagin se détende un peu, et il m’a attirée de nouveau à lui m’enfonçant la totalité de son sexe, bien que d’un diamètre hors normes son sexe était plutôt court, mais voilà son gland s’est mis à frotter juste là où il faut pour me faire partir.
Et tandis qu’il me barattait le sexe, je suçais les deux autres queues comme une folle et de ce fait les deux hommes se sont déversés dans ma bouche et j’ai dû avaler leur sperme.
Le troisième a accéléré le mouvement et au moment où j’ai eu mon orgasme il est sorti de mon sexe pour venir me faire goûter sa semence en me traitant de salope, de trou àbite, mais cette fois ci il y avait trop de sperme et j’en ai pris sur le visage, dans les cheveux, et ils m’ont laissé seule pour faire un brin de toilette et me voilà.
- Tout ce temps pour un brin de toilette ?
Disons qu’avant de nous rendre à la galerie nous passerons à l’hôtel pour une bonne douche et te changer, mais pour l’instant mange je t’ai pris une salade comme pour moi.
Je t’aime- Moi aussi Françoisavec toi je suis prête à tout.
Tout le long de la route j'ai pu me régaler de la vue des belles cuisses d'Annie, en passant ma main dessus et jusqu'à sa fente disponible, recevant mes doigts dès que la route le permettait. Et c'est dans un état d'excitation pas possible que nous nous sommes arrêtés devant une petite auberge sympa.
Avant d'entrer Annie me dit :- Je dois aller me rafraîchir tu m'as rendue dingue avec tes attouchements je dégouline.
- J'ai senti ma chérieet j'adore ça.
Si je pouvais je te mangerais la chatte, là, devant la porte.
- Arrête je vais jouir rien que d'y penser.
- Nous entrons dans l'auberge et juste à côté de l'entrée, deux tables sont déjà occupées par plusieurs hommes, l'aubergiste nous accueille et nous donne une table dans le fond en nous disant :- Vous serez plus au calme pour déjeuner, à l'entrée ce sont des routiers et ils sont toujours un peu bruyants.
Après nous être installés, Annie, sur la banquette dos au mur les fesses nues sur la banquette, cherche les toilettes du regard.
Et quand le patron nous apporte la carte elle lui demande où se trouvent les toilettes.
Après le bar dit-il en lui montrant la direction.
Annie quelque peu pressée se dépêche de gagner les toilettes, en passant devant les deux tables de routiers, sans remarquer qu'ils la suivent du regard avec un sourire complice.
J'entends un des hommes dire "Je vais aux toilettes" et un autre dire "Je te suis", mais je ne prête pas plus attention surtout que le patron vient prendre la commande, je choisis et il me dit : "Et pour votre dame ?"Je connais les goûts d'Annie donc je choisis pour elle trouvant quand même étonnant qu'elle prenne autant de temps pour aller aux toilettes.
Juste au moment où on nous apporte le repas Annie revient seulement des toilettes.
Rouge comme un coquelicot elle reprend sa place- Il t’en a fallu du temps.
- Pour faire ce que j'avais à faire il m'a fallu tout ce temps.
- Explique-moi !
Je t’ai laissé pour aller aux toilettes, le patron de l’auberge m’a indiqué le lieu, et je m’y suisrendue.
Mais arrivée là sur les toilettes pour dame, une affiche indiquait « hors service ».
Donc je n’ai pas eu le choix et je suis entrée dans les toilettes pour homme.
Il y avait une série d’urinoirs pour les hommes et une seule cabine, mais quand j’ai vouluy entrer, la porte était condamnée et j’avais trop envie alors il ne me restait qu'une seule solution.
- Et laquelle ?
- Et bien utiliser un urinoir !
- Tu rigoles ?
- Non, j’ai relevé ma robe et je me suis approchée d’un urinoir, puis je me suis arquée en arrière et en étirant ma vulve vers le haut j’ai commencé à uriner.
- Et cela t’a pris tout ce temps ?
Mais non ! À ce moment la porte des toilettes s’est ouverte et trois hommes sont entrésbrusquement, les routiers.
Deux m’ont prise sous les cuisses et en me tenant dans le dos en me disantOn va t’aider ma jolie !
- Tu sais, quand je commence à faire pipi j’ai du mal à m’arrêter.
- Et alors la suite ?
- Le troisième est venu étirer ma chatte en me prenant à pleine main.
Mais alors que je pensais uriner dans l’urinoir ils m’ont tournée de l’autre côté et j’ai fini defaire pipi par terre.
- C’est tout ?
- Non ensuite ils m’ont reposée en m’empêchant de rabaisser ma jupe et en me disant :« On t’a bien aidée sur ce coup là, à toi maintenant de nous faire plaisir ».
Deux des hommes ont ouvert leur braguette pour exhiber deux beaux sexes bien tendus.
Et j’ai dû me pencher pour les sucer alternativement, j’ai bien tenté de prendre les deux en même temps pour aller plus vite mais c’était impossible.
Et soudain j’ai senti un doigt entrer dans mon vagin et un pouce branler mon clitoris.
Le troisième homme s’est écrié « Putain la salope elle mouille je vais te fourrer mon gourdintu va t’en souvenir ! »Et sans plus attendre il a posé une chose énorme à l’entrée de mon vagin ; il m’a attrapée parles hanches et tout en avançant et en tirant sur moi il m’a enfoncé un gourdin énorme.
Un autre sexe bien enfoncé dans la bouche m’a empêché d’hurler tellement j’avais mal car le sexe était énorme j’ai cru qu’il me déchirait, il a attendu que je me calme un peu et que mon vagin se détende un peu, et il m’a attirée de nouveau à lui m’enfonçant la totalité de son sexe, bien que d’un diamètre hors normes son sexe était plutôt court, mais voilà son gland s’est mis à frotter juste là où il faut pour me faire partir.
Et tandis qu’il me barattait le sexe, je suçais les deux autres queues comme une folle et de ce fait les deux hommes se sont déversés dans ma bouche et j’ai dû avaler leur sperme.
Le troisième a accéléré le mouvement et au moment où j’ai eu mon orgasme il est sorti de mon sexe pour venir me faire goûter sa semence en me traitant de salope, de trou àbite, mais cette fois ci il y avait trop de sperme et j’en ai pris sur le visage, dans les cheveux, et ils m’ont laissé seule pour faire un brin de toilette et me voilà.
- Tout ce temps pour un brin de toilette ?
Disons qu’avant de nous rendre à la galerie nous passerons à l’hôtel pour une bonne douche et te changer, mais pour l’instant mange je t’ai pris une salade comme pour moi.
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