Le peintre et sa muse chapitre 13

- Par l'auteur HDS Le relieur -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le peintre et sa muse chapitre 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2019 dans la catégorie Plus on est
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Le peintre et sa muse chapitre 13
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Oui, je sais, depuis que je connais François, je passe beaucoup de temps pour des moments de folie avec lui, seule ou avec lui et mon homme Bernard.
Mais je ne dois pas oublier que c’est un artiste peintre et qu’il a des expositions. Ainsi en ce moment il est à Lille où une galerie expose ses œuvres.
Il y est encore durant deux jours.
Je n'étais pas très heureuse que durant une semaine je sois délaissée, surtout qu’en même temps, mais pour trois semaines, mon homme est parti lui aussi en cure dans les Pyrénées.

Quand mes deux hommes sont partis me laissant seule et désoeuvrée, j’ai eu l’impression d’un vide soudain dans ma vie, j’avais eu beau les bouder je dirai même leur faire la gueule et même me refuser à leurs avances tant pis pour eux, mais maintenant il me semblait que c’était tant pis pour moi et j’étais déjà en manque pourtant ils étaient partis depuis la veille.

Ce soir, François m’a promis de me téléphoner pour me donner de ses nouvelles et me confirmer le jour de son retour.
D'ailleurs le téléphone sonne.
Je décroche, c'est lui. Mon cœur bat la chamade comme une gamine amoureuse.
- Bonjour François, tu me manques.
- Toi aussi.
- Est ce bien vrai ? Alors tu reviens quand ?
- Dans deux jours et je viendrai te voir.
- Oh oui, je te rappelle que Bernard est en cure, on pourra faire des folies à deux.
- J'y compte bien.

François sens qu'Annie est en manque, il la connaît bien à présent et il reconnaît au son de sa voix qu'elle est excitée.
- Tu sais que tes absences sont dures pour moi.

- Oui mais tu avait dit avoir du travail avec tes fleurs, ton jardin. Et tu voulais profiter pour jardiner après le départ de Bernard pour sa cure et moi pour mes expos.

- Cela m'a occupé un peu mais j'avoue qu'au bout de trois jours j'en avais marre et envie d'autres choses.
- Ah bon et envie de quoi ?
- De toi, de mon homme qui n'étiez pas là, alors j'ai dû trouver autre chose pour me satisfaire.
- Quoi tu veux dire que.....
- Oui que je me suis permise une petite escapade.
- Où cela? Avec qui ? Comment ? Dis moi vite.
"Tu te souviens du sexe shop où tu m'as emmené récemment ? Eh bien hier, en rangeant mon sac à main, j'ai retrouvé la carte avec le numéro de téléphone que m'avait donné le vendeur.

J'ai hésité et étant seule, désoeuvrée, j'ai décidé d'y retourner.
Il me l'avait proposé, après l'achat de la robe en me disant qu'il valait mieux le prévenir.
Je l'ai appelé, il s'est souvenu de moi et m'a proposé que je vienne vers 18 heures pour pouvoir mieux se consacrer à moi.
Donc 18 heures, j'entre. Il est derrière son comptoir.......... Il me sourit, il est comme je me souviens de lui, jeune, assez musclé.
Moi je ne voulais pas choquer en me déplaçant en ville. J''ai mis mon tailleur strict bleu, jupe courte et veste avec un col en v, mes escarpins et mon sac à main.
Comme il fait bon, je suis jambes nues.
- Bonjour chère Madame, alors de retour chez moi et seule cette fois-ci ?
- Oui, comme vous me l'aviez proposé et pour découvrir un peu mieux votre magasin.
- Et en cette fin de journée, que voulez-vous connaître ?
- Si vous avez le temps, guidez-moi.
- Venez.
Je le suis, nous allons vers les revues et il en prend quelques unes et me les montre et me précisant qu'elles sont classées par thème et qu'il me recommande, comme je suis une femme mature avec une forte poitrine, d'en choisir, pour mon homme (dit-il, il doit penser à toi) de femmes bien bustées.
J'en regarde quelques unes, lui à mes côtés, cherchant à découvrir ce que cache ma veste encore fermée.

Nous poursuivons et arrivons aux vibromasseurs et autres sex toys.
Cela m'intéresse bien mieux. Je vois au loin un homme qui regarde des cassettes, il est éloigné de nous donc j'ose bavarder avec le vendeur qui m'explique à quoi servent ces jouets. J'ai plein de choses à apprendre !
Et je m'étonne à être si directe mais je m'intéresse surtout aux godes longs et épais.
Il s'en rend compte et m'en présente des énormes.
Il en déballe même trois un rose couleur chair, un noir et un autre qui a le contour très bosselé. Je les touche, les regarde, j’en ai des frissons partout, rien qu’à leur contact. Ma veste se tend et mes joues rougissent. Je me vois ainsi dans une glace.
Alors il me propose, sentant que j'ai chaud, d'ouvrir ou de retirer ma veste.
Je fais celle qui hésite mais je n'ai qu'une envie c'est de me dénuder.
Je déboutonne ma veste et il voit dessous que je ne porte ni chemisier ni pull mais qu'un beau soutien gorge Aubade, blanc et balconnet.
- Retirez donc votre veste.
- Pas possible je ne peux pas rester en soutien-gorge dans le magasin.
- Et pourquoi pas, nous sommes seuls.
- Nous, voyez là-bas, il y a un autre homme.
- Oui c'est vrai mais rassurez-vous c'est un habitué des lieux, il vient surtout pour emprunter des films, il ne sera pas choqué.
- Vous croyez ?
Et il me retire ma veste, la pose et me regarde. Ses yeux sont devenus plus vifs, plus coquins aussi. Moi cela me fait mouiller mais il ne le sait pas.
Et pire encore il me propose de retirer ma jupe, voulant voir l'ensemble coordonné que je porte soutien gorge culotte.
Et j'obéis, je retire la jupe, la lui tends il découvre mon string blanc très étroit.
Je dois reconnaître que cela me plait et je me rends de plus en plus compte que je suis exhibitionniste !
Il a toujours en mains les trois vibros. Sans perdre le nord il me dit qu'il est possible, avant d'acheter, d'essayer pour voir lequel est le mieux.
Je fais celle qui est choquée, outrée d'une telle proposition mais il me certifie que les femmes ont cette habitude.
- Non je ne vous crois pas- Si je vous le garantis, nous avons au sous-sol des pièces et dans l'une il y a fauteuils et canapé pour se mettre à l'aise et faire les essais.
- Incroyable, une pièce qui au moins se ferme à clé ?
- Oui si la femme le veut mais elle peut aussi laisser la porte ouverte.
- Et il peut y avoir des voyeurs ?
- Si la femme le désire, oui, d'ailleurs l'homme là-bas qui choisit des films, il a déjà été souvent voyeur de cela.
Je n'en reviens pas, ou si, je trouve cela d'un érotisme torride.
Il me prend par la main, je le suis.
Nous passons à côté de l'homme inconnu. Il doit avoir trente ans, ressemble à un rugbyman. Il me salue.
Nous descendons l'escalier, passons devant quelques pièces et entrons dans une salle petite avec un canapé et trois fauteuils.
Je m'assieds sur le canapé et lui se met face à moi dans un fauteuil. Il me tend le premier : couleur chair, il fait très réel mais est long et épais.
- Je ne pourrai jamais le mettre- Si , si, essayez.
- Aidez moi, retirez mon string.
C'est ce qu'il fait et il découvre mon sexe lisse, enfin il le redécouvre puisque lors de ma première visite chez lui il a pu le voir, mais pas d'aussi près.
Il voit bien mes lèvres longues et charnues, mon mont de venus rebondi.
Il est penché vers moi et retire sa chemise. Son torse est glabre, dommage, moi qui aime tant les hommes velus. Mais de nos jours, c'est vrai que les jeunes hommes se rasent.
Je prends le gode en main, écarte mes jambes et penchée je cherche ma fente.
Je le fais glisser entre les lèvres qui sont trempées et je pousse.
Je pousse doucement.
Il entre lentement et je sens comme mon vagin s'ouvre. Il s'enfonce dans les profondeurs de mon sexe et enfouit en moi, je garde mes deux mains sur son extrémité et je me mets en arrière.
Dans cette position à moitié allongée, je commence à le faire coulisser sous les yeux pleins d'envie du jeune vendeur qui est assis face a moi.
Et je le vois qui se met nu.
Son corps est tel que je l'imaginais glabre, musclé, un corps de jeune et son sexe est beau il est long, pas trop gros, comme une épée. Pas un poil autour, cela augmente l'impression de longueur. Assis dans le fauteuil il se masturbe moi je me masturbe on se regarde yeux dans les yeux. Et presque en même temps nous émettons des cris de plaisir, preuves de nos jouissances respectives. Malgré le plaisir qui m'inonde, je vois ses jets puissants de sperme qui sortent, qui giclent et tombent au sol. Quel dommage ! Après ces instants d'intenses plaisirs, nous nous reposons, son sexe pend entre ses cuisses ouvertes, mon sexe est vide et trempé.
J'entends un bruit, des pas, la porte de la pièce apparaît le client qui était dans le magasin. Sans demander la permission il entre et s'assied dans le second fauteuil, toujours face à moi.
- J'aime les femmes qui jouissent bruyamment.
- Merci mais je suis désolée si je vous ai dérangée par mes gémissements.
- Ne vous excusez pas, c'est si beau et si excitant.
Je me surprends à rester dans ma position, face à deux inconnus, toujours en escarpins et avec mon soutien gorge balconnet qui redresse bien mes seins. Mais le nouvel arrivant s'approche de moi et mettant ses mains dans mon dos, sans que je ne réagisse, il dégrafe mon sg et le garde en mains. Je vois mes mamelles dressés, mes aréoles larges et brunes qui se fripent et mes tétons plutôt épais qui allongent. Mes deux mâles les regardent aussi.
Je ne sais comment réagir, et c'est le jeune vendeur qui me provoque :- Comment avez-vous trouvé le gode ?
- Super, gros et long, il m'a bien écarté et j'ai bien joui.
- Il faudra comparer avec un autre, le noir.
- Je ne sais pas, je n'oserais pas.
- Et si c'est moi qui l'enfonce en vous?
- Oui, alors peut être.
Et pour bien montrer mon consentement, je m'allonge sur le canapé, je monte mes jambes et je me tiens mes deux seins. Les deux hommes se lèvent. Alors que le vendeur me fait sucer le gode en l'entrant dans ma bouche, l'autre se met nu.
Je le vois, pas de poils sur la poitrine des bras et des cuisses très musclés et un sexe entouré d'une touffe de poils noirs.
Il semble plus petit mais il doit avoir la même longueur que le chibre du vendeur.
Par contre il est recourbé vers le haut.
Je me caresse mes tétons entre mes doigts, je tourne, je tire alors que le gars au sexe recourbé est debout à côté de ma tête et se masturbe et que le vendeur, lui, est en entrain de faire glisser un sexe noir, aussi gros que le premier, dans mon sexe qui coule. Mes yeux sont fixés sur le mâle qui astique son bâton, mon esprit sent les sensations de ce morceau dur qui maintenant arrive au fond de mon vagin.
Je contracte mes muscles vaginaux pour bien sentir le vibromasseur qui coulisse de plus en plus vite et c'est si bon, si fort qu'à un moment donné, alors que je jouis, j'expulse de mon sexe cet objet monstrueux et des giclées de cyprine sortent de ma fente, c'est comme une petite éjaculation, ce qui m'arrive souvent par une grande jouissance.
Le jeune vendeur est surpris mais je l'entends dire "Une femme fontaine, super". Son copain, lui, ne peut se retenir et il éjacule une belle quantité de sperme sur mon ventre, sur mes seins. Je ne peux pas m'empêcher d'étaler cette bonne crème sur mes mamelles.
Je viens de jouir pour la seconde fois.
Je me sens si bien avec ces deux hommes, dans cette pièce à la lumière tamisée.
Et ils me prennent par les mains, je me lève.
Ils ont envie de se coller à moi, je me laisse faire.
Le vendeur face à moi malaxe mes seins, l'autre derrière moi caresse ma nuque, mon dos, mes fesses. Ils se mettent assis sur le canapé, l'un à côté de l'autre et m'invitent à m'allonger sur le dos, sur leurs cuisses. C'est ce que je fais. Je me retrouve, ma tête et mon buste au niveau de mon rugbyman et mon sexe et mes cuisses au niveau de mon vendeur.
Je me sens bien, je ferme les yeux, quatre mains me caressent et sous moi, dans ma nuque et au niveau de mes fesses, je suis couchée sur des bosses qui semblent se réveiller.
- Oui, caressez moi.
- Tu aimes quoi ?
- Joue avec mes gros pis et étire mes tétines.
- Et tu aimes quoi aussi ?
- Tourne autour de mon clito, lisse ma moule.
Je ne me reconnais plus, osant dire des mots crus. Ah si Bernard et François m'entendaient !
Et puis je sens que mon jeune vendeur qui s'occupe de ma moule me fait sentir un objet, oui c'est le troisième vibromasseur, celui qui, en plus d'être long et gros, a aussi une apparence qui peut ressembler à de grosses veines mais alors très grosses veines. Il n'est pas régulier mais est "bosselé" je dirais.
Le rugbyman me fait mettre mes deux bras et arrière, derrière ma tête. Il prends dans ses mains mes deux seins et commence à les étirer, les malaxer, comme j'aime.
Le vendeur pousse doucement le vibro dans mon sexe. Je découvre une sensation nouvelle car il n'est pas, comme un sexe d'homme, lisse et régulier.
Il me fait plutôt penser (et à cette pensée je rougis de honte) à un légume comme un concombre, grumeleux, bosselé.
Sous l'action de ces deux jeunes mâles, je sens monter le plaisir. Je sens que cela sera fort, alors je dis, je crie même à l'attention de celui qui maltraite mes mamelles "Oui, oui, pince-moi, tire mes tétons". Et moi je resserre mes jambes, mes cuisses, le croise mes jambes pour mieux sentir le membre qui est au fond de ma chatte et je dis à celui qui s'occupe de mon bas " Cherche mon bouton, décalotte-le, astique-le, tourne autour de lui".
La jouissance vient, doucement, le plaisir monte, monte et éclate. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.......encore.....................c'est fort........................ continuez.
Je me mets à bouger, à soulever mes hanches, mes fesses, à me tortiller pour bien sentir et faire durer la jouissance, les jouissances car j'ai deux orgasmes qui se suivent. C'est comme si je perdais connaissance et quand je retrouve mes esprits, je sens quatre mains qui me caressent tendrement. Mon sexe est vide mais je le sens encore tout ouvert, trempé.
Je remercie mes deux jeunes mâles, nous nous levons, je me rhabille en remettant mon tailleur strict. Mais sans sous vêtements. Le vendeur a voulu garder mon string et l'autre a gardé mon soutien-gorge. J'ai aussi cédé à leur demande, leur confier mon numéro de portable. Comment aurais-je pu refuser après tout le plaisir qu'ils m'ont donné !

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