Annie & Gaston "La rencontre" Partie 1 - histoire érotique

Ayant évoqué ce couple dans un texte sur Giovanna, je me dois de raconter un peu ma rencontre avec ce couple d’amis de longue date. Un couple adorable, bons vivants, toujours partants pour les plus folles soirées.

Annie et Gaston c’est une vielle histoire entre eux, elle avait 15 ans quand ils se sont connus, tous les deux dans des petits pays, la ruralité. Des amis simples sans complexes, qui privilégient l’amitié, bien avant les performances ou l’apparence. Gaston est le patron d’une petite société artisanale œuvrant dans la publicité. Annie sa compagne est sa secrétaire, co dirigeante de cette petite société. Il y a si longtemps que je les connais, çà doit remonter aux années 80. Plein boum du minitel c’est ainsi que j’ai fini par discuter avec Gaston. Il est toujours a la recherche de partenaires, couples, hommes ou femmes. Pour pimenter les soirées. Que dire de Gaston.. Un petit bonhomme, jovial, épicurien, il me fait penser a un faune. Bon vin, bons mets, sexe sans tabous. Petit, un peu rond, châtain qui commençait a se déplumer, cela ne s'est pas arrangé. Bisexuel, une belle queue, insatiable. Annie, jolie petite blonde a cheveux courts, bien faite, des seins superbes avec des tétons comme je les adore, gros, durs, granuleux.. Une chatte pas épilée mais si peu poilue que se raser serait idiot. Pas de tabou chez elle, ce serait impossible avec Gaston et depuis longtemps ils ont pratiqué non pas l’échangismes mais les soirées a plusieurs. Comme moi Gaston ne conçoit pas de simplement switcher de partenaire, on fait l’amour a 3,4,12 mais tous dans le même lieu caressant, aimant au hasard du moment. L’orgie quoi.

Ma rencontre avec eux fut contrariée, j’avais l’intention de me rendre chez eux, c’était convenu. J’étais entre deux liaisons, seul c’était simple. Mais voilà que le jour dit, un samedi, ma voiture de l’époque se met a me faire un bruit inquiétant du côté du pont. Je passe un coup de fil a Gaston pour lui dire que je ne peux venir et qu’on reporte cette rencontre. Là il me dit, bien écoute dans ce cas nous allons venir, on se fait un resto et après on s’amuse. Tu as bien un lit ? Pour trois çà ira. On arrive on boit l’apéro ensuite on va au resto c’est moi qui invite. On tombe d’accord, sauf que j’ai réussi a les inviter avec difficulté car Gaston le cœur sur la main a tendance à sponsoriser tous ses amis. Certains en profitent même.

Vers 18h00 coup de sonnette. Je vais ouvrir, ils montent l’étage qui conduit a mon appart. Je découvre pour la première fois ce couple qui est toujours de mes amis. Annie veste en cuir, mini jupe en cuir, un chemisier blanc, a peine boutonnée pas de soutien-gorge et ses tétons tendus qui marquent le tissu. Sans gêne, elle m’enlace et me roule une pelle en guise de bonjour. Cela sur le palier de mon appart.

- Moi c’est Annie, heureuse de te rencontrer, on vient puisque tu ne peux pas.

- Moi c’est Gilles, mais la glace est déjà brisée non?

- On ne va pas perdre du temps dit Gaston avant de me faire la bise.

Avec eux c’est toujours droit au but, pas de grands discours, on sait pourquoi on se rencontre pas la peine de tourner autour du pot.

- Alors, tu la trouve comment ma petite femme ? Demande Gaston.

- Ah je trouve qu’elle embrasse bien et elle est vraiment jolie et sa tenue est sexy.

- Montre lui tes seins Annie dit Gaston.

- Regarde Gilles ils te plaisent? dit Annie

Annie ouvre son chemisier en grand et offre sa poitrine a ma vue et a mon toucher.

- Touches, Gilles j’adore qu’on me les caresse. Ajouta Annie

Je pose mes mains sur ces seins fermes, les tétons sont tendus, Mon pouce les caresse et Annie pousse un petit feulement très sensuel.

- Humm tu a les mains douces dis donc, j’aimes bien. Dit Annie.

- Tu as des seins magnifiques Annie tu sais. Dis-je. Allez un apéro quand même ?

- Ben tu es pas mal non plus dit Gaston. Je bande déjà.

- Tais-toi Gaston tu bandes tout le temps dit Annie en riant. Tu ne penses qu’a çà !!

- Et toi aussi ma femme, tu es une grosse cochonne, dis-le.

- Oui c’est vrai que j’aimes, bien. Et Gilles il embrasse bien, j’espère que pour le reste tu es aussi doué. Dit-elle en me caressant la main.

- On verra çà après le resto dis-je.

- On a le temps dit Gaston viens là Annie, viens sucer ton homme. Allez a quatre patte.

Annie s’exécute sans rechigner, elle se met a 4 pattes Gaston lui présente sa queue. Avant de prendre le sexe de son mari elle se tourne vers moi, retrousse sa jupe, pas de culotte.

- Gilles profite en pour me baiser j’ai envie.

- Bien sûr, Annie

Je tends la main vers un paquet de capotes qui étaient prêtes.

- Ah non Gilou laisse çà j’aimes pas du tout dit Annie.

N'étant pas fan moi-même je ne poursuis pas ce geste. Mais je m’agenouille derriere le joli cul que me présente Annie, je caresse sa chatte, doucement, glisse un doigt, elle est déjà mouillée.

- Vas-y Gilou prends moi, dit-elle lâchant un instant na queue de Gaston.

Mon gland contre sa chatte, toute chaude, je pousse doucement, je m’enfonce en elle, chaude, humide, palpitante. Je suis a demi en elle, je donne un coup de rein et je suis entiérement en elle.

- Hummmm oh je te sens bien Gilles vas y baise moi.

- Oui allez elle aime çà être a genoux se faire tirer et me sucer ma petite femme adore.. Tu la trouve comment ?

- Géniale, et jolie et elle est toute chaude et elle me serre bien la queue. Dis je.

Mes mains glissent sous Annie et son chemisier ouvert me permet d’attraper ses seins a pleines mains. Attrapant ses tétons tous durs. Je les tortille doucement. Elle se cambre..

- Oh oui mes bouts, vas y même fort, j’aimes çà. Dit Annie haletante. Oui oh tu me prends bien je te sens..

- Elle est pas belle ma salope de femme rit Gaston.

Voir son air réjoui de se faire sucer , face a moi qui baise sa femme. Il est heureux. Il adore sa femme, c’est vraiment fusionnel tous les deux, il est fier de cette femme, parfois capricieuse c’est vrai mais elle accepte toutes les lubies de son homme. Je l’ai rencontrée il y a peine 15 minutes et je suis déjà a la bourrer avec ma queue. Elle ne simule pas, elle aime, c’est évident, sa façon de se tortiller, de me tirer vers elle pour que je la prenne plus profond. Je sais déjà qu'eux et moi on restera les meilleurs amis

- Oh Annie, je vais plus tenir longtemps a ce rythme..

- Moi non plus !!! Dit Gaston elle me bouffe la queue oh putain oui !! Oh c’est bon cries Gaston en lâchant son foutre dans la bouche d’Annie.

- Excité par l’orgasme de mon nouveau pote.. Je suis sur le point de me retirer. Annie attrrappe ma main..

- Reste, reste vas y Gilles jouis en moi, ta queue je la sens bien !!! Jouis viens balance tout

- Oh Oui Annie tiens tiens je jouisssssssssssssssss!!!

- Oh oui je sens que tu coule, oh c’est bon ... c’est bon !!!!

Elle jouit je sens son sexe qui bat la chamade se contracte s’ouvre. Tandis que je gicle bruyamment. Je ne sais pas jouir en silence.

- Ah ben toi on sait quand tu arrives me dit Gaston, çà a l’air vachement bon !!

- Oh oui c’est vraiment bon, Annie aussi a l’air d’aimer.

- Oh Gilou oui, tu embrasses bien, tu baise vraiment bien et qu’est-ce que tu es dur !! Tu es toujours dur tu ne débandes pas ? Mais tu m’en a mis des litres !!! Regarde ça coule sur mes cuisses. Dit Annie

Je sors de son sexe a regret, j’aurais bien remis çà direct. En effet son con déborde et laisse échapper le sperme que je viens de gicler en elle. Elle goutte sur la moquette du salon. Quel beau cul, son sexe rose inondé est magnifique. Elle a le rouge aux joues.

Elle se tourne vers moi, m’attrape par le cou et m’embrasse avec fougue ses yeux bleus rieurs et coquins. Elle fait çà avec un tel naturel, comme si on se connaissais depuis des années.

- Gaston on a bien fait de venir, je crois que je ne vais pas regretter de connaitre Gilles. Regarde il n’a même pas débandé !!

- Oh la vache oui tu fais comment ? Moi je ne suis jamais aussi dur que çà dit Gaston

- Comment tu veux ne pas bander avec une telle femme. Dis-je embrassant Annie de nouveau.

- Bon on va peut-être aller au resto maintenant. Dit Gaston.

En effet l’heure tourne il est temps d’y aller. Annie rectifie sa tenue, et passe une minute devant un miroir pour remettre de l’ordre dans son maquillage.

- Tu peux allez te rafraichir dans la salle de bain, dis-je a Annie.

- Non, non, c’est trop bien de sentir tout ce que tu m’as mis dans la chatte couler doucement. Regarde petit cochon. Dit Annie.

Elle trousse sa jupe et me montre ses cuisses qui sont striées de coulées de sperme qui glissent lentement jusqu’au haut de ses bas. Spectacle excitant. Je ne peux m’empêcher de glisser deux doigts dans la chatte chaude et soyeuse de ma nouvelle et jolie amie. Gaston est lui aussi excité par le spectacle.

- Annie a raison, cela aurait été con de pas se rencontrer Gilou.

Je déteste ce surnom entre tous, mais certaines personnes peuvent l’employer sans que ça m’agace. Annie et Gaston sont de ceux-là et encore aujourd’hui quand on se voit je suis Gilou.

Nous voilà partis pour le restaurant. Je monte à l’arrière de la Mercedes, laissant à Annie la place près du chauffeur.

- Annie, monte à l’arrière et occupe-toi de notre copain. Dit Gaston.

- Oh j’allais monter avec lui de toute façon tu sais bien..dit Annie.

- C’est bien ma chérie, tu es bien élevée.

A peine assise près de moi Annie se fais câline et pressante. Sa main se pose sur mon entre jambe.

- Mais tu bandes encore !! Tu n’a pas débandé depuis tout a l’heure ?

- Ben non tu sais la situation fait que je ne peux que réagir comme çà.

- Il bande encore ? Demande Gaston.

- Oh oui, et il ne fait pas semblant, laisse-moi voir.

Annie déboucle ma ceinture et ouvre mon jean, elle palpe ma queue au travers du caleçon. Elle serre ma queue avec force.

- Oh mais tu est tout dur, pourtant tu viens de m’inonder le minou , je suis encore pleine et tu es dur comme au début. Je vais te sucer, tu veux ?

- Tu crois vraiment que je vais dire non, dis-je a Annie.

Pour toute réponse elle baisse mon caleçon fait jaillir ma queue, ses yeux bleus brillant de convoitise. Elle pose ses lèvres sur mon gland, un baiser sur ma queue et ses lèvres glissent le long de ma tige. Elle me prend a fond dans sa bouche avant de me laisser reartir en taquinant mon sexe avec sa langue, son autre mai a pris mes couilles en otage et me les malaxe doucement.

- Ohhh ta bouche Annie, c’est bon.. Oh tu me suces bien !!

- Oh elle va te faire plaisir, tu vas voir elle est douée pour sucer ma petite femme.

Gaston a raison, Annie a une bouche infernale. En quelques minutes, je sens déjà monter en moi le désir de jouir. J’ai réussi à attraper un de ses seins dont je martyrise un peu le téton. J’ai remarqué qu’elle aime qu’ils soient un peu malmenés. Ma queue est toute gonflée, le gland décalotté est gonflé et elle lèche ma tige depuis les couilles jusqu’au gland, pousse sa langue dans le méat.

- Tu aimes çà Gilou, regarde comment tu es gonflé, et toutes ces veines. J’aimes te sucer tu sais. Dit Annie avec un sourire complice

- Ohh tu est vraiment douée ma belle. Tu vas me faire jouir

- Je prends mon temps, n’ai pas peur je ne vais pas en mettre partout, je vais avaler.

- Cochonne tu aimes çà ?

- Oui. Regarde ta queue commence à suinter. Tu ne vas pas tarder à partir chéri.

- Alors quand j’aurais joui, dans ta bouche viens m’embrasser. J’aimes çà.

- Hmmm je t’embrasse avant d’avaler ? Tu veux partager ? Ohh ce n’est pas souvent çà... Dis donc tu es de mieux en mieux. Dit Annie.

Je suis au bord de l’éjaculation, elle me fait lanterner, lentement léchant, suçant, mordillant même le gland. Je suis de plus en plus tendu, sa main prend la mienne et la serre. Je serre de plus en plus fort au fur et a mesure que monte mon plaisir. Comme çà Annie sait où j’en suis. Elle ne me quitte plus des yeux.

Cette fois deux allez retour de ces lèvres sur mon gland c’est plus que je ne peux supporter.

Ohhhhhhhhhhhhhhhh putain!!!!!!!! Je jouis Annie, je jouissssssss !!!!!

Je gicle dans la bouche d’Annie, qui ne bronche pas alors que je balance des longues giclées qu’elle supporte facilement pourtant elle m’a pris loin dans sa bouche. La plupart du sperme a dû arriver dans sa gorge. Annie me regarde avec des yeux pétillants de malice, ses jolis yeux bleus assez foncés. Elle approche de moi lèvres un peu pincées. Mais un peu de sperme à la commissure des lèvres. Elle pose sa bouche sur la mienne, et laisse glisser le sperme chaud qu’elle me donne à gouter. On s’embrasse longuement tandis que Gaston regarde dans le rétro. Annie tiens toujours ma queue entre ses doigts. Le baiser terminé, le sperme partagé et avalé elle dit.

- Ouahh Gilou , tu es encore tout dur, Gaston va être jaloux, il est plus mou que toi. Mais il n'arrête pas non plus tout le temps à venir me chercher.

- Oui mais je suis certain que tu aimes çà non ? Dis-je

- Oh bien sûr. En tout cas toi, je vais adorer te voir. Tu pourrais recommencer ? Dit Annie

- Oui certainement et avec toi ce ne serait pas difficile. Tu sais. Dis-je

- C’est vrai je te plais alors ? Demanda-t-elle faussement innocente.

- Oui beaucoup.

- Ben se sera pour plus tard. On arrive. Gilou pense à remballer la marchandise avant de descendre. Dit Gaston arrêtant la voiture sur le parking face au restaurant.

Avant de descendre de la voiture Annie me fis un nouveau gros baiser tandis que je me rajustais.

Dans le restaurant, il se trouve que Gaston et moi connaissons le patron. On échange quelques mots. Il nous installe sur une table un peu à l’écart, dans un coin sympa un peu ombré. Je regarde Gaston d’un air interrogateur.

- Oui, oui on connait Georges, sa femme et lui viennent a la maison de temps en temps. Il a bien compris pourquoi on était trois. Dit Gaston en riant.

- Moi je suis vraiment contente que l’on se rencontre. Dit Annie Tu va voir chéri vous allez bien vous amuser aussi tous les deux. Tu vas adorer sa queue.

- On verra çà en rentrant chez toi dit Gaston.

Annie c’était assise à côté de moi et sa main posée sur ma cuisse vint sur mon sexe pour vérifier.

- Mais tu bandes encore Gilou !! T’en a jamais assez? Dit Annie pétillante

- Ce n’est pas çà mais tant qu’une jolie femme est près de moi, çà marche.

- Branle le sous la nappe dit Gaston. Ce ne serait pas la première fois que tu fais çà hein ma femme.

- Avec toi non, je te le fais à chaque fois, là c’est Gilou.

- Je vais voir la tête qu’il fait dit Gaston.

Avec dextérité Annie fit glisser la fermeture de mon pantalon et sortit ma queue tendue. Ses doigts un peu froids se réchauffèrent vite.

- Oh elle te tient là ça se voit et tu aimes bien. Dit Gaston

Le visage de Gaston soudain changea. Il se passait je ne sais quoi.

- Ohhhh tu sais quoi, elle a son pied sur ma queue la salope !! Ajouta Gaston

- Ben je peux vous faire plaisir a tous les deux quand même. Je sens que la nuit va être chaude.

- C’est très possible çà dis-je passant mon bras autour des épaules d’Annie qui se serra contre moi

Sa main allait et venait doucement et vu la tête de Gaston son pied caressait la queue de mon nouvel ami. Ce genre de délires que de fois je l’ai vécu avec eux. Chaque fois qu’on va au resto en fait. Annie me fait des bisous dans le cou et mordille mon oreille de temps en temps. J’aimes cette femme, totalement désinhibée. Qui sait demander ce qu’elle désire.

Encore une fois j’avais glissé ma main dans l’échancrure de sa manche est manipulait son téton droit et son sein.

- J’ai l’impression que tu aimes mes seins, surtout mes tétons. Et tu t’en occupes bien tu sais j’aimes beaucoup quand c’est fort comme çà. Tu me fais mouiller tu sais. Dit Annie dans mon oreille.

- Et toi j’aimes tes doigts sur ma queue. Coquine. Dis-je.

Le patron arrivait pour prendre les commandes. On reprend une posture plus digne.. Enfin un peu.

- Je ne savais pas que vous vous connaissiez dit Georges

- Ce n’est pas vieux dit Gaston On c’est rencontré il y a quelques heures.

- Mais çà a l’air de bien se passer dit Georges a mon intention.

- Oh tu ne peux pas savoir. Dis-je

- Oh si j’imagine, avec Annie et Gaston tu va passer de bons moments, comme Odette et moi tu sais on finira peut-être par se croiser. Qui sait. Au fait Gilles tu n’es plus avec la petite brune a cheveux courts ?

- Hé non. Elle est partie en Espagne pour son job. Mais tu vois je ne m’ennuie pas. Et tu sais bien que cela ne durera pas. Dis-je.

Commande passée, on profite du repas, en parlant de tas de choses, d’envies, d’idées. Je suis presque gêné tant Annie est câline avec moi. Gaston semble parfaitement à l’aise de la voir apprès moi, serrée, me bécoter et aussi glisser sa main sous la table pour me branler. Annie profitant de notre table reculée, me branlait lentement et glissa sa main dans ma chemise, trouva un de mes tétons et se mit a le caresser. Je suis très sensible du bout des seins. Comme elle d’ailleurs. Elle passait son pouce sur mon téton tournant autour.

- Humm Gilou tu aimes çà on dirait, tes tétons bandent aussi il est tout dur et je vois que tu frissonne. Je crois que tu n’est plus loin de cracher non. Regarde Gaston

Sortant sa main de sous la table elle montre ses doigts tout englués de mouille qu’elle ne cesse de faire couler en me maintenant au seuil de l’orgasme.

- La vache tu le fais couler comme un robinet ma chérie dit il.

- Oui et Gilou est dur comme tout c’est fou. Dommage je ne vois pas grand-chose.. Tout a l’heure je vais encore jouer avec ta queue mon chéri tu voudras bien.

- Oui Annie dis je

- Non, dis-moi chérie, ou salope mais Annie çà fait trop distant. Tu sais que j’ai envie de baiser encore avec vous deux après. J’ais envie de ta queue dans mon cul. Pendant que je sucerais Gaston.

- Humm bon programme. Dis-je. Mais si tu continues à me branler comme çà je vais gicler.

- Je sais dit Annie et je veux te faire cracher, je sens bien que tu es au bord. Laisse toi aller pour moi Gilou, vas y crache.

- Ohhhhh la vache, tu va me faire partir.. Dis-je

- Vas y je veux te sentir gicler. J’aimes çà quand tu jouis. Dit Annie la voix rauque.

- Putainnnnn je crache !!!!!

Annie arrête de me branler mais me décalotte de plus en plus loin. Je me retiens de crier, quand la secousse ébranle mes reins. Elle donne de petits coups secs. Elle me vide totalement en me bécotant, en finissant par me rouler une pelle tandis qu’elle tire de mon sexe tout le sperme qu’elle peut.

- Gilou tu est adorable et quelle santé, on va s’éclater ce soir. Tu es infatigable. J’espère que tu as encore des réserves, ce n’est pas terminé et Gaston ne t’a pas encore chopé. Tu sais il aime les queues. Les sucer et les prendre dans le cul. Toi aussi tu lui as dit. J’ai envie de vous voir tous les deux mes chéris.

- Pas de problème je serais encore opérationnel. Dis moi chérie on le pompera a fond tous les deux ensembles ton Gaston. On dit que je suce bien. Mais toi tu est une reine et tu viens de me vider ouahhh j’en frissonne encore.

- Oui çà avait l’air trés fort. J’ai cru que tu allais gueuler Gilles dit Gaston.

- J’ai failli, vous verrez je suis très bruyant je ne me retiens pas, enfin la en public en plus.

Annie prend ma main et la glisse sous sa jupe courte. Sous mes doigts je sens une chatte ouverte et trempée. A respiration d’Annie est plus rapide. Mes doigts glissent dans la mouille qui suinte de cette chatte bouillante.

- Hoho ma chérie tu es trempée je glisse trois doigts dans sa chatte elle se raidit un peu et se serre contre moi.

- Ohhhh oui.. Tu m’excites beaucoup Gilou. Fais moi jouir. Je voudrais me foutre a poil. Vas y branle moi, doigte moi fort. Tu peux rentrer 4 doigts. Dit Annie se pelotonnant contre moi.

- Vas-y Gilles fait la jouir tu vas voir elle est belle quand elle prend son pied.

- Tu vois Gaston, je la trouve belle tout le temps. Quel tempérament. Elle aime ça.

Mes doigts fouillaient le sexe palpitant et trempé de la jolie Annie, qui me regardait, les yeux chavirés sous mes caresses, les lèvres frémissantes laissant échapper de petites plaintes qu’elle contenait pour ne pas ameuter le restaurant.

- Oh c’est bon tes doigts, enfile-moi bien. Oh oui dans mon petit trou j’aimes !

J’avais glissé mon pouce dans son anus, les quatre autres doigts étaient dans son vagin à s’agiter à l’explorer. Dans ce restaurant, à deux pas des gens qui mangeaient. C’était excitant de voir Annie se pâmer monter lentement les marches qui la menaient a l’orgasme. Ma main était trempée, la diablesse mouille énormément. J’adore les femmes qui ruissellent et me noient. Donnant de petits coups de reins elle accélérait son plaisir.

- Oh Gilles fais-moi jouir, fais-moi jouir c’est bon avec toi. Oh encore chéri.

- Tu vois comme elle est belle là dit Gaston.

Je ne pouvais qu’être d’accord, les expressions d’Annie lui donnaient une aura incroyable. Elle était le plaisir de la femme. Une apparition divine, d’une déesse de l’amour. Son vagin était spasmodiquement agité de contractions parfois assez violentes pour me faire mal aux doigts. Je sentis qu’elle allait jouir et crier. Je plaquais ma bouche sur la sienne étouffant ses cris de plaisir dans un baiser très long. Elle avait agrippé mes avant-bras, elle se donnait totalement au plaisir que je lui offrais. Elle avait trempé la banquette. Et fais une petite flaque par terre. Annie reprenait son souffle, elle me prit par le cou et m’embrassa goulument.

- Oh là la Gilles, c’était bon tu ne peux pas savoir je suis sûre que Gaston m’a rarement vu comme çà. Comment tu arrives à me faire jouir comme çà. Pourtant on se connait a peine. C’est comme si tu avais toujours couché avec moi. J’aimerais bien rencontrer une de tes copines pour savoir si tu leur fais le même effet.

- Ma chérie dit Gaston, je crois que ce n’est pas à dernière fois qu’on rencontre Gilles tu sais. Je ne crois pas qu’il soit un homme a rester seul longtemps. Alors on verra bien une de ses copines.

Gaston avait raison, ce samedi était le début d’une amitié et une complicité qui est toujours vraie à ce jour. On a vieilli, Annie n’est plus la superbe blondinette d’a peine 30 ans, tous nous sommes autour de 70 ans.. Hé oui. Mais malgré les rhumatismes et autres douleurs Annie aime toujours me sucer, se faire prendre, se faire lécher par moi. On est moins performants, mais toujours animé par ce même désir. Jouir et Faire jouir.



Après ces turpitudes et le dessert nous retournons a mon appartement. Cette fois j’ai pris le volant laissant Gaston et Annie se vautrer sur la banquette arrière

A suivre