Apprentissage…

- Par l'auteur HDS Mondoi -
Récit érotique écrit par Mondoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Apprentissage… Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Apprentissage…
Apprentissage…
J'étais un apprenti à l'époque, en troisième année, 17 ans, presque 18, restauration-hostellerie, un travail épuisant, avec un jour de repos à l'époque, des journées et des heures à n'en plus finir pour une paye de merde, sous une autorité musclée, parfois réac et conne…
Et, bien qu'hétéro, en dehors de quelques serveuses âgées ou un peu timides, la pression du service donnait lieu à des amusements idiots entre gars, chef, second, chef de parties, commis,Comme par exemple le pincé de fesses quand tu y attendais le moins et que tu étais très occupé, dans une position penchée au dessus d'une cuisson ou d'un four ouvert, ou à monter une sauce au dessus du "piano"(le fourneau)…
Je dois dire qu’au début, je le prenais assez mal, préférant les filles,Mais celles-ci, préférant les Chefs et les plus âgées étant mariées ou moches, ou les deux, sans parler des lesbiennes discrètes qui se plaisaient à séduire les « innocentes de mon âge, je me la mettais souvent sous le bras ou en plaisir solitaire accompagné d’un doigt…
Est-ce par ce qu’il y avait de l’alcool parfois et aussi un peu de tabac qui fait rire pendant la coupure de l’après midi, que je ne râlais plus contre les « pinces-fesses » qui parfois se transformaient en autre chose, le doigt explorateur entre les fesses par exemple, ou la main au paquet sur la braguette, c’était comme un concours entre eux…
Celui qui ratait son attouchement payait sa « tourne » au bistro pendant la coupure, j’avais finis par me laisser faire, ne voulant pas casser l’ambiance et me faisant payer une binouze par le ou les gagnants, mais aussi parce que le tripotage de mon entre fesses me stimulait en sensations pour aller me masturber aux toilettes…
Comme je vous l’ai déjà dis, j’aimais (et aime encore) me doigter l’œillet pendant mes masturbes, seul le plaisir anal me plaisait, pas les gars, mais ils n’en savaient rien, je gardais ça pour moi, même si je voyais bien que certains participaient aux jeux pour « peloter » plus que pour boire une bière, pourtant, il y en avaient qui savaient toucher juste, là où il fallait pour que ce soit excitant…
Un des chefs de partie, 20 ans, est venu m’en parler mine de rien…- Tu as bien changé dis donc… ! Quand je me rappelle au début…- Je n’ai pas envie de m’engueuler avec tous le monde…- Je comprend bien, mais tu ne dis rien non plus quand c’est…Heu..
- Entre les fesses, tu veux dire… ? le doigt dans le cul… ?
- Heu, oui… entre les fesses… Tu aimes ça… ?
- Bin, tant que ça fait pas mal…Et je veux pas m’engueuler…- Oui, ça va, j’ai compris… Mais n’empêche, on dirai que t’aime ça ?

Il venait de passer s main sur ma braguette en posant son allusion, il essayait de me faire avouer quelque chose là, il avait l’air d’aimer les gars lui, son effleurement me provoqua un début d’érection, une demie molle difficile à dissimuler, je rabattais mon tablier dessus…
- C’est pas que j’aime pas… ! j’en suis pas, de la jaquette flottante… !
- On disait comme ça à l’époque, maintenant ya plus le droit, sauf dans les vieux films et les vieux bouquins, c’est du vieux Français faut dire, n’empêche qu’il avait l’air de vouloir me toucher suis ci, je voyais bien qu’il avait la gaule dans son futal de cuisine…
- Tu sais, il y a plein de gars, qui aiment se faire toucher la rondelle par les filles pendant une Pipe, ici j’en connais, et ils ne sont pas de la Jaquette, par contre, bien sur qu’il y en a qui en sont ici, tiens, rien que le Chef et son Second, ils se taillent des plumes et se font le cul eux, parfois ils choppent un jeunot aussi…- Ouai bin moi, c’est pas mon truc de me faire enfiler le p’tit… !
- Et une Pipe… ? Tu dirai pas non si je t’en faisais une… ?
- Heu… je sais pas… Je suis pas de la…- De la jack, je sais… Moi j’aime les deux, m’avoue t’il en me touchant la braguette… Je me remets à bander dur, ça lui plait, il ouvre mon pantalon et me sort la verge en disant qu’elle est bien, il m’embrasse le prépuce et le tète en me massant les boules, je suis hyper gêné et en même temps, il fait ça bien…
Ca fait plusieurs mois qu’aucune nana ne m’a sucée, je finis par me laisser faire, il me masse les fesses en même temps, ses doigts glissent entre, il m’effleure la rondelle, je voudrais refuser mais c’est trop agréable associé à la sucette qu’il me fait, je m’inquiète, je suis entrain de passer de « l’autre bord »… ?! Mais non, c’est pas possible, j’aime les filles, les femmes, ma mère, je vois leur portrait…
Il a avalé ma queue et se mouille les doigts de salive pour caresser ma petite ouverture, il fait ça bien aussi, comme moi quand je me prépare, je n’ose « pousser » sur mon sphincter, j’ai honte, j’aime me faire doigter par un gars qui me suce la bite, ma doué, je « pousse » quand même, il me rentre son doigt et le bouge dans mon sphincter…
C’est trop bon, j’ai fermé les yeux pour penser à des copines dont j’aimerai qu’elles me le fassent, j’ai jamais osé leur demander, et voilà que s’est un gars qui me sodo avec son doigt, un gars qui me pompe le dard, peut être vat ’il vouloir m’enculer… ? J’angoisse grave… Mais sa bouche sur ma queue fait des merveilles et son doigtage fait le reste.

Je finis par ne plus pouvoir me retenir, je lui miaule, ça vient et lui balance ma purée dans la bouche, une jouissance hors norme, un pied terrible, il m’a gardé en bouche pour tout avaler, il ‘en est’ lui je pense, avaler du foutre, même moi j’ai jamais gouté au mien… Je me tape la honte, même si j’ai tout aimé, je me dis que je ne recommencerais pas…
Mais la chose est faite, le gars ‘’suceur ’’, René, va revenir plus souvent à la charge, me prodiguant un touché anal chaque fois qu’il passe derrière moi, dans les vestiaires-douche-wc, il finit même un jour par me présenter sa verge en exigeant que je la lui suce, j’hésite un instant, ce serait le basculement définitif vers cet autre monde et puis, on pourrait nous surprendre, je suis dans le trouble…
Mais je me dis aussi que je lui dois bien ça, vu la fabuleuse pipe qu’il m’a fait quelques temps plus tôt, alors je me baisse à ses pied et lui saisis son engin qui est de belle taille et sent un peu le pipi sous le prépuce quand je le décalotte, cela me rappelle mon parfum intime et m’excite, je l’embouche pour lui baisser sa ‘’petite peau‘’ avec mes lèvres mouillées, je fais pour lui comme je ferai pour moi…
Il a de suite un gémissement douceheureux, cela m’encourage à prendre son morceau complètement en bouche, je le pompe comme il m’a fait et lui caresse son joufflu en lui passant des doigts dans la raie, là, il murmure ‘’- Ouiii…ouiiii…’’, l’encouragement m’enhardit, je dépose un peu de salive sur l’anus, il s’ouvre, je lui rentre mon doigt…
- Ma doué… ! Que suis-je en train de faire… ? Je taille une pipe… Je suce une queue…Je fais une plume, une sucette, une turlutte, je pompe un dard, comme une fille me le ferait, mais là c’est un gars et en plus, je lui doigte l’anus, j’ai honte et pourtant la situation me fait bander, j’en ai même la rondelle qui frétille, que vais-je devenir… ?

Je dois être efficace car le René n’est pas long à bégayer qu’il va jouir, que ça vient, je ne veux pas avaler son jus, je rejette sa bite et le finis à la main, dans un râle, il m’envoi de longs jets de foutre sur le menton et ma veste en s’empalant sur mon index qui lui fouille le rectum, il s’est élargit depuis le début, je me dis qu’il n’est plus vierge…
J’en suis retourné (pas pour me faire mettre), retourné en esprit, la chose est allée loin, autant j’ai honte de moi que l’envie de recommencer ce fait sentir, le tripotage d’anus me dis que je n’ai pas sodomisé de copine depuis des mois et du coup, je m’interroge pour moi, suis-je dispo pour me faire mettre, à part un doigt et un stylo, ma rondelle ne me sert que pour les ‘’popo’’…
C’est René le premier qui va m’inviter à connaître ce plaisir, un aprèm dans son studio, pendant la coupure, il me présente son tube de pommade qui glisse après m’avoir informé sur les tenant et aboutissants de la sodomie par une verge, il me propose un lavement pour la propreté, une petite poire que j’accepte et découvre…
Puis il me fait la toilette, me rince et me lèche la raie à quatre pattes, je me sens en confiance avec lui, il ne se la joue pas, dominateur, juste queutard qui veut fourrer un puceau de l’œillet, je me laisse faire, seule la taille de sa bite m’inquiète, il me rassure, il sait détendre et lubrifier un sphincter comme il faut pour que ça passe…
Effectivement, à part une légère douleur au passage de son gland dans ma rondelle, son morceau glisse en moi et me remplit le rectum, je suis à quatre patte, il me dit de ‘’pousser’’ comme aux wc, je fais comme il dit même si son engin est envahissant, je me laisse enfiler, fourrer, baiser, un homme m’encule et j’aime ça, sa bite dans mon cul..

Il me casse le derrière avec ses va et vient, il ahane que je suis ‘’bonne’’ et finit par me jouir dedans, dans le ‘’floch, floch’’ que fait sa bite dans mes plis anneaux crémeux, je décharge en me branlant, il me d’écule en me remerciant pour mon pucelage offert, je ne sens plus mon petit trou, son jus me coule des fesses, je suis bien…
Les mois suivant, ma réputation de bon suceur est faite, je goute à plusieurs queux de mon entreprise et en échange, je demande souvent à passer par derrière dans le cul des gars que j’ai pompé, un jour, le chef de cuisine, le seul que je n’ai pas sucé, le chef m’attrape dans son bureau pour me dire qu’il sait tout sur mes actes cochons…
Il sort sa queue, un morceau hors norme, et me dit de baisser mon pantalon, ainsi, il ne dira rien à la direction, je comprends que je n’ai pas le choix et exécute sa volonté, il me prend debout en levrette, là, je sent la taille de son engin me défoncer, il m’a à peine craché sur l’anus, il me dépucèle une deuxième fois, je ramasse grave dans mon cul, il grommèle qu’il est bien dedans et me baise jusqu’à l’éjac, pour finir, il me met un tampon périodique dans l’anus, pour que ‘’je ne fasse pas dans ma culotte’’ dit il… FIN…

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