Le Prétexte de Marie Jo...
Récit érotique écrit par Mondoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Prétexte de Marie Jo...
Le Prétexte de Marie Jo...
Marie Jo était une connaissance de longue date, amie Breizhou (bretonne) que je connaissais des "Ambassades" du quartier, une dizaine d'années de plus que moi, aimant la musique Celte et la bière, la cuisse légère, portant la poitrine haute et volumineuse, je l'avais faite embaucher en extra plusieurs fois dans le restaurant où je travaillais puis définitivement un an après, nous avions des amis(es) en commun mais je n'étais jamais monté dedans comme on dit à Brest, elle connaissait mon épouse et mes enfants....
Un soir, en fin de travail, elle vient me voir à la pause clop et me dit que j'ai de la chance d'être en couple car pour elle, c'est le vide affectif depuis quelques temps, j'essaye de la consoler en lui disant que ça n'est peut-être que passager, elle me répond que non, ça fait plusieurs mois qu'elle est seule et qu'elle voudrait un copain à la maison quand elle rentre, elle ajoute que je ne sais pas ce que cela fait à une femme d'être seule, que ça fait mal à l'esprit mais aussi là, illustre-elle en se posant une main sur le bas ventre...
Je ricane en lui parlant de ses amants mais elle le prend mal, me disant que je n'y comprend rien, que ça fait plusieurs mois qu'elle n'a pas eu de rapport et que cela provoque une forte douleur en elle à cet endroit, me demandant si c'est une proposition déguisée qu'elle me fait, je lui offre mes services si elle veut que je m'occupe d'elle à la fin du service et ainsi lui soigner sa douleur, elle fait mine d'hésiter, je lui propose que l'on se retrouve à la cave à vin après que j'ai passé mes commandes, elle dit "oui" et part finir son travail...
Une demi heure plus tard, je vais à la cave, Marie Jo est là à m'attendre assise sur une pile de caisses, je ne m'embarrasse pas de convenances, ouvre mon pantalon et lui demande de me montrer ce qu'elle sait faire, sans se démonter, elle me glisse une main dans le slip pour m'évaluer le paquet puis s'agenouille en me sortant la queue pour en téter le bout, se lèvres sont chaudes et douces et me mâchouillant le prépuce délicatement puis elles enveloppent mon gland et me décalottent en m'enserrant la tige…
Une suceuse formidable, je me laisserai bien faire jusqu'à l'éjac tellement elle sait y faire, elle me lèche et me gobe les testicules, gourmande de bonbons à jus, elle me baisse pantalon et slip et me caresse furtivement la raie de ses doigts, elle ne sait pas que j'aime cela et même plus, je ne le lui dis pas, la voilà qui se relève maintenant et me tournant le dos, baisse son pantalon à son tour, en me rappelant pourquoi nous sommes là…
Je me colle à ses fesses et lui relève son teeshirt pour voir sa poitrine, j'en rêve depuis que je la connais, mes mains son trop petites pour tout prendre, les globes sont démesurés, les aréoles larges, et ses tétons pointes déjà à travers le tissus de son soutif que je dégrafe prestement, mon dieux, qu'ils sont beaux, j'en suce les bouts qui prennent maintenant la forme et la longueur de petits macaronis, ma queue dressée se frotte à sa raie humide...
Marie Jo écarte les cuisses et la dirige vers l'entrée de sa grotte ruisselante en me disant, "Ici d'abord…", je comprends qu'elle envisage une visite de sa petite entrée "ensuite", Marie Jo s'abaisse en fléchissant les jambes et s'enfile mon morceau au ralentis, elle murmure des " - Ma Doué…! Ma Doué…! car malgré son humidité, son étroitesse vaginale se fait ressentir sur ma queue, Marie Jo peine à se rentrer toute ma verge, elle semble souffrir…
Mais voilà qu'après quelques petits vas et viens lubrifiants et assouplissants, son ventre avale toute la longueur de mon dard, Marie Jo se penche alors en avant et me dit dans un souffle, " - Baise-moi maintenant…", j'obéis et commence à lui mettre la secouée qu'elle désir, je lui burine fente et vagin, elle murmure des " - Ouiii… Ouiii… Comme-ça…", tout en lui ramonant l'intérieur en la tenant par les hanches, je lui écarte les fesses de mes pouce pour lui regarder la raie…
Le sillon est juste couvert d'un fin duvet brunâtre, en son milieu prône un anus étroit joliment étoilé, j'y passe un doigt saliveux, l'orifice se contracte mais après quelques effleurement circulaires et mouillés, l'ouverture se détend et s'ouvre vers moi comme une acceptation à être visitée, je pense que Marie Jo pousse sur son sphincter pour quémander silencieusement une caresse digitale plus profonde, alors tout en continuant à la besogner, je salive copieusement sur mon majeur et le lui rentre dans l'anus…
Marie Jo gémit un " - Haaaaa…!" prolongé, je lui demande si elle a mal là aussi, elle me répond que non, que je peux venir là si je veux, que c'est après qu'elle aura mal car elle ne l'a pas fait depuis longtemps, j'ose un, " - Tu aime l'avoir dans le cul…?", " - Ouiii… vas-y… Encule-moi…" me répond-elle en s'écartant elle-même les fesses en guise d'invitation, je sors ma bite aussitôt, prélève de sa mouille du bout des doigts pour lui lubrifier l'œillet…
Quand je pose mon gland sur son petit trou, elle s'empale elle-même sur ma queue par petits coups de reins en me disant " - Doucement… Doucement…", l'entrée est étroite à souhait, voir même l'agréablement douloureuse pour moi, surtout pour le passage de la couronne du gland dans le sphincter, elle a comme un hoquet puis un miaulement quand la chose passe son anus, je salive sur ma bite pour encore lubrifier et je m'enfonce dans son cul
Après lui avoir tout mis, je repart en arrière doucement et ressort mon engin, je me régale un instant de la vision de sa rondelle ouverte puis l'encule de nouveau, elle me dit que c'est gros mais que je peux continuer, alors je lui fais le cul comme un soudard, en ressortant ma tige plusieurs fois, je vois que Marie Jo me la souillée, mais qu'importe, le plaisir est trop grand, je la sodomise pendant une dizaine de minutes avant de lui décharger dedans…
Marie Jo en jouissant a giclée et à pissée par terre, en se retournant vers moi, elle voit ma queue salie et s'en excuse en l'essuyant avec un mouchoir en papier, elle n'avait pas prévue ce que l'on vient de faire sinon elle aurait fait ce qu'il faut avant, comme je lui demande ce qu'elle fait "avant" d'habitude, elle me dit qu'elle se fait une douche rectale avec une poire en caoutchouc, j'émet l'idée que si l'on se refait ce plaisir, j'aimerai lui faire son lavement avant…
Nous sommes allés prendre un verre après nos agapes sodomites, Marie Jo m'a remerciée pour le plaisir donné, moi de même pour le plaisir reçu, elle m'a demandée si parfois je me faisais des lavements, je lui ai raconté ceux d'avec mon amante Martine et que rien depuis, elle m'a alors proposée, amusée, de m'en faire un chez elle à l'occasion, si on remettait le couvert sodomite tous les deux, je lui ai dis d'accord…
C'est un soir après le travail que Marie Jo m'a invitée à venir boire un chouchen chez elle, comme j'émettais l'idée d'un chouchen "à la Poire", elle a rigolée en me disant que si je voulais ça pour moi, je pouvais essayer mais que c'étai gaspiller le nectar des dieux, à peine arrivés, elle m'a montrée son outil, c'était une poire à lavements vaginaux, plus volumineuse, mais qu'elle n'utilisait que pour nettoyer son rectum, puis elle s'est montrée curieuse sur mes lavements…
Pour elle, si j'avais reçu des lavements de mon amante Martine, c'est que j'aimais cela, voir même plus, elle insinua que j'aimais le plaisir par l'anus et que mon amante me sodomisait d'un doigt ou d'autres choses, plus longues et larges, peut-être que même avais-je goutté à une vraie verge dans les fesses, pour elle, il n'y avait pas de honte à aimer la sodomie et avoir été saillit par un homme, d'envisager que je sois passé à la casserole semblait l'exciter…
Après avoir remplie sa poire, elle m'a invitée dans sa chambre pour le lui administrer, en genou-pectoral sur le lit au dessus d'une serviette de bain, elle m'a tendue sa croupe culotte baissée, je lui ai rentré la canule à peine vaselinée car, comme elle me l'a expliquée, elle avait du mal à serrer les fesses et retenir le lavement si elle était trop lubrifiée, je lui ai avoué que c'était pareil pour moi, de sa vulve pendait un long filament de mouille…
Une fois remplie du liquide, Marie Jo est restée avec moi pendant la rétention, essayant de le retenir vingt minutes, ouvrant le tiroir d'une commode, elle en a extrait une culotte de cuir munie d'un double gode, un devant, long d'une vingtaine de centimètres, large de quatre et un dedans, au niveau du gousset, moins long mais plus large, je n'étais pas le premier homme qu'elle rencontrait et qui aimait être saillit par une femme, alors si j'en avais envie…
Elle n'a pas tenue ses vingt minutes et est partie précipitamment aux wc, je regardais son gode culotte en me disant que j'allais me faire défoncer le cul par Marie Jo après mon lavement, j'en avais la gaule, quand elle a eu finit son évacuation et toilette, la voilà qui revient avec sa poire de nouveau remplie et c'est à moi de me mettre en position, d'un doigt légèrement vaseliné, elle me masse l'entrée puis sans prévenir me l'enfonce dans l'anus et me fouille le rectum
- Et bien dis donc, tu es serré comme un puceau…! me dit-elle, tu vas aimer quand je vais te faire l'amour par derrière, je vais bien t'enculer mais la douche rectale avant, aller, tend tes fesses…j'obéis et la canule me pénètre de suite, le liquide chaud envahit mon rectum, c'est trop bon, tout en m'injectant le lavement, elle me raconte qu'un jour, un de ses amants lui a pissé dans le cul et qu'elle a aimée cela, je devrai essayer, me conseille-t-elle...
J'ai pris toute la poire et dois maintenant me retenir, elle me suce la queue agréablement mais la rétention est difficile si on se laisse aller au plaisir, je crie au secours au bout de moins de dix minutes et elle me laisse aller évacuer, un plaisir aussi que de tout lâcher, quand je reviens après la toilette, elle se masturbe en levrette, elle me refait durcir de sa bouche puis me demande de la sodomiser de suite, son anus est déjà lubrifié par ses soins alors je l'enfile d'une traite…
J'aime enculer sauvagement, j'aime son râle de douleur et ses gémissements pendant que je lui burine le cul, tenant sa croupe blanche à pleine main, lui plantant mes ongles dans la chair, ma queue est propre quand je la retire pour lui la replanter dans l'anus que je branle avec mon gland, elle s'astique la moule dans un bruit de clapot en m'encourageant à lui défoncer le cul, elle a soudain un orgasme spasmodique, elle crie son plaisir et pisse sur sa serviette de bain…
Marie Jo reprend ses esprit peu à peu quelques instants après, elle me dit avoir perdu pieds et s'excuse d'avoir pissée devant moi, je lui dis que j'ai aimé la voir jouir ainsi, elle me soupçonne d'aimer me faire pisser dessus par une femme, j'avoue que oui, elle me demande si pour le popo aussi, tout en parlant de nos plaisirs cachés, elle enfile sa culotte à godes en se rentrant le large dans la fente, " - Maintenant… Je vais t'enculer… me dit-elle, "- Donnes-moi ton trou, petit cochon…"
Je prends la même position qu'elle sur le lit, lui tendant mon cul à baiser mais elle m'écarte d'abord les fesses pour me lécher la raie et l'anus, délicieux préliminaire buccale, elle me masturbe d'une main tout en m'enfonçant sa langue dans le petit trou, je pousse pour qu'elle aille plus profondément, son appendice gigote en moi délicieusement puis, sans me prévenir, elle se redresse et me prend le cul d'un coup de rein, je pousse un râle, elle me dit de me taire...
Le gode me déchire l'anus et me remplit le conduit rectal, Marie Jo me tient aux hanches et l'enfonce, elle commente l'instant en me disant que j'ai un petit cul fait pour la sodomie, elle connait un gars qui serait content de me mettre sa queue, elle est certaine que j'aimerai cela dit-elle en commençant à me limer le trou, elle me dit de me branler pendant qu'elle me fourre puis exige que je lui dise que j'aime qu'elle m'encule, je le lui dis, elle dit "Encore…! Petit Enculé…!"
Je n'ai jamais soupçonné chez elle ce côté dominatrice, cochonne oui, mais pas cela, elle me dit que je suis un trou à bites et que je dois aimer sucer les hommes aussi, un bouffeur de queues, elle ponctue ses suppositions de coups de reins sodomites, elle me baise avec autorité, commentant l'ouverture de mon anus quand elle retire le gode pour me le remettre, elle admet que je suis propre mais aimerai me "Pousser la crotte", comme je lui ai fais l'autre fois…
Un instant je deviens sa chienne, imaginant qu'elle va me faire enculer par un copain à elle, peut-être même par plusieurs, sous l'effet de sa perversité, je me vois soumis bon à baisé, suçant des queues qui m'aspergent de foutre, me faisant remplir le rectum par une multitude de bites dont certaines sont grosses et qui déverse en moi leur jus épais qui ressort comme un lavement au foutre, je la vois me regarder me faire saillir en se masturbant comme une hystérique, je jouis fortement…
Quand elle se retire de mes fesses, c'est pour me faire allonger sur le dos et venir s'accroupir au dessus de mon visage pour m'uriner dans la bouche, elle m'ordonne de boire sa miction en me disant que c'est sa récompense, que j'ai bien obéis en lui donnant mon cul à ramoner, elle regrette de ne pas avoir une vraie bite pour m'enculer de temps en temps, mais elle m'invite à revenir la lavementer, me le faire et lui prendre le petit trou chez elle…
FIN…
Marie Jo était une connaissance de longue date, amie Breizhou (bretonne) que je connaissais des "Ambassades" du quartier, une dizaine d'années de plus que moi, aimant la musique Celte et la bière, la cuisse légère, portant la poitrine haute et volumineuse, je l'avais faite embaucher en extra plusieurs fois dans le restaurant où je travaillais puis définitivement un an après, nous avions des amis(es) en commun mais je n'étais jamais monté dedans comme on dit à Brest, elle connaissait mon épouse et mes enfants....
Un soir, en fin de travail, elle vient me voir à la pause clop et me dit que j'ai de la chance d'être en couple car pour elle, c'est le vide affectif depuis quelques temps, j'essaye de la consoler en lui disant que ça n'est peut-être que passager, elle me répond que non, ça fait plusieurs mois qu'elle est seule et qu'elle voudrait un copain à la maison quand elle rentre, elle ajoute que je ne sais pas ce que cela fait à une femme d'être seule, que ça fait mal à l'esprit mais aussi là, illustre-elle en se posant une main sur le bas ventre...
Je ricane en lui parlant de ses amants mais elle le prend mal, me disant que je n'y comprend rien, que ça fait plusieurs mois qu'elle n'a pas eu de rapport et que cela provoque une forte douleur en elle à cet endroit, me demandant si c'est une proposition déguisée qu'elle me fait, je lui offre mes services si elle veut que je m'occupe d'elle à la fin du service et ainsi lui soigner sa douleur, elle fait mine d'hésiter, je lui propose que l'on se retrouve à la cave à vin après que j'ai passé mes commandes, elle dit "oui" et part finir son travail...
Une demi heure plus tard, je vais à la cave, Marie Jo est là à m'attendre assise sur une pile de caisses, je ne m'embarrasse pas de convenances, ouvre mon pantalon et lui demande de me montrer ce qu'elle sait faire, sans se démonter, elle me glisse une main dans le slip pour m'évaluer le paquet puis s'agenouille en me sortant la queue pour en téter le bout, se lèvres sont chaudes et douces et me mâchouillant le prépuce délicatement puis elles enveloppent mon gland et me décalottent en m'enserrant la tige…
Une suceuse formidable, je me laisserai bien faire jusqu'à l'éjac tellement elle sait y faire, elle me lèche et me gobe les testicules, gourmande de bonbons à jus, elle me baisse pantalon et slip et me caresse furtivement la raie de ses doigts, elle ne sait pas que j'aime cela et même plus, je ne le lui dis pas, la voilà qui se relève maintenant et me tournant le dos, baisse son pantalon à son tour, en me rappelant pourquoi nous sommes là…
Je me colle à ses fesses et lui relève son teeshirt pour voir sa poitrine, j'en rêve depuis que je la connais, mes mains son trop petites pour tout prendre, les globes sont démesurés, les aréoles larges, et ses tétons pointes déjà à travers le tissus de son soutif que je dégrafe prestement, mon dieux, qu'ils sont beaux, j'en suce les bouts qui prennent maintenant la forme et la longueur de petits macaronis, ma queue dressée se frotte à sa raie humide...
Marie Jo écarte les cuisses et la dirige vers l'entrée de sa grotte ruisselante en me disant, "Ici d'abord…", je comprends qu'elle envisage une visite de sa petite entrée "ensuite", Marie Jo s'abaisse en fléchissant les jambes et s'enfile mon morceau au ralentis, elle murmure des " - Ma Doué…! Ma Doué…! car malgré son humidité, son étroitesse vaginale se fait ressentir sur ma queue, Marie Jo peine à se rentrer toute ma verge, elle semble souffrir…
Mais voilà qu'après quelques petits vas et viens lubrifiants et assouplissants, son ventre avale toute la longueur de mon dard, Marie Jo se penche alors en avant et me dit dans un souffle, " - Baise-moi maintenant…", j'obéis et commence à lui mettre la secouée qu'elle désir, je lui burine fente et vagin, elle murmure des " - Ouiii… Ouiii… Comme-ça…", tout en lui ramonant l'intérieur en la tenant par les hanches, je lui écarte les fesses de mes pouce pour lui regarder la raie…
Le sillon est juste couvert d'un fin duvet brunâtre, en son milieu prône un anus étroit joliment étoilé, j'y passe un doigt saliveux, l'orifice se contracte mais après quelques effleurement circulaires et mouillés, l'ouverture se détend et s'ouvre vers moi comme une acceptation à être visitée, je pense que Marie Jo pousse sur son sphincter pour quémander silencieusement une caresse digitale plus profonde, alors tout en continuant à la besogner, je salive copieusement sur mon majeur et le lui rentre dans l'anus…
Marie Jo gémit un " - Haaaaa…!" prolongé, je lui demande si elle a mal là aussi, elle me répond que non, que je peux venir là si je veux, que c'est après qu'elle aura mal car elle ne l'a pas fait depuis longtemps, j'ose un, " - Tu aime l'avoir dans le cul…?", " - Ouiii… vas-y… Encule-moi…" me répond-elle en s'écartant elle-même les fesses en guise d'invitation, je sors ma bite aussitôt, prélève de sa mouille du bout des doigts pour lui lubrifier l'œillet…
Quand je pose mon gland sur son petit trou, elle s'empale elle-même sur ma queue par petits coups de reins en me disant " - Doucement… Doucement…", l'entrée est étroite à souhait, voir même l'agréablement douloureuse pour moi, surtout pour le passage de la couronne du gland dans le sphincter, elle a comme un hoquet puis un miaulement quand la chose passe son anus, je salive sur ma bite pour encore lubrifier et je m'enfonce dans son cul
Après lui avoir tout mis, je repart en arrière doucement et ressort mon engin, je me régale un instant de la vision de sa rondelle ouverte puis l'encule de nouveau, elle me dit que c'est gros mais que je peux continuer, alors je lui fais le cul comme un soudard, en ressortant ma tige plusieurs fois, je vois que Marie Jo me la souillée, mais qu'importe, le plaisir est trop grand, je la sodomise pendant une dizaine de minutes avant de lui décharger dedans…
Marie Jo en jouissant a giclée et à pissée par terre, en se retournant vers moi, elle voit ma queue salie et s'en excuse en l'essuyant avec un mouchoir en papier, elle n'avait pas prévue ce que l'on vient de faire sinon elle aurait fait ce qu'il faut avant, comme je lui demande ce qu'elle fait "avant" d'habitude, elle me dit qu'elle se fait une douche rectale avec une poire en caoutchouc, j'émet l'idée que si l'on se refait ce plaisir, j'aimerai lui faire son lavement avant…
Nous sommes allés prendre un verre après nos agapes sodomites, Marie Jo m'a remerciée pour le plaisir donné, moi de même pour le plaisir reçu, elle m'a demandée si parfois je me faisais des lavements, je lui ai raconté ceux d'avec mon amante Martine et que rien depuis, elle m'a alors proposée, amusée, de m'en faire un chez elle à l'occasion, si on remettait le couvert sodomite tous les deux, je lui ai dis d'accord…
C'est un soir après le travail que Marie Jo m'a invitée à venir boire un chouchen chez elle, comme j'émettais l'idée d'un chouchen "à la Poire", elle a rigolée en me disant que si je voulais ça pour moi, je pouvais essayer mais que c'étai gaspiller le nectar des dieux, à peine arrivés, elle m'a montrée son outil, c'était une poire à lavements vaginaux, plus volumineuse, mais qu'elle n'utilisait que pour nettoyer son rectum, puis elle s'est montrée curieuse sur mes lavements…
Pour elle, si j'avais reçu des lavements de mon amante Martine, c'est que j'aimais cela, voir même plus, elle insinua que j'aimais le plaisir par l'anus et que mon amante me sodomisait d'un doigt ou d'autres choses, plus longues et larges, peut-être que même avais-je goutté à une vraie verge dans les fesses, pour elle, il n'y avait pas de honte à aimer la sodomie et avoir été saillit par un homme, d'envisager que je sois passé à la casserole semblait l'exciter…
Après avoir remplie sa poire, elle m'a invitée dans sa chambre pour le lui administrer, en genou-pectoral sur le lit au dessus d'une serviette de bain, elle m'a tendue sa croupe culotte baissée, je lui ai rentré la canule à peine vaselinée car, comme elle me l'a expliquée, elle avait du mal à serrer les fesses et retenir le lavement si elle était trop lubrifiée, je lui ai avoué que c'était pareil pour moi, de sa vulve pendait un long filament de mouille…
Une fois remplie du liquide, Marie Jo est restée avec moi pendant la rétention, essayant de le retenir vingt minutes, ouvrant le tiroir d'une commode, elle en a extrait une culotte de cuir munie d'un double gode, un devant, long d'une vingtaine de centimètres, large de quatre et un dedans, au niveau du gousset, moins long mais plus large, je n'étais pas le premier homme qu'elle rencontrait et qui aimait être saillit par une femme, alors si j'en avais envie…
Elle n'a pas tenue ses vingt minutes et est partie précipitamment aux wc, je regardais son gode culotte en me disant que j'allais me faire défoncer le cul par Marie Jo après mon lavement, j'en avais la gaule, quand elle a eu finit son évacuation et toilette, la voilà qui revient avec sa poire de nouveau remplie et c'est à moi de me mettre en position, d'un doigt légèrement vaseliné, elle me masse l'entrée puis sans prévenir me l'enfonce dans l'anus et me fouille le rectum
- Et bien dis donc, tu es serré comme un puceau…! me dit-elle, tu vas aimer quand je vais te faire l'amour par derrière, je vais bien t'enculer mais la douche rectale avant, aller, tend tes fesses…j'obéis et la canule me pénètre de suite, le liquide chaud envahit mon rectum, c'est trop bon, tout en m'injectant le lavement, elle me raconte qu'un jour, un de ses amants lui a pissé dans le cul et qu'elle a aimée cela, je devrai essayer, me conseille-t-elle...
J'ai pris toute la poire et dois maintenant me retenir, elle me suce la queue agréablement mais la rétention est difficile si on se laisse aller au plaisir, je crie au secours au bout de moins de dix minutes et elle me laisse aller évacuer, un plaisir aussi que de tout lâcher, quand je reviens après la toilette, elle se masturbe en levrette, elle me refait durcir de sa bouche puis me demande de la sodomiser de suite, son anus est déjà lubrifié par ses soins alors je l'enfile d'une traite…
J'aime enculer sauvagement, j'aime son râle de douleur et ses gémissements pendant que je lui burine le cul, tenant sa croupe blanche à pleine main, lui plantant mes ongles dans la chair, ma queue est propre quand je la retire pour lui la replanter dans l'anus que je branle avec mon gland, elle s'astique la moule dans un bruit de clapot en m'encourageant à lui défoncer le cul, elle a soudain un orgasme spasmodique, elle crie son plaisir et pisse sur sa serviette de bain…
Marie Jo reprend ses esprit peu à peu quelques instants après, elle me dit avoir perdu pieds et s'excuse d'avoir pissée devant moi, je lui dis que j'ai aimé la voir jouir ainsi, elle me soupçonne d'aimer me faire pisser dessus par une femme, j'avoue que oui, elle me demande si pour le popo aussi, tout en parlant de nos plaisirs cachés, elle enfile sa culotte à godes en se rentrant le large dans la fente, " - Maintenant… Je vais t'enculer… me dit-elle, "- Donnes-moi ton trou, petit cochon…"
Je prends la même position qu'elle sur le lit, lui tendant mon cul à baiser mais elle m'écarte d'abord les fesses pour me lécher la raie et l'anus, délicieux préliminaire buccale, elle me masturbe d'une main tout en m'enfonçant sa langue dans le petit trou, je pousse pour qu'elle aille plus profondément, son appendice gigote en moi délicieusement puis, sans me prévenir, elle se redresse et me prend le cul d'un coup de rein, je pousse un râle, elle me dit de me taire...
Le gode me déchire l'anus et me remplit le conduit rectal, Marie Jo me tient aux hanches et l'enfonce, elle commente l'instant en me disant que j'ai un petit cul fait pour la sodomie, elle connait un gars qui serait content de me mettre sa queue, elle est certaine que j'aimerai cela dit-elle en commençant à me limer le trou, elle me dit de me branler pendant qu'elle me fourre puis exige que je lui dise que j'aime qu'elle m'encule, je le lui dis, elle dit "Encore…! Petit Enculé…!"
Je n'ai jamais soupçonné chez elle ce côté dominatrice, cochonne oui, mais pas cela, elle me dit que je suis un trou à bites et que je dois aimer sucer les hommes aussi, un bouffeur de queues, elle ponctue ses suppositions de coups de reins sodomites, elle me baise avec autorité, commentant l'ouverture de mon anus quand elle retire le gode pour me le remettre, elle admet que je suis propre mais aimerai me "Pousser la crotte", comme je lui ai fais l'autre fois…
Un instant je deviens sa chienne, imaginant qu'elle va me faire enculer par un copain à elle, peut-être même par plusieurs, sous l'effet de sa perversité, je me vois soumis bon à baisé, suçant des queues qui m'aspergent de foutre, me faisant remplir le rectum par une multitude de bites dont certaines sont grosses et qui déverse en moi leur jus épais qui ressort comme un lavement au foutre, je la vois me regarder me faire saillir en se masturbant comme une hystérique, je jouis fortement…
Quand elle se retire de mes fesses, c'est pour me faire allonger sur le dos et venir s'accroupir au dessus de mon visage pour m'uriner dans la bouche, elle m'ordonne de boire sa miction en me disant que c'est sa récompense, que j'ai bien obéis en lui donnant mon cul à ramoner, elle regrette de ne pas avoir une vraie bite pour m'enculer de temps en temps, mais elle m'invite à revenir la lavementer, me le faire et lui prendre le petit trou chez elle…
FIN…
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