APPRENTISSAGE
Récit érotique écrit par Kirgu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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APPRENTISSAGE
Avide de me prêter enfin à des pratiques sexuelles nouvelles voir bizarres, en tous cas libres et dans l’obéissance, je surfais assidûment sur des site de rencontres à caractère pornographique et plutôt dans les rubriques domination, trans, bdsm, fétish, voir gay.
J’étais finalement entré en contact par mail avec un couple âgé dont la femme se présentait comme dominatrice et son mari soumis.
Ça m’avait toujours plu d’envisager de me soumettre et d’être contraint sous les ordres d’une dominatrice mature dans le cadre d’un couple. C’était pour moi un plus.
Par ailleurs il me semblait que travesti me permettrait plus facilement d’accepter la contrainte ardemment espérée et de me lâcher complètement et encore mieux si possible dans le cadre d’ une promiscuité avec d’autres soumis. Cela était de nature à me faciliter l’abandon de moi même et donc de réaliser mes fantasmes les plus fous et de satisfaire mes pulsions d’exhibitionniste soumis .
Cette Maîtresse acceptait les hommes seuls, si bi-sexuel avérés et bien entendu passifs, appréciant en effet de temps à autres d’offrir un cadeau à son mari et son mari en cadeau.
Elle était aussi d’accord pour me féminiser et satisfaite que cela me permette un lâcher prise augurant une disponibilité absolue à ses exigences sexuelles et celles de ses partenaires éventuels
Ayant apprécié les photos de cette femme dans la soixantaine en tenue fétish sur le site et son allure très domina affirmée, en même temps que celles de son mari soumis j’avais sollicité de rencontrer le couple que dis-e je m’étais presque prostitué verbalement parlant pour obtenir un rendez vous et accéder à leur intimité assurant à la Maîtresse une disponibilité totale à toutes ses exigences quelles qu’elles soient. Mes réponses à ses questions précises sur mon acceptation de la soumission absolue semblant lui suffire dans un 1er temps. Elle me demanda de l’appeler à un 06 qu’elle me confia. ça y était j’étais sur la voie du graal.
Elle avait donc accepté de me recevoir à la condition réitérée d’une docilité sans faille. Elle avait ajouté que selon ses envies, elle pouvait être aidée de partenaires et qu’elle exigeait une soumission totale de ma part vis à vis d’elle et évidemment des tiers. Il me fallait aussi être totalement rasé, la preuve de l’offrande du corps pour un homme, selon elle.
Je devais donc je me rendre avenue de Breteuil dans le 7ième arrondissement le samedi suivant à 22.30 H précises. Elle m’avait donné un autre numéro de téléphone fixe pour le contact.
Ayant appelé au numéro donné, le jour dit, quelques minutes avant l’heure, elle m’indiqua le numéro de l’avenue et le nom sur lequel sonner sur le digicode, tout cela d’un ton particulièrement autoritaire qui m’inquiéta quelque peu mais j’étais lancé et pour tout dire avide d’être utilisé tant j’avais fantasmé sur l’objet sexuel que je souhaitais être un jour..
Je sonne et je me présente. J’entends sa voix qui m’indique qu’elle va m’ouvrir et dit: » désormais, nous sommes bien d’accord tu fais tout ce que j’exige, tu es à moi. sinon tu dégages tout de suite » « Répète après moi que tu veux être mon esclave dévoué et tu veux tout faire de ce que j’exigerai de toi « J’ânonnais à mon tour « Je suis votre esclave dévoué et je veux vraiment faire tout ce que vous exigerez de moi « « Très bien. Donc maintenant tu vas entrer dans le hall et une fois la porte passée tu deviens ma chose totalement soumise et pour faire bonne mesure tu te mets à poil tout de suite dans le hall , exécution »
Je suis pétrifié mais je ne peux reculer. Le penne s’ouvre, je pousse la porte énorme et lourde et je me retrouve dans la pénombre dans un hall froid et impersonnel. La porte se referme j’ai l’impression d’ être pris dans un filet. Craignant de rencontrer quelqu’un je tourne, je vire, mais finalement je suis ses instructions et me mets complètement nu..
A poil et complètent idiot avec mes vêtements à la main, je suis inquiet.
A cet instant, une jeune femme, d’une trentaine d’année, habillée d’une robe fourreau noire jusqu’à mi mollets, coiffée d’un chignon blond stricte et cachée derrière des lunettes noires sort d’un coin obscure et vient vers moi. On dirait une institutrice sévère d’une BD érotique. Elle porte un sac et une petite cravache dans la main droite. et sans un mot elle prend mes vêtements et les fourre en vrac dans le sac. Elle m’inspecte en me faisant tourner sur moi même et sans un mot, me montre l’escalier et me fait signe de monter. Elle appuie sur la minuterie. Je suis pétrifié en pleine lumière.
Je m’exécute craintif. Elle me suit. Je lance des regards interrogateurs mais pas un mot. Arrivé au premier palier, la lumière s’éteint. Elle me met alors dans la lumière d’un téléphone branché sur haut parleur sur lequel j’entends Germaine, c’est le prénom de ma dominatrice du soir.
« Alors, Lucie, montre moi notre soumis du soir » « Pas mal. Il est bien rasé, c’est parfait. Donne lui l’attribut du 1er étage. » La jeune femme me tend alors un collier de cuir avec une chaine en métal.
La chaine est réglable en longueur et la poignée de cuir est munie d’un anneau coulissant qui permet de serrer, la suite va vous montrer comment. Germaine m’intime de mettre le collier, bien serré, et de passer mes couilles et ma queue dans la poignée et me demande de serrer l’anneau. Alors Lucie règle la laisse et je me retrouve ainsi avec un collier de chienne et une une laisse tendue sur le ventre qui tire mes attributs vers le haut.
Lucie montre le résultat à Germaine qui apprécie et me dit « maintenant que tu commences à ressembler à ce que est nécessaire, monte au 2ième, dard dard ! »
Je monte dans la lumière du téléphone qui fait danser ma silhouette sur les marches. Arrivé au 2ième, Germaine toujours en ligne demande à Lucie de me donner le 2ième attribut.
Lucie me tend une paire de bas noirs auto-fixant. Germaine se souvenait manifestement que j’apprécierais d’être féminisé. D’ailleurs cela semblait lui plaire de me travestir pensant sans doute avec expérience que je serai plus à sa merci psychologiquement, c’est ce que je pensais de mon côté. Germaine m’intime donc de passer les bas prestement. Je m’exécute.
« Lucie, montre moi notre salope avec ses bas » « magnifique, allez monte la moi au 3ième avec des encouragements s’il te plait »
Les encouragements, ce sont deux petits coups de cravache sur les fesses. Je monte plus rapidement.
Sur le palier du 3ième, Germaine demande par le téléphone à Lucie de me passer le 3ième attribut. C’est elle qui s’en charge, elle m’enfile un corset poussant mes seins et mamelons en avant et qu’elle me lace dans le dos à me faire suffoquer. « Montre la moi. Mais c’est qu’elle commence à ressembler à ce qu’il nous faut, notre pute du soir « « C’est parfait, maintenant au 4ième et que ça saute… avec encouragements s’il te plait » 4 ou 5 coups de cravache s’abattent sur mes fesses.
Au 4ième, Germaine me demande de jeter un oeil sur la 1ère marche du 5ième qu’illumine Lucie avec la lampe de son téléphone. Sur cette marche il y a un plug, acceptable de grosseur, il est agrémenté d’une queue de chien en fourrure.
« Lucie, lubrifie lui le fion et qu’il s’empale sur ce rosebud » Lucie m’enduit aussitôt le trou du cul largement et sans délicatesse aucune au contraire fouillant mon intimité, elle me pousse à m’asseoir. Je tombe presque dessus tant il est bas et je me contorsionne pour que mon cul absorbe l’objet confirmant ma condition de soumis ou soumise je ne sais plus. Je me relève à grand peine et lucie filme tous les détails que Germaine apprécie fort à distance.
« Maintenant nous allons pouvoir nous amuser de cette pute soumise et docile semble-t-il.
Monte la moi chez moi que je l’accueille comme il se doit. La soirée va pouvoir commencer et n’oublie pas les encouragements d’usage et appuyés s’il te plait. » Je reçois de sérieux coups de cravache pour chaque marche qui malgré la gène du plug me font monter 2 à 2 au 5ième.
Je rentre dans un appartement spacieux et très chic par une double porte déjà ouverte. Je traverse une entrée sombre et me retrouve dans un grand salon luxueux aux lumières tamisées indirectes. Germaine trône au milieu sous un spot.
Je la découvre: la bonne soixantaine, cheveux blancs courts, un peu enveloppée. ça me plait. Elle est sanglée dans une guêpière seins dehors, sexe épilé et pas mal de bourrelets. Des porte jarretelles et bas noirs terminent le tableau d’une sorte d’adjudant qui m’attend campée sur ses jambes tendues et écartées et avec un fouet qu’elle frappe dans son autre main. Je ne suis pas tranquille du tout mais je l’ai voulu…
Dans un coin de la pièce, je découvre un homme nu, épilé, masqué, mains dans le dos qui m’est présenté comme le mari cocu et soumis et qui adore son statut, ce qu’il confirme en se ventant et en disant qu’il a hâte de participer. Germaine le fait taire sans ménagement en le traitant de larve et de sous merde. Enfin, Lucie, mon accompagnatrice de l’escalier, apparait à son tour, nue, épilée seulement vêtue de bas noirs, d’un soutien gorge 1/4 de balcon soutenant une très belle poitrine et surtout bardée d’un gode ceinture noir plus vrai que nature et assez conséquent… ça promet mais je l’ai voulu…
Germaine m’attrape par la laisse tendue sur mon torse puis me tire vers elle.
« Alors content de la mise en condition, tu n’en espérais pas tant en arrivant hein?. Maintenant on va passer aux travaux pratiques de la petite chienne, de la petite salope, de la petite pute dont tu sembles avoir toutes les qualités du moins en apparence ». Elle dit ces mots avec une gourmandise certaine, heureuse de me rabaisser par ses qualificatifs pour son futur service sexuel et elle goûte cet instant cela avec délectation. C’est une vraie coquine comme je m’y attendais. Elle ajoute: » Tu ne m’en avais pas tant dit lors de nos échanges de mails. J’ai l’impression que tu es bien plus salaud que tu l’as prétendu. Tant mieux on n’a pas de temps à perdre en parlottes. Ce cher objet sexuel de la nuit va nous combler j’espère. »
Elle détache alors ma queue et mes couilles de la poignée de la laisse, qu’elle prend en main et me forçant à me mettre à quatre pattes, elle me promène dans la pièce autour des fauteuils et tables basses.
Tu sais que tu as l’air d’une vraie chienne comme cela surtout avec cette queue dans ton cul. C’est seyant et surtout ça va t’agrandir l’orifice et l’assouplir pour plus tard, j’envisage d’ailleurs de faire évoluer la taille dans la soirée pour notre confort »
« Pour l’heure, bouge le ce cul ! qu’on l’apprécie, qu’on le convoite.
Maintenant tu es notre objet de plaisir, donne nous l’envie d’en profiter, d’en abuser.
Montre toi désirable, montre nous ton corps gourmand que tu veux offrir à nos désirs lubriques.
Lucie va faire des photos ou des vidéos comme souvenir et comme pub des futurs services que tu pourrais nous rendre dans l’avenir si tu nous donnes satisfaction.
Tu m’as dit que tu étais bi, donc les queues n’ont pas de secret pour toi n’est ce pas?, et que tu aimais particulièrement sucer des chattes, te considérant par ailleurs expert en la matière. On va juger de tout cela. Par contre tu m’as dit être vierge du cul, n’ayant jamais été sodomisé. Mais quel dommage, quel manque, mais on envisage sérieusement d’y remédier sinon ton apprentissage ne serait pas complet. Tu as un beau cul bientôt plein et pas que de promesses.
Tu es arrivé en amateur, tu repartira en pro. »
« Viens là toi, mon soumis » ordonne-t-elle à son mari « et garde ton bandeau tu dois seulement imaginer ce que se passe ou sentir sans voir, c’est plus excitant ainsi. » Me faisant relever, elle lui ordonne de me tâter la bite et les couilles, de les flatter avec douceur, de les exciter » Mais point n’est besoin, je bande comme un cerf. « Et toi », ajoute-t-elle à mon endroit « retiens toi sinon il va t’en cuire ».
Le bougre est passé maître, il aime cela, il se régale, ses doigts sont électriques. J’ai un mal fou à ne pas succomber. Germaine y met enfin un terme et me dit » maintenant à toi, tu vas lui montrer autant d’expertise que la sienne mais avec ta bouche.
Allez à genoux et doucement qu’on voit bien la progression. Je veux que tu lui embrasses le gland, puis que tu lui suces toute la hampe, dessus, dessous, que tu les gobes les couilles aussi et qu’enfin que tu lui engloutisses toute la queue et que tu la lui pompes jusqu’à ce qu’il te décharge au fond de la gorge. Allez vas y ma chienne, Lucie va t’immortaliser en gros plan. Applique toi et sans les mains s’il te plait »
Je m’agenouille et rapproche ma bouche de sa queue encore pendante et que je dois aller chercher. Je lui délivre des baisers sur son gland circoncis encore mou, ma langue suit et lèche les contours de son gland, il commence à bander et de plus en plus à mesure que mes lèvres humides coulissent le long de sa verge, dessus, dessous, à droite, à gauche. Je lui bouffe les couilles avec empressement et de temps en temps en bonne chienne bien lubrique qui apprécie sa condition voulue et consentie, je tourne les yeux vers l’objectif de Lucie pour montrer ma dévotion de soumis à ce que je fais qui me ravit.
Enfin son chibre est dur et passablement épais, alors je l’engloutis et je le branle avec mes lèvres et l’aspire autant que je peux. Il est résistant. Il faut bien dix bonnes minutes avant que je sente, que dis je, que je goûte qu’il va bientôt éjaculer dans ma bouche. Je redouble d’ardeur quand Germaine me dit: » Attention, nous voulons voir son sperme dans ta bouche, donc quand il aura joui, tu n’avales pas tant que tu n’en a pas reçu l’ordre, et tu nous montres ta bouche de salope bien pleine. C’est compris » J’opine autant que je peux et l’explosion arrive dans un grognement d’animal. J’ai du mal à tout garder, du sperme s’échappe de mes commissures. Il se retire satisfait en me caressant la tête.
Je suis là, tête relevée, bouche entrouverte à montrer ma soumission à Germaine et Lucie qui n’en perdent pas une miette et qui sourient. « Bien tu peux avaler, doucement, déguste et lèche tes babines de chienne et va finir de lui nettoyer la bite de la moindre traces et au passage lape ce qui est tombé parterre ». Le soumis ne se le fait pas dire deux fois il se rapproche et me tend sa pine mollissante à nettoyer. Je m’exécute à la perfection, j’y prends tellement goût que Germaine m’arrête avant de faire re-bander son soumis. « Hé là! il en faut pour les autres, la soirée ne fait que commencer. On se calme les chiennes. »
« Ce hors d’oeuvre m’a excité, je mouille de la chatte, voudrais tu y goûter maintenant » dit Germaine en s’affalant dans un fauteuil jambes écartées sur les accoudoirs. Je me jette à genoux pour lui bouffer la chatte mais elle me tire par la laisse vers elle. « Tout doux mon chien », dit-elle « continue ma préparation par une léchouille de mes nichons et n’en profite pas pour laisser ta queue exciter ma chatte. Chaque chose en son temps. » J’approche mon visage de ses gros seins, au moins du 110 ou déjà les mamelons pointent. Je les lèche, les flatte les aspire et cela semble lui plaire et à moi donc!.
C’est le moment qu’elle choisit pour demander à Lucie : « Ma belle, change les outils sans des encouragements bien sentis auparavant veux-tu ».
Pendant que je suis occupé à lui sucer les seins contre lesquels Germaine tient fermement ma tête écrasée, Lucie m’envoie quelques coups de cravache sur les fesses qui me permette non seulement de ne pas sentir le plug qu’elle me retire mais surtout d’à peine sentir celui qu’elle m’introduit largement lubrifié sans doute car malgré la dimension hors normes que je devine il s’insinue jusqu’au fond de moi, il m’écartèle et me rempli et pas que les pensées.
« Ne t’occupe pas de ton fondement, continue de t’occuper de moi ma salope de chienne, tu aimes cela hein? Alors maintenant montre moi ce que tu sais faire. Descend sur ma chatte et mets y moi le feu comme tu t’en vantes »
C’est une grosse chatte baveuse que ma langue attaque. Une de celles que je préfère. Bien grosses avec des lèvres bien charnues, pleine de mouille qui permet de glisser de haut en bas, de passer en titillant le clito mais point trop pour faire durer le plaisir. J’aime prendre le temps de comprendre si la propriétaire est clitoridienne ou vaginale ou les 2. J’aime l’ amener à l’extase et à ce qu’elle me jouisse abondamment sur mon visage en se sachant totalement prise.
Mais prise c’est moi qui vais l’être car je sens au bout de 10 mn de ce régime, un corps qui s’enlève du mien un autre qui veut y entrer. Germaine a senti mon inquiétude et m’encourage à ne pas la laisser baisser de régime et à ne s’occuper de ce que j’ai à faire d’important pour elle. « Le reste n’est que broutille pour l’instant » dit-elle.
Lucie a du en effet s’agenouiller derrière moi et est en train de faire glisser le gode le long de ma raie de haut en bas, de bas en haut puis elle présente le gland à mon trou et enfin m’encule pour de bon. « Lucie, tu y es, pousse lui le gode bien au fond que sa langue puisse rentrer dans ma chatte » s’exclame Germaine . Et je sens ce corps qui m’emplit doucement, le plug avait fait la voie. Germaine appuie sur ma tête en bougeant son bassin et Lucie commence à me pilonner.
Germaine va bientôt exploser et moi aussi. Elle jouit et moi aussi, j’éjacule par terre. Je n’imaginais pas que cela puisse être aussi bon. Je suis vidé et rempli en même temps.
« Eh bien mon salaud tu as été bon, j’ai rarement joui comme cela et toi comment te sens tu ? » Alors que Lucie sort le gode de mon cul. « Soumis viens là, lèche moi ce sperme sur le tapis et nettoie ce gode avec ta lange » Le soumis se précipite, heureux, et s’exécute avec application. Et pendant ce temps Lucie me remet un plug bien plus large que le premier que mon cul accueille sans problème.
« Le Gode, c’était juste pour faire la voie et te désinhiber. Tu deviendras un vrai enculé heureux quand tu auras été sodomisé par de vraies bites. Mais j’ai pensé à tout car il faut battre le fer quand il est chaud et pendant que tu t’occupais de moi j’ai donné le feu vert à Lucie pour confirmer le concours d’Omar, un mec super monté, tu verras, Il sera là dans quelques minutes rien que pour ton petit cul, tu en as de la chance, toi tu as tiré le bon numéro et Omar c’est toi qu’il va tirer… »
« Tu as été une bonne chienne jusqu’à maintenant, toutefois tu vas devoir te surpasser avec notre Ami Omar, un beau spécimen comme tu va voir. Tu peux continuer en pute offerte comme tu es ou redevenir un mec, mais toujours totalement soumis à mes ordres, tu garderas en tous cas ton collier de lopette. Tu es quand même venu pour subir et tu y prends goût n’est ce pas ? » "Je confirme » dis-je. « Ô moi juste le corset si vous voulez bien Maîtresse, je conserve les bas, le collier en effet et la laisse. Ce sont les marques de ma soumission acceptée et souhaitée. Ils m’obligent à être docilement commandé et abusé. J’apprécie. »
On sonne ! Germaine me dit: »va ouvrir et accueille Omar. Fais lui allégeance en te prosternant devant lui en lui présentant ton cul ouvert, il vient pour cela. Tu vas savoir ce que c’est d’être un véritable objet sexuel. Tu vas aimer petite salope, n’est ce pas? « Je répondis : »Je pense que oui avec plaisir et envie ».
Omar est un Noir d’au moins 1,80 m, très baraqué. Il m’impressionne tout de suite. Je me tourne, lui présente mon cul ouvert avec mes deux mains en lui disant: » Ma Maîtresse vous offre mon cul, faites en ce que bon vous semble, en fait tout mon corps est à vous ». Omar prend la laisse et m’entraine dans le salon. « C’est cette petite fiotte que je dois baiser. Va falloir qu’il y mette du sien. Il ne m’ excite pas trop » dit Omar en se mettant nu.
Germaine lui répond : » ne t’inquiète pas Omar c’est une bonne salope qui a manifestement de bonnes dispositions pour le sexe sous toutes ses formes. Il est motivé pour exécuter tes ordres pour le reste de la soirée » .
Omar embrassa Germaine et Lucie qui avait quitté le gode ceinture et dit à l’adresse du soumis: « alors cocu ce soir je ne t’encule pas, tu regarderas ton copain se faire mettre. Tu ne perd rien pour attendre ».
« Alors, l’apprenti, tu en as déjà vu des belles queues comme celle là » en prenant la sienne à pleine main. Une bite d’un autre monde pour moi, en érection de presque 30 cm de longueur et de 6 à 7 cm d’épaisseur. « Allez vient me la flatter, Lucie qui a connait bien et l’adore va t’y aider. »
A genoux devant cette montagne Lucie lui prend la bite dans sa main et commence à la lécher puis elle la dirige vers ma bouche. Elle était déjà énorme mais bonne et à tour de rôle nous la suçons, nous la branlons avec Lucie qui, elle même, me la remet en bouche sans cesse.
« Prépare la bien car elle va te défoncer le fion, salope. Tu suces pas mal ça va me plaire de te prendre mais c’est toi qui va me le demander, n’est ce pas Germaine ?: » Bien sûr , Omar, il va même t’implorer de le prendre ».
En effet on était très excité en lui suçant la queue, avec Lucie que j’embrassais aussi au passage. Elle m’encourageais puis me sussurra: » vas y demande lui de te prendre, c’est ton heure.»
« Omar, je t’offre mon trou du cul, prend le, fais moi jouir par le cul » « Tu la veux, viens là petite pute, tu la veux vraiment », répondit-il « oui encule moi, je t’en prie » Il commença par me titiller les tétons pour m’exciter ce qui avait pour effet de me faire bander dur illico. « branle toi devant nous, salope, je veux voir ton abandon total. Tu jutes sur ma queue et tu la lubrifies pour te la mettre plus facilement dans ton petit trou. » « Pendant que je vais te défoncer tu feras minette à Lucie. Viens lucie allonge toi sur la table, ouvre tes cuisses, offre lui ta chatte ». Germaine filme le pour la postérité.
Il ne fallut pas longtemps pour que j’éjacule sur sa queue sur laquelle je repartis partout mon sperme avec mes lèvres. Sans ménagement il m’entraina vers la table me fit me pencher sur la chatte de Lucie, m’enfonça les reins pour faire ressortir ma croupe et m’écarta les jambes.
Par goût je léchais déjà Lucie et je sentis son gland énorme tenter de forcer le passage dans mon cul. Il mit le temps nécessaire mais d’un coup il me défonça et entra complètement en moi. Heureusement que l’ouverture avait été agrandie mais quand même quelle sensation Ce grand noir était planté dans mon cul après que je l’avais prié de le faire, je n’en revenais pas d’avoir tant accepté. J’en arrêtais de faire mon office auprès de Lucie qui cependant me rappelait à l’ordre en m’enfonçant la tête dans sa chatte. La queue énorme me limait et me faisait tressaillir à chaque coup de boutoir. C’était énorme et tout à coup je fus rempli d’un liquide chaud et abondant en même temps qu’enivré je jouissais encore moi même dans la bouche du soumis envoyé sous la table opportunément par Germaine et je faisais jouir Lucie qui hurla de plaisir. Omar se retira avec ménagement et m’enjoignis de lui nettoyer la queue de son sperme et de mes propres sécrétions avec ma langue, ce que je fis avec empressement, appréciant d’avoir trouvé mon Maître auquel j’avais déjà envie de m’offrir de nouveau.
Germaine était ravie de la soirée. Elle promit de re-convoquer chacun pour une prochaine soirée, dont j’allais faire partie « toujours en élève docile » me confia-t-elle.
« Tu es décidément un bon objet sexuel, une vraie salope qui nous convient » me dit-elle.
"De nombreuses facettes sont encore à explorer, des scenarii que tu ne soupçonnes même pas mais pour cela, je te veux désormais comme mon esclave sexuel permanent, exclusif et toujours disponible « dit-elle en me tirant par la laisse près de son visage. « D’accord » ?« Tu acceptes, bien sûr ». « Où et quand » répondis-je simplement, sûr de moi et plutôt flatté.
« Donc c’est clair. Mais pour m’assurer de ta loyauté, Omar va matérialiser notre accord par une signature comme pour tout contrat. Il est tatoueur !. C’est ton cul qui va servir de parchemin, les termes ne laisseront personne dans l’ignorance de ta dévotion et de ton appartenance, ce qui m’assure d’une certaine fidélité de ta part ».
Joignant le geste à la parole, il m’empoignèrent et me lièrent les quatre membres aux pieds de la table. Ils m’immobilisèrent complètement par un bondage serré de ma taille à la table. Seule ma tête pendante dans le vide pouvait encore se mouvoir.
Pendant qu’Omar faisait son office avec ses aiguilles sur mes fesses, aidé de l’assistante Lucie, Germaine se pencha et me précisa: « j’envisage très prochainement de parfaire ta formation par une soirée pluralité masculine avec des étalons gays de ma connaissance. Tu en seras le clou… Par ailleurs je suis l’ordonnatrice de soirées exhibition dans des Clubs libertins. Tu deviendras désormais mon faire valoir, acteur principal disponible pour toutes et tous et j’ai d’autres idées encore plus folles à suivre te concernant…
Deux heures plus tard, les fesses totalement en feu mais libéré de mes entraves, on m’amena me positionner devant une psyché où je découvris en haut et sur toute la largeur de mes fesses, en lettres grasses, rouges, majuscules et au féminin: à gauche SOUMISE, en haut de la raie: DE et sur la fesse de droite: MAITRESSE.
On ne pouvait être plus clair et plus sûr de ma destinée précise, définitive et réservée.
Retournement difficile…à tous points de vue…
J’étais finalement entré en contact par mail avec un couple âgé dont la femme se présentait comme dominatrice et son mari soumis.
Ça m’avait toujours plu d’envisager de me soumettre et d’être contraint sous les ordres d’une dominatrice mature dans le cadre d’un couple. C’était pour moi un plus.
Par ailleurs il me semblait que travesti me permettrait plus facilement d’accepter la contrainte ardemment espérée et de me lâcher complètement et encore mieux si possible dans le cadre d’ une promiscuité avec d’autres soumis. Cela était de nature à me faciliter l’abandon de moi même et donc de réaliser mes fantasmes les plus fous et de satisfaire mes pulsions d’exhibitionniste soumis .
Cette Maîtresse acceptait les hommes seuls, si bi-sexuel avérés et bien entendu passifs, appréciant en effet de temps à autres d’offrir un cadeau à son mari et son mari en cadeau.
Elle était aussi d’accord pour me féminiser et satisfaite que cela me permette un lâcher prise augurant une disponibilité absolue à ses exigences sexuelles et celles de ses partenaires éventuels
Ayant apprécié les photos de cette femme dans la soixantaine en tenue fétish sur le site et son allure très domina affirmée, en même temps que celles de son mari soumis j’avais sollicité de rencontrer le couple que dis-e je m’étais presque prostitué verbalement parlant pour obtenir un rendez vous et accéder à leur intimité assurant à la Maîtresse une disponibilité totale à toutes ses exigences quelles qu’elles soient. Mes réponses à ses questions précises sur mon acceptation de la soumission absolue semblant lui suffire dans un 1er temps. Elle me demanda de l’appeler à un 06 qu’elle me confia. ça y était j’étais sur la voie du graal.
Elle avait donc accepté de me recevoir à la condition réitérée d’une docilité sans faille. Elle avait ajouté que selon ses envies, elle pouvait être aidée de partenaires et qu’elle exigeait une soumission totale de ma part vis à vis d’elle et évidemment des tiers. Il me fallait aussi être totalement rasé, la preuve de l’offrande du corps pour un homme, selon elle.
Je devais donc je me rendre avenue de Breteuil dans le 7ième arrondissement le samedi suivant à 22.30 H précises. Elle m’avait donné un autre numéro de téléphone fixe pour le contact.
Ayant appelé au numéro donné, le jour dit, quelques minutes avant l’heure, elle m’indiqua le numéro de l’avenue et le nom sur lequel sonner sur le digicode, tout cela d’un ton particulièrement autoritaire qui m’inquiéta quelque peu mais j’étais lancé et pour tout dire avide d’être utilisé tant j’avais fantasmé sur l’objet sexuel que je souhaitais être un jour..
Je sonne et je me présente. J’entends sa voix qui m’indique qu’elle va m’ouvrir et dit: » désormais, nous sommes bien d’accord tu fais tout ce que j’exige, tu es à moi. sinon tu dégages tout de suite » « Répète après moi que tu veux être mon esclave dévoué et tu veux tout faire de ce que j’exigerai de toi « J’ânonnais à mon tour « Je suis votre esclave dévoué et je veux vraiment faire tout ce que vous exigerez de moi « « Très bien. Donc maintenant tu vas entrer dans le hall et une fois la porte passée tu deviens ma chose totalement soumise et pour faire bonne mesure tu te mets à poil tout de suite dans le hall , exécution »
Je suis pétrifié mais je ne peux reculer. Le penne s’ouvre, je pousse la porte énorme et lourde et je me retrouve dans la pénombre dans un hall froid et impersonnel. La porte se referme j’ai l’impression d’ être pris dans un filet. Craignant de rencontrer quelqu’un je tourne, je vire, mais finalement je suis ses instructions et me mets complètement nu..
A poil et complètent idiot avec mes vêtements à la main, je suis inquiet.
A cet instant, une jeune femme, d’une trentaine d’année, habillée d’une robe fourreau noire jusqu’à mi mollets, coiffée d’un chignon blond stricte et cachée derrière des lunettes noires sort d’un coin obscure et vient vers moi. On dirait une institutrice sévère d’une BD érotique. Elle porte un sac et une petite cravache dans la main droite. et sans un mot elle prend mes vêtements et les fourre en vrac dans le sac. Elle m’inspecte en me faisant tourner sur moi même et sans un mot, me montre l’escalier et me fait signe de monter. Elle appuie sur la minuterie. Je suis pétrifié en pleine lumière.
Je m’exécute craintif. Elle me suit. Je lance des regards interrogateurs mais pas un mot. Arrivé au premier palier, la lumière s’éteint. Elle me met alors dans la lumière d’un téléphone branché sur haut parleur sur lequel j’entends Germaine, c’est le prénom de ma dominatrice du soir.
« Alors, Lucie, montre moi notre soumis du soir » « Pas mal. Il est bien rasé, c’est parfait. Donne lui l’attribut du 1er étage. » La jeune femme me tend alors un collier de cuir avec une chaine en métal.
La chaine est réglable en longueur et la poignée de cuir est munie d’un anneau coulissant qui permet de serrer, la suite va vous montrer comment. Germaine m’intime de mettre le collier, bien serré, et de passer mes couilles et ma queue dans la poignée et me demande de serrer l’anneau. Alors Lucie règle la laisse et je me retrouve ainsi avec un collier de chienne et une une laisse tendue sur le ventre qui tire mes attributs vers le haut.
Lucie montre le résultat à Germaine qui apprécie et me dit « maintenant que tu commences à ressembler à ce que est nécessaire, monte au 2ième, dard dard ! »
Je monte dans la lumière du téléphone qui fait danser ma silhouette sur les marches. Arrivé au 2ième, Germaine toujours en ligne demande à Lucie de me donner le 2ième attribut.
Lucie me tend une paire de bas noirs auto-fixant. Germaine se souvenait manifestement que j’apprécierais d’être féminisé. D’ailleurs cela semblait lui plaire de me travestir pensant sans doute avec expérience que je serai plus à sa merci psychologiquement, c’est ce que je pensais de mon côté. Germaine m’intime donc de passer les bas prestement. Je m’exécute.
« Lucie, montre moi notre salope avec ses bas » « magnifique, allez monte la moi au 3ième avec des encouragements s’il te plait »
Les encouragements, ce sont deux petits coups de cravache sur les fesses. Je monte plus rapidement.
Sur le palier du 3ième, Germaine demande par le téléphone à Lucie de me passer le 3ième attribut. C’est elle qui s’en charge, elle m’enfile un corset poussant mes seins et mamelons en avant et qu’elle me lace dans le dos à me faire suffoquer. « Montre la moi. Mais c’est qu’elle commence à ressembler à ce qu’il nous faut, notre pute du soir « « C’est parfait, maintenant au 4ième et que ça saute… avec encouragements s’il te plait » 4 ou 5 coups de cravache s’abattent sur mes fesses.
Au 4ième, Germaine me demande de jeter un oeil sur la 1ère marche du 5ième qu’illumine Lucie avec la lampe de son téléphone. Sur cette marche il y a un plug, acceptable de grosseur, il est agrémenté d’une queue de chien en fourrure.
« Lucie, lubrifie lui le fion et qu’il s’empale sur ce rosebud » Lucie m’enduit aussitôt le trou du cul largement et sans délicatesse aucune au contraire fouillant mon intimité, elle me pousse à m’asseoir. Je tombe presque dessus tant il est bas et je me contorsionne pour que mon cul absorbe l’objet confirmant ma condition de soumis ou soumise je ne sais plus. Je me relève à grand peine et lucie filme tous les détails que Germaine apprécie fort à distance.
« Maintenant nous allons pouvoir nous amuser de cette pute soumise et docile semble-t-il.
Monte la moi chez moi que je l’accueille comme il se doit. La soirée va pouvoir commencer et n’oublie pas les encouragements d’usage et appuyés s’il te plait. » Je reçois de sérieux coups de cravache pour chaque marche qui malgré la gène du plug me font monter 2 à 2 au 5ième.
Je rentre dans un appartement spacieux et très chic par une double porte déjà ouverte. Je traverse une entrée sombre et me retrouve dans un grand salon luxueux aux lumières tamisées indirectes. Germaine trône au milieu sous un spot.
Je la découvre: la bonne soixantaine, cheveux blancs courts, un peu enveloppée. ça me plait. Elle est sanglée dans une guêpière seins dehors, sexe épilé et pas mal de bourrelets. Des porte jarretelles et bas noirs terminent le tableau d’une sorte d’adjudant qui m’attend campée sur ses jambes tendues et écartées et avec un fouet qu’elle frappe dans son autre main. Je ne suis pas tranquille du tout mais je l’ai voulu…
Dans un coin de la pièce, je découvre un homme nu, épilé, masqué, mains dans le dos qui m’est présenté comme le mari cocu et soumis et qui adore son statut, ce qu’il confirme en se ventant et en disant qu’il a hâte de participer. Germaine le fait taire sans ménagement en le traitant de larve et de sous merde. Enfin, Lucie, mon accompagnatrice de l’escalier, apparait à son tour, nue, épilée seulement vêtue de bas noirs, d’un soutien gorge 1/4 de balcon soutenant une très belle poitrine et surtout bardée d’un gode ceinture noir plus vrai que nature et assez conséquent… ça promet mais je l’ai voulu…
Germaine m’attrape par la laisse tendue sur mon torse puis me tire vers elle.
« Alors content de la mise en condition, tu n’en espérais pas tant en arrivant hein?. Maintenant on va passer aux travaux pratiques de la petite chienne, de la petite salope, de la petite pute dont tu sembles avoir toutes les qualités du moins en apparence ». Elle dit ces mots avec une gourmandise certaine, heureuse de me rabaisser par ses qualificatifs pour son futur service sexuel et elle goûte cet instant cela avec délectation. C’est une vraie coquine comme je m’y attendais. Elle ajoute: » Tu ne m’en avais pas tant dit lors de nos échanges de mails. J’ai l’impression que tu es bien plus salaud que tu l’as prétendu. Tant mieux on n’a pas de temps à perdre en parlottes. Ce cher objet sexuel de la nuit va nous combler j’espère. »
Elle détache alors ma queue et mes couilles de la poignée de la laisse, qu’elle prend en main et me forçant à me mettre à quatre pattes, elle me promène dans la pièce autour des fauteuils et tables basses.
Tu sais que tu as l’air d’une vraie chienne comme cela surtout avec cette queue dans ton cul. C’est seyant et surtout ça va t’agrandir l’orifice et l’assouplir pour plus tard, j’envisage d’ailleurs de faire évoluer la taille dans la soirée pour notre confort »
« Pour l’heure, bouge le ce cul ! qu’on l’apprécie, qu’on le convoite.
Maintenant tu es notre objet de plaisir, donne nous l’envie d’en profiter, d’en abuser.
Montre toi désirable, montre nous ton corps gourmand que tu veux offrir à nos désirs lubriques.
Lucie va faire des photos ou des vidéos comme souvenir et comme pub des futurs services que tu pourrais nous rendre dans l’avenir si tu nous donnes satisfaction.
Tu m’as dit que tu étais bi, donc les queues n’ont pas de secret pour toi n’est ce pas?, et que tu aimais particulièrement sucer des chattes, te considérant par ailleurs expert en la matière. On va juger de tout cela. Par contre tu m’as dit être vierge du cul, n’ayant jamais été sodomisé. Mais quel dommage, quel manque, mais on envisage sérieusement d’y remédier sinon ton apprentissage ne serait pas complet. Tu as un beau cul bientôt plein et pas que de promesses.
Tu es arrivé en amateur, tu repartira en pro. »
« Viens là toi, mon soumis » ordonne-t-elle à son mari « et garde ton bandeau tu dois seulement imaginer ce que se passe ou sentir sans voir, c’est plus excitant ainsi. » Me faisant relever, elle lui ordonne de me tâter la bite et les couilles, de les flatter avec douceur, de les exciter » Mais point n’est besoin, je bande comme un cerf. « Et toi », ajoute-t-elle à mon endroit « retiens toi sinon il va t’en cuire ».
Le bougre est passé maître, il aime cela, il se régale, ses doigts sont électriques. J’ai un mal fou à ne pas succomber. Germaine y met enfin un terme et me dit » maintenant à toi, tu vas lui montrer autant d’expertise que la sienne mais avec ta bouche.
Allez à genoux et doucement qu’on voit bien la progression. Je veux que tu lui embrasses le gland, puis que tu lui suces toute la hampe, dessus, dessous, que tu les gobes les couilles aussi et qu’enfin que tu lui engloutisses toute la queue et que tu la lui pompes jusqu’à ce qu’il te décharge au fond de la gorge. Allez vas y ma chienne, Lucie va t’immortaliser en gros plan. Applique toi et sans les mains s’il te plait »
Je m’agenouille et rapproche ma bouche de sa queue encore pendante et que je dois aller chercher. Je lui délivre des baisers sur son gland circoncis encore mou, ma langue suit et lèche les contours de son gland, il commence à bander et de plus en plus à mesure que mes lèvres humides coulissent le long de sa verge, dessus, dessous, à droite, à gauche. Je lui bouffe les couilles avec empressement et de temps en temps en bonne chienne bien lubrique qui apprécie sa condition voulue et consentie, je tourne les yeux vers l’objectif de Lucie pour montrer ma dévotion de soumis à ce que je fais qui me ravit.
Enfin son chibre est dur et passablement épais, alors je l’engloutis et je le branle avec mes lèvres et l’aspire autant que je peux. Il est résistant. Il faut bien dix bonnes minutes avant que je sente, que dis je, que je goûte qu’il va bientôt éjaculer dans ma bouche. Je redouble d’ardeur quand Germaine me dit: » Attention, nous voulons voir son sperme dans ta bouche, donc quand il aura joui, tu n’avales pas tant que tu n’en a pas reçu l’ordre, et tu nous montres ta bouche de salope bien pleine. C’est compris » J’opine autant que je peux et l’explosion arrive dans un grognement d’animal. J’ai du mal à tout garder, du sperme s’échappe de mes commissures. Il se retire satisfait en me caressant la tête.
Je suis là, tête relevée, bouche entrouverte à montrer ma soumission à Germaine et Lucie qui n’en perdent pas une miette et qui sourient. « Bien tu peux avaler, doucement, déguste et lèche tes babines de chienne et va finir de lui nettoyer la bite de la moindre traces et au passage lape ce qui est tombé parterre ». Le soumis ne se le fait pas dire deux fois il se rapproche et me tend sa pine mollissante à nettoyer. Je m’exécute à la perfection, j’y prends tellement goût que Germaine m’arrête avant de faire re-bander son soumis. « Hé là! il en faut pour les autres, la soirée ne fait que commencer. On se calme les chiennes. »
« Ce hors d’oeuvre m’a excité, je mouille de la chatte, voudrais tu y goûter maintenant » dit Germaine en s’affalant dans un fauteuil jambes écartées sur les accoudoirs. Je me jette à genoux pour lui bouffer la chatte mais elle me tire par la laisse vers elle. « Tout doux mon chien », dit-elle « continue ma préparation par une léchouille de mes nichons et n’en profite pas pour laisser ta queue exciter ma chatte. Chaque chose en son temps. » J’approche mon visage de ses gros seins, au moins du 110 ou déjà les mamelons pointent. Je les lèche, les flatte les aspire et cela semble lui plaire et à moi donc!.
C’est le moment qu’elle choisit pour demander à Lucie : « Ma belle, change les outils sans des encouragements bien sentis auparavant veux-tu ».
Pendant que je suis occupé à lui sucer les seins contre lesquels Germaine tient fermement ma tête écrasée, Lucie m’envoie quelques coups de cravache sur les fesses qui me permette non seulement de ne pas sentir le plug qu’elle me retire mais surtout d’à peine sentir celui qu’elle m’introduit largement lubrifié sans doute car malgré la dimension hors normes que je devine il s’insinue jusqu’au fond de moi, il m’écartèle et me rempli et pas que les pensées.
« Ne t’occupe pas de ton fondement, continue de t’occuper de moi ma salope de chienne, tu aimes cela hein? Alors maintenant montre moi ce que tu sais faire. Descend sur ma chatte et mets y moi le feu comme tu t’en vantes »
C’est une grosse chatte baveuse que ma langue attaque. Une de celles que je préfère. Bien grosses avec des lèvres bien charnues, pleine de mouille qui permet de glisser de haut en bas, de passer en titillant le clito mais point trop pour faire durer le plaisir. J’aime prendre le temps de comprendre si la propriétaire est clitoridienne ou vaginale ou les 2. J’aime l’ amener à l’extase et à ce qu’elle me jouisse abondamment sur mon visage en se sachant totalement prise.
Mais prise c’est moi qui vais l’être car je sens au bout de 10 mn de ce régime, un corps qui s’enlève du mien un autre qui veut y entrer. Germaine a senti mon inquiétude et m’encourage à ne pas la laisser baisser de régime et à ne s’occuper de ce que j’ai à faire d’important pour elle. « Le reste n’est que broutille pour l’instant » dit-elle.
Lucie a du en effet s’agenouiller derrière moi et est en train de faire glisser le gode le long de ma raie de haut en bas, de bas en haut puis elle présente le gland à mon trou et enfin m’encule pour de bon. « Lucie, tu y es, pousse lui le gode bien au fond que sa langue puisse rentrer dans ma chatte » s’exclame Germaine . Et je sens ce corps qui m’emplit doucement, le plug avait fait la voie. Germaine appuie sur ma tête en bougeant son bassin et Lucie commence à me pilonner.
Germaine va bientôt exploser et moi aussi. Elle jouit et moi aussi, j’éjacule par terre. Je n’imaginais pas que cela puisse être aussi bon. Je suis vidé et rempli en même temps.
« Eh bien mon salaud tu as été bon, j’ai rarement joui comme cela et toi comment te sens tu ? » Alors que Lucie sort le gode de mon cul. « Soumis viens là, lèche moi ce sperme sur le tapis et nettoie ce gode avec ta lange » Le soumis se précipite, heureux, et s’exécute avec application. Et pendant ce temps Lucie me remet un plug bien plus large que le premier que mon cul accueille sans problème.
« Le Gode, c’était juste pour faire la voie et te désinhiber. Tu deviendras un vrai enculé heureux quand tu auras été sodomisé par de vraies bites. Mais j’ai pensé à tout car il faut battre le fer quand il est chaud et pendant que tu t’occupais de moi j’ai donné le feu vert à Lucie pour confirmer le concours d’Omar, un mec super monté, tu verras, Il sera là dans quelques minutes rien que pour ton petit cul, tu en as de la chance, toi tu as tiré le bon numéro et Omar c’est toi qu’il va tirer… »
« Tu as été une bonne chienne jusqu’à maintenant, toutefois tu vas devoir te surpasser avec notre Ami Omar, un beau spécimen comme tu va voir. Tu peux continuer en pute offerte comme tu es ou redevenir un mec, mais toujours totalement soumis à mes ordres, tu garderas en tous cas ton collier de lopette. Tu es quand même venu pour subir et tu y prends goût n’est ce pas ? » "Je confirme » dis-je. « Ô moi juste le corset si vous voulez bien Maîtresse, je conserve les bas, le collier en effet et la laisse. Ce sont les marques de ma soumission acceptée et souhaitée. Ils m’obligent à être docilement commandé et abusé. J’apprécie. »
On sonne ! Germaine me dit: »va ouvrir et accueille Omar. Fais lui allégeance en te prosternant devant lui en lui présentant ton cul ouvert, il vient pour cela. Tu vas savoir ce que c’est d’être un véritable objet sexuel. Tu vas aimer petite salope, n’est ce pas? « Je répondis : »Je pense que oui avec plaisir et envie ».
Omar est un Noir d’au moins 1,80 m, très baraqué. Il m’impressionne tout de suite. Je me tourne, lui présente mon cul ouvert avec mes deux mains en lui disant: » Ma Maîtresse vous offre mon cul, faites en ce que bon vous semble, en fait tout mon corps est à vous ». Omar prend la laisse et m’entraine dans le salon. « C’est cette petite fiotte que je dois baiser. Va falloir qu’il y mette du sien. Il ne m’ excite pas trop » dit Omar en se mettant nu.
Germaine lui répond : » ne t’inquiète pas Omar c’est une bonne salope qui a manifestement de bonnes dispositions pour le sexe sous toutes ses formes. Il est motivé pour exécuter tes ordres pour le reste de la soirée » .
Omar embrassa Germaine et Lucie qui avait quitté le gode ceinture et dit à l’adresse du soumis: « alors cocu ce soir je ne t’encule pas, tu regarderas ton copain se faire mettre. Tu ne perd rien pour attendre ».
« Alors, l’apprenti, tu en as déjà vu des belles queues comme celle là » en prenant la sienne à pleine main. Une bite d’un autre monde pour moi, en érection de presque 30 cm de longueur et de 6 à 7 cm d’épaisseur. « Allez vient me la flatter, Lucie qui a connait bien et l’adore va t’y aider. »
A genoux devant cette montagne Lucie lui prend la bite dans sa main et commence à la lécher puis elle la dirige vers ma bouche. Elle était déjà énorme mais bonne et à tour de rôle nous la suçons, nous la branlons avec Lucie qui, elle même, me la remet en bouche sans cesse.
« Prépare la bien car elle va te défoncer le fion, salope. Tu suces pas mal ça va me plaire de te prendre mais c’est toi qui va me le demander, n’est ce pas Germaine ?: » Bien sûr , Omar, il va même t’implorer de le prendre ».
En effet on était très excité en lui suçant la queue, avec Lucie que j’embrassais aussi au passage. Elle m’encourageais puis me sussurra: » vas y demande lui de te prendre, c’est ton heure.»
« Omar, je t’offre mon trou du cul, prend le, fais moi jouir par le cul » « Tu la veux, viens là petite pute, tu la veux vraiment », répondit-il « oui encule moi, je t’en prie » Il commença par me titiller les tétons pour m’exciter ce qui avait pour effet de me faire bander dur illico. « branle toi devant nous, salope, je veux voir ton abandon total. Tu jutes sur ma queue et tu la lubrifies pour te la mettre plus facilement dans ton petit trou. » « Pendant que je vais te défoncer tu feras minette à Lucie. Viens lucie allonge toi sur la table, ouvre tes cuisses, offre lui ta chatte ». Germaine filme le pour la postérité.
Il ne fallut pas longtemps pour que j’éjacule sur sa queue sur laquelle je repartis partout mon sperme avec mes lèvres. Sans ménagement il m’entraina vers la table me fit me pencher sur la chatte de Lucie, m’enfonça les reins pour faire ressortir ma croupe et m’écarta les jambes.
Par goût je léchais déjà Lucie et je sentis son gland énorme tenter de forcer le passage dans mon cul. Il mit le temps nécessaire mais d’un coup il me défonça et entra complètement en moi. Heureusement que l’ouverture avait été agrandie mais quand même quelle sensation Ce grand noir était planté dans mon cul après que je l’avais prié de le faire, je n’en revenais pas d’avoir tant accepté. J’en arrêtais de faire mon office auprès de Lucie qui cependant me rappelait à l’ordre en m’enfonçant la tête dans sa chatte. La queue énorme me limait et me faisait tressaillir à chaque coup de boutoir. C’était énorme et tout à coup je fus rempli d’un liquide chaud et abondant en même temps qu’enivré je jouissais encore moi même dans la bouche du soumis envoyé sous la table opportunément par Germaine et je faisais jouir Lucie qui hurla de plaisir. Omar se retira avec ménagement et m’enjoignis de lui nettoyer la queue de son sperme et de mes propres sécrétions avec ma langue, ce que je fis avec empressement, appréciant d’avoir trouvé mon Maître auquel j’avais déjà envie de m’offrir de nouveau.
Germaine était ravie de la soirée. Elle promit de re-convoquer chacun pour une prochaine soirée, dont j’allais faire partie « toujours en élève docile » me confia-t-elle.
« Tu es décidément un bon objet sexuel, une vraie salope qui nous convient » me dit-elle.
"De nombreuses facettes sont encore à explorer, des scenarii que tu ne soupçonnes même pas mais pour cela, je te veux désormais comme mon esclave sexuel permanent, exclusif et toujours disponible « dit-elle en me tirant par la laisse près de son visage. « D’accord » ?« Tu acceptes, bien sûr ». « Où et quand » répondis-je simplement, sûr de moi et plutôt flatté.
« Donc c’est clair. Mais pour m’assurer de ta loyauté, Omar va matérialiser notre accord par une signature comme pour tout contrat. Il est tatoueur !. C’est ton cul qui va servir de parchemin, les termes ne laisseront personne dans l’ignorance de ta dévotion et de ton appartenance, ce qui m’assure d’une certaine fidélité de ta part ».
Joignant le geste à la parole, il m’empoignèrent et me lièrent les quatre membres aux pieds de la table. Ils m’immobilisèrent complètement par un bondage serré de ma taille à la table. Seule ma tête pendante dans le vide pouvait encore se mouvoir.
Pendant qu’Omar faisait son office avec ses aiguilles sur mes fesses, aidé de l’assistante Lucie, Germaine se pencha et me précisa: « j’envisage très prochainement de parfaire ta formation par une soirée pluralité masculine avec des étalons gays de ma connaissance. Tu en seras le clou… Par ailleurs je suis l’ordonnatrice de soirées exhibition dans des Clubs libertins. Tu deviendras désormais mon faire valoir, acteur principal disponible pour toutes et tous et j’ai d’autres idées encore plus folles à suivre te concernant…
Deux heures plus tard, les fesses totalement en feu mais libéré de mes entraves, on m’amena me positionner devant une psyché où je découvris en haut et sur toute la largeur de mes fesses, en lettres grasses, rouges, majuscules et au féminin: à gauche SOUMISE, en haut de la raie: DE et sur la fesse de droite: MAITRESSE.
On ne pouvait être plus clair et plus sûr de ma destinée précise, définitive et réservée.
Retournement difficile…à tous points de vue…
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