SOIREE DOMINA
Récit érotique écrit par Kirgu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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SOIREE DOMINA
Nous sommes trois couples dans la quarantaine, amis de longue date.
Le premier de ces couples, Elisa et Marc sont des habitués des clubs libertins dont ils sont friands. Ils ont récemment réussi à y attirer, le deuxième couple, Isa et Fred qui ont finalement vivement apprécié leur première soirée libertine à laquelle ils ont été cornaqués par Elisa et Marc et désormais, conquis, ils s’y rendent souvent ensemble.
Nous dînons ce soir tous les six chez nous.
La conversation vient sur le sujet des soirées libertines, en fait adroitement mis sur le tapis par Elisa. Une vraie coquine servie par un corps de rêve. Isa n’est pas en reste et se révèle être devenue une passionnée de ces moments particuliers qu’elle vante en plus avec plaisir certain.
Les deux couples en parlent manifestement avec une vraie gourmandise et affirment le plaisir qu’ils ont eu à se découvrir différemment et intimement, ce qui leur a vraiment beaucoup plu.
Chacun des couples insiste sur le plaisir pris à la découverte des uns et des autres lors de leurs soirées libertines où tout est permis sans obligation et au lâcher prise qu’ils ont mis en pratique avec bonheur ensemble et même avec d’autres participants.
Ils balayent tous les tabous et usent de tous les arguments pour nous tenter et entraîner notre couple à participer lors d’une prochaine occasion.
Ils se lancent dans un récit détaillé de leurs récents ébats avec force détails qui fait plus que réchauffer l’atmosphère.
Nous avons l’air complètement « out ». Ils insistent pour que nous franchissions le pas rapidement « au lieu de rester dans une ignorance crasse » disent-ils. « Vous prendriez du plaisir l’un et l’autre, c’est sûr »Pour ma part je suis largement émoustillé par le récit et ces incitations. Je rêve vraiment de participer un jour prochain mais mon épouse Jane, sans être ni prude, ni coincée, reste assez étrangère à ces pratiques et peu enclin à y succomber.
Afin de ne pas la braquer devant tous, les filles décident d’arrêter là la conversation mais nos deux amies ont manifestement projeté de la convaincre.
Elles conviennent d’en reparler toutes les trois entre elles dans la semaine qui vient.
En effet ajoutent-elles avant de clore le dîner « une soirée particulière s’annonce dans le club dans trois semaines». Il s’agit d’une soirée à laquelle elles veulent absolument se rendre : « Une soirée gynarchique ». Une soirée qui se déroulera donc exclusivement sous la direction et le contrôle du sexe féminin. Ce programme a l’air de les exciter au plus haut point. Elles expliquent en effet que cette soirée sera animée par les femmes avec leurs partenaires masculins ou féminins qui seront pour l’occasion absolument dociles et soumis tant pour la préparation que pendant le déroulement de la soirée.
Alors « n’en discutons qu’entre décideuses » s’exclament en cœur Elisa et Isa. « Tu es d’accord Jane ? » « Oui « répondit ma femme sans conviction évidente ».
Nous les hommes, sommes restés sur notre faim, interloqués voir suspicieux. Mais en même temps un fantasme certain à propos de la soirée prévue commence à nous tarauder et à nous exciter aussi.
La soirée se termine sur ces points d’interrogation et on convient tous de se retrouver pour dîner chez Isa et Fred le prochain samedi afin d’en reparler.
Qu’est ce que se sont dites, les femmes cette semaine ? Comment ont-elles abordé le sujet ? Qu’ont elles décidé ?
A l’heure du dîner du samedi suivant voilà ce qui occupent toutes nos pensées à nous les trois hommes en arrivant chez Isa et Fred.
Nous-nous installons pour l’apéritif, nos hôtes sont ravis de nous voir à nouveau réunis. Nous parlons de choses et d’autres mais tout le mode attend les nouvelles.
C’est ce qui n’a pas échappé à Isa qui attaque sur le sujet chaud du soir : « alors, Messieurs, vous vous demandez ce que nous avons décidé ensemble sans vous en parler. De toutes façons nous sommes seules à décider, nous avons finalement convenu de participer toutes les trois à la soirée en question, vous savez pourquoi et que de toutes façons, vous n’avez pas droit au chapitre ».
Puis elle passe la parole à Elisa agissant, grâce à son expérience, en grande ordonnatrice des futures réjouissances…Elisa dit : « Eh bien nous sommes particulièrement heureuses, Isa et moi, car Jane a décidé de sauter le pas et de nous accompagner au Club. Elle se fait finalement une joie de participer à nos jeux que nous lui avons détaillés, sans doute objets de rêves enfouis que nous avons réussi à faire éclore et qui semblent maintenant la motiver grandement. N’est ce pas Jane ? » « En effet « répond ma femme : » j’ai décidé d’accompagner mes amies, non pas tant pour moi malgré les assurances de mes copines mais surtout à cause du programme prévu qui m’inspire et je suis maintenant impatiente » et Isa ajouta à mon adresse : » J-P, je pense que tu n’y vois aucun inconvénient ? Le contraire me surprendrait ? « Comme tu dis, bien sûr, je suis curieux et tout à fait d’accord » répondis-je.
Elisa reprit la parole « Bien maintenant que nous avons décidé de notre participation à la soirée à laquelle, d’ailleurs, nous nous sommes déjà inscrites, passons à table où nous discuterons des modalités ».
Pendant le repas, Elisa dit: « Alors vous l’avez compris les gars. Si vous acceptez, vous allez participer sous le contrôle chacun de votre chérie à une soirée où vous serez soumis à notre bon vouloir, à nos désirs, à nos fantasmes. Etes vous partants ? N’est pas un programme excitant ? En tous cas pour nous c’est sûr que oui ».
Mitigé entre la découverte et la crainte, Marc ose : « Soumis, mais jusqu’où ? »Jane prend la parole : » rassurez vous nous sommes tout à fait responsables dans tout ce que nous entreprenons, on peut vous assurer que cela restera soft, mais notre plaisir sera évidemment le maître mot. C’est notre soirée tout de même !
Attention une fois engagés vous ne pourrez pas revenir en arrière mais nous sommes sûres que vous prendrez plaisir à être entièrement à notre service ». « Si on comprend bien » dit Fred : « vous envisagez qu’on soit vos faire valoir avec tout pouvoir sur nous ». « Eh oui, vous serez complètement à notre merci. En avez vous le courage ? Ou avez vous au moins la curiosité de vous laisser conduire par et pour le plaisir de vos femmes ? » Ajoute Isa.
Après un coup d’œil circulaire, « Nous acceptons le deal » répondent en cœur Marc et Fred déjà habitués à ces jeux et j’ajoute évidemment : »moi aussi » « C’est parfait pour nous » Ajoute alors Elisa.
« Nous allons donc, entre nous trois, désormais organiser notre soirée. A partir du dress code imposé, fétishiste ou dominatrice pour les femmes, nous allons prévoir nos tenues, décider surtout des vôtres et apporter les accessoires éventuellement nécessaires. Chacune de nous fournira à son mari la tenue qu’il devra porter et nous nous consulterons toutes les trois pour élaborer le programme des réjouissances. Je sens qu’on va se régaler »Sans plus de précisions tout le monde se quitte à la fin du dîner avec la promesse de se retrouver chez les libertins patentés, Elisa et Marc le samedi suivant.
Ainsi le samedi venu, nous nous retrouvons chez Marc et Elisa.
Tout le monde s’installe au salon, alors qu’on devise sur tout et sur rien nos femmes disparaissent. On se demande bien ce qu’elles nous préparent dans la droite ligne de la sortie à venir. Dix minutes plus tard elle re-font surface et se présentent chacune derrière un loup doré et vêtue d’une mini robe nuisette très moulante en résille recto verso, noire pour Elisa, rouge pour Isa et blanche pour Jane. Des mini robes hyper sexy avec dos nu plongeant jusqu’aux fesses tenues aux épaules par de fines bretelles. On les verrait carrément nues si elles ne portaient toutes un petit soutien gorge et un string en voile opaque de couleur assorti. Elles sont magnifiques.
Rien que cette apparition aurait suffi à nous décider à participer à toute soirée avec ces femmes mystérieusement cachées derrière leurs loups et surtout à n’importent quelles conditions.
« Alors comment nous trouvez vous ? » S’exclament elles. « Sommes nous à votre goût ? » « C’est clair que oui » Répondons nous en cœur « Vous êtes superbes ».
Elles tournent, elles virent, se contorsionnent. C’est un vrai bonheur de regarder nos femmes mues en tentatrices assumées. Cela promet, pense chacun de nous.
Elles minaudent et se blottissent contre nous et Elisa finit par dire : « A votre tour maintenant. Voici ce que nous avons décidé de vous faire porter pour l’occasion ».
Chacune tend à son homme un petit sachet en satin noir qui ne peut contenir que peu de chose. C’est le cas. Nous ouvrons et sortons chacun un string ficelle en dentelle transparente pour homme. Chacun de couleur assortie aux robes de nos propres épouses.
« On aimerait bien que vous alliez les passer pour voir ce que cela donne » dit Isa.
Interloqués, on se regarde, on sourit jaune et bravaches, on part s’habiller si on peut dire. Nous voilà de retour sous les sifflets et cris de nos femmes qui nous font tournoyer pour nous admirer presque nus. Nous voilà déjà en état d’infériorité et manifestement cela les contente fort.
« Nous voilà tous équipés pour notre soirée. Vous avez bien intégré maintenant que vous serez nos dociles partenaires dont on fera ce qu’on veut « dit Elisa. Isa et Jane ajoutent « Pour vous en persuader et vous familiariser avec votre condition convenue pour la soirée prochaine, vous porterez toute la semaine ce string afin de vous habituer mentalement et physiquement ». « Commençons dès maintenant et passons tous à table dans nos costumes de scène » dit Elisa.
Pendant le dîner nous cherchons à savoir comment va se passer la soirée qualifiée de gynarchique, cependant sans obtenir aucune confidence ni des unes ni des autres manifestement complices à voir leurs oeillades. Seule, Elisa, se posant décidément en chef de meute nous dit avant que nous nous quittions : » Samedi on se retrouve à la Boîte à vingt trois heures. Nous compléterons votre tenue par des attributs de nature à révéler votre statut aux yeux de tous, quant à nous, nous viendrons avec l’essentiel sur nous …! «Toutes les spéculations sont permises jusqu’ à samedi, jour de la fameuse soirée…A l’heure dite nous voilà tous à l’entrée du club.
Notre tenue de la soirée est cachée sous nos vêtements ainsi que celles des filles sous leurs manteaux. Nous entrons après qu’Elisa ait payé les entrées en habituée qu’elle est. Nous sommes dirigés directement vers les vestiaires car tout le monde doit passer sa tenue de scène, sans exception. Nous la portons depuis une semaine.
Dans les vestiaires des hommes nous voici contraints de nous déshabiller et de passer tous nos vêtements ou a peu près à des hôtesses sévères et directives …Nous voici nus ou presque, vêtus tout simplement de nos strings ridiculement petits.
Il ne va pas falloir être excité sinon…!
Nous retrouvons nos femmes masquées à la sortie de leurs vestiaires. Elisa a gardé avec elle un sac cabas ? Toutes sont dans leurs minis robes sexy à souhait, juchées sur des escarpins coordonnés. Malicieuses, elles nous complimentent sur notre costume de soirée et nous tendent ensemble et à chacun les attributs annoncés : un collier que nous devons nous mettre autour du cou. Interloqués, on s’exécute de plus ou moins bonne grâce mais elles nous rappellent qu’ » elles ne veulent plus nous entendre comme convenu ». Puis chacune nous attache une laisse à l’aide de laquelle elle nous tire prestement dans la boîte. Nous y voilà : aux yeux de tous nous ne sommes que des esclaves soumis ce qu’elles avaient sous entendu samedi passé.
Dans la boîte et bien que la lumière soit tamisée, tirés derrière elles, nous croyons les voir complètement nues sous leur mini robes. En effet sous sunlights de la piste, nous constatons, ébahis que les soutiens gorges et les strings se sont envolés.
Vision divine. Elles sont toutes les trois complètement nues, épilées et complètement libérées dans leurs tenues transparentes.
Vraiment très belles. Moment plein de promesse !
Dans la boîte une bonne cinquantaine de personnes.
Parmi celles-ci ce qui frappe ce sont d’une part les dominatrices toutes masquées, reconnaissables à leurs tenues variées plus ou moins ouvertes, en général combinaisons ou robes de cuir ou de latex et perchées sur des talons vertigineux.
D’autre part les esclaves sans masque, pour la plupart des hommes en harnais de cuir, rasés, nus ou pas (encore) ou en mankinis ridicules, quelques femmes en serre taille, porte jarretelles et bas, ou en combinaisons résille en tous cas toujours seins et fesses nus. Tous sont tenus en laisse par leur maîtresse du soir.
Chaque couple déambule comme s’il était d’abord obligatoire de parader en exhibant son soumis. Nos femmes ne font pas exception à la règle et nous tirent dans tous coins et recoins du club sans doute pour nous mettre dans l’ambiance.
Elles nous promènent à travers différentes salles où on se croise, où on se frôle entre maîtresses mystérieuses derrière leurs loups et soumis en se lançant des regards concupiscents.
Des salles de torture ou d’examens, des salles équipée de slings ou de croix de saint André, une salle avec un lit central énorme, dans un couloir à double flux avec un muret central percé de ci delà de glory holes, vers une piscine et un hammam immense, pour revenir enfin au bar et à la salle principale.
Celle-ci est bordée d’un côté de grandes cages à barreaux, le reste hormis la piste de danse est équipé de fauteuils et de sofas profonds formant des petits salons dans un vaste open space.
C’est là qu’elles décident de se poser dans un ensemble de six places, les femmes sur un sofa de trois places, chacun de nous sur des fauteuils.
Elles nous demandent d’aller chercher des boissons au bar avec nos tickets d’entrée. Nous n’en menons pas trop large presque nus au milieu de toutes ces Messalines et cela a l’air de ravir nos épouses qu’ont voit deviser et rire en nous montrant du doigt.
Maintenant la plupart des libertins sont installés dans les salons, occupés à boire et à discuter, quelques uns avec leurs soumis à leurs pieds.
L’heure est à l’activité night club puisque certains se déplacent pour danser. C’est un spectacle irréel de voir ces hommes et ces femmes à moitié nus se dandiner sur la piste de danse.
Nous la traversons et revenons avec les verres dans une ambiance hyper érotique qui semble chauffer nos épouses. Elles nous invitent sur la piste, on n’est pas très à l’aise mais une série de slows s’annoncent. Des couples dont les nôtres se forment.
Ils se caressent, se plotent plus qu’ils ne dansent quand une main inconnue et furtive ne vient pas s’y ajouter aussi. La température monte et pas que…On a du mal à tenir dans nos strings.
Dans l’open space les attitudes ont évoluées, des maitresses se font lécher leurs cuissardes, d’autres partent avec leurs esclaves vers les salles équipées, certaines tournent pour proposer des échanges de soumis. Nos maîtresses d’un soir décident de refaire un tour avec leurs toutous comme elles disent : »pour mâter et prendre des idées pour la suite ». On s’inquiète fort.
Des soumis sont attachés aux croix ou immobilisés dans des carcans ou sanglés sur des tables. Des esclaves femelles ou mâles sont maintenus a genoux devant des glory holes et doivent attendent des queues turgescentes d’autres esclaves à flatter.
Nous revenons tous les six dans notre salon au comble de l’excitation et c’est à ce moment là qu’Elisa plongeant dans son sac en sort trois godes flexibles de dimension respectable fixés à des baillons en cuir.
Elles nous ordonnent de nous agenouiller devant chacune d’elles afin de nous équiper, ceci fait elles ferment les baillons par des cadenas dans des anneaux conçus à cet effet à l’arrière de nos têtes.
Nous voilà en godes ambulants et cela n’échappe pas à certains qui se groupent autour de notre salon. Loin de gêner nos femmes, cela les encourage, elles se calent dans le sofa, retroussent leurs minis robes qui ne couvre d’ailleurs plus rien et tendent leurs chattes vers les godes. « Allez gode moi et fais moi jouir » nous commande chacune et en cœur.
Nous enfonçons les godes qui n’ont aucune difficultés à rentrer tant leur vulve est trempée et commençons à limer sous les encouragements d’une foule de curieux.
Nos femmes ondulent et donnent des coups de reins. La folie s’est emparée de nous. Pas encore complètement car Elisa tout à coup nous arrête et propose : »
Dîtes les filles si on faisait tourner les godes ? » « Mais c’est une excellente idée « s’exclament ensemble Isa et Jane.
Alors on nous ordonne de décaler d’une chatte à une autre et de continuer notre ouvrage et ainsi de suite jusqu’au retour à celle de notre propre maîtresses. Une ronde saluée par des bravos et des sifflets pendant que nos femmes à nouveau remplies par leur mari, jouissent enfin comme des hystériques.
Pour souffler un peu, elles nous demandent de nous rasseoir toujours avec nos godes baillons en place. On a vraiment l’air de sextoys ambulants, Ainsi affublés.
C’est le moment que choisissent trois dominas presque nues pour aborder notre groupe et demander tout de go à nos maîtresses si nous pouvons leur être prêtés.
Nos femmes se regardent et s’interrogent et finissent par dire : « au fond pourquoi pas, si nous pouvons participer » Mais évidemment » répondent les dominas.
Elles nous ordonnent alors de nous lever. Elles descendent nos strings qui ne cachent d’ailleurs plus nos érections. Nous voilà nus entrainés par nos laisses par des mairesses inconnues et lubriques au beau milieu du club, parmi une foule de voyeuses et d’esclaves. Nous n’en menons pas large.
A la demande des dominas, nos femmes doivent nous ôter nos baillons godes et nous poser des bandeaux sur les yeux. Nous voilà aveugles et nus à la merci de toutes les excitées du club. Les dominas nous ordonnent de nous allonger sur le dos sur un grand lit central et harangue la foule en offrant nos services pour un face sitting à l’attention de toutes les candidates qui le souhaitent !
C’est ainsi que dans un débordement d’encouragements bruyants, chacun de nos visages se retrouve chevauchée par une chatte humide, puis une deuxième, puis une troisième. Elles se frottent, se tendent, s’insinuent avec envie et besoin. Trois chattes se succèdent en effet, toutes différentes mais très agréables à savourer.
Que vont en penser nos femmes ?
Mais en même temps il me semble avoir goûté une chatte connue ? En est-il de même pour mes Amis ?
Un peu plus tard, nous sentons nos queues à leur tour, aspirées par différentes bouches besogneuses et expertes. Des langues lèchent, flattent, titillent et sucent et personne ne semble n’en perdre une miette et là encore je crois avoir reconnu une succion bien connue, particulièrement la dernière qui nous permet enfin à tous de nous soulager langoureusement…Alanguis sur le lit, nos bandeaux nous sont tout à coup arrachés et nous découvrons que nous y sommes six, nos épouses et nous, tous acteurs de la soirée.
L’assemblée et les trois dominas applaudissent et sont chaleureusement remerciées par nos femmes qui les serrent dans leurs bras. Tout était prévu par nos femmes et organisé par le club !
Après ce live show, nous regagnons notre salon, tirés par nos épouses plus délurées que jamais et qui se félicitent de s’être bien servies de nous pour leur soirée comme prévu et de nous avoir donné, quand même à nous aussi, beaucoup de plaisir.
Après une coupe de champagne « largement méritée » selon nos épouses, insatiables, elles se jettent chacune sur nous, nous embrassent à pleine bouche, réactivent nos sens, nous chevauchent et s’empalent pour un feu d’artifice.
Nous repartons comblés au petit matin avec un projet : celui d’inverser les rôles à la première occasion…
Le premier de ces couples, Elisa et Marc sont des habitués des clubs libertins dont ils sont friands. Ils ont récemment réussi à y attirer, le deuxième couple, Isa et Fred qui ont finalement vivement apprécié leur première soirée libertine à laquelle ils ont été cornaqués par Elisa et Marc et désormais, conquis, ils s’y rendent souvent ensemble.
Nous dînons ce soir tous les six chez nous.
La conversation vient sur le sujet des soirées libertines, en fait adroitement mis sur le tapis par Elisa. Une vraie coquine servie par un corps de rêve. Isa n’est pas en reste et se révèle être devenue une passionnée de ces moments particuliers qu’elle vante en plus avec plaisir certain.
Les deux couples en parlent manifestement avec une vraie gourmandise et affirment le plaisir qu’ils ont eu à se découvrir différemment et intimement, ce qui leur a vraiment beaucoup plu.
Chacun des couples insiste sur le plaisir pris à la découverte des uns et des autres lors de leurs soirées libertines où tout est permis sans obligation et au lâcher prise qu’ils ont mis en pratique avec bonheur ensemble et même avec d’autres participants.
Ils balayent tous les tabous et usent de tous les arguments pour nous tenter et entraîner notre couple à participer lors d’une prochaine occasion.
Ils se lancent dans un récit détaillé de leurs récents ébats avec force détails qui fait plus que réchauffer l’atmosphère.
Nous avons l’air complètement « out ». Ils insistent pour que nous franchissions le pas rapidement « au lieu de rester dans une ignorance crasse » disent-ils. « Vous prendriez du plaisir l’un et l’autre, c’est sûr »Pour ma part je suis largement émoustillé par le récit et ces incitations. Je rêve vraiment de participer un jour prochain mais mon épouse Jane, sans être ni prude, ni coincée, reste assez étrangère à ces pratiques et peu enclin à y succomber.
Afin de ne pas la braquer devant tous, les filles décident d’arrêter là la conversation mais nos deux amies ont manifestement projeté de la convaincre.
Elles conviennent d’en reparler toutes les trois entre elles dans la semaine qui vient.
En effet ajoutent-elles avant de clore le dîner « une soirée particulière s’annonce dans le club dans trois semaines». Il s’agit d’une soirée à laquelle elles veulent absolument se rendre : « Une soirée gynarchique ». Une soirée qui se déroulera donc exclusivement sous la direction et le contrôle du sexe féminin. Ce programme a l’air de les exciter au plus haut point. Elles expliquent en effet que cette soirée sera animée par les femmes avec leurs partenaires masculins ou féminins qui seront pour l’occasion absolument dociles et soumis tant pour la préparation que pendant le déroulement de la soirée.
Alors « n’en discutons qu’entre décideuses » s’exclament en cœur Elisa et Isa. « Tu es d’accord Jane ? » « Oui « répondit ma femme sans conviction évidente ».
Nous les hommes, sommes restés sur notre faim, interloqués voir suspicieux. Mais en même temps un fantasme certain à propos de la soirée prévue commence à nous tarauder et à nous exciter aussi.
La soirée se termine sur ces points d’interrogation et on convient tous de se retrouver pour dîner chez Isa et Fred le prochain samedi afin d’en reparler.
Qu’est ce que se sont dites, les femmes cette semaine ? Comment ont-elles abordé le sujet ? Qu’ont elles décidé ?
A l’heure du dîner du samedi suivant voilà ce qui occupent toutes nos pensées à nous les trois hommes en arrivant chez Isa et Fred.
Nous-nous installons pour l’apéritif, nos hôtes sont ravis de nous voir à nouveau réunis. Nous parlons de choses et d’autres mais tout le mode attend les nouvelles.
C’est ce qui n’a pas échappé à Isa qui attaque sur le sujet chaud du soir : « alors, Messieurs, vous vous demandez ce que nous avons décidé ensemble sans vous en parler. De toutes façons nous sommes seules à décider, nous avons finalement convenu de participer toutes les trois à la soirée en question, vous savez pourquoi et que de toutes façons, vous n’avez pas droit au chapitre ».
Puis elle passe la parole à Elisa agissant, grâce à son expérience, en grande ordonnatrice des futures réjouissances…Elisa dit : « Eh bien nous sommes particulièrement heureuses, Isa et moi, car Jane a décidé de sauter le pas et de nous accompagner au Club. Elle se fait finalement une joie de participer à nos jeux que nous lui avons détaillés, sans doute objets de rêves enfouis que nous avons réussi à faire éclore et qui semblent maintenant la motiver grandement. N’est ce pas Jane ? » « En effet « répond ma femme : » j’ai décidé d’accompagner mes amies, non pas tant pour moi malgré les assurances de mes copines mais surtout à cause du programme prévu qui m’inspire et je suis maintenant impatiente » et Isa ajouta à mon adresse : » J-P, je pense que tu n’y vois aucun inconvénient ? Le contraire me surprendrait ? « Comme tu dis, bien sûr, je suis curieux et tout à fait d’accord » répondis-je.
Elisa reprit la parole « Bien maintenant que nous avons décidé de notre participation à la soirée à laquelle, d’ailleurs, nous nous sommes déjà inscrites, passons à table où nous discuterons des modalités ».
Pendant le repas, Elisa dit: « Alors vous l’avez compris les gars. Si vous acceptez, vous allez participer sous le contrôle chacun de votre chérie à une soirée où vous serez soumis à notre bon vouloir, à nos désirs, à nos fantasmes. Etes vous partants ? N’est pas un programme excitant ? En tous cas pour nous c’est sûr que oui ».
Mitigé entre la découverte et la crainte, Marc ose : « Soumis, mais jusqu’où ? »Jane prend la parole : » rassurez vous nous sommes tout à fait responsables dans tout ce que nous entreprenons, on peut vous assurer que cela restera soft, mais notre plaisir sera évidemment le maître mot. C’est notre soirée tout de même !
Attention une fois engagés vous ne pourrez pas revenir en arrière mais nous sommes sûres que vous prendrez plaisir à être entièrement à notre service ». « Si on comprend bien » dit Fred : « vous envisagez qu’on soit vos faire valoir avec tout pouvoir sur nous ». « Eh oui, vous serez complètement à notre merci. En avez vous le courage ? Ou avez vous au moins la curiosité de vous laisser conduire par et pour le plaisir de vos femmes ? » Ajoute Isa.
Après un coup d’œil circulaire, « Nous acceptons le deal » répondent en cœur Marc et Fred déjà habitués à ces jeux et j’ajoute évidemment : »moi aussi » « C’est parfait pour nous » Ajoute alors Elisa.
« Nous allons donc, entre nous trois, désormais organiser notre soirée. A partir du dress code imposé, fétishiste ou dominatrice pour les femmes, nous allons prévoir nos tenues, décider surtout des vôtres et apporter les accessoires éventuellement nécessaires. Chacune de nous fournira à son mari la tenue qu’il devra porter et nous nous consulterons toutes les trois pour élaborer le programme des réjouissances. Je sens qu’on va se régaler »Sans plus de précisions tout le monde se quitte à la fin du dîner avec la promesse de se retrouver chez les libertins patentés, Elisa et Marc le samedi suivant.
Ainsi le samedi venu, nous nous retrouvons chez Marc et Elisa.
Tout le monde s’installe au salon, alors qu’on devise sur tout et sur rien nos femmes disparaissent. On se demande bien ce qu’elles nous préparent dans la droite ligne de la sortie à venir. Dix minutes plus tard elle re-font surface et se présentent chacune derrière un loup doré et vêtue d’une mini robe nuisette très moulante en résille recto verso, noire pour Elisa, rouge pour Isa et blanche pour Jane. Des mini robes hyper sexy avec dos nu plongeant jusqu’aux fesses tenues aux épaules par de fines bretelles. On les verrait carrément nues si elles ne portaient toutes un petit soutien gorge et un string en voile opaque de couleur assorti. Elles sont magnifiques.
Rien que cette apparition aurait suffi à nous décider à participer à toute soirée avec ces femmes mystérieusement cachées derrière leurs loups et surtout à n’importent quelles conditions.
« Alors comment nous trouvez vous ? » S’exclament elles. « Sommes nous à votre goût ? » « C’est clair que oui » Répondons nous en cœur « Vous êtes superbes ».
Elles tournent, elles virent, se contorsionnent. C’est un vrai bonheur de regarder nos femmes mues en tentatrices assumées. Cela promet, pense chacun de nous.
Elles minaudent et se blottissent contre nous et Elisa finit par dire : « A votre tour maintenant. Voici ce que nous avons décidé de vous faire porter pour l’occasion ».
Chacune tend à son homme un petit sachet en satin noir qui ne peut contenir que peu de chose. C’est le cas. Nous ouvrons et sortons chacun un string ficelle en dentelle transparente pour homme. Chacun de couleur assortie aux robes de nos propres épouses.
« On aimerait bien que vous alliez les passer pour voir ce que cela donne » dit Isa.
Interloqués, on se regarde, on sourit jaune et bravaches, on part s’habiller si on peut dire. Nous voilà de retour sous les sifflets et cris de nos femmes qui nous font tournoyer pour nous admirer presque nus. Nous voilà déjà en état d’infériorité et manifestement cela les contente fort.
« Nous voilà tous équipés pour notre soirée. Vous avez bien intégré maintenant que vous serez nos dociles partenaires dont on fera ce qu’on veut « dit Elisa. Isa et Jane ajoutent « Pour vous en persuader et vous familiariser avec votre condition convenue pour la soirée prochaine, vous porterez toute la semaine ce string afin de vous habituer mentalement et physiquement ». « Commençons dès maintenant et passons tous à table dans nos costumes de scène » dit Elisa.
Pendant le dîner nous cherchons à savoir comment va se passer la soirée qualifiée de gynarchique, cependant sans obtenir aucune confidence ni des unes ni des autres manifestement complices à voir leurs oeillades. Seule, Elisa, se posant décidément en chef de meute nous dit avant que nous nous quittions : » Samedi on se retrouve à la Boîte à vingt trois heures. Nous compléterons votre tenue par des attributs de nature à révéler votre statut aux yeux de tous, quant à nous, nous viendrons avec l’essentiel sur nous …! «Toutes les spéculations sont permises jusqu’ à samedi, jour de la fameuse soirée…A l’heure dite nous voilà tous à l’entrée du club.
Notre tenue de la soirée est cachée sous nos vêtements ainsi que celles des filles sous leurs manteaux. Nous entrons après qu’Elisa ait payé les entrées en habituée qu’elle est. Nous sommes dirigés directement vers les vestiaires car tout le monde doit passer sa tenue de scène, sans exception. Nous la portons depuis une semaine.
Dans les vestiaires des hommes nous voici contraints de nous déshabiller et de passer tous nos vêtements ou a peu près à des hôtesses sévères et directives …Nous voici nus ou presque, vêtus tout simplement de nos strings ridiculement petits.
Il ne va pas falloir être excité sinon…!
Nous retrouvons nos femmes masquées à la sortie de leurs vestiaires. Elisa a gardé avec elle un sac cabas ? Toutes sont dans leurs minis robes sexy à souhait, juchées sur des escarpins coordonnés. Malicieuses, elles nous complimentent sur notre costume de soirée et nous tendent ensemble et à chacun les attributs annoncés : un collier que nous devons nous mettre autour du cou. Interloqués, on s’exécute de plus ou moins bonne grâce mais elles nous rappellent qu’ » elles ne veulent plus nous entendre comme convenu ». Puis chacune nous attache une laisse à l’aide de laquelle elle nous tire prestement dans la boîte. Nous y voilà : aux yeux de tous nous ne sommes que des esclaves soumis ce qu’elles avaient sous entendu samedi passé.
Dans la boîte et bien que la lumière soit tamisée, tirés derrière elles, nous croyons les voir complètement nues sous leur mini robes. En effet sous sunlights de la piste, nous constatons, ébahis que les soutiens gorges et les strings se sont envolés.
Vision divine. Elles sont toutes les trois complètement nues, épilées et complètement libérées dans leurs tenues transparentes.
Vraiment très belles. Moment plein de promesse !
Dans la boîte une bonne cinquantaine de personnes.
Parmi celles-ci ce qui frappe ce sont d’une part les dominatrices toutes masquées, reconnaissables à leurs tenues variées plus ou moins ouvertes, en général combinaisons ou robes de cuir ou de latex et perchées sur des talons vertigineux.
D’autre part les esclaves sans masque, pour la plupart des hommes en harnais de cuir, rasés, nus ou pas (encore) ou en mankinis ridicules, quelques femmes en serre taille, porte jarretelles et bas, ou en combinaisons résille en tous cas toujours seins et fesses nus. Tous sont tenus en laisse par leur maîtresse du soir.
Chaque couple déambule comme s’il était d’abord obligatoire de parader en exhibant son soumis. Nos femmes ne font pas exception à la règle et nous tirent dans tous coins et recoins du club sans doute pour nous mettre dans l’ambiance.
Elles nous promènent à travers différentes salles où on se croise, où on se frôle entre maîtresses mystérieuses derrière leurs loups et soumis en se lançant des regards concupiscents.
Des salles de torture ou d’examens, des salles équipée de slings ou de croix de saint André, une salle avec un lit central énorme, dans un couloir à double flux avec un muret central percé de ci delà de glory holes, vers une piscine et un hammam immense, pour revenir enfin au bar et à la salle principale.
Celle-ci est bordée d’un côté de grandes cages à barreaux, le reste hormis la piste de danse est équipé de fauteuils et de sofas profonds formant des petits salons dans un vaste open space.
C’est là qu’elles décident de se poser dans un ensemble de six places, les femmes sur un sofa de trois places, chacun de nous sur des fauteuils.
Elles nous demandent d’aller chercher des boissons au bar avec nos tickets d’entrée. Nous n’en menons pas trop large presque nus au milieu de toutes ces Messalines et cela a l’air de ravir nos épouses qu’ont voit deviser et rire en nous montrant du doigt.
Maintenant la plupart des libertins sont installés dans les salons, occupés à boire et à discuter, quelques uns avec leurs soumis à leurs pieds.
L’heure est à l’activité night club puisque certains se déplacent pour danser. C’est un spectacle irréel de voir ces hommes et ces femmes à moitié nus se dandiner sur la piste de danse.
Nous la traversons et revenons avec les verres dans une ambiance hyper érotique qui semble chauffer nos épouses. Elles nous invitent sur la piste, on n’est pas très à l’aise mais une série de slows s’annoncent. Des couples dont les nôtres se forment.
Ils se caressent, se plotent plus qu’ils ne dansent quand une main inconnue et furtive ne vient pas s’y ajouter aussi. La température monte et pas que…On a du mal à tenir dans nos strings.
Dans l’open space les attitudes ont évoluées, des maitresses se font lécher leurs cuissardes, d’autres partent avec leurs esclaves vers les salles équipées, certaines tournent pour proposer des échanges de soumis. Nos maîtresses d’un soir décident de refaire un tour avec leurs toutous comme elles disent : »pour mâter et prendre des idées pour la suite ». On s’inquiète fort.
Des soumis sont attachés aux croix ou immobilisés dans des carcans ou sanglés sur des tables. Des esclaves femelles ou mâles sont maintenus a genoux devant des glory holes et doivent attendent des queues turgescentes d’autres esclaves à flatter.
Nous revenons tous les six dans notre salon au comble de l’excitation et c’est à ce moment là qu’Elisa plongeant dans son sac en sort trois godes flexibles de dimension respectable fixés à des baillons en cuir.
Elles nous ordonnent de nous agenouiller devant chacune d’elles afin de nous équiper, ceci fait elles ferment les baillons par des cadenas dans des anneaux conçus à cet effet à l’arrière de nos têtes.
Nous voilà en godes ambulants et cela n’échappe pas à certains qui se groupent autour de notre salon. Loin de gêner nos femmes, cela les encourage, elles se calent dans le sofa, retroussent leurs minis robes qui ne couvre d’ailleurs plus rien et tendent leurs chattes vers les godes. « Allez gode moi et fais moi jouir » nous commande chacune et en cœur.
Nous enfonçons les godes qui n’ont aucune difficultés à rentrer tant leur vulve est trempée et commençons à limer sous les encouragements d’une foule de curieux.
Nos femmes ondulent et donnent des coups de reins. La folie s’est emparée de nous. Pas encore complètement car Elisa tout à coup nous arrête et propose : »
Dîtes les filles si on faisait tourner les godes ? » « Mais c’est une excellente idée « s’exclament ensemble Isa et Jane.
Alors on nous ordonne de décaler d’une chatte à une autre et de continuer notre ouvrage et ainsi de suite jusqu’au retour à celle de notre propre maîtresses. Une ronde saluée par des bravos et des sifflets pendant que nos femmes à nouveau remplies par leur mari, jouissent enfin comme des hystériques.
Pour souffler un peu, elles nous demandent de nous rasseoir toujours avec nos godes baillons en place. On a vraiment l’air de sextoys ambulants, Ainsi affublés.
C’est le moment que choisissent trois dominas presque nues pour aborder notre groupe et demander tout de go à nos maîtresses si nous pouvons leur être prêtés.
Nos femmes se regardent et s’interrogent et finissent par dire : « au fond pourquoi pas, si nous pouvons participer » Mais évidemment » répondent les dominas.
Elles nous ordonnent alors de nous lever. Elles descendent nos strings qui ne cachent d’ailleurs plus nos érections. Nous voilà nus entrainés par nos laisses par des mairesses inconnues et lubriques au beau milieu du club, parmi une foule de voyeuses et d’esclaves. Nous n’en menons pas large.
A la demande des dominas, nos femmes doivent nous ôter nos baillons godes et nous poser des bandeaux sur les yeux. Nous voilà aveugles et nus à la merci de toutes les excitées du club. Les dominas nous ordonnent de nous allonger sur le dos sur un grand lit central et harangue la foule en offrant nos services pour un face sitting à l’attention de toutes les candidates qui le souhaitent !
C’est ainsi que dans un débordement d’encouragements bruyants, chacun de nos visages se retrouve chevauchée par une chatte humide, puis une deuxième, puis une troisième. Elles se frottent, se tendent, s’insinuent avec envie et besoin. Trois chattes se succèdent en effet, toutes différentes mais très agréables à savourer.
Que vont en penser nos femmes ?
Mais en même temps il me semble avoir goûté une chatte connue ? En est-il de même pour mes Amis ?
Un peu plus tard, nous sentons nos queues à leur tour, aspirées par différentes bouches besogneuses et expertes. Des langues lèchent, flattent, titillent et sucent et personne ne semble n’en perdre une miette et là encore je crois avoir reconnu une succion bien connue, particulièrement la dernière qui nous permet enfin à tous de nous soulager langoureusement…Alanguis sur le lit, nos bandeaux nous sont tout à coup arrachés et nous découvrons que nous y sommes six, nos épouses et nous, tous acteurs de la soirée.
L’assemblée et les trois dominas applaudissent et sont chaleureusement remerciées par nos femmes qui les serrent dans leurs bras. Tout était prévu par nos femmes et organisé par le club !
Après ce live show, nous regagnons notre salon, tirés par nos épouses plus délurées que jamais et qui se félicitent de s’être bien servies de nous pour leur soirée comme prévu et de nous avoir donné, quand même à nous aussi, beaucoup de plaisir.
Après une coupe de champagne « largement méritée » selon nos épouses, insatiables, elles se jettent chacune sur nous, nous embrassent à pleine bouche, réactivent nos sens, nous chevauchent et s’empalent pour un feu d’artifice.
Nous repartons comblés au petit matin avec un projet : celui d’inverser les rôles à la première occasion…
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