April, en quête de sexe 10

- Par l'auteur HDS CleeydL -
Récit érotique écrit par CleeydL [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : April, en quête de sexe 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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April, en quête de sexe 10
Un vendredi, j'étais dans mon lit en train de fouiller dans les contacts sur mon téléphone pour savoir qui je pourrais baiser ce week-end. Il y avait bien Scott : il me baisait très bien et il était libre mais j'avais envie de changer un peu. Je pensais au collègue de Scott qui était un très bon coup et qui m'avait même dominée et j'avais bien envie de prendre ma revanche. J'allais l'appeler mais, au dernier moment, je me ravisais et décidais d'appeler un autre mec qui m'avait bien dominée : Hyssan. Je savais que la bataille serait rude mais j'avais très envie de le soumettre aussi je décidais de l'appeler sur-le-champ :

- Allô ?
-Salut Hyssan, c'est April.
- Salut ma belle. Qu'est ce que tu veux.


Je décidais d'être directe et de ne pas tourner autour du pot :

- J'avais envie d'une bonne baise et donc j'ai pensé à toi.
- Je vois. T'as envie de te faire fourrer, salope.
- Oui, j'ai trop envie que tu me démontes comme l'autre fois- Elle te manque ma grosse queue hein ?
- Oui, j'ai tellement envie de la sentir en moi !


Je jouais la fille soumise pour ne pas éveiller ses soupçons : si je lui avais dis que je voulais me venger et le soumettre, il se serait préparé à ce que je soit plus entreprenante et ce serait encore plus compliqué de le dominer.


- Je peux satisfaire tes envies quand tu veux ma belle. T'es libre quand ?
- Demain soir, ça te va ?
- Pas de problèmes. A demain alors.


J'étais ravie : j'allais pouvoir prendre ma revanche ou du moins essayer car je savais pertinemment qu'il ne se laisserait pas faire et que ce serait une rude bataille.


Le samedi soir venu, je pris le bus pour me rendre chez lui. Pour l'occasion, j'avais mis un top noir au décolleté très prononcé ainsi qu'un mini-short en jean qui moulait bien mon superbe fessier. J'avais aussi une petite veste car il faisait un peu froid ( je sais, c'est bête de mettre un mini-short quand il fait froid) et je portais un ensemble de lingerie classique de couleur bleue. J'avais aussi pris un sac à main avec moi : ce sac à main contenait des affaires personnelles mais surtout des menottes car je savais très bien que Hyssan ne laisserait pas dominer facilement et en plus il était bien plus fort que moi donc j'allais très certainement devoir l'attacher pour le dominer. Dans le bus, je ne cessais de m'agiter, impatiente d'être chez Hyssan pour lui montrer de quel bois je me chauffais. Je finis enfin par arriver à l'arrêt de bus près de chez lui et je finis le chemin à pied. Arrivé devant chez lui, je sonnais impatiente. La porte s'ouvrit sur Hyssan qui, à ma grande surprise, n'était vêtu que d'un caleçon noir. Je pouvais donc déjà apercevoir ses superbes muscles bien dessinés ; avec un physique comme le sien il pourrait très bien jouer dans un film d'action.


- Arrête de m'admirer, me dit-il avec un petit sourire, et rentre que je te baise comme une chienne.
- J'attends que ça.


Je m'approchais de lui et l'embrassais sur la pointe des pieds, étant donné qu'il faisait un peu plus de 20 cm de plus que moi, et lui massais son sexe à travers son caleçon. Il me prit dans ses bras et me serra fort contre lui, m'écrasant contre son torse musclé. Sans attendre il me souleva comme une plume, m'arrachant un soupir sous sa force herculéenne et me transporta jusqu'à sa table où il me jeta sur le dos sans ménagement. Il m'arracha ensuite rapidement ma veste et la lança au loin pour ensuite retirer mon débardeur, dévoilant ma poitrine contenue par mon soutien-gorge. Je voulus me redresser pour prendre l'initiative mais il me saisit à la gorge et me plaqua contre la table. Je me débattis mais n'arrivait pas à me défaire de sa prise. Je pris alors ses cheveux et tirais dessus. Il grimaça et me lâcha pour retirer mes mains. Je profitais de ce moment pour l'enserrer entre mes jambes et me redresser pour l'attraper à la gorge et l'embrasser fougueusement. Il fut surpris quelques secondes par ma fougue : j'en profitais pour desserrer mes jambes et les replier. Usant de toutes de mes forces, je le repoussais avec mes jambes ce qui le fit reculer vers son canapé. Avant qu'il ne réagisse, je me jetais violemment sur lui, le faisant tomber sur son canapé. Je me retrouvais alors à califourchon sur lui. Je lui tirais les cheveux pour rejeter sa tête en arrière :

- Cette fois-ci, tu es à moi. Je ne me laisserais pas faire comme la dernière fois.


Il me lança un petit sourire et, sans que je m'y attende, attrapa mes poignets d'une main pour les maintenir dans mon dos. Je poussais un cri de surprise et je me débattis mais rien n'y fit : avec une seule main, il réussissait à me bloquer mes bras. Sans attendre, il me souleva et me jeta dos au canapé. Il se mit ensuite sur moi, m'écrasant presque sous son poids et il prit mon soutien-gorge qu'il arracha de force ; il posa ensuite violemment ses puissantes mains contre mes seins pointant de désir. Je ne pus m'empêcher de pousser des soupirs de plaisir sous ses puissantes caresses. Il souriait de me voir gémir et me tint le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux et me dit :

- Rebelle-toi autant que tu veux, tu resteras quand même ma chienne.

À ces mots, je voulus me relever mais l'écart de poids entre nous deux était trop important aussi je ne fis que me débattre en vain. Souriant devant mon impuissance, il défit mon mini-short et m'arracha ma culotte sans attendre pour ensuite enlever son caleçon, libérant sa belle et imposante verge. Il me quitta un instant pour récupérer un préservatif et j'en profitai pour me lever et le suivre. Il s'enfila la capote et j'en profitai pour sauter sur lui et m'empaler sur sa queue, enroulant mes jambes autour de son corps et mes bras à son cou. Il fut surpris mais se reprit vite et pressa mes fesses bombées pour accompagner le mouvement. Je bougeais mon bassin d'avant en arrière en l'embrassant fougueusement mais ça ne dura pas longtemps car il me replaqua sur sa table et, avant que je ne puisse réagir, écarta mes jambes et rerentra en moi sauvagement. Je poussais un gémissement et appréciais ses coups de butoir dans mon intérieur. Il avait une sacrée poigne sur mes jambes, m'empêchant d'enrouler mes jambes autour de lui. Il allait et venait en moi tel un marteau-piqueur, ballottant mon corps d'avant en arrière. Il me prenait avec tant de vigueur que la table se déplaçait à chacun de ses coups de reins et elle finit par cogner le mur. J'étais censée reprendre le dessus mais sa grosse queue me faisait tellement de bien et il était si doué que mon corps n'en avait pas la force : je ne faisais que gémir sous ses puissants va-et-viens, mon corps transpirant de sueur sous le plaisir qu'il m'infligeait. Arriva ce qu'il devait arriver, je finis par avoir un monstrueux orgasme qui me fit pousser un grand cri de plaisir et me fit trembler de tout son être. Mais ça ne s'arrêta pas là : d'un sourire toujours narquois, il continua à me prendre ainsi, me ramonant encore plus vite. Il me toisait d'un air dominateur et me dit :

- Alors ma belle chienne ? Je croyais que t'allais te rebeller ? T'es comme les autres filles, une bonne queue qui te ramone dans ta chatte et tu deviens une soumise.


Je voulus me rebeller et me redresser mais il s'y attendait et me donna un coup de rein plus puissant que les autres qui me fit pousser un cri et me laissa couchée sur la table. Hyssan continuait à sourire :

- Cherche pas, t'es à moi comme les autres chiennes !


Ça ne me faisait pas plaisir mais, pour l'instant, j'étais bel et bien en statut de dominée, j'aurais bien voulu essayer de reprendre le dessus mais ses coups de reins m'en empêchait. Je me tortillais sur sa table, subissant ses assauts dévastateurs sans rien pouvoir faire et je finis par approcher inexorablement de l'orgasme. Je poussais des cris de plus en plus en grand mais Hyssan, me sentant proche de ma jouissance, sortit de moi m'empêchant d'atteindre l'orgasme. Indignée, je me redressais ;

- Qu'est ce que tu fous ! Allez baise-moi !


Hyssan m'attrapa la gorge d'une main, me forçant à le regarder :

- T'es ma chienne, je décide si tu jouis ou pas, t'as pas à discuter.


Avant que je puisse faire quoi que ce soit, il me tira les jambes et me mit à terre sans aucune douceur. Je grimaçais de douleur et voulus me redresser mais Hyssan cala sa verge entre mes seins après avoir enlevé le préservatif et se mit à les baiser. Je mis mes mains sur son torse pour le repousser mais il était trop lourd pour moi. Pour m'empêcher de me rebeller encore, il prit mes mains et les pressa contre mes seins et me baisa ma poitrine à toute vitesse. Je me débattis, voulant l'empêcher de jouir, mais je ne pus rien faire, n'étant pas assez forte pour pouvoir le déloger de mes seins. Il me baisa ainsi pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'il finisse par jouir en me balançant son sperme sur mon visage et mes seins. Il soupira de plaisir et me baisait encore lentement pour bien se vider et les dernières gouttes de sa semence coulèrent sur mes seins. Il se releva et me dit d'un air narquois :

- Mmmm, tes seins sont super, c'est un vrai plaisir de me branler dedans.


Je soupirais, vexée d'avoir perdu cette bataille. Je me relevais, et alla chercher un autre préservatif. Je m'approchais de lui et lui enfilais sur sa verge encore en totale érection en lui lançant un regard noir :

- Je te l'accorde, tu as gagné cette bataille mais c'est pas fini. Tu finiras à mes pieds.


À ces mots, il passa son bras gauche derrière moi et m'attira à lui violemment, me plaquant contre son torse :

- Ah oui t'es sûre ? Me dit-il d'un sourire narquois.


Avec un sourire, je lui fis un croc-en-jambe ce qui le surprit et le fit tomber. J'en profitais pour m'empaler sur lui ce qui lui arracha un gémissement. Je commençais à le baiser en le toisant d'un air dominateur :

- Oui, j'en suis sûre.


Je le chevauchais ardemment, bougeant mon bassin sur lui le faisant gémir de plaisir. Enfin, j'étais au dessus ! Il fallait tout de même que je reste sur mes gardes car même si il semblait apprécier mes coups de reins,il pouvait se rebeller à tout moment. Je veillais donc à le baiser efficacement pour qu'il soit submergé de plaisir et qu'il se laisse faire. Pour l'instant cela semblait fonctionner : Hyssan gémissait et ne cherchait pas à prendre le dessus. J'étais satisfaite mais je restais tout de même méfiante et continuais ma chevauchée fantastique sur sa grosse tige bien dure qui me procurait un plaisir fou. J'avais le contrôle de cette baise, décidant du rythme et de l'intensité de mes coups de reins. Je soupirais de plaisir à chaque coups de rein que j'infligeais à Hyssan : je me mis à caresser mes seins, pinçant mes tétons durcis de plaisir et je sentis mon rythme cardiaque s'accélérer et la jouissance montait en moi à toute vitesse. Je me mordis la lèvre pour m'empêcher de crier au moment où j'eus un délicieux orgasme qui me fit pousser des gémissements. Hyssan remarqua que je venais d'avoir un orgasme et il voulut reprendre le dessus. Malheureusement pour lui, même si j'étais à moitié sonnée par mon orgasme, je m'y attendais et au moment où il se redressait, je lui infligeais un puissant coup de rein qui le stoppa net et j'en profitais pour le repousser au sol. Je me penchais vers lui, en le baisant rapidement et efficacement, et lui dis d'un ton narquois :
- Eh ben alors ? Je te baise et toi tu te laisses faire ? Je m'attendais à un peu de résistance quand même, là j'ai plus l'impression de baiser un soumis.


Vexé par ces mots il me prit les poignets mais je m'attendais à ce qu'il essaye de se rebeller après ma provocation : il tint mes poignets fermement mais je plia mes bras de façon à le forcer à lâcher prise et je prenais possession de ses poignets. Souriante devant son impuissance, je me mis à le baiser de façon de plus en plus rapide l'amenant peu à peu à l'orgasme. Je sentais que j'approchais moi aussi d'un autre orgasme aussi je me mis à accélérer la cadence, baisant intensément et rapidement la verge palpitante d'Hyssan jusqu'à ce qu'on atteigne tous les deux l'orgasme. Nous poussâmes tous les deux un cri de plaisir et je m'écroulais sur lui, toute tremblante de plaisir. Je l'embrassais doucement et je me moquais de lui :

- Pour un dominant, tu t'es facilement fait mâter, autant qu'un mec soumis.


Vexé, il me lança un regard noir :

- Tu m'as surprise, je m'attendais pas à ce que tu me chevauches aussi bien. Tu es la fille la plus douée en andromaque que je connaisses. D'habitude, les filles que je me tape se soumettent rapidement et deviennent mes chiennes, mais toi c'est différent, t'es plus dur à dresser que les autres filles. Mais ne te réjouis pas trop vite, tu vas devenir ma chienne.


Je l'embrassais et me relevais

- C'est ce qu'on verra, dis-je en lui faisant un clin d'oeil.


Je pris mon sac à main contenant les menottes et me dirigeais vers sa chambre :

- Tu viens qu'on continue notre baise dans ta chambre ? Lui dis-je en prenant une pose lascive.
- Avec plaisir.


Je me dirigeais donc vers sa chambre, Hyssan me suivant de près, me déhanchant sensuellement. Hyssan me claqua les fesses :

- Mmm, elles sont bien fermes, j'adore.
- Sois sage, dis-je alors qu'on arrivait dans sa chambre, et peut-être je te laisserais me prendre par derrière.


D'un coup, Hyssan me prit dans ses bras et me serra contre lui, mon dos collé à lui et son sexe toujours dur appuyé contre mes fesses. Mon sac tomba à terre et je me débattis mais il me tint solidement et je ne pus me dégager. Il approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota :

- J'ai pas besoin de ton autorisation pour prendre ton cul de chienne.


Tout en me tenant dans ses bras, il prit un préservatif puis il me jeta violemment au sol. Il se mit la capote et , alors que je me relevais, il me mit de force à quatre pattes et m'encula à sec sans aucune douceur. Je poussai un cri de douleur :

- Salop ! T'aurais pu me préparer avant !


Il me claqua les fesses et me pilonna violemment :

- Si tu t'étais pas rebellée, j'aurais peut-être été plus gentil. Mais tu as fais ta rebelle alors tu en payes le prix.


Il continua à me prendre vigoureusement, sans aucune douceur et à même le sol. Au début, sa grosse queue en moi me faisait plus de mal que de bien mais cela changea : sa verge me remplissait bien et mes parois anales étaient mis à mal par la puissance de ses coups de reins. Je ne pouvais m'empêcher de pousser des gémissements, voir des cris, et j'étais submergée par des vagues de plaisir intense. Je voulus me redresser mais il m'appuya sa puissante main sur ma nuque pour me remettre à quatre pattes. Il me tira les cheveux, rejetant ma tête en arrière, et continua à me prendre à la cadence d'un marteau-piqueur, tout en me claquant les fesses. Je me débattis mais je ne put rien faire face à la puissance d'Hyssan. Il me prenait violemment mais tellement bien ! J'étais vexé de ne me faire prendre comme une chienne mais d'un autre côté, j'adorais ça ! Sa queue cognait le fond de mon intimité et me procurait un plaisir fou. Je ne pouvais rien faire et finis, au bout de quelques minutes de ce rude mais bon traitement, à avoir un monstrueux orgasme qui me fit trembler de tout mon être. Cet orgasme fut délicieux mais ce n'était pas fini : Hyssan continua à me prendre à la même vitesse malgré mon orgasme, sa queue faisant des va-et-vient dans mon cul. Il finit par me faire atteindre un second orgasme aussi intense que le premier qui me fit crier de plaisir. Je commençais à avoir du mal à tenir sur mes bras qui tremblaient. Hyssan ne s'arrêta pas là et continua à me baiser vigoureusement en me tirant les cheveux et me claquant les fesses. Ce qu'il me faisait était trop bon et je ne me débattais même plus. Je voulais reprendre le dessus mais les deux orgasmes qu'il m'avait infligé m'avait rendu faible, à moitié sonnée. Je tentais désespérément de l'arrêter :

- Arrête, je t'en prie, Dis-je d'un ton suppliant, j'en peux plus.


À ces mots, Hyssan me tira les cheveux pour me redresser à genoux et me tint le menton pour me forcer à le regarder :

- Tu te tais et tu te soumets, ici c'est moi qui commande et puis c'est tout.


Il m'embrassa violemment, tournoyant sa langue autour de la mienne. Dans un sursaut de rébellion, je lui mordis la lèvre. Il grimaça et retira sa bouche. Je lui lançai un sourire narquois et tentai de me dégager mais Hyssan ne l'entendait pas de cet oreille : il me remit à quatre pattes et me pilonna plus vigoureusement que jamais, me faisant crier de plaisir. Il me baisa plus intensément que jamais et il me fit atteindre le 7ème ciel une troisième fois. Je poussais un grand cri de plaisir sous cet orgasme plus puissant que les autres. Je me devais bien de le reconnaître : Hyssan était un excellent baiseur et le meilleur coup que j'ai jamais eue. Scott me baisait bien mais Hyssan était bien au-dessus, les orgasmes qu'il m'infligeait avec sa queue était tellement intenses ! Après cet orgasme, mes bras lachèrent et l'avant de mon corps tomba au sol. Hyssan se retira enfin de moi mais il n'avait pas encore joui alors il enleva la capote, me prit les cheveux et amena ma bouche à hauteur de son sexe. Il m'enfourna son membre dans ma bouche :

- Allez suce salope.


Je suçais alors sa queue du mieux que je pouvais. C'était difficile car sa verge m'emplissait entièrement la gorge et elle me cognait au fond à chaque va-et-vient. Hyssan bougeait son bassin d'avant en arrière, me baisant la bouche comme il le voulait, et tenait mes cheveux pour appuyer ma tête contre son sexe. Je sentais qu'il voulait jouir comme ça et au début je me laissais faire. Malheureusement pour lui, je profitais du fait d'avoir son sexe en bouche pour lui mordre ; pas trop fort mais juste assez pour lui faire mal. Il poussa un cri de douleur et de surprise et me lâcha en retirant son sexe de ma bouche. J'en profitais et, sans qu'il ait le temps de réagir, je pris les menottes et le poussa sur le lit. Il tomba sur le lit surpris et je me jetais sur lui en mettant ses bras au dessus de sa tête et je me mis sur ses bras pour le maintenir au lit le temps de lui mettre les menottes. Hyssan se débattit mais ne réussit pas à se libérer et il finit attaché, en mon pouvoir. Je me mis sur lui et l'embrassa doucement et le nargua :

- Alors, monsieur le dominant est attaché ? Je croyais que j'étais ta chienne ?
- Détache-moi et tu verras que t'es ma soumise.
- Non, je crois pas.


Sur ce, je mis ma bouche à hauteur de son sexe et le lécha doucement. Il frémit d'excitation et sa queue palpitait, ardente sous mes coups de langues. Je léchais sa verge doucement, m'attardant sur son gland, zone sensible, et son urètre. Ma main caressait doucement les couilles, les massant délicatement. Hyssan gémissait et se tortillait sous mes lentes caresses, sa queue tremblante dans ma bouche semblait prête à tout lâcher. Mais cette fois-ci, j'étais en position dominante et il n'était pas question qu'il jouisse, du moins pas pour le moment. Aussi je me levais et m'assis sur son visage pour lui ordonner :

- Allez, lèche-moi.


Hyssan n'eut d'autre choix qu'exécuter les ordres et s'attaqua à me faire un cunni. Malheureusement pour moi, à ses premiers coups de langue je me rendis vite compte qu'il avait beau être un excellent baiseur, au niveau du sexe oral il n'étais pas du tout doué en la matière. Il me léchait très mal, et sa langue en moi ne me procurait quasiment aucun plaisir. Je me déhanchais alors sur sa bouche voulant augmenter mon plaisir mais rien n'y fit : Hyssan était nul en matière de cunni. Je décidais de me retirer de sa bouche, lui enfila un préservatif et je présentais l'entrée de mon sexe à son gland en lui disant :

- T'es vraiment nul avec ta langue. Heureusement qu'il y a ta queue pour compenser.


Hyssan ouvrit la bouche pour répliquer mais il ne put que lâcher un gémissement car je m'empalais sur sa verge. Je commençais à danser doucement, à allure lente mais régulière. Je bougeais sur lui, le regardant d'un air narquois alors qu'il se tortillais pour prendre plus de plaisir et me faire aller plus vite. Mais je décidais d'être intraitable et je le chevauchais encore plus lentement, le frustrant :

- Allez, me dit-il d'un ton mi-autoritaire mi-suppliant, va plus vite !


Je souris et, allant à la même allure, je lui griffais le torse :

- C'est moi qui commande alors tu te tais.


Pour renforcer ma domination sur lui, je me levais et sortis de la chambre. Cela intrigua Hyssan qui me demanda :

- Où tu vas ?


Je tournais ma tête et lui lança un clin d'oeil sans lui répondre. Je retournais dans le salon et je récupérais ma culotte puis retournais dans la chambre où Hyssan m'attendait, impuissant sur son lit et son sexe dressé m'attendant impatiemment. Je montais sur le lit et bâillonnais Hyssan en lui enfonçant ma culotte dans sa bouche. Ne voulant pas se laisser faire, il se débattit mais je le tins par le cou alors il ne put rien faire d'autre que pousser des gémissements de protestation. Ravi de le voir soumis à moi je m'empalais encore une fois sur sa queue et me je me déhanchais sur lui à toute vitesse. Je dansais sur lui, lui griffant le torse et me mordant la lèvre inférieure de plaisir. Mes seins se balançaient de haut en bas sous la puissance de mes coups de reins. Je baisais Hyssan vigoureusement, en lui donnant des coups de reins puissants pour me venger de la sodomie de tout à l'heure. Hyssan gémissait sous mes coups de reins et il avait du mal à garder les yeux ouverts. Je continuais à baiser Hyssan durant de nombreuses minutes : Hyssan était très endurant et j'obtins deux intenses orgasmes avant que je réussisse enfin à l'amener aux portes de la jouissance. J'accélérais encore la cadence ce qui le fit jouir en poussant un cri étouffé par ma culotte. Il avait les yeux mi-clos sous cet orgasme mais je n'en avais pas fini avec lui : je me retirais de lui pour lui changer de capote et je le chevauchais de nouveau mais en lui tournant le dos.


Je bougeais mon bassin sur lui d'allure moyenne, le regardant de temps en temps. Hyssan gémissait et se tortillait, sa queue devenue sensible après son orgasme. Il donnait de puissants coups de bassin par le bas. Même s'il n'arrivait pas à me désarçonner, il était quand même assez fort pour réussir à me soulever à chaque fois. Je gémissais à chacun de ses coups de bassin, sa bite tapant au fond de son intimité. Même attaché, il me donnait du fil à retordre et arrivait à me mettre en difficulté. Il arriva même à m'infliger un intense orgasme qui me fit crier de plaisir. Je fus un instant sonné par cette jouissance pendant qu'Hyssan continuais à me baiser par le bas. Je le laissais faire un moment lui faisant croire qu'il arrivait à avoir le dessus même attaché. Mais au bout d'un moment, je décidais que ça avait assez duré et je lui donnais un puissant coup de rein qui le fit crier dans ma culotte. Je reprenais alors ma chevauchée, intensément et rapidement alors que lui me baisait toujours par le bas. Pour le faire défaillir, je continuais à le baiser tout en me caressant le clito d'une main alors que mon autre main caressa ses couilles. Au contact de ma main contre ses couilles, son corps trembla et je le sentis faiblir : ses coups de reins faiblirent et il eut du mal à tenir la cadence. J'en profitais pour accélérer mes coups de reins ce qui le fit abandonner : il cessa de me baiser et se laissa aller, subissant ma chevauchée en gémissant. Il ne pouvait rien faire et semblait avoir abandonné la bataille. Ravie je continuais à le chevaucher , et je finis par lui infliger un deuxième orgasme : son corps trembla et il poussa un nouveau gémissement. Sentir Hyssan jouir en moi me donna un nouvel orgasme qui me fit encore crier.


Je soupirais de plaisir : j'avais eu 10 orgasmes depuis que j'étais arrivée chez Hyssan mais j'étais tellement excitée que je trouvais que ce n'étais pas assez. J'étais donc ravi de voir la queue d'Hyssan toujours aussi raide. Je changeais son préservatif et m'empalais encore une fois sur lui mais cette fois, dans mon petit trou. Hyssan poussa un cri et se débattit en poussant des gémissements étouffés par ma culotte. J'étais ravi de le voir complètement en mon pouvoir et j'enfonçais le clou :

- Alors Hyssan ? T'aimes être soumis à moi, hein ? Je pensais que tu serais plus dur à dominer mais que ça mais là j'ai l'impression que t'es simplement un sextoy à ma disposition.


Aussi surprenant que cela puisse paraître, il ne réagit même pas, se contentant de me regarder, une lueur de soumission dans son regard. Il était vraiment soumis à moi et ça m'excitait terriblement. Je me mis à le baiser lentement tout d'abord, appréciant sa queue bien serrée contre mes parois anales. Hyssan gémissait et semblait totalement aux anges : il ne se débattait même plus, ne poussant que des soupirs de plaisirs. J'accélérais petit à petit mes va-et-viens, gémissant sous ma chevauchée qui me faisait autant de bien qu'à Hyssan. Je finis même par avoir un nouvel orgasme, aussi intense que mes autres orgasmes. Toujours pas rassasiée, Je le baisais encore plus vite, désirant avoir d'autres orgasmes. Je me demandais combien d'orgasmes je pouvais avoir avant de ne plus en pouvoir. Je le baisais plus intensément que jamais, à toute vitesse. Hyssan me regardait comme si j'étais une diablesse, une diablesse plus sexy que n'importe quelle fille et je vis dans ses yeux qu'il se disait qu'il allait très certainement se faire soumettre pour la première fois de sa vie. Désirant lui montrer que j'étais bien la patronne, je le tins par la gorge et lui lançais un sourire narquois. Je continuais ma chevauchée infernale et nous finîmes par avoir un orgasme mutuel, qui nous fit crier ensemble sous l'intensité de cet orgasme. Je m'écroulais sur lui, comblée et épuisée par cette baise intense. Je sentais le torse d'Hyssan se soulevait au rythme de sa respiration saccadée. Je vis que la queue d'Hyssan débandait enfin. Je décidais alors d'être clémente et je lui enlevais ma culotte pour ensuite le détacher. Mais le détacher fut une grave erreur.


Une fois détaché, je ne me méfiais pas, pensant qu'Hyssan était trop affaibli par ses orgasmes mais malheureusement pour moi, il se jeta sur moi, me prit par la gorge et me plaqua sur le lit, dos au matelas. Je fus surprise et je me débattis mais sa prise sur mon cou était trop puissante. Il rapprocha son visage du mien d'un air méchant et me dit :

- Tu vas payer pour ce que tu m'as fait !


Moqueuse, je lui ri au nez :

- Et qu'est ce que tu vas faire ? Ta queue est trop épuisée pour me faire quoi que ce soit !


Sans se démonter, il me répondit :

- J'ai pas besoin de ma bite pour te faire crier ma belle.


Sans plus de cérémonies, il m'enfonça carrément son poing dans mon sexe. Ne m'y attendant pas, je poussais un cri de douleur mélangé à du plaisir. Il me fista violemment enfonçant son poing dans mon intérieur me faisant crier de plaisir. Son poing était gros, ça m'emplissait mon vagin au moins deux fois plus que son sexe. Il me faisait un bien fou, son poing tellement serré en moi et frottant mes parois vaginales. Je me tortillais de plaisir : c'était si intense ce qu'il me faisait ! On ne m'avait encore jamais fistée et en plus, le poing d'Hyssan était bien gros que ça en devenait insupportable de plaisir. Je me débattais, tentant d'échapper au poing d'Hyssan qui me pilonnait vigoureusement. Hyssan souriait, visiblement ravi de me voir aussi faible contre lui. Je ne tardais pas, sous son puissant fist, à avoir un monstrueux orgasme qui me fit pousser un hurlement de plaisir. Cet orgasme était tellement intense, que ma respiration était haletante et mon s'accélérait affreusement. Malheureusement pour moi Hyssan voulait sa revanche donc il ne s'arrêta pas là et continua à me baiser avec son poing me baisant toujours aussi intensément que tout mon corps tremblait de plaisir. Je finis rapidement par avoir un deuxième orgasme qui me fit trembler de tout mon être. Mais Hyssan ne s'arrêta pas là et continua à me baiser plus intensément que jamais. N'en pouvant plus, je me résignais à le supplier :

- Hyssan, je t'en supplie... c'est trop... arrête, je t'en prie...


Hyssan sourit mais continua à me baiser sans ralentir la cadence :

- Mmm, j'aime que tu me supplies ma belle. Malheureusement pour toi, je ne suis pas un garçon clément.


Sur ces mots, il me mit à quatre pattes et me rentra deux doigts dans mon cul. Comprenant ses intentions, je me débattis :

- Non, attends ! Pas par là !


Hyssan rentra deux autres doigts et me dit à l'oreille :

- Ne t'en fais pas, je vais y aller doucement... du moins au début.


Sur ce, il rentra doucement son poing dans mon anus, me faisant pousser un cri de plaisir. Il commença tout d'abord à me baiser lentement sous mes cris de bonheur puis accéléra petit à petit augmentant le volume de mes cris. Son poing dans mon cul me procurait énormément de plaisir et je ne pouvais m'empêcher de crier. Hyssan me prit les cheveux et les tira rejetant ma tête en arrière. Ce qu'il me faisait était trop bon, je ne pouvais résister, j'étais en train de devenir soumise à lui. Mon ego en prenait un coup mais malgré moi j'adorais la façon dont il me traitait. Mon était tout tremblant et je finis par avoir un monstrueux orgasme qui me fit pousser un hurlement tant cette jouissance fut intense : cet orgasme était l'un des meilleurs que j'eus dans ma vie. Hyssan semblait satisfait de son pouvoir sur moi et il continuait à me baiser toujours intensément. Il rapprocha sa bouche de mon oreille et me chuchota :

- Alors ma chienne, avoue que t'aimes être traitée comme une soumise.


Le plaisir qu'il m'infligeait m'empêchait de me rebeller et je ne pus que pousser des cris. Il accentua la puissance de ses va-et-viens en moi et me chuchota :

- Avoue que t'es ma chienne.


À cet instant, je ne pus lui répondre : je prenais tellement mon pied que je ne pouvais pousser que des gémissements incontrôlés. Mais si j'avais pu parlé, je lui aurais obéi sans aucun doute : je lui aurais dit que j'étais sa chienne, que j'étais à lui mais son poing m'empêcher de m'exprimer clairement. Hyssan prit ma non-réponse comme une rébellion de ma part et augmenta encore la cadence me faisant littéralement hurler de plaisir. J'eus un second orgasme plus intense que le premier qui me fit rouler des yeux. Ce nouvel orgasme m'enleva toute force et si Hyssan ne me tenait pas les cheveux, je me serais écroulée sur le lit. Hyssan sembla voir que je n'opposais plus aucune résistance alors il retira son poing et me lâcha ce qui me fit tomber sur le ventre. Il me retourna ensuite sans aucune difficulté et entrepris de se branler sa queue redevenue dure comme du béton. Tous ces orgasmes, surtout les derniers, m'avaient complètement affaibli et j'étais au bord de l'évanouissement aussi je ne tentais rien pour reprendre le dessus. Il se branlait devant mon visage rougie par tous ses efforts et avec les cheveux en bataille. Au bout de quelques minutes, il finit par jouir et, dans un gémissement de plaisir, envoya la sauce sur mon visage. Je reçus sa semence sans broncher, encore trop sonnée pour réagir. J'étais maintenant allongée sur son lit, épuisée et souillée de sa semence. Hyssan s'approcha et me tint le menton pour me forcer à le regarder :

- Admets-le : tu es ma chienne.


Avec les orgasmes qu'il m'avait infligé, je n'étais pas en état de lui résister :

- Je suis ta chienne.


Hyssan sourit et me caressa la joue :

- Tu vois quand tu veux. Me dit-il d'un ton narquois.


Il se releva, fier de lui. Quant à moi, j'étais très vexée d'avoir perdue. Néanmoins je me dis que j'avais peut-être encore une chance de le dominer après ce qu'il m'avait infligée aussi je tentais le tout pour le tout.


Je me levais et me mis devant lui pour l'arrêter en posant ma main sur son torse. Il fut surpris et demanda :

- Qu'est ce que tu veux, soumise ?


Je m'agenouillais devant lui et entra sa queue entre mes seins, lui arrachant un petit gémissement.


- Laisse-moi te faire plaisir une dernière fois. Lui dis-je d'un ton suppliant.


Je le branlais doucement entre mes seins et il acquiesça entre deux gémissements :

- Ok, vas-y.


Avec un sourire, je m'attelais à le branler avec mes seins. Lentement, je fis coulisser mes collines le long de verge à moitié tendue. Je lapais son gland à chaque allée et venues tout en lui lançant des regards de braise. Il semblait grandement apprécier, les yeux mi-clos par mon traitement divin. Considérant que j'étais soumise à lui, il me laissait faire, savourant le plaisir que lui apportait mes seins branlant sa verge qui reprenait rapidement toute sa vigueur. Je continuais ainsi à le branler, guettant le moment où il serait le plus vulnérable : j'avais en effet remarqué que les menottes était juste à côté de moi, je pouvais donc les récupérer rapidement. Je mettais maintenant plus d'ardeur dans ma branlette espagnole et cela fonctionna : sous mes délicieux va-et-viens, Hyssan finit par fermer les yeux et poussait des soupirs de plaisir. Discrètement, je récupérais les menottes puis me relevais et le poussa sur le lit où il tomba sur le dos. Comme tout à l'heure, je ne lui laissa pas le temps de réagir et l'attachais rapidement. Il réalisa trop tard qu'il venait de se faire avoir : il se débattit mais ne réussit pas à se détacher. Je souris et caressa sa queue du bout des doigts, le faisant frémir d'excitation. Dans ses yeux, je voyais une lueur qui disait qu'il aimait perdre le contrôle mais je savais qu'il ne l'admettrais pas par fierté. Il me regarda donc d'un air sévère et me dit :

- Détache-moi sale chienne !


Je le branlais avec ma main doucement, maintenant sa verge en parfaite érection, son gland pointant vers le ciel et je lui répondis d'un air narquois :

- Je te l'accorde, tu m'as fait jouir comme jamais et tu étais à deux doigts de gagner et de me soumettre complètement. Mais tu n'aurais pas dû crier victoire trop vite. Maintenant, c'est à mon tour de te soumettre.


Il me lança d'un air mauvais :

- Je ne me soumettrais jamais !


J'embrassais son gland le faisant tressaillir de plaisir :

- On verra ça, dis-je en le branlant délicatement.


Désirant à tout prix le faire céder, je le branlais lentement mais efficacement en lui lançant des regards embrasés. Je fis coulisser ma main droite sur sa hampe, caressant du pouce son frein à chaque mouvement. Ma main gauche avait ses couilles en main et les malaxaient, les serrant fort mais pas trop non plus. Hyssan gémissait et grimaçait sous mes savantes caresses : il avait du mal à se retenir de gémir et ça me plaisait énormément. Je torsadais sa queue entre mes doigts, lui arrachant des cris de plaisir qu'il ne put retenir. Ma branlette était si efficace que je le menais rapidement aux portes de l'orgasme. Son corps se tendit et semblait prêt à accueillir l'orgasme qui le faisait trembler. Mais je voulus jouer avec ses nerfs aussi je lui procurais un orgasme ruiné : quand sa jouissance arriva, je cessais alors tout contact avec sa verge, stoppant ainsi son orgasme malgré le fait que son sperme s'écoula de sa queue. Hyssan gémit et râla, frustré de ne pas avoir eu d'orgasme complet. Ravie de mon effet, je regardais son sperme s'écoulait lentement de sa queue puis j'attaquais son gland avec ma langue le faisant tressaillir de plaisir. Ma langue tournoya autour de son gland, s'attardant sur la couronne et le frein. Je lui léchais ensuite sa hampe, de bas en haut lentement, puis je gobais ses couilles et les aspiraient goulûment. Hyssan se tortillais tentant d'échapper à ma bouche et ma langue qui lui procuraient un plaisir fou. Je continuais ainsi à le torturer jusqu'à lui provoquer un deuxième orgasme ruiné qui le fit crier de frustration. Je fis une pause de quelques secondes, histoire que son envie de jouir redescende. Je me jetais à nouveau sur son membre pour lui appliquer la meilleure fellation possible. Cela semblait fonctionner car il ne pouvait s'empêcher de pousser des cris de plaisir et il arrivait à peine à garder les yeux ouverts. Je continuais de le sucer langoureusement en lui lançant des regards de braises et je lui demandais :

- Avoue que personne ne t'as jamais sucé aussi bien.
- T'es la meilleure j'avoue, dit-il entre deux gémissements. Mmm, t'es trop douée !


Ravie de l'entendre, j'accélérais alors la cadence de mes coups de langue, le faisant crier de plaisir. Sous mon habile fellation, il devenait faible, sa respiration de plus en plus saccadée et irrégulière. Je savais qu'il était au bord de la soumission mais je voulais qu'il l'admettes : je ralentis alors mes coups de langue mais je le titillais du bout de ma langue aux endroits sensibles de sa queue comme le gland, le frein et la couronne le rendant fou de désir. Je l'amenais rapidement aux portes de l'orgasme, je le torturais en arrêtant de le lécher et attendre quelques secondes, l'empêchant d'atteindre l'orgasme. Je répétais mon manège plusieurs fois, mettant ainsi Hyssan au supplice. Hyssan n'en pouvait plus et finit par me demander d'un ton suppliant :

- April, fais-moi jouir s'il te plait...


Son ton suppliant m'enchantait : il n'était pas loin de craquer. Je lui demandais alors :

- Si tu veux jouir, appelle-moi maîtresse et supplie-moi.


Même s'il était à bout, il tenta de résister et ne céda pas. J'accélérais alors la cadence de mes coups de langue sur les parties sensibles de son sexe, le torturant comme jamais. Hyssan tenta de résister mais je le menais aux portes de l'orgasme sans toutefois le faire jouir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Hyssan finit par céder :

- Je t'en supplie maîtresse, fais-moi jouir je t'en prie !


YES ! Enfin, il reconnaissait sa défaite ! J'étais fier de moi d'avoir remporté cette rude bataille. En récompense de sa soumission, je lui léchais le gland ardemment, le toisant d'un air dominateur et il finit par exploser dans un orgasme qui le fit carrément hurler de plaisir et le vida complètement. Son corps trembla durant une longue minute sous la puissance de cet orgasme. Cette jouissaance le laissa les yeux clos et amorphes. Sa queue ne bandait plus ce qui n'était pas étonnant après cette soirée de baise intense. Cette fois-ci, cela ne faisait aucun doute qu'Hyssan avait bel et bien perdu aussi je le détachais mais je restais tout de même méfiante. Cela ne fut pas nécessaire car Hyssan semblait autant dans les vapes que moi après son fist. Pour enfoncer le clou, je le tins à la gorge, lui mordis l'oreille :

- Tu vois esclave, tu es mon soumis et tu le resteras. Alors dorénavant, tu ne te rebelles plus.


Hyssan me regardait dans les yeux et dans ses yeux je vis une lueur de soumission, une lueur de plénitude après cette intense et de la surprise : cela devait être la première fois qu'il se faisait soumettre par une fille alors ce n'était pas étonnant.


Étant moi-même épuisé après tous ces efforts et mes 16 orgasmes, je décidais de rentrer chez moi. Je me rhabillai et embrassa Hyssan qui était vexé de sa défaite mais en même temps comblé par cette baise intense. Je rentrais ensuite chez moi, ravi de cet excellente partie de jambes-en-l'air.

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Texte coquin : April, en quête de sexe 10
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