Les vacances d'April et ses amies Partie 2
Récit érotique écrit par CleeydL [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les vacances d'April et ses amies Partie 2
P.O.V April :
- Allez, ma belle, il faut se lever.
Je me tortillai, désirant me rendormir. Mais Scott insista :
- April, lève-toi. T'es la seule qui n'est pas réveillée et on va pas tarder.
Je marronnai mais je finis par me lever. Ah la la, se lever tôt c'est nul. J'aurais bien voulu une petite baise pour bien me réveiller mais on était pressés par le temps. Je me préparais vite fait et nous partîmes tous commencer cette première matinée au ski.
Nous restâmes tous sages cette matinée. En même temps entre l'achat des combinaisons, la location des skis, des snowboards et les forfaits, on n'eut pas trop le temps de faire quoi que ce soit. Après avoir enfin obtenu tout ce qu'ils nous fallait, il était déjà midi. Nous déjeunâmes tous ensemble dans un petit resto au bord des pistes tout en bavardant gaiement entre nous.
Après avoir bien mangés, nous prîmes chacun le télésiège et nous commençâmes à skier. Nous avions pris une verte pour le début car Mary et Stéphane n'avait quasiment jamais fait de ski. Ils ne débrouillaient pas trop mal pour des débutants mais ils n'étaient pas encore prêts pour des pistes rouges ou noires. Du coup Nassim, Ana, Scott et moi les laissèrent sur les vertes et bleues pour aller faire les rouges. Nous descendîmes les pistes et nous vîmes clairement une différence de niveau entre nous. Nassim et Scott se débrouillaient plutôt bien sur leurs skis et descendaient les pistes avec une certaine maîtrise mais ce n'était rien comparé à Ana et moi. Bien campés sur nos snows, nous descendions les pistes à toute vitesse, les distançant à chaque fois. Il faut dire qu'Ana et moi partions au ski quasiment chaque hiver avec nos parents quand on était plus jeunes alors on avait eu le temps de devenir douées. Après quelques piste rouges et certaines noires, Ana et moi voulûmes faire la piste noire la plus difficile de la station mais Nassim et Scott n'était pas très chaud :
- Je crois que je passe mon tour sur celle-là. Dit un Scott qui avait un air de « je tente de garder la face mais j'ai très peur ».
- Idem pour moi. Dit Nassim.
Ana et moi nous moquèrent gentiment d'eux :
- Ben alors les mecs, vous avez perdus vos couilles ?
- Elle vous fait si peur que ça la piste ? Je ne savais pas que vous étiez des poules mouillées !
Nassim et Scott furent légèrement vexés mais ne relevèrent pas nos moqueries. Tout penauds, ils nous quittèrent pour faire une piste plus facile. Je me tournais vers Ana et lui dit :
Bon, puisque les mauviettes ne sont plus là, ça te dit de faire une course ?
- Ça dépend. La gagnante gagne quoi ?
Je réfléchis quelques secondes puis lui proposa :
- Celle de nous deux qui perd fait un cunni à l'autre. Ça te va ?
- Mmm d'accord. Je suis sûr de te battre.
- C'est ce qu'on verra ma belle.
Sur ce, Ana et moi nous rendîmes au bord de la piste. Il n'y avait personne sur la piste ; apparemment, seules Ana et moi avions le cran de la descendre. Après s'être donnée le top départ, nous dévalâmes la piste à toute allure. Aller à toute vitesse était une super sensation, sentir le vent nous fouetter le visage était grisant ! Après plusieurs pointes de vitesse et des virages serrés, je finis par arriver au bas de la piste, devançant de peu Ana qui s'était très bien défendue. Je retirai mon masque de ski et la narguai :
- J'ai gagnée ! Je suis la meilleure ! T'es trop nulle Ana !
Ana fut vexée et répondit :
- C'est ça, vas-y moque-toi ! Je me suis tapée le mauvais côté de la piste aussi, c'est pour ça que j'ai perdue !
- Oh la mauvaise perdante ! Tu serais pas un peu de mauvaise foi par hasard ?
- Non, pas du tout !
Je ricanai, me moquant d'elle sans vergogne. Ana fit la moue, déçue d'avoir perdu. Je m'approchai et lui susurrai à l'oreille :
- Allez ma belle, arrête de bouder. Je te rappelle que tu dois me faire un cunni.
- Oui je sais.
- Bien. Alors débarrassons-nous de nos snows et suis-moi.
Nous enlevâmes alors nos snows et je la pris par la main pour la guider vers un petit bois. Arrivées là-bas,je m'adossai à un arbre et je défis ma combinaison pour lui laisser libre accès à mon sexe. Ana hésita :
- Tu veux qu'on fasse ça ici ? Dans la neige ?
- Je me suis toujours demandée ce que ça donnerait alors arrête de discuter et lèche-moi.
Ana finit par m'obéir et s'agenouilla dans la neige. Elle m'embrassa mes lèvres intimes puis me titilla mon clito du bout de sa langue. Elle y alla avec plus de vigueur, me faisant doucement gémir de plaisir. Elle voulut ensuite rentrer ses doigts en moi mais je l'en empêchai en posant ma main à l'arrière de sa tête et la plaquai contre mon sexe en lui précisant :
- Tu ne t'aides pas de tes mains, seulement de ta langue et ta bouche.
Ana se débattit mais je lui tins solidement sa tête, elle ne put donc pas se délivrer. Elle continua donc à me sucer, aspirant ma vulve entre ses lèvres. Je gémissais de plus en plus, tremblante de plaisir. Elle infiltra sa langue et elle fouilla mon intérieur, allant dans les moindres recoins de mon intimité. Ma main se crispa sur ses cheveux et je me mordis la lèvre inférieure : mon corps trembla de plus en plus et et j'avais du mal à garder les yeux ouverts à cause d'Ana qui me faisait un excellent cunni. Elle sentit que je n'allais pas tarder à défaillir alors elle accéléra la cadence, tourbillonnant violemment sa langue en moi. Je ne pus alors plus me retenir et je cédai à mon plaisir dans un cri. Cet orgasme me laissa quelque peu sonnée, pantelante et tremblante. Ana rajusta ma combi et se redressa pour m'embrasser tendrement.
Après cette pause plaisir, nous récupérâmes nos snows et nous continuâmes notre après-midi ski.
P.O.V Mary :
Aaaah, ça fait du bien ! Une bonne douche chaude après une dure journée, il n'y a rien de mieux ! Je me rendis, après ma douche, dans ma chambre simplement vêtue d'une serviette, me recouvrant à peine mes seins ainsi que mon entrejambe et mes fesses. Je m'assis sur le lit, épuisée, et je me massais mes jambes pour me soulager quand soudain :
- Tu veux que je te masses les jambes ?
Je sursautais de surprise : C'était Scott qui se tenait dans l'embrasure de la porte, vêtu simplement d'un caleçon. Je lui souris et lui dis :
- Scott ! Tu m'as fait peur ! Qu'est-ce que tu fais en caleçon ? Tu t'habilles le moins possible pour qu'April te déshabille plus vite ?
- À vrai dire, elle s'occupe de Nassim là. Ils se sont enfermés dans une chambre.
- Et donc tu viens me voir pour que je m'occupes de toi,- Je préférerais m'occuper de toi en fait.
- Quel gentleman ! Bon, puisque tu insistes, viens par là. Lui dis-je en lui faisant un signe de « viens ici » avec mon index.
Scott s'approcha de moi et il s'agenouilla. Il prit ma jambe droite et commença à les masser. Il les massait délicatement, mieux que moi. Il se débrouillait très bien, il avait des doigts de fée. Il continua pendant plusieurs minutes quand je décidais de l'interpeller :
- Scott, tu te débrouilles très bien mais j'ai deux jambes tu sais.
Scott sourit et me dit :
- Oui je sais, t'inquiètes pas.
Sur ces mots, il délaissa ma jambe droite et me massa ma jambe gauche. Il me massa délicatement et efficacement pendant plusieurs minutes. Scott débarrassait mes jambes de leurs fatigues, ce qui était très plaisant mais j'avais maintenant envie d'autre chose. Je ne portais qu'une serviette avec rien dessous et la tête de Scott se situait au niveau de mon entrejambe. J'écartais donc légèrement mes jambes, exposant à son regard ma chatte. Et cela marcha immédiatement : à peine les avais-je écartés que le regard de Scott dériva vers mon entrejambe. Il continuait toujours de me masser mais son regard se posait de plus en plus sur mon sexe. Il était de plus en plus excité comme le laissait suggérer la bosse de son caleçon qui ne faisait que grossir. Je décidais de le taquiner un peu : je retirais ma serviette me dévoilant totalement et j'écartais mes jambes encore plus. Scott fut comme paralysé, incapable de faire le moindre mouvement devant ma nudité et mon intimité que je lui dévoilais sans pudeur. Il avait maintenant une grosse bosse dans son caleçon et je commençais à mouiller d'excitation. Je lui caressai du pied la proéminence de son boxer, le faisant frémir. Je lui dis ensuite :
- Scott, j'ai besoin d'être soulagé à un autre endroit.
Scott feint de ne pas savoir de quel endroit je parlais :
- Ah oui ? Et quel endroit ?
- Tu le sais très bien alors occupe-t'en.
- Tes désirs sont des ordres ma belle.
Il écarta un peu plus mes jambes et caressa délicatement mes lèvres intimes déjà mouillées de désir. Délicatement, il infiltra son majeur en moi et me doigta doucement, lentement. Je poussais des soupirs de satisfaction mais aussi d'impatience : ce qu'il me faisait était très plaisant mais je désirais qu'il y aille plus franco. Je donnai alors quelques petits coups de bassin pour enfoncer son doigt plus profondément en moi et le forçai à aller plus vite. Mais Scott fut sournois : il posa son autre main sur mon bas-ventre et bloqua mes mouvements. Je le grondai un peu :
- Allez Scott, va plus vite.
Scott sourit et accéléra le mouvement. Il infiltra même deux autres doigts en moi. Je gémissais de plus en plus et je fermais les yeux pour encore plus profiter de l'adresse de ses doigts de fées. Soudain, il alla d'un coup à une vitesse folle, me prenant par surprise et me faisant pousser un petit cri. Il continua ainsi pendant quelques secondes, m'amenant inexorablement aux portes de l'orgasme puis il arrêta totalement de me masturber alors que j'approchais du septième ciel. Je voulus protester mais Scott porta ses doigts qui étaient en moi à ma bouche pour que je les suce. J'ouvris la bouche et les suçai langoureusement. Une fois que je les avais bien humidifiés de ma salive, Scott les rerentra en moi et reprit ses va-et-vient vigoureusement. En même temps qu'il fouillait mon intérieur, son autre main vint à la rencontre de ma poitrine. Il les caressa sensuellement, pinçant doucement mes tétons. Je gémissais de plus en plus car je sentais une vague de plaisir qui montait en moi et qui menaçait de me submerger. Scott sentit que j'approchais de la fin de ma résistance alors il entama un sprint final pour m'achever : ses trois doigts en moi allèrent à toute vitesse tandis que son pouce titilla vigoureusement mon clito et son autre main massa mes seins fermement. Je ne pus tenir et j'eus un intense orgasme qui me fit crier tout le plaisir que Scott m'avait procuré. À moitié sonné par cet orgasme, je ne réagis pas lorsque Scott m'allongea sur le lit pour retirer ensuite son caleçon et me pénétrer d'un coup sec. Je poussais un petit soupir causé par sa queue pénétrant mon intimité. Il commença à me baiser à un rythme lent mais vigoureux, allant profondément en moi. Je le laissais faire quelques instants puis je voulus reprendre le dessus : je le renversais avec mes jambes pour me retrouver sur lui. Scott en fut surpris mais je lui pris ses poignets et les plaquais contre le matelas avant de lui dire :
- Laisse-toi faire. Je veux diriger alors ne te rebelles pas.
Scott sembla hésiter alors je le baisais vigoureusement, lui arrachant des cris de plaisirs :
- D'accord. Dit-il entre deux gémissements. Fais ce que tu veux de moi.
Souriante, je lui lâchais les poignets et me redressais pour mieux le baiser :
- À la bonne heure.
Sur ce, je me déhanchais sur lui, malmenant sa queue dans mon intimité. Je bougeais d'avant en arrière et de droite à gauche, nous faisant pousser des cris sous l'efficacité de cette baise. Scott ne cherchait pas à reprendre le dessus, ce qui me ravit, mais ses mains parcoururent mon corps pendant que je le baisais. Il caressait mes seins, appréciant leurs rondeurs et leurs fermetés, et massait mon fessier, laissant traîner son index autour de mon petit trou. Je le baisais pendant plusieurs minutes, prenant appui sur son torse pour mieux le chevaucher. Au bout de plusieurs va-et-vient, je finis par avoir un orgasme délicieux qui me fit crier de plaisir. J'étais à peine remise de mon orgasme que Scott renversa la situation : il me prit par les hanches et me mit sur le dos pour me prendre en missionnaire. Je voulus le renverser mais Scott me tint solidement les poignets au dessus de ma tête. Je me débattis mais il me recadra en me donnant de puissants coups de reins qui m'immobilisèrent. Incapable de me libérer, je protestais :
- Je t'avais dit de te laisser faire Scott !
- Oui je sais mais finalement, j'ai changé d'avis.
Et sur ces mots, Scott me pilonna vigoureusement tout en m'embrassant. Mmm, il me baisait très bien ! Sa queue faisait des allées et venues en moi, me baisant sans répit. Il prenait de l'assurance, prenait plus d'initiative et je dois avouer que ça me plaisait. Même si j'aimais beaucoup le voir soumis, le voir plus dominant était tout aussi bon. Il continua encore de me prendre vigoureusement et il finit par me procurer un deuxième orgasme tout aussi bon que le premier. Scott profita de ma jouissance pour me retourner et me prendre en levrette. Il me prit vigoureusement, me tenant par les hanches pour aller plus profondément en moi. Je prenais mon pied sous ses coups de reins et je lui fis savoir :
- Mmm c'est bon... Baise-moi plus fort Scott.
Scott m'écouta car il alla encore plus vite et fort en moi. Je gémis de plaisir, me mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier. Après plusieurs minutes à me culbuter, nous approchions tous deux de l'orgasme. Alors Scott me prit les cheveux et me baisa aussi vigoureusement qu'il le pouvait. Étant tous les deux proches de la délivrance, nous eûmes en même temps un intense orgasme qui nous fit crier de plaisir. Scott se retira de moi et s'écroula sur le dos, épuisé. Je mis quelques secondes à reprendre mes esprits, puis je me couchais sur Scott, ma tête contre son torse.
- C'était super Scott. Lui dit-je faiblement.
Scott me caressa doucement les cheveux :
- Merci, j'ai adoré te baiser moi aussi.
Nous nous embrassâmes tendrement puis nous nous endormîmes, trop fatigués pour faire quoi que ce soit.
P.O.V April :
J'étais simplement habillé en lingerie, un string et un soutien-gorge bleu ciel, la même couleur que ma lingerie d'hier. Avide de sexe, je me dirigeais vers la chambre de Nassim. Ce dernier était assis sur son lit vêtu d'un short et d'un débardeur. Je n'y allais pas par quatre chemins : je m'assis sur ses genoux, jambes autour de lui et bras autour de son cou. Je lui adressais un sourire charmeur et lui dit :
J'ai envie de te baiser. Ici et maintenant.
Nassim sourit et répondit :
- T'y vas pas par quatre chemins quand t'as envie de sexe toi !
- Je préfère ne pas tourner autour du pot. Alors, t'es partant ?
- Bien sûr !
- Tant mieux.
Je l'embrassais alors sur la bouche, fougueusement. Lui aussi n'y alla pas par quatre chemins: il glissa ses mains le long de mon dos et il dégrafa mon soutien-gorge. Je continuais à l'embrasser, tournoyant ma langue autour de la sienne et je retirais son débardeur, dévoilant son torse bien bâti. Je laissais parcourir mes mains sur son torse tandis que les siennes caressaient mes seins. Après un long baiser, je m'agenouillai devant lui et lui retira son short. Son caleçon était déformé par son érection : j'embrassais son sexe à travers son boxer, le massant délicatement. Je retirais son caleçon et je le pris en main. Nassim poussa un petit gémissement et il posa sa main sur ma tête, appuyant légèrement pour approcher ma bouche de son gland:
- Suce-moi April.
Je lui lançais un regard coquin et lui léchais le bout de son gland :
- Et si j'en ai pas envie ?
Nassim me dit :
- T'es venu dans ma chambre en lingerie en me disant que t'as envie de me baiser. Je ne suis pas stupide, je vois bien que tu joues avec moi.
- C'est vrai mais j'ai envie que tu me demandes de te sucer gentiment.
Nassim appuya un peu plus sur ma tête et me dit d'un ton joueur :
- Je veux pas te le demander gentiment mais j'ai très envie de ta bouche autour de mon sexe, alors suce-moi.
Je fis tournoyer ma langue autour de son gland et insista :
- Je ne te prendrais pas en bouche tant que tu ne me demandes pas. Alors soit tu me demandes gentiment soit ….
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase car Nassim engouffra son sexe dans ma bouche. Il prit les cheveux pour se servir de ma tête comme d'un sextoy. Il me baisait vigoureusement, enfonçant sa queue profondément en moi. Ce qu'il me faisait était plaisant mais je voulais le dominer et diriger cette baise alors je pris ses couilles en main et les serrai fortement entre mes doigts. Nassim poussa un cri de douleur et me lâcha les cheveux, subitement paralysé par ma main enserrant la faiblesse des hommes. Je me relevais tout en le gardant en main et lui dit :
- Dis-moi, tu essaierais pas de me dominer par hasard ?
Nassim grimaça de douleur et me dit :
- April, je t'en prie, lâche-moi ….
Je souris puis je le libérai, et l'embrassai sur la joue :
- T'inquiètes pas, je vais pas te faire mal, je veux juste te baiser et toi tu vas te laisser faire, c'est compris ?
Nassim hésita puis acquiesça :
- D'accord.
- Bon garçon. Maintenant allonge-toi.
Il s'exécuta sans protester. Je fouillais dans ses tiroirs et en ressortis une ceinture. Je montais sur le lit et attachais ses poignets aux barreaux. Nassim me laissa faire, son regard partagé entre appréhension et excitation. Je lui pris son menton et le forçai à soutenir mon regard :
- Tu es à moi Nassim. Lui dit-je d'un ton dominateur et coquin.
Nassim ne me répondit pas mais je vis une petite lueur de soumission dans ses yeux et son sexe tendu à fond m'indiquait que la situation l'excitait. Sans attendre, je retirais mon string et je me mis dos à lui. Je pris sa queue en main et je remplis mon petit trou avec. Une fois sa queue bien fichée dans mon cul, je le chevauchais ardemment, sa queue bien serrée en moi. Je me penchais en avant, et je bougeais mon cul de haut en bas et d'avant en arrière. Je prenais moi aussi beaucoup de plaisir, sa queue me remplissait bien mon intérieur. Après quelques coups de bassin, je finis par avoir un délicieux orgasme qui me fit crier de plaisir. Après cet jouissance, je me tournais vers lui, sa queue toujours planté dans mon derrière, pour le baiser de face. Je pouvais ainsi voir le plaisir que je lui infligeais : Son visage grimaçait, et son torse se soulevait irrégulièrement, il luttait pour ne pas jouir. Il se débattait, tentant de se libérer pour renverser la situation et je me remarquais qu'il allait bientôt y réussir car la ceinture qui entravait ses poignets se desserrait peu à peu. Sans m'arrêter de le baiser, je me penchais et je resserrais la ceinture. Nassim se débattit encore mais il ne réussit plus à la desserrer. Il finit par abandonner, voyant qu'il n'arrivait pas à renverser la situation. Je le narguais :
- Tu ne peux rien faire contre moi Nassim. Admets-le !
Nassim ne voulut pas l'admettre : il détourna le regard et se serra les dents pour tenter de plus pousser de gémissements. Il me provoqua :
- T'es nulle comme baiseuse April. Tu me fais rien du tout.
J'eus un petit rire, rigolant de sa mauvaise foi. Je n'accélérais pas le rythme de ma baise pour le faire flancher, au contraire, je ralentis. Je continuais sur un rythme très lent : il disait ne rien sentir ? Qu'à cela ne tienne, je le baisais de façon à ce qu'il ne ressente presque rien. Néanmoins, je voulais quand même prendre mon pied alors je me titillais le clito vigoureusement. Nassim me donnait des coups de reins par le bas mais je répliquais aussitôt en lui donnant de puissants coups de bassin qui le recadrais aussitôt. Je ne mis pas longtemps à avoir un deuxième orgasme grâce à mes doigts sur mon clito. Après cette nouvelle jouissance, je repris soudainement une baise vigoureuse et puissante. Pris au dépourvu, Nassim ne put retenir un cri de plaisir qui s'échappa de sa bouche. Il tenta de résister mais ma chevauchée infernale lui arrachait des gémissements incontrôlés. Je continuais à le baisais ainsi et lui dit :
- Avoue que ta maîtresse te baise comme une déesse, mon soumis !
Nassim répondit tant bien que mal :
- Non ! Pas... question !
Il tentait toujours de résister alors je lui posais un ultimatum en lui tenant son menton entre mes mains pour qu'il me regarde droit dans mes yeux :
- Tu vas m'appeler maîtresse et admettre que je te baise comme jamais ou sinon je jouis encore une fois mais toi non. Alors, soumis ?
Nassim ne pouvait plus rien contre moi : il tint bon encore quelques secondes puis il abdiqua :
- Tu baises comme une déesse maîtresse ! T'es la meilleure !
Je souris, satisfaite de ma victoire. Je continuais à le baiser intensément, criant tous deux de plaisir. Nous ne pûmes tenir longtemps après cette incroyable baise et nous eûmes un orgasme qui nous fit hurler de plaisir. Je m'écroulais sur lui, épuisée et je pris quelques secondes pour récupérer. Je le détachais et me blottis contre lui. Nassim m'embrassa :
- J'ai pris un pied terrible April. T'es chaude comme la braise au lit !
Je l'embrassais en retour et lui répondit :
- Merci. Et toi t'as une super queue, c'est un plaisir de la baiser.
Après un dernier baiser, je m'endormis jusqu'au petit matin, paisiblement.
P.O.V Ana :
Ce soir, je n'avais pas spécialement envie de baiser. Néanmoins, cela changea très vite : en effet, dans la chambre à gauche de la mienne, j'entendais les gémissements d' April et Nassim tandis que que dans celle de droite, j'entendais les gémissements de Mary et de Scott. Entendre leurs exclamations pendant qu'ils faisaient très certainement l'amour me donna très envie d'être remplie et je commençais à être toute mouillée. Je décidais donc d'arranger ça en allant voir le seul mec de libre : Stéphane. Je me mis toute nue et j'allais rejoindre Stéphane. Arrivé dans sa chambre, je le surpris en train de se branler tout nu, assis sur son lit. Je le pris alors en flagrant délit :
- Eh ben alors petit pervers ! On se branle alors qu'il y a une superbe fille pas loin qui ne demande qu'à être baisée.
Stéphane sursauta, surpris de ma présence :
- Euh, salut Ana. Je ne m'attendais pas vraiment à ce que tu débarques.
- Oui, je vois ça, lui dis-je en désignant toute tendue. Je te laisse finir ta petite affaire ou tu préfères que je m'occupe de toi.
- Je préfères que tu t'occupes de ma bite.
- Je m'en doutais. Au boulot alors.
Sur ce, je m'agenouillai devant lui et je commençais par déposer de petits baisers sur son gland. Je tournoyai ma langue autour de son gland et de sa hampe, sans oublier de m'occuper de ses couilles. Je le fixais du regard et je vis qu'il avait du mal à se retenir de gémir et de ne pas jouir immédiatement. Pour le mettre dans l'embarras, je pris entièrement son sexe en bouche et je lui fis une excellente gorge profonde. J'allais à un rythme élevé et je savais que Stéphane n'y résisterais pas. Je ne me trompais pas : il ne me suffit que de quelques va-et-vient pour qu'il soit aux portes de l'orgasme. Son torse se soulevait, sa respiration se faisait plus haletante et saccadée et sa queue tremblait dans ma bouche. Avant d'atteindre le point de non-retour, j'arrêtais de le sucer ce qui le fit légèrement râler. Pour faire cesser ses protestations, je l'allongeai et je m'assis sur sa bouche :
- Lèche-moi, lui dis-je d'un ton légèrement autoritaire.
Stéphane n'eut pas d'autre choix que de m'obéir. Sa langue s'infiltra en moi, fouillant mon intimité. Il était doué, pas aussi doué que Scott mais assez pour me faire prendre mon pied. Il s'appliquait à me faire plaisir alternant entre mon intérieur et mon clitoris. Pour augmenter mon plaisir, je me caressai les seins et me pinçai les tétons, me faisant de plus en plus gémir. Après quelques coups de langue, Stéphane me procura mon premier orgasme de la soirée. Juste après cette jouissance, je me levais de sa bouche et je vins m'empaler sur sa queue qui était toujours aussi dure. À peine avais-je rentré sa verge en moi que Stéphane poussa un petit cri de contentement. Je dansais sur lui, langoureusement et sensuellement, puis je le baisais sur un rythme plus élevé, bougeant vigoureusement mon bassin d'avant en arrière et de gauche à droite. Stéphane gémissait, prenant plaisir à subir ma chevauchée. Ce dernier, ne voulant pas rester inactif, posa ses mains sur mes hanches et il me donna des coups de reins par en dessous. Il me fit pousser des cris de plaisirs et me déstabilisa ce qui lui permit de me renverser et de me prendre en missionnaire. Il me pilonna vigoureusement, m'embrassant le cou et mes seins à chacun de ses coups de reins. Je ne pouvais que gémir sous ses coups de butoirs, il me tenait solidement les poignets. Je me débattis pour le renverser et le chevaucher mais je n'y arrivais pas et en plus, sa bite en moi me procurait trop de plaisir. Je décidais d'arrêter de me débattre et de le laisser me baiser sans me rebeller :
- Mmmm, oui continue, t'arrêtes pas !
- Ça tombe bien, je compte pas m'arrêter.
Il continua donc de me baiser efficacement et il finit par me procurer un deuxième orgasme. Légèrement sonnée, je ne pus réagir quand Stéphane mit mes jambes sur ses épaules pour continuer à me prendre en enclume. Il me pilonna toujours aussi vigoureusement, ballottant mon corps au gré de ses coups de reins. Il me malaxait puissamment mes seins et titillait mon clitoris. Il me faisait crier de plaisir, ses 20 centimètres en moi me procurait un grand plaisir. Après quelques va-et-vient, j'atteignis une nouvelle fois l'orgasme sous ses coups de bite.
Stéphane approchait lui aussi du septième ciel : il sortit de moi et il cala sa grosse entre mes seins pour se finir. Il se branla délicieusement dans ma poitrine jusqu'à ce qu'il se déversa sur mes obus et mon visage dans un râle de jouissance. Je pris ensuite sa queue en bouche pour la nettoyer de toute sa semence. Après cette bonne partie de baise, nous nous couchâmes côte à côte et nous nous endormîmes jusqu'au lendemain matin.
- Allez, ma belle, il faut se lever.
Je me tortillai, désirant me rendormir. Mais Scott insista :
- April, lève-toi. T'es la seule qui n'est pas réveillée et on va pas tarder.
Je marronnai mais je finis par me lever. Ah la la, se lever tôt c'est nul. J'aurais bien voulu une petite baise pour bien me réveiller mais on était pressés par le temps. Je me préparais vite fait et nous partîmes tous commencer cette première matinée au ski.
Nous restâmes tous sages cette matinée. En même temps entre l'achat des combinaisons, la location des skis, des snowboards et les forfaits, on n'eut pas trop le temps de faire quoi que ce soit. Après avoir enfin obtenu tout ce qu'ils nous fallait, il était déjà midi. Nous déjeunâmes tous ensemble dans un petit resto au bord des pistes tout en bavardant gaiement entre nous.
Après avoir bien mangés, nous prîmes chacun le télésiège et nous commençâmes à skier. Nous avions pris une verte pour le début car Mary et Stéphane n'avait quasiment jamais fait de ski. Ils ne débrouillaient pas trop mal pour des débutants mais ils n'étaient pas encore prêts pour des pistes rouges ou noires. Du coup Nassim, Ana, Scott et moi les laissèrent sur les vertes et bleues pour aller faire les rouges. Nous descendîmes les pistes et nous vîmes clairement une différence de niveau entre nous. Nassim et Scott se débrouillaient plutôt bien sur leurs skis et descendaient les pistes avec une certaine maîtrise mais ce n'était rien comparé à Ana et moi. Bien campés sur nos snows, nous descendions les pistes à toute vitesse, les distançant à chaque fois. Il faut dire qu'Ana et moi partions au ski quasiment chaque hiver avec nos parents quand on était plus jeunes alors on avait eu le temps de devenir douées. Après quelques piste rouges et certaines noires, Ana et moi voulûmes faire la piste noire la plus difficile de la station mais Nassim et Scott n'était pas très chaud :
- Je crois que je passe mon tour sur celle-là. Dit un Scott qui avait un air de « je tente de garder la face mais j'ai très peur ».
- Idem pour moi. Dit Nassim.
Ana et moi nous moquèrent gentiment d'eux :
- Ben alors les mecs, vous avez perdus vos couilles ?
- Elle vous fait si peur que ça la piste ? Je ne savais pas que vous étiez des poules mouillées !
Nassim et Scott furent légèrement vexés mais ne relevèrent pas nos moqueries. Tout penauds, ils nous quittèrent pour faire une piste plus facile. Je me tournais vers Ana et lui dit :
Bon, puisque les mauviettes ne sont plus là, ça te dit de faire une course ?
- Ça dépend. La gagnante gagne quoi ?
Je réfléchis quelques secondes puis lui proposa :
- Celle de nous deux qui perd fait un cunni à l'autre. Ça te va ?
- Mmm d'accord. Je suis sûr de te battre.
- C'est ce qu'on verra ma belle.
Sur ce, Ana et moi nous rendîmes au bord de la piste. Il n'y avait personne sur la piste ; apparemment, seules Ana et moi avions le cran de la descendre. Après s'être donnée le top départ, nous dévalâmes la piste à toute allure. Aller à toute vitesse était une super sensation, sentir le vent nous fouetter le visage était grisant ! Après plusieurs pointes de vitesse et des virages serrés, je finis par arriver au bas de la piste, devançant de peu Ana qui s'était très bien défendue. Je retirai mon masque de ski et la narguai :
- J'ai gagnée ! Je suis la meilleure ! T'es trop nulle Ana !
Ana fut vexée et répondit :
- C'est ça, vas-y moque-toi ! Je me suis tapée le mauvais côté de la piste aussi, c'est pour ça que j'ai perdue !
- Oh la mauvaise perdante ! Tu serais pas un peu de mauvaise foi par hasard ?
- Non, pas du tout !
Je ricanai, me moquant d'elle sans vergogne. Ana fit la moue, déçue d'avoir perdu. Je m'approchai et lui susurrai à l'oreille :
- Allez ma belle, arrête de bouder. Je te rappelle que tu dois me faire un cunni.
- Oui je sais.
- Bien. Alors débarrassons-nous de nos snows et suis-moi.
Nous enlevâmes alors nos snows et je la pris par la main pour la guider vers un petit bois. Arrivées là-bas,je m'adossai à un arbre et je défis ma combinaison pour lui laisser libre accès à mon sexe. Ana hésita :
- Tu veux qu'on fasse ça ici ? Dans la neige ?
- Je me suis toujours demandée ce que ça donnerait alors arrête de discuter et lèche-moi.
Ana finit par m'obéir et s'agenouilla dans la neige. Elle m'embrassa mes lèvres intimes puis me titilla mon clito du bout de sa langue. Elle y alla avec plus de vigueur, me faisant doucement gémir de plaisir. Elle voulut ensuite rentrer ses doigts en moi mais je l'en empêchai en posant ma main à l'arrière de sa tête et la plaquai contre mon sexe en lui précisant :
- Tu ne t'aides pas de tes mains, seulement de ta langue et ta bouche.
Ana se débattit mais je lui tins solidement sa tête, elle ne put donc pas se délivrer. Elle continua donc à me sucer, aspirant ma vulve entre ses lèvres. Je gémissais de plus en plus, tremblante de plaisir. Elle infiltra sa langue et elle fouilla mon intérieur, allant dans les moindres recoins de mon intimité. Ma main se crispa sur ses cheveux et je me mordis la lèvre inférieure : mon corps trembla de plus en plus et et j'avais du mal à garder les yeux ouverts à cause d'Ana qui me faisait un excellent cunni. Elle sentit que je n'allais pas tarder à défaillir alors elle accéléra la cadence, tourbillonnant violemment sa langue en moi. Je ne pus alors plus me retenir et je cédai à mon plaisir dans un cri. Cet orgasme me laissa quelque peu sonnée, pantelante et tremblante. Ana rajusta ma combi et se redressa pour m'embrasser tendrement.
Après cette pause plaisir, nous récupérâmes nos snows et nous continuâmes notre après-midi ski.
P.O.V Mary :
Aaaah, ça fait du bien ! Une bonne douche chaude après une dure journée, il n'y a rien de mieux ! Je me rendis, après ma douche, dans ma chambre simplement vêtue d'une serviette, me recouvrant à peine mes seins ainsi que mon entrejambe et mes fesses. Je m'assis sur le lit, épuisée, et je me massais mes jambes pour me soulager quand soudain :
- Tu veux que je te masses les jambes ?
Je sursautais de surprise : C'était Scott qui se tenait dans l'embrasure de la porte, vêtu simplement d'un caleçon. Je lui souris et lui dis :
- Scott ! Tu m'as fait peur ! Qu'est-ce que tu fais en caleçon ? Tu t'habilles le moins possible pour qu'April te déshabille plus vite ?
- À vrai dire, elle s'occupe de Nassim là. Ils se sont enfermés dans une chambre.
- Et donc tu viens me voir pour que je m'occupes de toi,- Je préférerais m'occuper de toi en fait.
- Quel gentleman ! Bon, puisque tu insistes, viens par là. Lui dis-je en lui faisant un signe de « viens ici » avec mon index.
Scott s'approcha de moi et il s'agenouilla. Il prit ma jambe droite et commença à les masser. Il les massait délicatement, mieux que moi. Il se débrouillait très bien, il avait des doigts de fée. Il continua pendant plusieurs minutes quand je décidais de l'interpeller :
- Scott, tu te débrouilles très bien mais j'ai deux jambes tu sais.
Scott sourit et me dit :
- Oui je sais, t'inquiètes pas.
Sur ces mots, il délaissa ma jambe droite et me massa ma jambe gauche. Il me massa délicatement et efficacement pendant plusieurs minutes. Scott débarrassait mes jambes de leurs fatigues, ce qui était très plaisant mais j'avais maintenant envie d'autre chose. Je ne portais qu'une serviette avec rien dessous et la tête de Scott se situait au niveau de mon entrejambe. J'écartais donc légèrement mes jambes, exposant à son regard ma chatte. Et cela marcha immédiatement : à peine les avais-je écartés que le regard de Scott dériva vers mon entrejambe. Il continuait toujours de me masser mais son regard se posait de plus en plus sur mon sexe. Il était de plus en plus excité comme le laissait suggérer la bosse de son caleçon qui ne faisait que grossir. Je décidais de le taquiner un peu : je retirais ma serviette me dévoilant totalement et j'écartais mes jambes encore plus. Scott fut comme paralysé, incapable de faire le moindre mouvement devant ma nudité et mon intimité que je lui dévoilais sans pudeur. Il avait maintenant une grosse bosse dans son caleçon et je commençais à mouiller d'excitation. Je lui caressai du pied la proéminence de son boxer, le faisant frémir. Je lui dis ensuite :
- Scott, j'ai besoin d'être soulagé à un autre endroit.
Scott feint de ne pas savoir de quel endroit je parlais :
- Ah oui ? Et quel endroit ?
- Tu le sais très bien alors occupe-t'en.
- Tes désirs sont des ordres ma belle.
Il écarta un peu plus mes jambes et caressa délicatement mes lèvres intimes déjà mouillées de désir. Délicatement, il infiltra son majeur en moi et me doigta doucement, lentement. Je poussais des soupirs de satisfaction mais aussi d'impatience : ce qu'il me faisait était très plaisant mais je désirais qu'il y aille plus franco. Je donnai alors quelques petits coups de bassin pour enfoncer son doigt plus profondément en moi et le forçai à aller plus vite. Mais Scott fut sournois : il posa son autre main sur mon bas-ventre et bloqua mes mouvements. Je le grondai un peu :
- Allez Scott, va plus vite.
Scott sourit et accéléra le mouvement. Il infiltra même deux autres doigts en moi. Je gémissais de plus en plus et je fermais les yeux pour encore plus profiter de l'adresse de ses doigts de fées. Soudain, il alla d'un coup à une vitesse folle, me prenant par surprise et me faisant pousser un petit cri. Il continua ainsi pendant quelques secondes, m'amenant inexorablement aux portes de l'orgasme puis il arrêta totalement de me masturber alors que j'approchais du septième ciel. Je voulus protester mais Scott porta ses doigts qui étaient en moi à ma bouche pour que je les suce. J'ouvris la bouche et les suçai langoureusement. Une fois que je les avais bien humidifiés de ma salive, Scott les rerentra en moi et reprit ses va-et-vient vigoureusement. En même temps qu'il fouillait mon intérieur, son autre main vint à la rencontre de ma poitrine. Il les caressa sensuellement, pinçant doucement mes tétons. Je gémissais de plus en plus car je sentais une vague de plaisir qui montait en moi et qui menaçait de me submerger. Scott sentit que j'approchais de la fin de ma résistance alors il entama un sprint final pour m'achever : ses trois doigts en moi allèrent à toute vitesse tandis que son pouce titilla vigoureusement mon clito et son autre main massa mes seins fermement. Je ne pus tenir et j'eus un intense orgasme qui me fit crier tout le plaisir que Scott m'avait procuré. À moitié sonné par cet orgasme, je ne réagis pas lorsque Scott m'allongea sur le lit pour retirer ensuite son caleçon et me pénétrer d'un coup sec. Je poussais un petit soupir causé par sa queue pénétrant mon intimité. Il commença à me baiser à un rythme lent mais vigoureux, allant profondément en moi. Je le laissais faire quelques instants puis je voulus reprendre le dessus : je le renversais avec mes jambes pour me retrouver sur lui. Scott en fut surpris mais je lui pris ses poignets et les plaquais contre le matelas avant de lui dire :
- Laisse-toi faire. Je veux diriger alors ne te rebelles pas.
Scott sembla hésiter alors je le baisais vigoureusement, lui arrachant des cris de plaisirs :
- D'accord. Dit-il entre deux gémissements. Fais ce que tu veux de moi.
Souriante, je lui lâchais les poignets et me redressais pour mieux le baiser :
- À la bonne heure.
Sur ce, je me déhanchais sur lui, malmenant sa queue dans mon intimité. Je bougeais d'avant en arrière et de droite à gauche, nous faisant pousser des cris sous l'efficacité de cette baise. Scott ne cherchait pas à reprendre le dessus, ce qui me ravit, mais ses mains parcoururent mon corps pendant que je le baisais. Il caressait mes seins, appréciant leurs rondeurs et leurs fermetés, et massait mon fessier, laissant traîner son index autour de mon petit trou. Je le baisais pendant plusieurs minutes, prenant appui sur son torse pour mieux le chevaucher. Au bout de plusieurs va-et-vient, je finis par avoir un orgasme délicieux qui me fit crier de plaisir. J'étais à peine remise de mon orgasme que Scott renversa la situation : il me prit par les hanches et me mit sur le dos pour me prendre en missionnaire. Je voulus le renverser mais Scott me tint solidement les poignets au dessus de ma tête. Je me débattis mais il me recadra en me donnant de puissants coups de reins qui m'immobilisèrent. Incapable de me libérer, je protestais :
- Je t'avais dit de te laisser faire Scott !
- Oui je sais mais finalement, j'ai changé d'avis.
Et sur ces mots, Scott me pilonna vigoureusement tout en m'embrassant. Mmm, il me baisait très bien ! Sa queue faisait des allées et venues en moi, me baisant sans répit. Il prenait de l'assurance, prenait plus d'initiative et je dois avouer que ça me plaisait. Même si j'aimais beaucoup le voir soumis, le voir plus dominant était tout aussi bon. Il continua encore de me prendre vigoureusement et il finit par me procurer un deuxième orgasme tout aussi bon que le premier. Scott profita de ma jouissance pour me retourner et me prendre en levrette. Il me prit vigoureusement, me tenant par les hanches pour aller plus profondément en moi. Je prenais mon pied sous ses coups de reins et je lui fis savoir :
- Mmm c'est bon... Baise-moi plus fort Scott.
Scott m'écouta car il alla encore plus vite et fort en moi. Je gémis de plaisir, me mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier. Après plusieurs minutes à me culbuter, nous approchions tous deux de l'orgasme. Alors Scott me prit les cheveux et me baisa aussi vigoureusement qu'il le pouvait. Étant tous les deux proches de la délivrance, nous eûmes en même temps un intense orgasme qui nous fit crier de plaisir. Scott se retira de moi et s'écroula sur le dos, épuisé. Je mis quelques secondes à reprendre mes esprits, puis je me couchais sur Scott, ma tête contre son torse.
- C'était super Scott. Lui dit-je faiblement.
Scott me caressa doucement les cheveux :
- Merci, j'ai adoré te baiser moi aussi.
Nous nous embrassâmes tendrement puis nous nous endormîmes, trop fatigués pour faire quoi que ce soit.
P.O.V April :
J'étais simplement habillé en lingerie, un string et un soutien-gorge bleu ciel, la même couleur que ma lingerie d'hier. Avide de sexe, je me dirigeais vers la chambre de Nassim. Ce dernier était assis sur son lit vêtu d'un short et d'un débardeur. Je n'y allais pas par quatre chemins : je m'assis sur ses genoux, jambes autour de lui et bras autour de son cou. Je lui adressais un sourire charmeur et lui dit :
J'ai envie de te baiser. Ici et maintenant.
Nassim sourit et répondit :
- T'y vas pas par quatre chemins quand t'as envie de sexe toi !
- Je préfère ne pas tourner autour du pot. Alors, t'es partant ?
- Bien sûr !
- Tant mieux.
Je l'embrassais alors sur la bouche, fougueusement. Lui aussi n'y alla pas par quatre chemins: il glissa ses mains le long de mon dos et il dégrafa mon soutien-gorge. Je continuais à l'embrasser, tournoyant ma langue autour de la sienne et je retirais son débardeur, dévoilant son torse bien bâti. Je laissais parcourir mes mains sur son torse tandis que les siennes caressaient mes seins. Après un long baiser, je m'agenouillai devant lui et lui retira son short. Son caleçon était déformé par son érection : j'embrassais son sexe à travers son boxer, le massant délicatement. Je retirais son caleçon et je le pris en main. Nassim poussa un petit gémissement et il posa sa main sur ma tête, appuyant légèrement pour approcher ma bouche de son gland:
- Suce-moi April.
Je lui lançais un regard coquin et lui léchais le bout de son gland :
- Et si j'en ai pas envie ?
Nassim me dit :
- T'es venu dans ma chambre en lingerie en me disant que t'as envie de me baiser. Je ne suis pas stupide, je vois bien que tu joues avec moi.
- C'est vrai mais j'ai envie que tu me demandes de te sucer gentiment.
Nassim appuya un peu plus sur ma tête et me dit d'un ton joueur :
- Je veux pas te le demander gentiment mais j'ai très envie de ta bouche autour de mon sexe, alors suce-moi.
Je fis tournoyer ma langue autour de son gland et insista :
- Je ne te prendrais pas en bouche tant que tu ne me demandes pas. Alors soit tu me demandes gentiment soit ….
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase car Nassim engouffra son sexe dans ma bouche. Il prit les cheveux pour se servir de ma tête comme d'un sextoy. Il me baisait vigoureusement, enfonçant sa queue profondément en moi. Ce qu'il me faisait était plaisant mais je voulais le dominer et diriger cette baise alors je pris ses couilles en main et les serrai fortement entre mes doigts. Nassim poussa un cri de douleur et me lâcha les cheveux, subitement paralysé par ma main enserrant la faiblesse des hommes. Je me relevais tout en le gardant en main et lui dit :
- Dis-moi, tu essaierais pas de me dominer par hasard ?
Nassim grimaça de douleur et me dit :
- April, je t'en prie, lâche-moi ….
Je souris puis je le libérai, et l'embrassai sur la joue :
- T'inquiètes pas, je vais pas te faire mal, je veux juste te baiser et toi tu vas te laisser faire, c'est compris ?
Nassim hésita puis acquiesça :
- D'accord.
- Bon garçon. Maintenant allonge-toi.
Il s'exécuta sans protester. Je fouillais dans ses tiroirs et en ressortis une ceinture. Je montais sur le lit et attachais ses poignets aux barreaux. Nassim me laissa faire, son regard partagé entre appréhension et excitation. Je lui pris son menton et le forçai à soutenir mon regard :
- Tu es à moi Nassim. Lui dit-je d'un ton dominateur et coquin.
Nassim ne me répondit pas mais je vis une petite lueur de soumission dans ses yeux et son sexe tendu à fond m'indiquait que la situation l'excitait. Sans attendre, je retirais mon string et je me mis dos à lui. Je pris sa queue en main et je remplis mon petit trou avec. Une fois sa queue bien fichée dans mon cul, je le chevauchais ardemment, sa queue bien serrée en moi. Je me penchais en avant, et je bougeais mon cul de haut en bas et d'avant en arrière. Je prenais moi aussi beaucoup de plaisir, sa queue me remplissait bien mon intérieur. Après quelques coups de bassin, je finis par avoir un délicieux orgasme qui me fit crier de plaisir. Après cet jouissance, je me tournais vers lui, sa queue toujours planté dans mon derrière, pour le baiser de face. Je pouvais ainsi voir le plaisir que je lui infligeais : Son visage grimaçait, et son torse se soulevait irrégulièrement, il luttait pour ne pas jouir. Il se débattait, tentant de se libérer pour renverser la situation et je me remarquais qu'il allait bientôt y réussir car la ceinture qui entravait ses poignets se desserrait peu à peu. Sans m'arrêter de le baiser, je me penchais et je resserrais la ceinture. Nassim se débattit encore mais il ne réussit plus à la desserrer. Il finit par abandonner, voyant qu'il n'arrivait pas à renverser la situation. Je le narguais :
- Tu ne peux rien faire contre moi Nassim. Admets-le !
Nassim ne voulut pas l'admettre : il détourna le regard et se serra les dents pour tenter de plus pousser de gémissements. Il me provoqua :
- T'es nulle comme baiseuse April. Tu me fais rien du tout.
J'eus un petit rire, rigolant de sa mauvaise foi. Je n'accélérais pas le rythme de ma baise pour le faire flancher, au contraire, je ralentis. Je continuais sur un rythme très lent : il disait ne rien sentir ? Qu'à cela ne tienne, je le baisais de façon à ce qu'il ne ressente presque rien. Néanmoins, je voulais quand même prendre mon pied alors je me titillais le clito vigoureusement. Nassim me donnait des coups de reins par le bas mais je répliquais aussitôt en lui donnant de puissants coups de bassin qui le recadrais aussitôt. Je ne mis pas longtemps à avoir un deuxième orgasme grâce à mes doigts sur mon clito. Après cette nouvelle jouissance, je repris soudainement une baise vigoureuse et puissante. Pris au dépourvu, Nassim ne put retenir un cri de plaisir qui s'échappa de sa bouche. Il tenta de résister mais ma chevauchée infernale lui arrachait des gémissements incontrôlés. Je continuais à le baisais ainsi et lui dit :
- Avoue que ta maîtresse te baise comme une déesse, mon soumis !
Nassim répondit tant bien que mal :
- Non ! Pas... question !
Il tentait toujours de résister alors je lui posais un ultimatum en lui tenant son menton entre mes mains pour qu'il me regarde droit dans mes yeux :
- Tu vas m'appeler maîtresse et admettre que je te baise comme jamais ou sinon je jouis encore une fois mais toi non. Alors, soumis ?
Nassim ne pouvait plus rien contre moi : il tint bon encore quelques secondes puis il abdiqua :
- Tu baises comme une déesse maîtresse ! T'es la meilleure !
Je souris, satisfaite de ma victoire. Je continuais à le baiser intensément, criant tous deux de plaisir. Nous ne pûmes tenir longtemps après cette incroyable baise et nous eûmes un orgasme qui nous fit hurler de plaisir. Je m'écroulais sur lui, épuisée et je pris quelques secondes pour récupérer. Je le détachais et me blottis contre lui. Nassim m'embrassa :
- J'ai pris un pied terrible April. T'es chaude comme la braise au lit !
Je l'embrassais en retour et lui répondit :
- Merci. Et toi t'as une super queue, c'est un plaisir de la baiser.
Après un dernier baiser, je m'endormis jusqu'au petit matin, paisiblement.
P.O.V Ana :
Ce soir, je n'avais pas spécialement envie de baiser. Néanmoins, cela changea très vite : en effet, dans la chambre à gauche de la mienne, j'entendais les gémissements d' April et Nassim tandis que que dans celle de droite, j'entendais les gémissements de Mary et de Scott. Entendre leurs exclamations pendant qu'ils faisaient très certainement l'amour me donna très envie d'être remplie et je commençais à être toute mouillée. Je décidais donc d'arranger ça en allant voir le seul mec de libre : Stéphane. Je me mis toute nue et j'allais rejoindre Stéphane. Arrivé dans sa chambre, je le surpris en train de se branler tout nu, assis sur son lit. Je le pris alors en flagrant délit :
- Eh ben alors petit pervers ! On se branle alors qu'il y a une superbe fille pas loin qui ne demande qu'à être baisée.
Stéphane sursauta, surpris de ma présence :
- Euh, salut Ana. Je ne m'attendais pas vraiment à ce que tu débarques.
- Oui, je vois ça, lui dis-je en désignant toute tendue. Je te laisse finir ta petite affaire ou tu préfères que je m'occupe de toi.
- Je préfères que tu t'occupes de ma bite.
- Je m'en doutais. Au boulot alors.
Sur ce, je m'agenouillai devant lui et je commençais par déposer de petits baisers sur son gland. Je tournoyai ma langue autour de son gland et de sa hampe, sans oublier de m'occuper de ses couilles. Je le fixais du regard et je vis qu'il avait du mal à se retenir de gémir et de ne pas jouir immédiatement. Pour le mettre dans l'embarras, je pris entièrement son sexe en bouche et je lui fis une excellente gorge profonde. J'allais à un rythme élevé et je savais que Stéphane n'y résisterais pas. Je ne me trompais pas : il ne me suffit que de quelques va-et-vient pour qu'il soit aux portes de l'orgasme. Son torse se soulevait, sa respiration se faisait plus haletante et saccadée et sa queue tremblait dans ma bouche. Avant d'atteindre le point de non-retour, j'arrêtais de le sucer ce qui le fit légèrement râler. Pour faire cesser ses protestations, je l'allongeai et je m'assis sur sa bouche :
- Lèche-moi, lui dis-je d'un ton légèrement autoritaire.
Stéphane n'eut pas d'autre choix que de m'obéir. Sa langue s'infiltra en moi, fouillant mon intimité. Il était doué, pas aussi doué que Scott mais assez pour me faire prendre mon pied. Il s'appliquait à me faire plaisir alternant entre mon intérieur et mon clitoris. Pour augmenter mon plaisir, je me caressai les seins et me pinçai les tétons, me faisant de plus en plus gémir. Après quelques coups de langue, Stéphane me procura mon premier orgasme de la soirée. Juste après cette jouissance, je me levais de sa bouche et je vins m'empaler sur sa queue qui était toujours aussi dure. À peine avais-je rentré sa verge en moi que Stéphane poussa un petit cri de contentement. Je dansais sur lui, langoureusement et sensuellement, puis je le baisais sur un rythme plus élevé, bougeant vigoureusement mon bassin d'avant en arrière et de gauche à droite. Stéphane gémissait, prenant plaisir à subir ma chevauchée. Ce dernier, ne voulant pas rester inactif, posa ses mains sur mes hanches et il me donna des coups de reins par en dessous. Il me fit pousser des cris de plaisirs et me déstabilisa ce qui lui permit de me renverser et de me prendre en missionnaire. Il me pilonna vigoureusement, m'embrassant le cou et mes seins à chacun de ses coups de reins. Je ne pouvais que gémir sous ses coups de butoirs, il me tenait solidement les poignets. Je me débattis pour le renverser et le chevaucher mais je n'y arrivais pas et en plus, sa bite en moi me procurait trop de plaisir. Je décidais d'arrêter de me débattre et de le laisser me baiser sans me rebeller :
- Mmmm, oui continue, t'arrêtes pas !
- Ça tombe bien, je compte pas m'arrêter.
Il continua donc de me baiser efficacement et il finit par me procurer un deuxième orgasme. Légèrement sonnée, je ne pus réagir quand Stéphane mit mes jambes sur ses épaules pour continuer à me prendre en enclume. Il me pilonna toujours aussi vigoureusement, ballottant mon corps au gré de ses coups de reins. Il me malaxait puissamment mes seins et titillait mon clitoris. Il me faisait crier de plaisir, ses 20 centimètres en moi me procurait un grand plaisir. Après quelques va-et-vient, j'atteignis une nouvelle fois l'orgasme sous ses coups de bite.
Stéphane approchait lui aussi du septième ciel : il sortit de moi et il cala sa grosse entre mes seins pour se finir. Il se branla délicieusement dans ma poitrine jusqu'à ce qu'il se déversa sur mes obus et mon visage dans un râle de jouissance. Je pris ensuite sa queue en bouche pour la nettoyer de toute sa semence. Après cette bonne partie de baise, nous nous couchâmes côte à côte et nous nous endormîmes jusqu'au lendemain matin.
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