Clara et Sven - histoire érotique

Un samedi en milieu de matinée, je me rendis dans un club de sport de combat avec un bon ami. Il y était inscrit depuis quelques mois déjà et il m'avait invité à venir pour voir si ça m'intéressait. J'étais pas très chaud mais après tout, ça ne coûtait rien d'essayer. Je me retrouvais donc la salle, m'entraînant avec mon collègue, habillé d'un short et d'un T-shirt blanc, entouré de mecs et de filles très concentrés.


Je m'entraînais depuis près d'un quart d'heure quand une bombe atomique entra dans la salle : une fille blonde, l'air un peu plus âgée que moi, de taille moyenne. Elle avait pas mal de tatouages : sur les bras, au dessus de sa poitrine, sur le bas de son ventre et un peu sur ses jambes. Elle salua tout le monde, alla dans les vestiaires et elle en ressortit quelques minutes plus tard dans une tenue de sport qui lui allait super bien : un leggings moulant noir et violet ainsi qu'une brassière de la même couleur qui mettait bien en valeur son corps mince, son cul bien bombé et sa poitrine généreuse. Tous les mecs, et certaines filles, parurent soudainement moins concentrés et lui jetèrent quelques coups d’œils.


Désirant faire sa connaissance, et plus si affinités, j'arrêtai de m'entraîner :

- Désolé mon pote mais j'ai une soudaine envie de m'entraîner avec la bombe là-bas, dis-je à mon ami.


Il regarda de qui je parlais et me répondit d'un ton surpris :

- Qui, Clara ? Euh... t'es sûr de toi ?
- Ouais, pourquoi ?


Il eut un petit sourire en coin :

- Non pour rien, vas-y, vas la voir.


Je me dirigeais vers la jolie blonde ; elle était en train de s'entraîner sur un sac de frappe. Je me mis près d'elle, lui décochai un sourire charmeur et je la saluai :

- Salut ma belle ! Tu t'entraînes dur ?


Elle me regarda, avec un petit regard intéressé sur mon torse qui était devenu plutôt moulant à cause de la transpiration. Elle continua de frapper tout en me répondant :

- Plus que toi étant donné que tu me dragues au lieu de bosser.
- Je me suis juste présenté, qui te dit que je te draguais ?


Elle me lança un regard pour me signaler qu'elle n'était pas dupe :

- Alors, si tu me dragues pas, t'es là pour quoi ?
- Je suis là pour m'entraîner avec toi. Comme ça je pourrais peut-être t'apprendre quelques trucs.


Elle rigola :

- M'apprendre des trucs ? Sérieusement ? Tu serais pas un peu vantard ?
- Non, mais je connais mes capacités, et vu ma carrure je suis sûr que je me débrouille très bien.


La jolie blonde leva les yeux au ciel, l'air de se dire que j'étais vraiment prétentieux :

- Tu sais, c'est pas parce que t'es très grand et que t'es baraqué comme Thor que tu es forcément doué. La force c'est bien, la technique c'est mieux.
- Bof, il n'y a que les perdants qui disent ça.


Elle parut agacé :

- Bon, puisque tu te prends vraiment pour un expert, on se fait un combat d'entraînement ?
- Il y a pas comme un léger problème de différence de poids ?
- J'ai dit un ''combat d'entraînement'' pas un vrai combat. On n'a pas besoin de faire le même poids. Alors, t'es partant ou tu te dégonfles.
- Je suis partant mais à mon avis, le combat ne va pas durer longtemps. Tu n'as aucune chance cotre moi.
- Le combat ne va pas durer longtemps, c'est vrai. Mais c'est toi qui n'as aucune chance.
- Mais bien sûr. Au fait, moi c'est Sven ma belle. Et toi ?
- Clara.


Sur ces paroles, nous nous dirigeâmes sur le ring. Nous nous saluâmes et nous débutâmes le combat. Sincèrement, je pensais vraiment pouvoir la battre : vu ma carrure, quasiment personne n'avait jamais voulu m'emmerder et le peu de personnes qui m'avait quand même emmerdé, je les avais toujours battus sans trop de difficultés. Je pensais donc que la vaincre ne serait qu'une formalité. Et évidemment... Je me trompais.


Elle m'a battu à plate couture. Je ne suis même pas arrivé à lui mettre un seul coup tandis qu'elle me touchait quasiment à chaque tentative. Heureusement que ce n'était qu'un entraînement parce que si c'était un vrai combat, j'aurais fini K.O depuis un moment. Clara bougeait comme une anguille, esquivant et frappant avec aisance et rapidité, tandis que je n'arrivais pas à la toucher.


Ne voulant pas continuer de me ridiculiser encore plus, je jetais l'éponge :

- C'est bon, c'est bon ! M'écriais-je en levant les bras en signe de reddition. T'as gagné, pas la peine de continuer.


Clara rigola et me lança un sourire narquois :

- Ben alors monsieur le prétentieux, on se fait laminer par une fille ?
- Oh ça va.


Vexé, je descendit du ring, honteux de m'être fait battre aussi facilement.


- Hé, attends !


Je me retournais : Clara était juste derrière moi :

- Quoi, tu veux encore me narguer ?


Elle s'approcha de moi, collant presque son corps au mien. Elle me lança un regard langoureux et me chuchota sensuellement :

- Si t'es venu me voir, c'était pour coucher avec moi, pas vrai ?


Je ne sus pas vraiment quoi répondre. C'était bien pour la baiser que je l'avais abordée mais je ne savais pas comment elle réagirait si je lui disais la vérité. Je décidais quand même d'être honnête :

- Oui, c'est vrai.


Clara se mordilla la lèvre inférieure et colla son buste au mien tout en passant sa main sous mon T-shirt pour me caresser mes abdos. J'eus soudainement un frissonnement d'excitation.


- Il faut avouer que t'es très bien foutu, tu me donnes envie, me dit-elle d'une voix encore plus sensuelle. Alors ça te dirait qu'on se voie demain, pour qu'on baise ?


Juste avec ses mots prononcés par une superbe fille à la voix érotique, je sentis mon pénis légèrement durcir. Je lui souris et répondis :

- Pourquoi pas cet après-midi ?
- Non, cet aprèm je peux pas. Alors, pour demain, t'es partant ?
- Pas de problème, ma belle.
- Ok, donnes-moi ton numéro pour que je te confirmes l'heure.


Après lui avoir donné mon numéro, elle me lança un clin d’œil coquin avant de mettre une claque sur mes fesses et elle repartit s'entraîner.


Le lendemain, en début d'après-midi, j'attendais Clara impatiemment. Je lui avais donné mon adresse et elle m'avait envoyé un message pour signaler qu'elle arrivait.J'avais vraiment envie de la baiser et j'avais aussi envie de la soumettre pour me venger de la raclée que j'avais prise.


Vers 14 heures, on frappa à la porte. J'allais ouvrir et c'était bien Clara : elle était vêtue d'un jean moulant et d'une veste en cuir assez ouverte pour lui faire un joli décolleté. Elle me lança un sourire charmeur :

- Prêt pour la baise de ta vie, mon beau ?


J'eus un petit rire :

- Et c'est moi le prétentieux. Allez rentre, que je te baise comme un vrai mâle.


Cette fois, c'est elle qui eut un petit rire. Elle entra, je fermais la porte et elle me plaqua contre le mur. Elle approcha ses lèvres des miennes et me susurra d'une voix coquine :

- T'es vraiment sûr d'être à la hauteur ? Je te préviens, je suis plutôt exigeante au lit.
- T'inquiète pas, je sais très bien baiser, c'est plutôt toi qui sera pas à la hauteur.
- Ah oui ?


Sur ce, elle m'embrassa langoureusement, me tenant par la nuque d'une main tandis que la deuxième se glissa sous mon T-shirt pour caresser mes abdos. Je rapprochai son corps du mien en posant mes mains sur son cul et le malaxai fermement. Elle rompit notre baiser, me prit par la ceinture et elle me tira jusqu'à mon canapé. Elle m'y assit et écarta mes jambes. Avec un sourire coquin, elle défit sa veste, dévoilant un débardeur blanc au généreux décolleté. Elle s'agenouilla entre mes jambes et posa sa main sur mon entrejambe à travers mon jean. Elle me caressa quelques secondes puis elle me retira mon jean. Elle pouvait maintenant voir mon caleçon qui avait une énorme bosse : je bandais déjà à fond, j'étais vraiment excité. Clara massa mon imposant membre à travers le caleçon, puis elle embrassa et mordilla le bout du chapiteau. Elle retira finalement mon boxer, dévoilant ma belle verge de 25 cm dont j'étais si fier. Je vis dans ses yeux un regard d'envie, ce fut confirmé par sa langue qui lécha ses lèvres. Fier de ma queue, je dis d'un ton légèrement prétentieux :

- Elle te plaît ma queue, pas vrai ?


Elle entoura ma hampe de ses doigts fins et me dit :

- T'as un bel engin, c'est vrai.


Elle me branla lentement d'une main tandis que l'autre soupesa mes couilles. Elle me lança un regard coquin puis elle me donna de petits coups de langue sur mon gland. Elle tint mon sexe à la base pour le maintenir bien droit. Elle l'embrassait de tout son long et elle me lécha très lentement en partant de mes couilles jusqu'à atteindre mon gland tout en me regardant avec ses beaux yeux verts perçants. Elle continua à soutenir mon regard et, du bout de sa langue, elle titilla mon frein. Elle emboucha ensuite mon gland et elle fit tournoyer sa langue tout autour.


Ce qu'elle me faisait était divin : elle ne se servait que de sa langue mais j'avais déjà du mal à retenir mes gémissements. En plus, je luttais déjà contre le plaisir qui montait de plus en plus en moi. Clara vit que j'avais du mal à résister alors elle mit les bouchées doubles : elle enfourna une bonne partie de sa queue en moi, me pompant à un rythme rapide, tout en branlant la base de ma queue. Elle continua ainsi jusqu'à un point où il ne me fallait plus que quelques va-et-vient pour jouir dans sa bouche mais elle en décida autrement : elle ralentit subitement la cadence pour me sucer lentement. Elle me regarda encore dans les yeux, ravie d'y voir de la frustration. Elle garda cette cadence pendant quelques minutes qui me parurent être des heures, je voulus donc prendre sa tête et diriger moi-même le rythme de cette fellation. Mais à peine avais-je posé ma main sur l'arrière de sa tête qu'elle me mordilla mon gland tout en me lançant un regard qui ne souffrait d'aucune contestation. Je retirai ma main illico et la laissai continuer son excellente fellation. Elle dévorait ma queue sensuellement et lentement puis elle me tourmenta encore plus : elle se remit à une cadence élevée mais elle ralentit peu de temps après et elle continua comme ça, lentement puis rapidement, rapidement puis lentement, encore et encore et encore... . Cette fille me rendait fou, elle n'arrêtait pas de me frustrer tout en me procurant la meilleure fellation de ma vie. À mon grand bonheur, Clara arrêta de me torturer et me délivra enfin de mes tourments : elle fit un dernier va-et-vient qui me fit jouir dans sa bouche tandis que je poussai un cri de plaisir.

Clara retira mon T-shirt et elle me demanda tout en embrassant mon torse musclé :

- Ça t'a plu ?
- Oh oui. J'ai jamais connu de filles qui sucent aussi bien que toi.


Clara fut flattée et elle se redressa pour retirer son débardeur, dévoilant son ventre plat et ses abdos légèrement dessinés. Comme elle ne portait pas de soutien-gorge, je pus admirer ses seins bien fermes et bien ronds. Elle retira ensuite son jean et son shorty, puis elle m'enjamba. Elle prit en main mon sexe qui n'avait pas du tout débandé et le présenta à sa chatte déjà mouillée d'excitation. Elle se laissa descendre le long de mon pénis, jusqu'à que son cul touche mes couilles. À la sensation de mon imposant membre en elle, elle ne put retenir un gémissement et elle se mordit la lèvre inférieure, ce qui me remplit de fierté. Elle posa ses mains sur mes pectoraux et commença à me baiser. Je pensais qu'elle allait commencer à y aller doucement pour s'habituer à la grosseur de ma queue mais je me trompais. Elle me baisait plutôt rapidement, bougeant délicieusement son bassin tout en me regardant droit dans les yeux pour voir l'effet que ça me faisait. Et ça me faisait déjà beaucoup d'effet : ses va-et-vient était très bons, me procurant beaucoup de plaisir. De plus, ses yeux avaient comme un je-ne-sais-quoi qui m'hypnotisait, me forçant à soutenir son regard. Et quand j'arrivais à détacher mes yeux des siens, j'étais attiré par ses seins qui se balançaient de haut en bas au gré de ses coups de reins. Je posai mes mains sur sa poitrine et la malaxai vigoureusement arrachant un gémissement à la belle blonde. Je massais ses seins encore plus vigoureusement tandis qu'elle accentuait encore la cadence. Je tentais de lutter contre le plaisir qui m'envahissait et Clara le savait. Elle me prit mes poignets, les plaqua contre le canapé et elle se déhancha à toute vitesse. Ne pouvant lutter, je me laissais aller et j'eus un orgasme en même temps qu'elle. Nous poussâmes tous deux un cri, nos corps légèrement tremblant.


Après cette jouissance, Clara se passa la main dans ses cheveux, les ramenant en arrière. Elle me fit un grand sourire :

- Alors, je suis à la hauteur ? Me demanda-t-elle en caressant mon torse du bout des doigts.
- Oui, t'es largement à la hauteur.


Clara me donna un rapide baiser puis elle se mit sur le sol, à quatre pattes, son superbe cul tendu vers moi. Elle tourna la tête vers moi et elle me dit :

- Viens me montrer si toi t'es à la hauteur.


Je me levais et me dirigeais vers elle. J'avais très envie de la prendre en levrette, mais j'eus une autre idée. Je la retournais sur le dos et j'écartais ses jambes. Clara fut surprise :

- Tu ne veux pas me prendre en levrette ?
- Si j'en ai très envie. Mais tu m'as fait une fellation d'enfer tout à l'heure alors j'ai envie de te faire un cunni dont tu t'en souviendras toute ta vie.


Je mis ma tête entre ses jambes et je commençai à l'embrasser tout autour de sa chatte. Après quelques secondes passées à la faire languir, je passai ma langue sur son clitoris et je le titillai vigoureusement. Je léchai ensuite sa vulve avant d'introduire ma langue en elle. Clara gémissait sous mes coups de langue, son corps se tortillait légèrement. Je savais qu'elle prenait son pied car j'étais un expert en la matière. Je savais parfaitement comment faire jouir une femme rien qu'avec ma langue et je pensais sincèrement être l'un des meilleurs mecs en la matière, voire le meilleur, j'en étais quasiment convaincu. Je continuais donc de la lécher, tournoyant ma langue sans oublier de m'occuper de son clito avec mes doigts. Ensuite j'alternais, m'occupant de son clito avec ma langue et fouillant son intérieur avec mes doigts. Après quelques minutes à subir ce traitement, Clara se cambra sous la force d'un puissant orgasme et elle feula de plaisir. Je me redressais et je regardais son visage encore sous le coup de la jouissance. Fier de moi, je lui demandais :

- T'as pris ton pied comme jamais, pas vrai ma belle ?


Clara se redressa sur ses coudes et me dit :

- C'était pas mal.


Je fus piqué au vif :

- Pas mal ? Comment ça, pas mal ? C'est pas le meilleur cunni fait par un mec que tu ais connu ?


Elle me lança un sourire narquois :

- Tu es vraiment prétentieux, toi. Tu crois vraiment que t'es le meilleur ? Je connais un mec qui se débrouille bien mieux que toi en cunni.
- Menteuse.
- Si, c'est vrai. Avec sa langue, c'est le meilleur mec que je connaisse. Il se débrouille même mieux que certaines filles. Qui sait, il pourrait peut-être te donner des leçoooh... !


Clara ne put finir sa phrase car, touché dans mon ego, je l'avais pénétrée sans ménagement. Un peu énervé, je ne la ménageais pas et j'allais à fond en elle, désirant lui rabattre son caquet. Je la vis se tortiller, son visage grimaçait au gré de mes coups de reins. Je continuais à la baiser puissamment puis je la retournais et je continuais à la prendre en levrette. Je lui tins les cheveux et je les lui tirai en arrière tout en lui claquant son sublime fessier. Je la défonçais toujours aussi fort puis je tournais sa tête vers moi pour lui dire :

- Et là, tu vas me dire que ton mec te baise mieux peut-être ?


Elle me lança un sourire narquois et me dit entre deux gémissements :

- Pourquoi ? … T'es... jaloux ?


Elle me lança un sourire narquois. Elle ne me faisait que me provoquer, alors je la baisais encore plus fort. Elle poussa un grand cri et je sentis son corps légèrement trembler. Je la baisais encore et encore jusqu'à lui procurer un orgasme qui la fit presque hurler. N'ayant pas encore envie de jouir, je la tins par la nuque, la forçant à mettre la tête au sol. Une main sur sa nuque et l'autre lui claquant ses fesses, je continuais à la démonter jusqu'à lui procurer un nouvel orgasme et cette fois, Clara ne put s'empêcher de hurler de plaisir. Étant proche du septième ciel, je continuais à la baiser, lui faisant pousser des petits cris à chacun de mes coups de rein, jusqu'à ce que j'atteigne moi aussi l'orgasme dans un grognement de satisfaction tout en me déversant en elle.


Après cette baise sauvage, je me retirais d'elle, fière de l'avoir faite hurler. Ma queue avait légèrement ramolli, alors je me mis devant Clara, qui s'était remise debout, et je lui demandais :

- Vu les cris que t'as poussée, tu peux pas me sortir que c'était juste « pas mal ».


Elle me jeta un regard noir mais elle joua franc jeu :

- Je te l'accorde, c'était super bon.


Ravi d'entendre ça, je lui ordonnais de se mettre à genoux devant moi et de me branler entre ses seins. Mais malheureusement pour moi, elle n'était pas d'accord.


Clara me sauta littéralement dessus, me faisant tomber au sol. Sans attendre, elle me plaqua les poignets au sol et elle m'embrassa fougueusement. Pris au dépourvu, je ne réagis pas et elle en profita pour descendre au niveau de mon entrejambe. Elle prit en bouche mon sexe et elle n'y alla pas par quatre chemins pour me faire redurcir à nouveau : elle me pompa à une cadence élevé. Je ne fus pas long à bander totalement et elle arrêta instantanément de me sucer pour me chevaucher à nouveau, mais dos à moi. Tandis qu'elle se déhanchai divinement bien sur ma queue, je pouvais admirer ses fesses qui battaient contre mon pubis. Je voulais me redresser et la renverser pour la corriger en levrette mais elle avait anticipé le coup et elle me donna un puissant coup de rein qui me fit pousser un cri et me cloua sur place. Elle tourna la tête et me nargua du regard tandis qu'elle augmenta la cadence de ses coups de rein. Elle me baisait toujours aussi bien, m'arrachant des gémissements. J'eus envie de me laisser faire, de profiter de ce qu'elle me faisait mais je refusais de déjà abandonner. J'infiltrai alors mon majeur dans son petit trou ce qui lui fit pousser un petit cri mêlé de surprise et de plaisir. Je la doigtai vigoureusement pour la faire chanceler mais Clara tint bon. Malgré ses cris qui montaient en intensité, elle ne chancelait pas, même quand j'accélérais la cadence de mon doigt en elle. Elle se pencha légèrement en arrière, prenant appui sur mon torse, me chevauchant encore plus rapidement. Elle me baisa à un vitesse infernale, griffant légèrement mon torse. À ce rythme-là, je ne tins plus et j'eus un intense qui cambra mon corps si violemment que Clara en fut presque désarçonnée. Elle réussit néanmoins à tenir bon et elle continua de profiter de ma queue jusqu'à ce qu'elle atteigne elle-même la jouissance.


Je restais au sol, encore un peu sonné, tandis que Clara se releva. Debout devant moi, elle me regarda de haut et elle me dit :

- Ça va, mon grand ? Pas trop vexé de t'être bien fait baiser ?


Vexé, je lui jetais un regard noir et lui répondis avec mauvaise foi :

- Bof, j'ai pas senti grand-chose en fait.


Clara se moqua de moi et pointa du doigt ma verge qui commençait à débander après cette intense baise :

- Mais oui bien sûr. Tu es tellement crédible avec ta queue qui vient juste d'éjaculer.


Je détournais le regard, ne trouvant rien d'autre à dire. Tandis que Clara me toisait toujours d'un air dominateur, je me relevais et je lui dis d'un air penaud :

- Bon, je vais prendre une douche.


Clara rigola et me mit une claque sur mes fesses :

- C'est ça, va te cacher petit soumis.


Je ne répondis pas mais je comptais bien prendre ma revanche après la douche. J'étais dans cette dernière depuis plusieurs minutes et je me disais que cela serait une bonne chose si Clara me rejoignait : on pouvait facilement tenir à deux dans ma douche mais c'était quand même assez exiguë, j'étais donc sûr d'arriver à la dominer si elle prenait sa douche avec moi. Et mon souhait fut exaucé : tandis que j'étais perdu dans mes pensées, la porte de la salle de bain s'ouvrit. Je me tournais vers elle, ma queue à demi-tendue et lui souris :

- Ma queue te manquait, ma belle ?


Tout sourire et avec un regard séducteur, Clara s'approcha de moi en se déhanchant exagérément, mettant en valeur son ventre plat et ses seins arrogants. Je venais de la voir nue, je venais de coucher avec elle, mais je ne sais pourquoi, la voir ainsi me fit instantanément bander. Elle rentra dans la douche, colla son corps contre le mien tandis que le jet d'eau nous arrosait tout les deux. Elle me caressa les pectoraux puis elle descendit ses doigts jusqu'à mon sexe qu'elle prit en main. Elle se mit sur la pointe des pieds pour me susurrai sensuellement à l'oreille :

- J'ai très envie de ta queue en moi.


Entendre ces mots me fit craquer : je la plaquais de face contre le mur de la douche, lui faisant pousser un cri d'excitation. Sans attendre, je pénétrais sa chatte mouillée par son excitation et par l'eau qui coulait du pommeau de douche. Je la pris sauvagement, plus excité que jamais. Clara était plaqué contre le mur, sa tête tournée sur le côté, gémissante sous mes coups de reins. Je lui plaquai ses poignets contre le mur et je lui embrassai la nuque tout en la baisant de plus en plus sauvagement. Clara tourna un peu plus sa tête :

- Tu aimes me baiser sauvagement, pas vrai mon beau ?


Je lui donnais un puissant coup de rein et je lui répondis :

- Oui, j'adore ça. Et toi, t'adores être baisée comme une chienne, pas vrai ?


Clara enroula ses jambes autour des miennes et elle me fit perdre l'équilibre, je tombais donc allongé au sol de la douche. Elle s'empala sur moi, se pencha et me dit :

- J'adore comme tu me baises, mais j'adore encore plus mater les mecs dans ton genre.


Elle se mit alors à se déhancher sauvagement sur moi tandis que l'eau continuait à couler sur nos corps ruisselants. Elle me baisait d'avant en arrière, de gauche à droite, en me tenant la gorge tandis que son autre main rejeta ses cheveux mouillées en arrière. Moi qui pensais pouvoir la dominer facilement dans un espace exiguë comme la cabine de douche, je me rendis compte que dans la situation dans laquelle j'étais, le manque d'espace était un handicap pour moi et non pour elle. Comme je mesurais environ 2 mètres, autant dire que j'étais dans une position plutôt désagréable. J'avais les jambes pliées et mon corps était légèrement de travers et en plus, Clara me chevauchait divinement bien. J'étais donc coincé, je ne voyais donc pas comment retourner la situation. Clara put donc agir à sa guise, me baisant comme elle le voulait, sans que je ne puisse rien y faire.


- Tu es à moi, mon beau viking. Et tu ne peux rien y faire.


Je tentais de me relever pour la faire taire mais je ne pus rien faire, j'étais coincé. Elle me lança un sourire narquois, apparemment ravie de me baiser à sa guise sans que je puisse y faire quoique ce soit. Impuissant, je capitulais et je me laissais aller : je gémissais sous ses coups de reins, profitant à fond de ce qu'elle me faisait. Ce qu'elle me faisait était vraiment bon, je devais bien admettre que me faire baiser par une sublime déesse sous le torrent d'eau de la douche était vraiment excitant. Ayant décidé de me laisser aller, j'eus un orgasme qui fit trembler mon corps. Tandis que j'étais toujours sous l'emprise du septième ciel, Clara continua de me baiser jusqu'à ce qu'elle jouisse elle aussi.


Cette baise endiablée étant finie, Clara éteignit enfin l'eau qui coulait à présent sur le carrelage de ma salle de bain. Clara m'en fit d'ailleurs la remarque :

- Je crois qu'on a un peu inondé ta salle de bain.
- Pas grave. En temps normal, j'aurais râlé mais avec la baise qu'on vient de faire, je ne dirais rien.


Clara se pencha sur moi et elle m'embrassa avant de me mordiller la lèvre inférieure :

- Mais c'est qu'il a aimé se faire baiser par sa maîtresse, le petit soumis.
- Rêve pas. Aucune fille ne m'a jamais dominé et c'est pas aujourd'hui que ça arrivera.


Clara me mordilla encore une fois ma lèvre :

- En attendant c'est encore toi qui te retrouve en dessous mon beau.


Elle se releva et sortit de la douche en prenant une serviette. Tandis qu'elle se séchait avec sensualité, je me rendis compte qu'elle avait raison : pour l'instant c'était elle qui dominait et moi qui était soumis. Et même si c'était très bon de me faire baiser, ça faisait mal à mon ego. Il fallait que je me reprenne, et vite.


Clara me souriait d'un air narquois tout en continuant à se sécher et ça me donnait encore plus envie de renverser la situation. Je me jetais donc sur elle et je la plaquais au mur. Elle poussa un cri de surprise et elle tenta de me repousser mais je la soulevai et je l'empalai sur mon engin toujours dur comme du béton. Clara poussa un gémissement tandis que je la prenais sauvagement, puissamment, son dos collé au mur, et ses jambes autour de moi. J'adorais prendre les femmes comme ça, c'était l'une de mes positions préférées : comme je les portais, elles n'avaient aucun appui, elles étaient comme prise au piège entre mes bras puissants. J'adorais les sentir soumises, affaiblies par ma grosse queue qui leur procurait beaucoup de plaisir. Je pouvais d'ailleurs voir une lueur d'excitation et de soumission dans le regard de Clara. Son visage avait perdu de sa superbe, soumise au plaisir que ma queue lui procurait. Elle tentait de se rebeller, me griffait au niveau de mes omoplates, me tenait par le cou mais je tenais bon et je la baisais encore plus sauvagement. Clara poussa un cri de plaisir, suivi par plein d'autres cris qu'elle ne pouvait retenir. Elle tentait de résister au plaisir que je lui infligeais. Elle grimaçait de plaisir, son sourire narquois complètement effacé, luttant comme elle le pouvait mais elle ne put empêcher un premier orgasme de la submerger, faisant trembler son corps de rêve dans mes bras. Je ne m'arrêtais pas là et je continuais de la démonter grâce à mes puissants coups de reins qui la faisaient à chaque fois rebondir sur ma bite. Clara me griffa encore les omoplates, mais cette fois-ci c'était pour résister au torrent de plaisir qui déferlait en elle et non pas pour tenter de se libérer de mes bras.


Quant à moi je m'extasiais de la voir impuissante, piégée, coincée dans mes bras. Ça m'excitait terriblement ce qui accentuait le rythme déjà effréné de cette baise. Ses seins, sautillant à chacun de mes mouvements de hanches, m'appelaient à les dévorer. Je plongeai donc ma tête entre eux et je m'occupai d'eux avec ma bouche. Clara se laissa aller, c'était maintenant à elle de capituler, c'était elle qui profitait à fond du plaisir que je lui procurais. Elle se laissa donc complètement aller, son visage avait totalement perdu toute trace de rébellion, elle était maintenant submergée par les sensations que mon sexe lui procurait. Après un puissant coup de rein, Clara rejeta sa tête en arrière et elle cria sous l'emprise d'un nouvel orgasme, qui la fit encore trembler comme une feuille dans mes bras. Je ne tins que peu de temps et je finis par jouir en elle.


Je déposais au sol une Clara haletante, quelque peu sonnée par le moment qu'on venait de passer.


- Ça va, ma belle ? Tu t'en remets de t'être fait baiser par un vrai mec comme moi ?


Clara fut vexée :

- Tu me portais dans tes bras, je ne pouvais pas me rebeller, c'est pour ça que tu as gagné.
- J'ai pas besoin de baiser en te portant pour te dominer, ma belle. Je te soumets quand je veux.
- Ah oui ? Tu me dominais dans la douche ? Et dans ton salon ?


Je fus piqué au vif : elle n'avait pas tort, elle m'avait bien baisée ces deux fois-là. Mais hors de question pour moi de le reconnaître :

- T'as eue de la chance, c'est tout.


Clara ne répondit pas mais elle me jeta un regard qui en dit long. Elle alla dans ma chambre, moi sur ses talons. Elle s'assit sur le bord du lit et me dit de son ton narquois :

- Alors ? Qu'est-ce que tu attends pour me baiser comme une chienne ?


Sans la faire attendre plus longtemps, je l'allongeais et me mis sur elle sans la pénétrer. Je l'embrassais langoureusement, caressant ses seins et tétons dressés. Je glissais un doigt en elle ce qui la fit doucement gémir. Je l'embrassai encore quelques secondes puis j'ajustai mon gland à l'orée de sa chatte et je la pénétrai doucement. Elle feula légèrement, profitant de ma queue qui prenait lentement possession de son corps. J'accélérais petit à petit le mouvement, malaxant ses seins avec mes puissantes mains, tandis que son corps se tortillait légèrement. Je voulus la retourner pour la prendre en levrette mais Clara me renversa et elle se retrouva sur moi en andromaque. Elle me chevaucha en gardant le dos bien droit, me toisant d'un air dominateur et arrogant. Comme elle me l'avait prouvée lors des baises précédentes, je savais que si je la laissais me chevaucher, elle me dominerait alors je posai mes mains sur ses hanches et je la renversai. Clara poussa un cri de surprise, elle ne devait pas s'attendre à ce que je veuille reprendre le dessus si vite. Avant qu'elle ne puisse me renverser encore, je lui tins ses poignets au dessus de sa tête. Ma belle blonde se débattit mais je la tenais solidement et je la baisais plus vigoureusement. Son corps se cambra légèrement tandis qu'elle ouvrit la bouche, laissant échapper un long soupir de satisfaction. J'accélérais peu à peu la cadence, me satisfaisant de sentir Clara se débattre plus faiblement. Cette dernière soupirait de satisfaction, se mordant la lèvre inférieure de désir au gré de mes coups de reins. Comme je lui tenais ses poignets au-dessus de sa tête, j'étais penché sur son visage, je voyais donc en gros plan son visage se tortillait, tentant de résister au plaisir. Je l'embrassai tendrement, contrastant avec la puissance de mes mouvements de hanches. Je dessoudai nos lèvres et lui dit d'un ton arrogant :

- Tu vois que j'ai pas besoin de te baiser en te portant pour te soumettre.


Je savais très bien que Clara ne laisserait pas passer cette provocation, aussi je tenais plus solidement ses poignets pour l'empêcher de me renverser. Mais ça ne servit à rien : Clara entoura mon corps avec ses jambes et elle me renversa à la force de son bassin et de ses jambes. Je me retrouvais sur le dos et elle sur moi en perpendiculaire. Elle entreprit de suite des mouvements de bassin amples, malmenant ma queue dans son sexe. Elle prit appui sur mon torse, elle me caressa mon torse et mes abdos du bout de ses doigts. Je voulus renverser la situation alors je voulus lui prendre ses poignets mais elle fut plus rapide que moi. Ce fut elle qui me prit les poignets et elle les plaqua au-dessus de ma tête tout en se penchant vers moi. Sa bouche très près de la mienne, elle susurra :

- Dis-moi mon grand, j'ai l'impression que tu n'arrives pas à me soumettre, je me trompe?


Je me débattis mais elle me tenait trop solidement. Elle profita de mon impuissance et elle m'embrassa sauvagement. Elle prenait possession de ma bouche, tandis qu'elle me baisait toujours aussi bien. Elle se redressa un peu, continuant de me tenir les poignets prisonniers. Elle me chevaucha de plus en plus fort et de plus en plus rapidement. Je tentais de résister mais elle me baisait trop bien, je ne pouvais m'empêcher de gémir. Clara aussi gémissait, elle prenait autant de plaisir que moi sauf qu'elle était en position dominante alors que j'étais dominé. Et j'avais beau me débattre, je n'arrivais pas à me libérer de son emprise. Je ne pus rien faire d'autre que profiter de ce que Clara me faisait. Je me laissais donc aller et après quelques coups de reins, nous eûmes un orgasme mutuel qui nous fit tous deux crier de plaisir.


Clara s'assit sur mon torse et elle me nargua :

- Ça y est, mon beau ? T'admets ta défaite ?


Vexé de m'être encore fait dominé, je maugréais :

- Ça va ça va. Mais ne fais pas trop la belle, tu verras je finirais par te baiser tellement bien que tu te mettras à genoux et tu admettras de toi-même que tu seras ma soumise.


Elle se leva du lit et elle s'accouda à l'embrasure de porte avant de me rétorquer d'un ton hautain :

- Dixit le mec qui vient de se faire baiser. Crois-moi, je ne me mettrais pas à genoux pour toi.


Même si cet après-midi de baise était plaisant, c'était tout de même épuisant d'enchaîner les baises, alors nous fîmes une petite pause et nous en profitâmes pour prendre un en-cas et regarder la télé. J'étais en caleçon et elle était toujours toute nue. Nous regardions la télé depuis environ une heure quand j'eus soudainement envie de regarder autre chose. Mon regard fut attiré par le sublime corps de Clara, ses jambes fines et ciselées, ses seins généreux et bien rond et son fessier bombé. Ma queue se réveilla et mon boxer ressemblait maintenant à un chapiteau. Je pris alors son poignet, ce qui la fit légèrement sursauter, et je posais sa main contre mon érection. Clara me sourit et elle commença à me branler à travers mon caleçon :

- Mmm, elle est bien dure. Je dois en conclure que t'as envie de moi.
- Oh que oui. 1 heure, c'est largement suffisant pour se reposer et maintenant j'ai envie de repasser à l'action.


Sur ces paroles, je me redressais et je m'assis à côté d'elle avant de l'embrasser fougueusement. Elle s'assit sur mes genoux, frottant sa chatte déjà mouillée contre mon boxer. Tandis qu'une de mes mains se posa sur son fessier, l'autre main vint malaxer ses seins. Clara caressa mon torse d'une main et elle me caressa les cheveux de l'autre. On s'embrassa encore longtemps puis elle prit mon visage entre ses mains et elle rompit notre baiser :

- Allons dans ta chambre, me dit-elle avec un grand sourire.
- Avec plaisir, ma belle.


Je me relevais en la portant et je me rendis dans ma chambre tout en continuant de l'embrasser. Une fois arrivé dans ma chambre, je la déposai sur le lit à quatre pattes, je montai sur le matelas et je la pris directement en levrette. Je la baisais puissamment, désirant la dominer une bonne fois pour toute. Je la pilonnais, tapant mon gland contre le fond de son intimité. Clara poussait des cris de contentements, elle adorait ce que je lui faisais, cependant elle tentait quand même de se rebeller. Malheureusement pour elle à chaque fois qu'elle tentait de se rebeller, je la recadrais en lui donnant un puissant coup de rein ce qui lui faisait pousser de plus grands cris. Comme elle continuait tout de même de se débattre, j'accélérais la cadence. Pour accentuer ma domination, je lui tirai les cheveux et lui claquai son postérieur. Je continuais à la démonter, savourant mon sentiment de domination. Même si elle tentait de me résister, Clara finit par céder, elle eut un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Je lui tirais encore plus les cheveux pour rejeter sa tête en arrière et je me penchais pour lui chuchoter à l'oreille :

- Tu es à moi, ma belle. Et tu me supplieras de te baiser comme une chienne.


Je m'attendais à ce qu'elle se rebelle, alors je la plaquai contre le matelas et je m'allongeai sur elle en rentrant ma queue dans son cul. Elle poussa un cri mêlé de plaisir et de surprise. Malgré le fait que j'étais allongé sur elle, elle tenta quand même de se rebeller, alors je pris ses poignets et je les plaquai solidement contre le matelas. Elle se débattit mais son corps était coincé sous le mien, mes mains tenaient ses poignets et je baisais puissamment son cul. Elle ne pouvait rien faire, elle était ma proie, ma soumise. Satisfait de son impuissance, je la narguai :

- Ne cherche pas à te rebeller. Tu ne peux plus rien contre moi.


Évidemment, elle se rebella et évidemment je la recadrai d'un puissant coup de rein. Je la démontai encore et encore et je lui procurai un nouvel orgasme. Après cette jouissance, je remarquais qu'elle se débattait moins et qu'elle semblait accepter sa soumission. Je voulus donc lui donner le coup de grâce : je la mis à quatre pattes pour la baiser comme une chienne. Je lui tins les cheveux et claquai son cul, tout en me satisfaisant de voir qu'elle se débattait de moins en moins et qu'elle semblait se laisser aller. Je la démontai, la baisai efficacement, lui procurant un intense plaisir. Chacun de mes va-et-vient la faisait crier et son corps ne pouvait se retenir de trembler. Pour parachever ma victoire, je lui lançai :

- Je te baise mieux que jamais, pas vrai ma belle ? Dis-le que je suis le meilleur et que t'es ma soumise.


Mais Clara ne s'avoua pas encore vaincue. Elle tourna légèrement sa tête vers moi et elle me lança un regard de défi. En plus de ça, elle me donnait des coups de reins par derrière qui étaient très plaisant. Avec son postérieur qui accompagnait mes va-et-vient, je compris qu'elle cherchait à reprendre le dessus ; alors je la baisais encore plus sauvagement et je lui mis des fessées pour la punir. Je lui redemandais d'un ton autoritaire :

- Dis que tu es ma chienne !


Malgré ses cris de plaisirs, Clara me nargua :

- Tu rêves ! C'est toi qui seras ma chienne !


Bordel, elle continuait encore de me résister ! Je voulus alors lui prendre ses poignets pour les emprisonner derrière son dos mais ce fut une erreur.


Plus rapide que l'éclair, Clara me prit les poignets et elle enroula ses jambes autour des miennes. Elle me fit ensuite tomber sur le dos et elle s'empala sur moi sans plus attendre. Je voulus instantanément la renverser mais elle me plaqua mes poignets contre le matelas et elle approcha son visage du mien :

- Tu vas voir qui de nous deux qui est la chienne !


À ce moment-là, je dois avouer qu'elle me fit un peu peur. Elle avait un sourire carnassier, accompagné d'un regard rempli de détermination et de désir. J'avais soudainement l'impression d'être la proie d'une tigresse. Et ce qui s'ensuivit me le confirma.


Clara se redressa en lâchant mes poignets. Et elle commença à me chevaucher comme... je ne saurais dire comme quoi. Elle avait à peine commencé ses coups de reins que je poussais déjà un grand cri de plaisir. Ce qu'elle me faisait était trop bon : elle y allait à fond, mais pas à fond et sans aucune maîtrise, non. Elle me baisait sur un rythme intense et en me procurant un plaisir incommensurable. Son bassin allait et venait, de haut en bas, de gauche à droite, d'avant en arrière et parfois elle me baisait en faisant un arc de cercle. Étant donné que j'avais pas mal usé mon endurance en lui baisant son cul, elle m'amena rapidement au septième ciel ce qui me fit pousser un grand cri. Sonné par cet orgasme, je restais immobile tandis que Clara me chevauchait comme une furie. Elle ne me baisait qu'avec son bassin, n'utilisant ses mains que pour caresser sa poitrine ou repousser ses cheveux en arrière car elle me baisait tellement sauvagement qu'ils se retrouvaient souvent devant son visage, l'aveuglant partiellement. J'aurais bien voulu me rebeller mais ses coups de reins me paralysaient, elle me procurait tellement de plaisir que j'en étais cloué au matelas. Le pire, c'est que j'étais en quelque sorte libre : je n'étais pas attaché et elle ne me tenait pas, non, elle se contentait de me baiser. Mais quelle baise ! Chacun de ses coups de reins me rendaient fou, j'avais l'impression que j'allais jouir à chaque fois. Mes mains s'agrippaient aux draps, ma tête se tortillait, mes yeux étaient clos et ma bouche laissait échapper des cris comme ceux d'une fille qui se fait sauvagement baiser dans les films pornos.


Me voyant inerte, comme soumis à elle, Clara me griffa le torse telle une tigresse. Elle se pencha vers moi, me mordilla le menton et me susurra :

- Alors mon beau viking, de nous deux, qui est la chienne ?


En temps normal, j'aurais refusé d'admettre que c'était moi. J'aurais tenté de la renverser pour la remettre à sa place. Mais elle me chevauchait trop bien, c'était divinement bon. J'étais comme vidé de ma volonté, comme si c'était une succube qui m'avait ensorcelé, qui me pompait mon énergie vitale. Je ne pus donc pas la contredire :

- C'est moi, lui répondis-je faiblement.


Elle me tapota la joue :

- Tu vois quand tu veux.


Elle se redressa et continua de me baiser toujours aussi bien. Elle arrêta de se caresser les seins et elle posa ses mains sur mon torse, plantant légèrement ses ongles en moi comme pour montrer que j'étais sa propriété. Je ne pouvais toujours pas me rebeller, je n'en avais ni la force, ni la volonté, ni l'envie. Chacun de ses va-et-vient me procurait des ondes de plaisirs dans tout mon corps tandis que mon cerveau était en panne, comme refusant de fonctionner. Clara me baisait si bien qu'elle aussi prenait un pied terrible, ce ne fut donc pas une surprise qu'elle eut un orgasme qui lui fit pousser un grognement de plaisir tout en se mordillant la lèvre inférieure. J'aurais pu profiter de son orgasme mais j'étais complètement submergé par le plaisir, sonné, et de toute façon Clara fut à peine déstabilisé par sa jouissance. Elle ne ralentit donc pas le rythme de ses coups de reins. Petit à petit, je n'avais plus l'impression de presque jouir à chacun de ses coups de reins, non, maintenant je savais que j'allais vraiment jouir. Mais malheureusement pour moi, Clara le sentit alors elle décéléra grandement, ne me baisant plus que très lentement. Je donnais de faibles coups de reins par en dessous, histoire d'essayer de me donner du plaisir, mais Clara me donna un puissant coup de rein qui me recadra. Elle me baisa ainsi pendant plusieurs minutes, tandis que je restais immobile, toujours incapable de me rebeller. Puis elle se remit soudainement à me baiser comme une furie, faisant cambrer mon corps et me faisant pousser un cri de plaisir. Elle me baisa sauvagement, me faisant monter en pression jusqu'aux portes du septième ciel mais elle s'arrêta juste avant, me frustrant comme jamais, et elle continua sur une cadence lente. Elle joua avec moi pendant de longues minutes, allant très vite puis en ralentissant, me frustrant à chaque fois. Je n'en pouvais plus de cette torture :

- Pitié Clara. Laisse-moi jouir, je t'en prie...


Clara eut un sourire narquois en entendant ma supplique. Elle me caressa la joue :

- Alors appelles-moi Maîtresse et supplie-moi. Oh et vu que tu voulais vraiment me dominer et que ça me donne encore plus envie de te soumettre, je t'ordonne de me vouvoyer.


Je ne m'étais encore jamais soumettre, j'avais toujours été le dominant, mais là, une fille m'avait vaincue et le pire, c'est que ça m'excitait au plus haut point. Je ne fis donc pas de difficulté et je me soumettais pour la première fois de ma vie :

- Je vous en supplie Maîtresse, laissez-moi jouir s'il vous plaît !


Clara eut un sourire satisfait :

- Bon garçon.


Elle se remit donc à me baiser divinement bien. Je ne tentais pas de lutter contre la jouissance, je me laissais complètement aller. Je ne fus pas long à venir et l'orgasme qu'elle me procura fut le meilleur que j'ai jamais eu. Sous l'emprise de cette monstrueuse jouissance, je hurlais, envahi par une vague de plaisir incommensurable. Cette divine jouissance me laissa K.O, sonné, au bord de l'évanouissement. Clara continua de chevaucher mon corps inerte jusqu'à ce qu'elle explose elle aussi dans un intense orgasme.


Après cette infernale chevauchée, Clara se retira de moi et elle s'allongea à côté de moi pour me chuchoter à l'oreille :

- Dis-moi si je me trompe, mais il me semble que tu avais dit que je me mettrais à genoux devant toi, pas vrai ?
- Oui... lui répondis-je faiblement.


Elle me mordilla le lobe de l'oreille :

- Oui qui ?
- Oui Maîtresse.


Elle me mordilla une nouvelle fois l'oreille puis elle se retira du lit et elle se mit debout, jambes légèrement écartées :

- Alors, vu que j'étais censé me mettre à genoux devant toi, c'est toi va te mettre à genoux devant moi. Et tout de suite.


N'ayant plus la volonté de résister, je sortis du lit et je me mis à genoux devant elle, ma tête à hauteur de son entrejambe. Clara me caressa mes cheveux :

- Mmm, que c'est plaisant d'avoir un mec comme toi à mes pieds. Grand, fort, musclé mais à genoux devant moi. J'adore ce sentiment de toute-puissance.


C'est vrai que dans la situation dans laquelle j'étais, j'avais l'impression d'être un viking vaincu qui se retrouvait à genoux devant une guerrière amazone. Même si c'était un peu humiliant, je trouvais ça aussi très excitant. Clara prit ma tête entre ses deux mains et elle plaqua ma bouche contre sa chatte :

- Allez, lèche-moi esclave.


Soumis, je m'exécutais. Je tournoyais ma langue : je lui léchais son clito, ses lèvres intimes et l'intérieur de son intimité. Clara gémissait, ses mains plaquant toujours ma tête contre son entrejambe. Je m'appliquais, désirant satisfaire ma maîtresse. Cette situation m'excitait beaucoup, ma queue qui prenait de la vigueur pouvait en témoigner. Clara s'en aperçut et elle me nargua :

- Mmm, à ce que je vois, le fait de m'être soumis t'excite. Je savais que t'aimerais ça être soumis.


Je fus un peu vexé mais elle avait raison, j'adorais lui être soumis et ça me faisait bizarre étant donné que j'avais toujours été le dominant. Je continuais de m'occuper d'elle, savourant le goût de sa chatte toute humide d'excitation. Je la contentais avec ma langue jusqu'à lui procurer un orgasme qui la fit ronronner de plaisir.


Clara me tira ensuite les cheveux, rejeta ma tête en arrière :

- Très bien, tu m'as bien fait jouir, ça mérite une récompense.


Elle s'assit sur le bord du lit et elle m'ordonna de me tourner vers elle. Je m'exécutais en restant à genoux. Clara étendit ses jambes et elle prit mon sexe entre ses pieds. Elle débuta une branlette avec ses pieds. C'était la première fois qu'une fille me branlait entre ses pieds et c'était très plaisant. Elle me branlait la hampe avec les plantes de ses pieds tandis que ses orteils massaient mon gland. Je gémissais doucement, appréciant cette masturbation peu orthodoxe. Du bout de ses orteils, elle titilla mon frein, puis elle caressa mes couilles. Le plaisir montait très vite en moi, je sentais le sperme qui montait le long de mon sexe. Je n'allais pas tarder à jouir : ma queue tressautait, ma respiration se fit plus saccadée, j'étais aux portes de l'orgasme. J'allais jouir, ça venait, ça venait et... et Clara ruina mon orgasme.


Alors que j'allais jouir, elle stoppa tout contact avec ma bite, me faisant pousser un râle de frustration tandis qu'un peu de semence s'écoula de mon urètre. Elle m'avait vraiment laissé au bord de l'orgasme, c'était vraiment frustrant. Je voulus exprimer ma frustration mais Clara me fit taire en posant son index sur ma bouche :

- Je ne veux pas t'entendre te plaindre. Tu as été très prétentieux, ça mérite une punition. Tu voulais me soumettre comme une chienne mais c'est toi ma chienne. Tu acceptes cet orgasme ruiné parce que c'est la dernière chose que tu auras jusqu'à la prochaine fois que je te baiserais. C'est compris ?


Moi qui était si fier de baiser si bien différentes filles, de leur donner tant de plaisir qu'elles me suppliaient de recommencer, voilà maintenant que c'était moi qui m'étais fait baiser, moi qui en voulait encore. Et je devais bien admettre que j'aimais ça. Alors je lui obéis :

- Oui Maîtresse.
- Bien.Maintenant, remercie-moi pour la journée qu'on vient de passer.
- Merci Maîtresse.
- Bien sage. Je vais devoir y aller maintenant. Cette journée était super, j'ai adoré remettre à sa place un garçon grand, fort et prétentieux comme toi.


Après ces paroles, Clara se rhabilla avant de m'embrasser et de partir, me laissant déboussolé par le fait d'avoir pris mon pied mon pied à me faire soumettre pour la première fois de ma vie.