April, en quête de sexe 13 - histoire érotique

J'étais dans le couloir, en route pour la chambre de Stéphane. J'avais envie de sexe mais même si Scott et les filles me comblaient, j'avais envie de changer de temps en temps. Je me rendais donc devant sa porte et je toquais. La porte s'ouvrit sur un Stéphane qui ne portait qu'un caleçon. Il parut surpris de me voir :

- April ? Qu'est-ce que tu fais là ?
- T'as pas une petite idée ? Et toi, qu'est ce que tu fais en caleçon ?
- Je m'apprêtais à aller me coucher. Et toi, tu es venue ici pour une partie de jambes-en-l'air, c'est ça ?
- C'est ça.


J'enroulais mes bras autour de son cou et l'embrassais tendrement. Il me tint par les hanches en répondant à mon baiser. Il me plaqua alors contre le mur m'embrassant fougueusement et en glissant ses mains sous mon t-shirt pour venir caresser mes seins. Je lui caressais son torse tout en répondant à son baiser et je frottais mon entrejambe sur son sexe tendu à travers son caleçon. Rapidement il me défit mon t-shirt pour caresser mes seins et m'embrasser dans le cou, me faisant gémir de plaisir. Sans attendre, il s'agenouilla devant moi et me retira mon mini-short pour ensuite venir me dévorer mon sexe déjà humide. Il me lécha mes lèvres humides tout en palpant mes fesses avec ses mains. Il se débrouillait plutôt bien même si il n'avait pas le niveau de Scott. Il rentra sa langue en moi, farfouillant dans mon intérieur, puis la ressortit pour venir titiller mon clitoris. Je posais alors une main sur ses cheveux blonds pour lui imposer le rythme. Il me lécha ainsi jusqu'à que je jouisse en poussant un intense cri de plaisir. Après cette agréable jouissance, je désirais lui rendre la pareille aussi je m'agenouillais et je lui défis son caleçon, libérant sa belle verge tendue d'environ 20 cm. J'embrassais alors son gland et tournoyait ma langue au niveau de la couronne pour venir ensuite lui donner de petits coups de langue sur le frein. Je léchais à présent sa queue de bas en haut tout en le regardant d'un air séducteur. Stéphane frémissait et il avait les yeux mi-clos. Entre deux soupirs, il parvint à me dire :

- Prends-moi en bouche, s'il te plaît.


Je n'y voyais pas d'inconvénient aussi je le pris en bouche doucement, faisant de lents va-et-vient, savourant son sexe avec délectation. Cela le fit gémir et il mit sa main sur ma tête pour m'imposer un rythme plus soutenu. Je le laissais faire quelques instants, allant un peu plus vite et profondément, puis lui retirais sa main pour garder le contrôle de cette fellation. Il voulut tout de même remettre sa main pour me contrôler mais j'accélérais soudainement le rythme ce qui lui fit pousser un léger cri de plaisir et il abandonna l'idée de diriger cette pipe. Je le suçais alors ardemment, caressant ses couilles avec mes mains et lui jetant des regards de tigresse. Je sentais Stéphane se tendre de plus en plus et il n'allait pas tarder à lâcher la sauce. J'allais alors à toute vitesse ce qui le fit instantanément jouir dans un cri de plaisir. Il déversa dans de grands jets sa semence dans ma bouche que j'avalais sans problème. Je me relevais alors, satisfaite de mon travail, puis je me rendis vers son lit, abandonnant temporairement nos habits sur le sol. Il vînt me rejoindre sans oublier de prendre une capote et se l'enfiler. Une fois proche de moi, je voulus l'enserrer dans mes bras mais il prit mes bras et me força à m'allonger sur le côté. Sans me laisser le temps de réagir, il rentra sa verge qui avait déjà repris toute sa vigueur en moi, m'arrachant des cris de plaisir. Pou avoir un meilleur angle de pénétration, il mit une de mes jambes au-dessus de son épaule et me prit alors plus profondément. Il me limait d'un rythme rapide et soutenue me faisant gémir de plaisir. Je voulus me redresser pour prendre le contrôle de cette baise mais il me maintint et me força à garder cette position. Il alla encore plus vite pour me faire plus gémir et cela réussit : ses puissants coups de reins me firent pousser de plus forts gémissements. Stéphane était plutôt doué, il arrivait bien à me faire plaisir. Il finit même par donner un délicieux orgasme qui me fit crier de plaisir. Il profita de ce que cet orgasme me sonne à moitié pour me mettre en position de l'enclume pour me baiser vigoureusement. Mmm, sa queue me faisait beaucoup de bien et je ne pouvais m'empêcher de pousser des cris de plaisirs sous ses coups de butoirs. Il allait bien profondément en moi, me faisant pousser des gémissements. Il posa ses mains sur mes seins, les massant fermement pendant que je caressais mon clito avec mes doigts pour déclencher un deuxième orgasme qui me fit crier autant que le premier. Cet orgasme délicieux me fit fermer les yeux quelques instants, ce qui n'empêcha pas Stéphane de me prendre aussi énergiquement. Il continua à me baiser intensément jusqu'à ce qu'il finisse par jouir en poussant un long gémissement. Il se retira alors de moi et retira sa capote de sa verge qui commençait à ramollir. Ces orgasmes qu'il m'avait donné était certes très plaisant mais j'en voulais encore aussi je m'agenouillais devant lui et reprit sa queue en bouche pour la refaire durcir. Stéphane parut surpris :

- T'en veux encore ?
- Oui, j'ai faim aujourd'hui.


Stéphane fut surpris mais sourit, visiblement ravie de passer encore un bon moment en ma compagnie. Je lui suçais donc son sexe et il ne fut pas très long à reprendre vigueur. Il vint vers moi mais je le poussais sur le lit :

- Reste couché maintenant c'est moi qui vais te baiser.


Il ne trouva rien à redire et il resta allongé. Je pris un nouveau préservatif et lui enfilait avant de m'empaler sur sa belle queue bien tendue. J'allais doucement tout d'abord, histoire de le faire languir un peu. Je me déhanchais lentement sur lui soutenant son regard. Petit à petit, j'accélérais lentement la cadence, allant de haut en bas et d'avant en arrière sur sa queue. Il gémissait sous mes habiles coups de reins. Il posa ses mains de chaque côté de mes hanches pour me donner des coups de reins par le bas. Même si c'était plaisant et que ses coups de reins me faisaient gémir, je voulais garder le contrôle de cette baise aussi je donnais un puissant coup de rein pour ensuite démarrer une cavalcade effrénée comme si j'essayais de dompter un taureau comme au rodéo. Et sur ce rodéo, le « taureau » perdit car même si Stéphane essaya de lutter, il ne put tenir et finit par se laisser faire. J'étais ravie mais je voulais encore plus asseoir mon contrôle sur lui aussi je me penchais sur lui pour lui prendre les poignets et les maintenir au dessus de sa tête. Il se débattit mais mes coups de reins étaient si bons qu'il abdiqua et se laissa faire. J'accélérais alors, allant à une vitesse folle tout en le regardant avec un sourire et des yeux de diablesse désirant nous faire jouir à l'unisson ce qui marcha : dans un cri, nous jouîmes en même temps, gémissant sous ce puissant orgasme qui nous effondra sur le lit. Exténués, nous restâmes ainsi quelques instants. Stéphane sortit de sa torpeur :

- Waow ! C'était génial April !


Je lui lançais un sourire et l'embrassais tendrement :

- Tu t'es bien débrouillé, tu baises bien.
- Merci.


Je restais encore quelques instants dans son lit puis je me rhabillais et après un dernier baiser, je repartis dans ma chambre, satisfaite.