April, en quête de sexe 15 - histoire érotique

Entre midi et deux, j'étais dans la cour à la recherche d'un plan cul rapide. Je regardais tous les mecs pour trouver celui qui pourrait me convenir quand je vis au loin Tom qui s'affairait avec son casier. Problème réglé ; je me dirigeais donc vers Tom et je le pris par le bras, l'entraînant avec moi. Il fut surpris :


- Euh... Où on va ?
- À un endroit où on sera tranquille tous les deux.
- Euh... Ok.


Je l'emportais donc jusque dans une salle de classe dont je fermais la porte. Une fois la porte close, je me tournais vers Tom qui semblait inquiet.


- On risque de nous surprendre, On ne devrait pas …


Je le poussais violemment et il tomba lourdement sur une chaise. Je m'avançais alors vers lui d'un regard de prédateur :


- Ils sont tous partis manger, personne ne nous surprendra, sois tranquille.


Je me jetais sur lui, l'embrassant fougueusement. Je le sentis quelque peu réticent, s'inquiétant sûrement du fait qu'on pouvait nous surprendre à tout moment. Pour faire tomber ses inhibitions, je retirais alors mon t-shirt et mon soutien-gorge libérant mes seins qui ne demandaient qu'à être cajolés. Il hésita encore un peu puis puis il céda et embrassa mes seins, plongeant sa tête entre eux. Je mis ma main dans ses cheveux, savourant sa bouche dévorant ma poitrine. Je lui enlevais sa tête de ma poitrine un instant, le temps de lui faire lever ses bras pour lui retirer son t-shirt. Je caressais son torse de mes doigts fins et je lui mordillais le lobe de l'oreille. Je retournais à sa bouche pour lui donner un baiser langoureux. J'en profitais alors pour lui dégrafer la braguette de son jean et je lui descendis ainsi que son caleçon libérant sa verge toute tendue de désir. D'une main, je le branlais et de l'autre je défis mon mini-short et je descendis aussi ma culotte. Je me penchais alors vers mon sac, récupérant une capote dans la poche centrale. Tout en reprenant le baiser, je lui enfilais le préservatif et je m'empalais sur lui. Je commençais alors à le baiser intensément, le chevauchant comme j'aurais chevauché un cheval. Je dansais sur lui, cambrant mon corps en arrière et en posant mes mains sur ses genoux pour prendre appui. Tom replongea sa tête entre mes obus, les goûtant avec avidité et léchant mes auréoles. J'allais de plus en plus vite sur lui, gémissante à cause de sa queue en moi que je me faisais un plaisir de malmener entre les parois intimes de mon vagin. Je le chevauchais rapidement en lui maintenant de force sa tête dans ma poitrine. Sous le plaisir que je prenais grâce à sa queue et sa bouche contre mes seins, je finis par avoir un délicieux orgasme qui me fit trembler. Je me mordis la lèvre pour m'empêcher de crier de plaisir. Malheureusement, je me laissais aller quelques secondes ce qui fut une erreur car Tom en profita : Il me souleva et me plaqua contre le bureau pour me prendre vigoureusement. Il écarta mes jambes pour me prendre plus profondément et il alla encore plus vite me faisant pousser des petits cris que je n'arrivais pas à retenir. Je voulus me redresser pour reprendre le dessus mais il me prit la gorge pour me garder en place. Ravi de me voir impuissante et le visage déformé par ses coups de reins, il ne me lâcha pas la gorge et me dit tout en me lançant un sourire narquois :


- Tu fais moins ta maligne, hein, maintenant que je te baise comme la salope que tu es.


Il me baisait bien certes mais il était trop sûr de lui : j'enroulais mes jambes autour de lui, enfonçant son membre au plus loin de mon intimité et réduisant ses mouvements de bassin puis je lui pris son bras et le tirais pour le déstabiliser. Je me redressais alors et enroula mes bras autour de sa nuque. Il était toujours debout mais moi j'étais assis sur le bureau emprisonnant Tom entre mes bras et mes jambes. Je lui mordis l'oreille et lui susurra à l'oreille :


- Allez, continue à me baiser. Et plus vite.


Je l'embrassais et il reprit ses va-et-vient, me baisant plus intensément. Pour accentuer ses puissants coups de butoirs, je le délivrais de mes jambes tout en laissant mes bras autour de ma nuque. Cette baise intense était très plaisante et je ne pouvais m'empêcher de gémir. D'un sourire de tigresse, je lui mordis la lèvre et le lobe de l'oreille. Il accéléra la cadence, me faisant presque crier. Il me baisait bien et me fis atteindre une nouvelle jouissance qui m'obligea à l'embrasser fougueusement pour ne pas laisser échapper des cris de plaisir. Je restais quelque peu sonnée par cet orgasme, haletante sous ses coups de reins dont il avait augmenté la vitesse car il approchait lui aussi de l'orgasme. Il finit par jouir dans un gémissement incontrôlé, sa bite tressautant en moi et se libérant de sa semence. Nous restâmes collés l'un l'autre quelques secondes, le temps de nous remettre, puis nous nous rhabillâmes et nous sortîmes de la salle de classe pour reprendre notre journée.