April, en quête de sexe 9 - histoire érotique

Ce soir, j'avais rendez-vous avec Scott. Enfin, quand je dis rendez-vous avec Scott, ça veut plutôt dire « soirée jambes en l'air ». Pour ce rendez-vous, je m'habillais sexy : un micro-short gris accompagné d'un débardeur blanc dévoilant mon ventre plat et offrant un décolleté affriolant. Quant aux sous-vêtements, je n'en portais pas, histoire d'émoustiller Scott. Après m'être légèrement maquillée, je me rendis illico dans le couloir pour le rejoindre. Je ne prêtais pas attention aux regards des mecs sur mon chemin étant donné que j'avais le programme de la soirée remplie ( y a pas que la soirée qui allait être remplie d'ailleurs). Arrivé devant sa porte, je toquai et il ne tarda pas à m'ouvrir : il m'accueillit avec un grand sourire et me salua :

- Je t'attendais avec impatience !


Je lui lançais un sourire charmeur :

- Avoue que tu ne peux pas te passer de moi.
- J'avoue, je ne peux pas me passer de toi.


Il approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa langoureusement en me rapprochant de lui en me tenant les hanches. Je répondis à son baiser, passant mes bras autour de son cou, et je frottais mes mes seins contre son torse. J'enroulai ensuite mes jambes autour de lui, le forçant à me porter. Il me porta jusqu'à son lit sans rompre notre baiser et me déposa délicatement sur le lit. Il retira son t-shirt puis s'allongea sur moi en venant lier ses lèvres aux miennes. Il passa ses mains sous mon débardeur pour venir caresser mes seins et il parut surpris quand ses mains se posèrent sur ma poitrine sans sentir mon soutien-gorge. Il ne resta pas longtemps surpris et se mit à malaxer mes seins, me faisant soupirer de plaisir. Il m'embrassa le cou, caressant mes seins avec dextérité. Je le laissai faire en poussant des soupirs et lui caressant son dos. Ayant assez de mon débardeur, il me le retira, dévoilant mes obus qui lui plaisaient tant. Sans attendre, il se jeta sur eux pour les dévorer. Il les embrassa de partout en les massant avec délicatesse. Je gémissais sous ses caresses et, avec un sourire, lui dit :

- Tu les aimes mes seins, pas vrai ?
- Je les adore.


Il continua à s'occuper de mes seins puis il commença à descendre, m'embrassant le haut du ventre, le nombril et mon bas-ventre. Il m'embrassa maintenant mon sexe à travers mon bas et me le retira sans plus attendre. Il caressa ma chatte épilée et plongea sa tête entre mes jambes pour me donner un de ses cunnis qu'il savait si bien faire. Il me dévora fougueusement allant à une cadence élevée mais maîtrisée. Qu'est ce qu'il était doué avec sa langue ! Ce n'était pourtant que le quatrième cunni qu'il me faisait et pourtant c'était le meilleur mec qui m'ait jamais léché ; il rivalisait même avec l'adresse des filles pour procurer de délicieux cunnilingus alors que, généralement, les filles sont bien plus douées que les mecs mais Scott était tout aussi talentueux voir même plus talentueux ! Autant dire qu'il était très dur pour moi de résister à ses délicieux coups de langue aussi je ne tardais pas à avoir un monstrueux orgasme qui me fit pousser un grand cri de plaisir et me fit faire des soubresauts incontrôlés. Ravi de l'orgasme qu'il m'avait infligé, Scott se redressa, m'embrassa et alla chercher un préservatif. Je me remis doucement de mon orgasme, caressant doucement mes seins et observant Scott retirant son pantalon et son caleçon libérant sa belle verge tendue à l'extrême. Il se mit la capote sur son sexe qu'il avait décalotté au préalable et se mit sur moi pour me pénétrer mais avant qu'il rentre en moi, je le renversais et m'empalais directement sur lui. Il n'eut pas le temps de réagir et poussa un cri quand je le fis rentrer en moi. Je me déhanchais lentement sur lui, caressant son torse déjà transpirant d'excitation. Il admirait mon corps le chevauchant sensuellement, mes seins se ballottant aux gré de mes coups de reins. Je le baisais d'avant en arrière et de droite à gauche, allant à une cadence lente mais efficace. Il étendit son bras gauche et vint caresser mes seins secoués par cette baise, les malaxant du mieux qu'il put. Tout en continuant de danser sur lui, je pris son autre main et l'amena à ma bouche pour sucer ses doigts tout en le regardant sensuellement. Son visage était déformé par le plaisir que lui infligeaient mes coups de reins et sa respiration était de plus en plus saccadée. J'allais sur lui dans toutes les directions et de plus en plus vite, me délectant de son membre enfoncé en moi que je prenais un malin plaisir à le ballotter dans tous les sens. Je le baisais ainsi pendant de longues minutes lorsque je le sentis tendre et être au bord de l'éjaculation ; j'accélérais alors la vitesse de mes coups de reins, allant à une cadence infernale. Il ne put résister et eut un puissant orgasme qui le sonna. Je continuais à baiser sa queue devenue très sensible et finit par avoir moi aussi un orgasme qui me fit m'écrouler sur Scott. Je l'embrassais tendrement, me remettant doucement de mon orgasme. Scott me prit dans ses bras et répondis mon baiser en me caressant la nuque et le bas de mes reins. Il me caressa les fesses et je caressais son torse du bout des doigts, passant mes ongles sur ses pectoraux légèrement dessinés. Je continuais à l'embrasser tournant ma langue autour de la sienne. Soudain, Scott se releva, me portant dans ses bras, et me porta jusqu'au bureau, me plaquant contre le mur. Surprise, je n'eus pas le temps de réagir et me laissais donc faire. Sans attendre, il massa mes seins avec dextérité et avec plus de force que d'habitude tout en continuant de m'embrasser. Je ne pouvais laisser échapper de gémissements, sa bouche étouffant la mienne, et je dus supporter avec plaisir ses mains sur ma poitrine. Il descendit ensuite vers ma chatte, s'attaquant à me faire un deuxième cunni. Étant donné son habileté à me faire jouir avec sa langue, je n'y vis pas d'objection et le laisser s'occuper de mon sexe. Je voulus poser ma main sur ma tête mais il la repoussa :

- Laisse-moi faire.


Je décidais donc de lui laisser le contrôle de mon plaisir et me laisser faire. Il s'acharna sur mes lèvres intimes, savourant mon sexe comme s'il s'agissait d'une friandise. Bordel, son cunni de tout à l'heure était intense mais celui-là était divin : tout mon corps était en feu, j'avais l'impression de brûler intérieurement. Heureusement, sa langue agissait en moi pour éteindre cet incendie qu'elle avait elle même provoqué. Je poussais de grands cris de plaisir, les yeux mi-clos, caressant mes seins en coordination avec ses coups de langues. J'approchais rapidement de l'orgasme, mes cris devenant de plus en plus fort, quand soudain il arrêta de me lécha et voulut se redresser pour rentrer en moi :

- NON ! Criai-je en croisant mes jambes autour de son cou pour coincer sa tête contre mon sexe, Tu me fais jouir avec ta langue !


Scott se débattit et voulut se libérer avec ses mains mais je mis mes propres mains sur sa tête : mes mains et mes jambes combinées, il ne put se défaire de ma prise et dut se résigner à s'occuper de mon sexe. Il reprit ainsi son cunni, accompagné de mes mains et mes jambes qui le maintenaient contre ma vulve, toute mouillée de plaisir. Je fermais les yeux tant mon corps tremblait de plaisir. Je lui tirais les cheveux et dirigea le rythme de ce cunni, lui laissant juste le contrôle de ses coups de langue mais lui imposant mon rythme. Il me lécha ainsi pendant quelques minutes, me faisant chavirer de plaisir à chaque coup de langues, jusqu'à ce que j'obtienne un indescriptible orgasme, plus puissant que le premier, qui me fit pousser un véritable hurlement de plaisir qui fut sûrement entendu par tout l'étage de l'internat. Je relâchais Scott, trop étourdie par cet orgasme pour le maintenir en mon pouvoir. Scott se redressa, s'essuyant la bouche de la cyprine que j'avais laissé échapper par mon orgasme. Il m'embrassa et me caressa les seins doucement tout en me disant :

- Pourquoi tu m'as pas laissé faire ?


Je souris et lui déposais un baiser avant de lui répondre :

- Désolé mais tu lèches tellement bien que j'avais tellement envie de jouir sous ta langue. Je sais, c'est égoïste mais t'as qu'à pas être un dieu en matière de cunni !


Scott sourit et m'embrassa :

- Faut dire aussi que t'es tellement belle que j'adore te dévorer et te donner du plaisir.


Je souriais et le repoussais pour le faire asseoir sur son lit pour ensuite m'agenouiller devant son sexe tendu à fond et le prit à main, commençant à le branler doucement :

- Pour te remercier, tu vas avoir droit à une petite récompense.
- Petite ?
- T'inquiète, tu vas aimer.


Sur ces mots, j'approchais sa verge de ma poitrine et la fis entrer entre mes seins. Je commençais à la branler doucement, frottant bien mes obus contre son sexe. Scott poussa de grands gémissements et avait déjà du mal à tenir. C'est vrai que c'était sa première branlette espagnole et la sensation de sa queue écrasé sensuellement par mon opulente poitrine devait lui faire beaucoup de bien. Il gémissait tellement que je savais qu'il devait déjà être proche de l'orgasme. Je lui lançai alors un regard de braise et lui léchai le gland à chaque va-et-vient. Scott ne put se retenir de pousser des cris à chacun de mes coups de langues :
- April, je t'en prie, arrête sinon je tiendrais pas...


Je souriais d'un air narquois, comblée de le voir perdre pied grâce à ma poitrine, et accélérai alors la cadence pour le faire jouir. Il poussa un cri et ne put se retenir : Il jouit intensément et éjacula sur ma poitrine. Je retirais sa queue de ma poitrine et léchais sa semence pour nettoyer mes seins pendant que Scott se remettait de son orgasme. Je me redressais et embrassais Scott tendrement : il réagit à mon baiser et mélangea sa salive à la mienne. Je rompis notre baiser et me redressa encore pour porter mes seins à sa bouche. Il les prit en bouche avec gourmandise, les léchant et mordillant mes tétons. Il m'arracha des gémissements tellement il se débrouillait bien. Scott continua à jouer avec eux, tel un enfant devant un nouveau jouet, et me dit entre deux coups de langues :

- Ils sont trop beaux tes seins, je ne peux pas y résister.
- Oui, je vois ça, lui dis-je avec un clin d'oeil

Il continua à manger mes seins, s'attardant sur mes tétons. Je pris sa queue en main pour évaluer sa dureté : elle était de nouveau bien droite, prête à servir encore. Je me levais donc, lui ordonnant de ne pas bouger : J'allais dans son armoire et je pris un préservatif mais je continuais à fouiller son armoire. Cela intrigua Scott :
- Qu'est ce que tu cherches ?
- Quelque chose, lui répondis-je mystérieusement.


Je finis finalement par trouver l'objet que je cherchais : une ceinture. Je m'approchais de Scott d'un sourire sadique ce qui apeura un peu Scott :

- Euh... Qu'est ce que tu comptes me faire avec cette ceinture ?


Je me mis juste devant lui et le poussa jusqu'à la tête du lit où il resta assis. Je pris ses poignets et les mit aux dessus de sa tête :

- Je vais t'attacher, lui murmurai-je à l'oreille, mais ne t'inquiète pas, je vais bien m'occuper de toi.


Scott paraissait un peu stressé mais il se laissa attacher docilement. Une fois qu'il fut solidement ligoté, je déposais un baiser sur son gland qui le fit frémir puis je lui enfilais le préservatif. La capote enfilée, je m'empalais sur lui sans attendre. Je me mis à le baiser à une vitesse élevée, dansant comme une diablesse. Je bougeait mon bassin d'avant en arrière, malmenant sa queue, tordant mon corps à chaque chevauchée pour lui procurer un max de plaisir. Scott gémissait sous mes coups et tira sur ses bras pour se détacher mais je l'avais bien ligoté. Pour jouer avec lui, j'arrêtais d'un coup de le baiser mais je gardais sa queue en moi. Scott parut frustré et surpris :

- Qu'est ce que tu fais ? Baise-moi je t'en pr... Aaaaahh !


Scott ne put finir sa phrase car j'avais entrepris de le baiser d'une manière originale et difficile à réaliser : je ne bougeais pas mais je contractais les parois de mon vagin en continu autour de sa verge ce qui fit que je le baisais sans effectuer le moindre geste. Scott ne semblait pas comprendre comment je le baisais et il se tortillait de plaisir sous cette baise originale. Il se débattait en vain et poussait des cris de plaisir. Ravi de le voir perdre toute maîtrise de lui, je décidais d'enfoncer le clou en lui tenant la gorge, l'étouffant presque, et le forçait à me regarder :

- T'aimes que je te baise comme ça ?


Scott répondit difficilement entre deux cris :
- Oh oui ! Je sais...pas comment t...tu fais ça mais c'est tr...trop bon !


Heureuse et avide de le voir encore plus en difficulté, j'accélérais la contraction de mes parois vaginales sur son sexe que je sentais tout tremblant. Je continuais ainsi quelques minutes, le maintenant au bord de l'orgasme sans le faire jouir ce qu'il ne put supporter :

- Je t'en prie Aril, fais-moi jouir !


Je le tenais toujours par la gorge et approcha mon visage du sien :

- Supplie-moi alors.


Avec le traitement que je lui infligeais, il ne put que craquer :

- Je t'en supplie April ! Fais-moi jouir !


Ravi, j'accélérais encore le menant au bord de l'orgasme : au moment où je sentis son sexe se tendre, je lui donnais un grand coup de rein, ce qui le fit jouir intensément. Sous la puissance de cet orgasme, il poussa un hurlement de plaisir et fut sonné, gardant les yeux clos et poussant un long râle de plaisir. Comme je n'avais pas joui, je le chevauchais à toute vitesse pour atteindre l'orgasme. Étant donné qu'il venait d'avoir un orgasme, cette chevauchée fut presque insupportable pour Scott : il ne pouvait s'empêcher de haleter et de se débattre pour se soustraire à mon emprise mais, malgré tous ses efforts, il ne put se défaire de ses liens et dut se laisser aller. Usant du membre de Scott comme d'un vulgaire sextoy, je continuais à danser dessus, poussant des cris de plaisir, et je finis par avoir un intense orgasme qui m'arracha un grand cri et je dus m'agripper aux épaules de Scott pour ne pas chavirer. Après m'être remis de cet orgasme, je détachais Scott et l'embrassais tendrement :

- Tu es une vraie diablesse, me dit-il entre deux baisers.
- Oui j'aime bien te faire défaillir, te sentir en moi mais que tu n'ai pas de contrôle.
- J'avoue que ça me plaît la façon que tu me baises.


Souriante, je continuais à l'embrasser et nous nous assoupîmes ensemble.