Ashley - 67 Un drame affreux.

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ashley - 67 Un drame affreux. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 67 Un drame affreux.
Je fais une révérence et je vais dans la cuisine. Si je me mets à pleurer, je n'arrêterai plus ! Heureusement, il y a une bouteille de Jack Daniels sur la table de la cuisine. Je remplis un verre à moitié... Puis je prends des glaçons dans le freezer et je les mets dans un récipient en plastique, j'ajoute une cuiller pour les prendre... je ne sais pas s'il en veut, mais j'essaie de faire pour le mieux. Il y a heureusement du vin blanc dans le réfrigérateur, je remplis un verre et je mets le tout sur un plateau. Je l'apporte dans le living et je fais un genre de révérence maladroite. Ils parlent de ballades en bateau et moi je suis là, avec mon plateau.... J'attends... Nancy finit par me regarder, elle pousse un long soupir et elle me dit :— Tu poses le plateau sur la table.
— Oui Madame.
Je demande au dingo :— Désirez-vous de la glace, Monsieur ?
— Oui.
Je le sers, puis je me mets "aux ordres" c'est-à-dire les mains croisées sur le pubis, la tête baissée. Nancy observe attentivement le dingo. Elle a l'air très intelligente, la garce... Je ne suis pas de taille à lutter contre elle. Ils boivent, puis elle lui dit :— Je pense que le personnel, surtout quand il s'agit d'une esclave, doit obéir et travailler pour ses maîtres de 6 h du matin... à 10 h du soir. Je veux qu'elle travaille sans arrêt... Si je la vois assise ou inactive, je la fouetterai. Qu'en pensez-vous ?
— Ouiiiiiiiii, j'adore votre façon de voir les choses.
— Elle n'aura droit qu'à une pause de 10 minutes le midi pour manger et boire et deux poses de 2 minutes dans la journée pour pisser... Et tu vas récurer le sol toute nue, pour ne pas salir ton uniforme.
— Ouiiiiiiii, vos paroles m'excitent.
Nancy me dit :— Dust ! Viens sucer ton Maître !
Je vais vite me mettre à genoux entre ses jambes. Pfff... Je hais ce type ! Je voudrais le sucer et qu'il claque en jouissant ! Qu'il tombe raide mort, le dingue. En attendant... j'ouvre son pantalon et je sors sa bite d'un caleçon douteux. J'ai dit que je le haïssais ? Je hais encore plus sa bite ! Elle est grisâtre, molle, c'est une limace dégoûtante. Je retiens ma respiration tandis que je tire la peau du gland. Je le mets vite en bouche pour ne plus le sentir. Seigneur, envoyez-le en enfer, s'il Vous plaît.
— Ouiiiii, ouiiiiii.... Ashley, racontez-moi comment vous allez la traiter.
Peux pas, j'ai la bouche pleine, stupide idiot. C'est la fausse Ashley qui lui répond :— Tous les matins, elle aura une bonne paire de gifles pour bien commencer la journée. J'inspecterai soigneusement ce qu'elle aura fait... si tout n'est pas impeccable, elle sera fouettée...
— Ooouiiiiiiiiii !
Meurs !!! Non, mourez tous les deux ! Nancy continue :— On ne se servira plus des toilettes, on se servira de sa bouche, on la nourrira de...
— OOOOOUUUUUUIIIIIIIII...
Il jouit dans ma bouche !! Quand j'ai tout avalé – sans vomir – je vois qu'il ferme ses gros yeux globuleux et il tombe endormi. Ou mort ?? Je regarde Nancy qui me dit :— Va faire sa chambre, change les draps...
— Oui Madame.
Dès que je peux, je préviens le garde taupe. Summer doit intervenir ! Je me rends compte que Nancy est un tout petit plus "normale" quand il dort. Elle sait comment faire avec lui, ce qu'il faut dire... Je monte dans la chambre... ça pue ! J'ouvre la porte-fenêtre pour aérer. Tout est sale dans cette chambre... Il y a même des reliefs de repas. Ce type est un porc... non, c'est pas gentil pour les porcs. Nancy arrive peu de temps après. Elle me dit :— Les baffes, le fouet et le reste, c'est parce que ça l'excite... Mais une esclave doit travailler ! Si tu le mérites vraiment, tu seras fouettée, mais pas le reste. Quand tu as fini quelque chose, tu viens me le dire.
— Oui Madame... merci.
Ouf ! Il a des fantasmes dégoûtants, mais ce sont des fantasmes, elle l'a dit. Elle sort... Je nettoie la chambre, je veux dire la tanière dégueulasse du dingue.
Une heure plus tard, cette chambre est devenue "normale"... Je transpire dans mon uniforme. J'entends des bruits de voix venant du rez-de-chaussée, ça doit être le personnel qui amène le repas pour la réception du soir. Nancy revient et inspecte mon travail. Elle dit :— C'est correct ! Tu t'occuperas de la salle de bain demain, maintenant tu vas aider en bas.
On descend. Il y a un chef et quatre serveuses, ce sont des esclaves à voir le collier qu'elles ont autour du cou. Donald est réveillé et il boit un whisky en discutant avec le chef. Nancy dit aux serveuses :— Voici Dust, une de nos esclaves. Elle doit vous obéir.
Les filles ont l'air surprises. Le dingo ajoute :— Oui, c'est ça, il faut qu'elle vous obéisse, hiiiiiiiiiiii...
Elles ont l'air contentes d'avoir une esclave. Nancy me dit :— Va attendre les invités dehors, tu leur fais une révérence et tu leur dis "Bienvenue chez Monsieur et Madame Spassy".
Donald se lève et lui demande assez bas :— Vous ne croyez pas que certains invités vont la reconnaître ?
— Mon chéri, c'est moi l'ex Première Dame et la star de Cléopâtre... celle-ci est une esclave, personne ne fera attention à elle.
C'est vrai : en uniforme, sans maquillage, avec les cheveux tirés en queue de cheval, je suis redevenue la gamine de Notasulga. Je n'ai pas le temps de me lamenter sur mon sort, car une gosse voiture arrive. Le chauffeur descend et ouvre la porte à une couple d'une quarantaine d'années... Je les ai déjà vus ! J'y vais de ma révérence et de mon petit compliment. Nancy a raison, personne ne fait attention à moi : je suis transparente.
Pourquoi ces gens assistent aux soirées du dingue ? Sans doute à cause de son argent.... Nancy est coiffée et maquillée à la "Cléopâtre" et elle joue très bien son rôle. Je reconnais plusieurs personnes, mais aucun d’eux ne semble me reconnaître, d'autant moins que ce sont les quatre filles qui servent à boire et passent les plateaux, tandis que moi je débarrasse et je fais la plonge. Les filles adorent me donner des ordres et l'une d'elles me menace même de se plaindre de moi à Madame ! La réception ne se termine que vers deux heures du matin. Donald est très excité, il doit prendre de la coke, sinon il serait endormi depuis des heures....  Quand tout le monde est parti, je regarde le champ de bataille qu'ils ont laissé dans le living. Nancy m'appelle :— DUST, aux pieds !
— Oui Madame.
— Vous allez tout ranger avant d'aller vous coucher.
— Hooouiiiiiiiiiii !
Le dingue est ravi et le manifeste ! Je réponds :— Oui Madame...
Il me faut 2 heures pour tout nettoyer... Je suis épuisée.
***Les trois jours suivants sont horribles ! Nancy me fait travailler du matin au soir et elle me punit... pas au moyen du fouet, mais par des punitions humiliantes ou ridicules. Par exemple, elle m'oblige à sauter sur place, toute nue, pendant plusieurs minutes... ou alors, elle m'oblige à manger à quatre pattes sans l'aide des mains...
Le dingo est mort de rire ! Ah, Seigneur, s'il pouvait être mort tout court ! Heureusement qu’imbibé d'alcool et de drogues, il s'endort vers 9 ou 10 heures du soir. Je le porte dans la chambre avec Nancy. Ensuite elle me dit :— Quand tu as fini tes corvées, tu peux aller te coucher.
Je ne vais pas prétendre qu'elle est normale, mais si je lui obéis, ça lui suffit quand il n'est pas là.
***Ce matin, je me lève à 7 h comme tous les jours. Aujourd'hui, ça va être une rude journée, car il y a de nouveau une réception. Je m'apprête à mettre mon uniforme quand Nancy entre dans ma chambre. Elle me prend fermement par la nuque et me regarde dans les yeux. Je gémis :— Je n'ai rien fait, Madame.
— Non, tu n'as rien fait, Ashley ! Écoute-moi bien : ton mari a eu un malaise et il est mort. J'ai appelé les secours. Tu es sa femme et moi la servante. Répète !
— Je... je suis sa femme et vous la... servante.
— Mets une robe et prends l'air affolé, ton mari est mort. Compris ?
— Oui Madame.
— NON !! Je suis Nancy, la servante.
— Oui, tu es Nancy...
— Habille-toi.
Il est mort ! Je m'habille et je descends... En bas, il y a le chauffeur et le garde. Rapidement, une ambulance arrive, puis la police de San Clemente. Pourquoi la police ? Nancy joue bien les servantes affolées... mais moi, je suis dans le brouillard. Nancy monte avec les infirmiers. Ils constatent que Donald est mort depuis un moment. Les policiers regardent la scène... Ensuite, on évacue le corps en ambulance et les policiers nous interrogent. Je reprends le dessus et je joue un peu, pas trop, les veuves éplorées.
Il paraît que Donald avait reçu de nombreuses menaces de mort. Je dois répondre à toute une série de questions, dans le genre de celle-ci :— Vous avez dormi avec lui ?
— Non.
— Vous faites chambre à part !
— C'est... c'était la fin de mes règles et il... il a pris l'esclave dans son lit.
Là, je me mets à pleurer. Nancy dit aux policiers :— Messieurs, ma Maîtresse est mariée depuis une semaine et maintenant elle est veuve. Vous ne pourriez pas attendre un peu avant de l'interroger ?
Avant qu'ils lui disent qu'elle n'est qu'une esclave et qu'elle doit se taire, je fais :— Mon mari est mort... bouh hou hou...
Ils me laissent tranquille et continuent de fouiner. Et puis Summer arrive. Je me jette dans ses bras comme un bébé qui retrouve sa mère après avoir été enlevé par un fou dangereux ! Elle me dit :— Ton mari mort, c'est affreux !
Elle est accompagnée par deux hommes. L'un d'entre eux va parler aux policiers. Je ne sais pas qui ils sont, mais les policiers de San Clemente s'en vont rapidement. Summer et Nancy s'installent dans un canapé. Je veux m'asseoir à côté d'elle mais Nancy me dit :— Sers-nous à boire, Ashley.
Quoi ? Mais pourquoi moi ? Summer ajoute :— Bonne idée, du champagne ! Allez !
— Oui, pardon. C'est que...
Je m'arrête parce qu'elle me montre la cuisine du doigt. Je ne trouve pas de champagne, c'est Nancy qui devrait faire ça, c'est elle qui est l'esclave dans cette maison. Je finis par retourner dans le living. Ils discutent. Je vais dire à Summer :— Je ne trouve pas... pardon.
En soupirant, Nancy se lève. On va dans la cuisine et sort une bouteille du bas d'une armoire, puis elle prend un seau à glace, trois verres à champagne et elle ouvre le congélateur en disant :— Tu mets des glaçons dans le seau puis la bouteille, ensuite tu mets le tout sur un plateau et tu nous l'apportes !
— Oui, Madame.

À suivre.

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