Ashley - 69 Chez Les Navajos.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ashley - 69 Chez Les Navajos.
Le téléphone. Minuit. Qui ça pouvait bien être à une heure pareille ? Maud a essuyé ses doigts gluants de mouille sur son grand tee-shirt de nuit, saisi son portable.
- Allô…- C’est moi ! C’est Sandrine ! Je te dérange pas ? Un peu, hein ? Parce que t’étais en train de repenser à notre après-midi à la piscine, je suis sûre… Et tu faisais pas que d’y repenser. Non ? Je me trompe ?
- Ben…Avec un petit rire.
- Comment c’était trop bien, n’empêche !
- Ah, ça ! Mais trop court. Beaucoup trop court. J’aurais bien joué les prolongations, moi !
- Et moi, donc ! Mais qu’est-ce tu veux ! Leurs bobonnes les attendaient à la maison. Oh, mais on remettra ça…- S’ils reviennent.
- Oh, ils reviendront ! Et cette fois, on échange. Tu prends Luc et moi, Martial.
Elles se sont tues.
Maud a fermé les yeux. Luc. La queue de Luc. Qui entrait et qui sortait. Qui voulait répandre sa semence. Qui l’exigeait. Et Sandrine offerte, béante, abandonnée. Sandrine dont les mamelles ballottaient au rythme des coups de boutoir du mâle qu’elle accueillait comblée. Dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence. Tandis qu’elle, de son côté, pendant ce temps-là, avec Martial… Comment ça avait été bon ! Non, mais comment ça avait été bon de faire ça ensemble. De se voir et de s’entendre. Ses doigts se sont faits plus pressants. Plus exigeants. Elle a doucement gémi. Sandrine aussi, à l’autre bout, là-bas. Elles ont haleté de concert. Ça s’est élancé. Envolé. Et elles ont clamé leur jouissance ensemble. À pleins poumons
* * *
On a sonné. Maud est allée ouvrir, encore tout ensommeillée. C’était Garance, sa voisine.
- Ah, c’est toi !
- Je peux entrer ?
Oui, bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr.
- Je te fais un café.
Garance avait une trentaine d’années et, sans se fréquenter vraiment, elles entretenaient d’excellents rapports toutes les deux, se rendaient à l’occasion de menus services et passaient, de temps à autre, se dire un petit bonjour.
Garance a tourné longuement sa cuiller dans sa tasse.
- Oui, si je voulais te voir, c’est à propos d’Antoine.
- D’Antoine ?
C’était son petit ami, Antoine. Le dernier en date. Qui vivait depuis cinq ou six mois chez elle.
- Il est complètement sur les rotules. À cause de toi.
- De moi ! Comment ça de moi ?
- De toi, oui. Parce que c’est pas un reproche, je suis pareille, mais, à l’évidence, t’as une nature très volcanique. Il te faut ta dose quotidienne de plaisir. Voire plus. Et lui, du coup, il est constamment à l’affût. « Écoute ! Écoute ! T’entends ? Elle se branle encore, la voisine. Oui, elle se branle. Parce qu’il y a personne chez elle. Il y a pas de voiture en bas. Donc, elle se branle. » Et j’y attrape. Ce dont je ne me plains pas, bien au contraire. Mais ce qui, à lui, ne lui suffit pas. Il n’en dort plus. Ses nuits, il les passe l’oreille collée à la cloison. Des fois que ça te reprenne. Pas question de louper un épisode. Ah, non, alors ! Et il t’accompagne d’une main convaincue.
- Eh, ben, dis donc !
- Tu verrais la tête qu’il a. Il me fait peur. Un de ces quatre matins, ça va finir mal, tout ça ! Il va carrément tomber malade, oui !
Sauf qu’elle voyait pas trop ce qu’elle pouvait y faire, Maud.
- Je suis très expansive, je sais, mais je peux quand même pas…- Renoncer à te faire plaisir ? Oh, mais c’est pas ce que je te demande. Pas du tout ! Pas du tout !
Ben, c’était quoi, alors ?
- C’est que… On est entre femmes, hein ! Je peux te parler franchement. C’est que je me disais que peut-être, s’il se passait quelque chose entre vous, il verrait les choses autrement. Tu perdrais de ton mystère. Il arrêterait de focaliser sur toi. De t’idéaliser.
- Si je comprends bien, tu voudrais qu’il me saute, quoi !
- J’aurais pas dit ça comme ça, mais à terme, oui. Après l’avoir fait passer d’abord par tout un tas de petites étapes intermédiaires.
- Et pourquoi pas ? Je suis ouverte à beaucoup de choses, moi, tu sais…- C’est ce que j’avais cru comprendre, en effet. C’est bien pour ça que je me suis montrée aussi directe. Alors, c’est oui ?
- Bien sûr que c’est oui.
* * *
Ça a beaucoup amusé Sandrine.
- Ah, oui ! Carrément ! Eh ben dis donc ! Il est canon au moins ?
- Pour autant que j’aie pu en juger, pas mal, oui !
- Elle prend des risques, la fille !
- Oui, oh, j’y crois qu’à moitié, moi, à son histoire. Peut-être qu’il m’écoute monter dans les tours, oui. Sûrement, même. Mais c’est pas aussi démesuré qu’elle veut bien le dire. Non, ce qu’il y a, à mon avis, c’est qu’elle crève d’envie de voir son mec s’envoyer en l’air avec une autre. C’est son truc, ça ! Et elle va y prendre un de ces pieds !
* * *
Ce fut le surlendemain.
- Tu passes boire l’apéro ?
- J’arrive.
Vêtue d’un tee-shirt sous lequel elle avait laissé ses seins libres. Et d’un pantalon qui la moulait au plus près.
Antoine s’est activé autour des verres, des bouteilles, des amuse-gueule. Il a déplacé une chaise, une autre. A remis la première à sa place initiale. A fini par s’asseoir.
Et Garance a attaqué.
- Bon, ben ça y est ! Enfin ! Tu la vois de tout près, cette Maud. T’es content ?
Il s’est agité sur son fauteuil de jardin. A croisé, décroisé, recroisé les jambes. Retrouvé un semblant de sérénité.
- Qu’est-ce tu racontes !
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Depuis le temps qu’elle t’excite, la voisine.
Il a eu un rire un peu forcé.
- N’importe quoi !
- Pas n’importe quoi, non ! Tu passes pas ton temps à l’épier à travers les volets peut-être, quand elle part le matin et quand elle rentre le soir ? À d’autres occasions aussi. Faut que je précise ?
Il a rendu les armes.
- C’est que…- Tu la trouves à ton goût. Oui, oh, ben ça, je sais. Et Maud par ci. Et Maud par là. Et, chaque fois, t’as la queue qui se dresse.
- Tu vas me faire passer pour…- Pour ce que tu es. Au moins, comme ça, maintenant, elle est au courant. Les choses sont claires.
Maud a volé à son secours.
- Ça se commande pas, ça, l’attirance.
Il lui a lancé un regard plein de reconnaissance.
- Ben, bien sûr ! Non. Et puis vous êtes tellement…Elle s’est penchée en avant. Qu’il puisse profiter de ses seins.
Il a respiré plus vite. Dégluti.
Garance a constaté.
- Il bande. Non, mais comment il bande !
- Eh bien, laisse-le bander !
Et Maud s’est penchée un peu plus en avant encore. Les lui a doucement fait osciller sous le nez dans l’échancrure du tee-shirt.
- Ils te plaisent ?
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
Elle s’est approchée de lui. Approchée encore.
- Tu penses à eux quand tu te branles ?
Il les dévorait des yeux.
Il a encore fait signe que oui.
Elle a retiré son tee-shirt.
- Alors vas-y !
Il ne s’est pas fait prier. Il a sorti sa queue. Sur laquelle il s’est acharné. Sans les quitter un seul instant des yeux. Vite. De plus en plus vite.
Et il a supplié.
- Ta chatte ! Fais-moi voir ta chatte !
Juste avant de gicler. Dans un grand râle.
Elle a remis son tee-shirt.
- Une autre fois, ma chatte…- Quand ? Quand ?
- On verra. Penses-y bien d’ici làUne semaine plus tard, on prend l'avion pour le Nouveau Mexique. Il y a des gens qui font voyager leurs esclaves dans les cales avec les chiens et les chats, mais heureusement, ma Maîtresse n'est pas comme ça. Je suis en deuxième classe et elle en première, mais je ne suis pas dans la cale. Je préfère être en deuxième classe, car je n'aime pas la voir avec Nancy. Elles ne roucoulent plus comme hier, mais elles s'entendent trop bien à mon goût.
J'ai entendu Summer dire qu'elle garde la maison que j'ai héritée, mais qui lui appartient puisqu’elle est ma maîtresse.
On atterrit à Santa Fe. Elle loue une voiture et on part vers la réserve Navajo. Je suis à l'arrière et j'écoute leur conversation. Summer dit à Nancy :— Première étape : retrouver les ossements que j'ai vus... Comme on avait consommé des peyotls (cactus hallucinogènes), je ne me souviens plus de l’endroit exact, mais c'est dans les terres que j'ai achetées.
— Tu es bien certaine de les avoir vus ?
— Oui, j'ai même rapporté une dent à la maison. Elle y est toujours et je l'ai comparée avec les dents de ce dinosaure qu'on trouve sur le Net.
Elle réfléchit un moment, puis poursuit :— C'était à quelques kilomètres de la frontière avec l'Arizona.
— Il faut motiver les étudiants et les esclaves... Bien sûr, il y a le fouet, mais il faudrait plus.
— J'y ai pensé... Disons que je donnerai 1000 $ au premier qui trouvera le gisement. Si c'est une esclave, elle sera affranchie et recevra la prime.
— Super idée.
Ce sera peut-être moi... Hélas, je le sens pas bien, ce petit voyage.
On arrive dans le village Navajo. Summer retrouve ses grands-parents maternels qui l'ont élevée.
Pendant un mois, on prépare tout. Bien sûr, je suis une esclave et les Indiens sont ravis d'avoir une Blanche à leur service. Heureusement, je suis l'esclave de leur sœur, Summer, et ils me ménagent.
***Un mois plus tard, on part vers les terres de Summer. On dépasse un villa ge Navajos. Elle dit :— C'est mon village...
On s'arrête plus loin. Plusieurs pick up arrivent. Sur les plateformes arrière, il y a des jeunes gens et des esclaves en uniformes rouges. Summer me dit :— Tu rejoins les esclaves.
— Je ne peux pas rester avec toi ?
— Tu dois chercher comme les autres. Il faut trouver ces fossiles.
— Oui, mais...
Et là, descendant d'un des véhicules, je vois une grosse femme. Celle-ci va embrasser Summer. Elles ont l'air heureuses de se voir. Summer lui présente Nancy et elles s'embrassent aussi. La grosse femme dit à Summer :— Je vois qu’Ashley n'a toujours pas appris à obéir.
Elle se tourne vers moi en disant :— Aux pieds, Ashley.
Je vais très vite m'agenouiller aux pieds de... Madame Stone !! Oh non... mais pourquoi elle ? Bien sûr, c'est une amie de Summer et elle est vaguement parente avec Monsieur Sam. Mais c'est tellement violent de me retrouver face à elle... non, de me retrouver à ses pieds ! Elle continue à parler un moment avec Summer, puis elle me tourne le dos, enlève sa robe comme si c'était normal et je me retrouve face à un énorme cul que je ne connais que trop bien, hélas ! Elle me dit :— Montre que tu es contente de me revoir... À moins que tu ne préfères un peu de fouet pour te stimuler ?
J'écarte ses fesses et je lèche son anus, seule façon de ne pas me faire fouetter. Les jeunes dans les pick up sifflent, poussent des cris des joies et applaudissent.
Madame Stone leur dit :— C'est la meilleure lécheuse de cul à l'ouest du Pecos.
— Ouaiiss !!!
Ils sont morts de rire. Je voudrais lui enfoncer un poignard dans le cœur, mais en attendant, je poignarde son anus avec ma langue !! Ses retrouvailles avec Madame Stone ont un goût amer ! Quand j'ai bien enfoncé ma langue dans son cul, elle me dit :— On dirait que tu y prends goût ! C'est bon, arrête et déshabille-toi.
Je me relève. Elle ne va pas me fouetter quand même ! Non, quand je suis nue, elle dit aux autres esclaves et aux jeunes gens :— L'esclave qui vient de me lécher le cul, c'est l'ex-première dame des États-Unis et la vedette du film Cléopâtre.
Il y a des rires et des cris joie, même de la part des esclaves. J'ai un peu honte... Non : je suis morte de honte ! La seule chose de bien avec Madame Stone, c'est que je n'ai pas besoin de réfléchir, elle me donne un ordre et j'obéis à la seconde tellement j'ai peur d'elle !!
Elle me donne un tee-shirt rouge, des baskets et une casquette. Je m'habille... J'ai l'impression qu'il manque quelque chose ! Elle me met un collier autour du cou, sur lequel il est inscrit mon nom. Il y a aussi un anneau pour attacher celle qui le porte. Ensuite elle me met un large bracelet avec un écran sur le poignet gauche. Le collier et le bracelet ne sont pas en métal mais dans un plastique très résistant. Il n'y a pas moyen de le couper, paraît-il, il faut le code. Quand je suis vêtue ou dévêtue, au choix, elle me dit :— Tourne-toi.
Elle me donne une formidable claque sur les fesses en disant :— Grimpe dans le camion !
Je pousse un cri et je monte dans le véhicule en gémissant. Dans le pick up, il y a une bonne vingtaine d'esclaves assises par terre. Deux filles me font une place. Assise, je craque et je me mets à pleurer dans mes mains, mais bien, je veux dire en sanglotant. Une des filles met son bras autour de moi, en disant :— Pleure pas, allez, ça va s'arranger...
En hoquetant je réponds :— Madame... Stone... elle est trop... méchante.
— C'est vrai, elle est dure, mais elle n’a jamais vraiment blessé une esclave.
— Je... voulais rester... avec ma Maîtresse.
— Moi aussi, d'autant plus que c'est ma sœur.
Là, j'arrête de pleurer et je la regarde... C'est une jolie brune d'une trentaine d'années... Elle a un léger accent. Je lui dis :— Je t'ai déjà vue.
— Bien sûr, dans le bordel à Washington. C'est quand tu étais la Première Dame et que tu es venue avec Madame Stone.
— Oui ! Tu étais avec ta sœur.
Là, elle me raconte son histoire. Elle s'appelle Radia et sa sœur Nouzha. Elles ont été condamnées pour trafic de drogue, mais en fait c'est elle, la seule responsable. Un ami avocat a prouvé l'innocence de Nouzha et elle a racheté sa sœur. C'est tellement surprenant de les retrouver ici que j'en oublie de pleurer.
Radia a dealé, parce qu'elle était accro à la "met". Sa sœur a décidé de la garder comme esclave et de ne l'affranchir que lorsqu'elle serait clean. Summer l'a engagée pour les fouilles. Je lui raconte aussi mon parcours.
On se colle l'une à l'autre, seule façon d'un peu se réconforter. On se dirige vers des montagnes sur une mauvaise petite route. Atour de nous, il n'y a qu'une maigre végétation. Au bout d’environ une heure, les véhicules s'arrêtent devant une terre qui se trouve juste en dessous des premières montagnes. Madame Stone nous réunit toutes. Une grande et jolie femme la rejoint. Radia me murmure :— C'est ma sœur...
Oh ? ! Elle a l'air énergique et discute un peu avec Madame Stone. Elles semblent bien s'entendre. Il y a aussi des esclaves hommes, mais beaucoup moins que de femmes. Ils ont des tee-shirts rouges et pas de pantalon, comme nous. Madame Stone nous dit :— Voici Madame Nouzha, elle s'occupera de vous aussi, vous aurez intérêt à lui obéir très vite. Sinon...
Elle prend deux fouets dans un sac ouvert près d'elle et en donne un à Nouzah. On a compris ! Ces fouets se terminent par trois lanières un peu aplaties. Ils laissent de belles marques rouges mais ne blessent pas. Elle se tourne vers Nouzha, qui nous avertit :— Vous devez obéir à tous ceux qui ne sont pas des esclaves. En ce qui concerne le fouet, en plus de Madame Stone et moi-même, quatre étudiants peuvent également vous fouetter.
Elle fait un signe. Deux filles et deux garçons s'approchent. Ils sont très jeunes, sans doute en première année d'études de sciences. Elle remet un fouet à chacun d'eux. Quelle mise en scène à la con, mais ça n'empêche que mes fesses se serrent d'appréhension ! Madame Stone reprend la parole :— Je vous rappelle que vous êtes localisables grâce à votre collier. Les gardes s'occuperont des hommes, Madame Nouzha s'occupera des filles avec l'aide des quatre étudiants. Vous allez recevoir à manger et demain, debout à 6 h et gare à celle qui ne donnera pas la maximum.
On est arrivés en fin d'après-midi et il commence à faire noir. On reçoit un repas d'esclave : des galettes de maïs, des fruits, de la viande séchée et une bouteille d'eau. Ensuite ils nous donnent deux couvertures et on doit dormir par terre, parce que les tentes ne sont pas encore installées. Radia et moi, on se blottit l'une contre l'autre. Beaucoup d'autres filles font la même chose.
La nuit, je rêve que je trouve un troupeau de petits dinosaures.
***Le lendemain, on est réveillées par des coups de sifflet. Nouzha et deux étudiants nous crient de nous dépêcher, le fouet en main. On s'habille rapidement et on déjeune : toujours des galettes de maïs, des fruits et de l'eau ! Nouzha nous dit :— Premier travail : les feuillées.
C'est quoi ça ? On doit aller en bordure du camp et creuser une tranchée... Je crois que j'ai compris, cette tranchée sera nos toilettes. Je ne recommanderai jamais ce gîte, les chambres sont horribles et les salles de bain aussi.
Le sol est assez sableux, mais il est quand même dur à creuser. Comme on est les fesses à l'air, Nouzha et les deux étudiants nous stimulent en nous donnant de nombreux coups de fouet. Il y a de l'ambiance : le sifflement des lanières, nos cris et les rires des gardes et des autres étudiants venus regarder la scène.
Quand la tranchée de 30 cm de large atteint une profondeur suffisante, on doit toutes s'accroupir, les pieds de chaque côté de la tranchée et... faire ce qu'on veut. On est encouragées par les spectateurs. On fait toutes pipi, puis le reste... Ensuite on remet un peu de terre dans la tranchée... Tu me suis toujours, lectrice imaginaire ?
On retourne au camp, Madame stone nous attend. Elle nous dit :— Il est essentiel de trouver très rapidement ces fossiles. Vous devez chercher vite et bien. Celles qui traîneront seront fouettées. Pour vous convaincre que c'est très loin d’être agréable, on va vous faire une petite démonstration.
Oh non ! Sale garce ! Elle poursuit :— Mettez-vous à quatre pattes.
À suivre.
- Allô…- C’est moi ! C’est Sandrine ! Je te dérange pas ? Un peu, hein ? Parce que t’étais en train de repenser à notre après-midi à la piscine, je suis sûre… Et tu faisais pas que d’y repenser. Non ? Je me trompe ?
- Ben…Avec un petit rire.
- Comment c’était trop bien, n’empêche !
- Ah, ça ! Mais trop court. Beaucoup trop court. J’aurais bien joué les prolongations, moi !
- Et moi, donc ! Mais qu’est-ce tu veux ! Leurs bobonnes les attendaient à la maison. Oh, mais on remettra ça…- S’ils reviennent.
- Oh, ils reviendront ! Et cette fois, on échange. Tu prends Luc et moi, Martial.
Elles se sont tues.
Maud a fermé les yeux. Luc. La queue de Luc. Qui entrait et qui sortait. Qui voulait répandre sa semence. Qui l’exigeait. Et Sandrine offerte, béante, abandonnée. Sandrine dont les mamelles ballottaient au rythme des coups de boutoir du mâle qu’elle accueillait comblée. Dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence. Tandis qu’elle, de son côté, pendant ce temps-là, avec Martial… Comment ça avait été bon ! Non, mais comment ça avait été bon de faire ça ensemble. De se voir et de s’entendre. Ses doigts se sont faits plus pressants. Plus exigeants. Elle a doucement gémi. Sandrine aussi, à l’autre bout, là-bas. Elles ont haleté de concert. Ça s’est élancé. Envolé. Et elles ont clamé leur jouissance ensemble. À pleins poumons
* * *
On a sonné. Maud est allée ouvrir, encore tout ensommeillée. C’était Garance, sa voisine.
- Ah, c’est toi !
- Je peux entrer ?
Oui, bien sûr qu’elle pouvait ! Bien sûr.
- Je te fais un café.
Garance avait une trentaine d’années et, sans se fréquenter vraiment, elles entretenaient d’excellents rapports toutes les deux, se rendaient à l’occasion de menus services et passaient, de temps à autre, se dire un petit bonjour.
Garance a tourné longuement sa cuiller dans sa tasse.
- Oui, si je voulais te voir, c’est à propos d’Antoine.
- D’Antoine ?
C’était son petit ami, Antoine. Le dernier en date. Qui vivait depuis cinq ou six mois chez elle.
- Il est complètement sur les rotules. À cause de toi.
- De moi ! Comment ça de moi ?
- De toi, oui. Parce que c’est pas un reproche, je suis pareille, mais, à l’évidence, t’as une nature très volcanique. Il te faut ta dose quotidienne de plaisir. Voire plus. Et lui, du coup, il est constamment à l’affût. « Écoute ! Écoute ! T’entends ? Elle se branle encore, la voisine. Oui, elle se branle. Parce qu’il y a personne chez elle. Il y a pas de voiture en bas. Donc, elle se branle. » Et j’y attrape. Ce dont je ne me plains pas, bien au contraire. Mais ce qui, à lui, ne lui suffit pas. Il n’en dort plus. Ses nuits, il les passe l’oreille collée à la cloison. Des fois que ça te reprenne. Pas question de louper un épisode. Ah, non, alors ! Et il t’accompagne d’une main convaincue.
- Eh, ben, dis donc !
- Tu verrais la tête qu’il a. Il me fait peur. Un de ces quatre matins, ça va finir mal, tout ça ! Il va carrément tomber malade, oui !
Sauf qu’elle voyait pas trop ce qu’elle pouvait y faire, Maud.
- Je suis très expansive, je sais, mais je peux quand même pas…- Renoncer à te faire plaisir ? Oh, mais c’est pas ce que je te demande. Pas du tout ! Pas du tout !
Ben, c’était quoi, alors ?
- C’est que… On est entre femmes, hein ! Je peux te parler franchement. C’est que je me disais que peut-être, s’il se passait quelque chose entre vous, il verrait les choses autrement. Tu perdrais de ton mystère. Il arrêterait de focaliser sur toi. De t’idéaliser.
- Si je comprends bien, tu voudrais qu’il me saute, quoi !
- J’aurais pas dit ça comme ça, mais à terme, oui. Après l’avoir fait passer d’abord par tout un tas de petites étapes intermédiaires.
- Et pourquoi pas ? Je suis ouverte à beaucoup de choses, moi, tu sais…- C’est ce que j’avais cru comprendre, en effet. C’est bien pour ça que je me suis montrée aussi directe. Alors, c’est oui ?
- Bien sûr que c’est oui.
* * *
Ça a beaucoup amusé Sandrine.
- Ah, oui ! Carrément ! Eh ben dis donc ! Il est canon au moins ?
- Pour autant que j’aie pu en juger, pas mal, oui !
- Elle prend des risques, la fille !
- Oui, oh, j’y crois qu’à moitié, moi, à son histoire. Peut-être qu’il m’écoute monter dans les tours, oui. Sûrement, même. Mais c’est pas aussi démesuré qu’elle veut bien le dire. Non, ce qu’il y a, à mon avis, c’est qu’elle crève d’envie de voir son mec s’envoyer en l’air avec une autre. C’est son truc, ça ! Et elle va y prendre un de ces pieds !
* * *
Ce fut le surlendemain.
- Tu passes boire l’apéro ?
- J’arrive.
Vêtue d’un tee-shirt sous lequel elle avait laissé ses seins libres. Et d’un pantalon qui la moulait au plus près.
Antoine s’est activé autour des verres, des bouteilles, des amuse-gueule. Il a déplacé une chaise, une autre. A remis la première à sa place initiale. A fini par s’asseoir.
Et Garance a attaqué.
- Bon, ben ça y est ! Enfin ! Tu la vois de tout près, cette Maud. T’es content ?
Il s’est agité sur son fauteuil de jardin. A croisé, décroisé, recroisé les jambes. Retrouvé un semblant de sérénité.
- Qu’est-ce tu racontes !
- Tu sais très bien ce que je veux dire. Depuis le temps qu’elle t’excite, la voisine.
Il a eu un rire un peu forcé.
- N’importe quoi !
- Pas n’importe quoi, non ! Tu passes pas ton temps à l’épier à travers les volets peut-être, quand elle part le matin et quand elle rentre le soir ? À d’autres occasions aussi. Faut que je précise ?
Il a rendu les armes.
- C’est que…- Tu la trouves à ton goût. Oui, oh, ben ça, je sais. Et Maud par ci. Et Maud par là. Et, chaque fois, t’as la queue qui se dresse.
- Tu vas me faire passer pour…- Pour ce que tu es. Au moins, comme ça, maintenant, elle est au courant. Les choses sont claires.
Maud a volé à son secours.
- Ça se commande pas, ça, l’attirance.
Il lui a lancé un regard plein de reconnaissance.
- Ben, bien sûr ! Non. Et puis vous êtes tellement…Elle s’est penchée en avant. Qu’il puisse profiter de ses seins.
Il a respiré plus vite. Dégluti.
Garance a constaté.
- Il bande. Non, mais comment il bande !
- Eh bien, laisse-le bander !
Et Maud s’est penchée un peu plus en avant encore. Les lui a doucement fait osciller sous le nez dans l’échancrure du tee-shirt.
- Ils te plaisent ?
Il a fait signe que oui. Oh, oui !
Elle s’est approchée de lui. Approchée encore.
- Tu penses à eux quand tu te branles ?
Il les dévorait des yeux.
Il a encore fait signe que oui.
Elle a retiré son tee-shirt.
- Alors vas-y !
Il ne s’est pas fait prier. Il a sorti sa queue. Sur laquelle il s’est acharné. Sans les quitter un seul instant des yeux. Vite. De plus en plus vite.
Et il a supplié.
- Ta chatte ! Fais-moi voir ta chatte !
Juste avant de gicler. Dans un grand râle.
Elle a remis son tee-shirt.
- Une autre fois, ma chatte…- Quand ? Quand ?
- On verra. Penses-y bien d’ici làUne semaine plus tard, on prend l'avion pour le Nouveau Mexique. Il y a des gens qui font voyager leurs esclaves dans les cales avec les chiens et les chats, mais heureusement, ma Maîtresse n'est pas comme ça. Je suis en deuxième classe et elle en première, mais je ne suis pas dans la cale. Je préfère être en deuxième classe, car je n'aime pas la voir avec Nancy. Elles ne roucoulent plus comme hier, mais elles s'entendent trop bien à mon goût.
J'ai entendu Summer dire qu'elle garde la maison que j'ai héritée, mais qui lui appartient puisqu’elle est ma maîtresse.
On atterrit à Santa Fe. Elle loue une voiture et on part vers la réserve Navajo. Je suis à l'arrière et j'écoute leur conversation. Summer dit à Nancy :— Première étape : retrouver les ossements que j'ai vus... Comme on avait consommé des peyotls (cactus hallucinogènes), je ne me souviens plus de l’endroit exact, mais c'est dans les terres que j'ai achetées.
— Tu es bien certaine de les avoir vus ?
— Oui, j'ai même rapporté une dent à la maison. Elle y est toujours et je l'ai comparée avec les dents de ce dinosaure qu'on trouve sur le Net.
Elle réfléchit un moment, puis poursuit :— C'était à quelques kilomètres de la frontière avec l'Arizona.
— Il faut motiver les étudiants et les esclaves... Bien sûr, il y a le fouet, mais il faudrait plus.
— J'y ai pensé... Disons que je donnerai 1000 $ au premier qui trouvera le gisement. Si c'est une esclave, elle sera affranchie et recevra la prime.
— Super idée.
Ce sera peut-être moi... Hélas, je le sens pas bien, ce petit voyage.
On arrive dans le village Navajo. Summer retrouve ses grands-parents maternels qui l'ont élevée.
Pendant un mois, on prépare tout. Bien sûr, je suis une esclave et les Indiens sont ravis d'avoir une Blanche à leur service. Heureusement, je suis l'esclave de leur sœur, Summer, et ils me ménagent.
***Un mois plus tard, on part vers les terres de Summer. On dépasse un villa ge Navajos. Elle dit :— C'est mon village...
On s'arrête plus loin. Plusieurs pick up arrivent. Sur les plateformes arrière, il y a des jeunes gens et des esclaves en uniformes rouges. Summer me dit :— Tu rejoins les esclaves.
— Je ne peux pas rester avec toi ?
— Tu dois chercher comme les autres. Il faut trouver ces fossiles.
— Oui, mais...
Et là, descendant d'un des véhicules, je vois une grosse femme. Celle-ci va embrasser Summer. Elles ont l'air heureuses de se voir. Summer lui présente Nancy et elles s'embrassent aussi. La grosse femme dit à Summer :— Je vois qu’Ashley n'a toujours pas appris à obéir.
Elle se tourne vers moi en disant :— Aux pieds, Ashley.
Je vais très vite m'agenouiller aux pieds de... Madame Stone !! Oh non... mais pourquoi elle ? Bien sûr, c'est une amie de Summer et elle est vaguement parente avec Monsieur Sam. Mais c'est tellement violent de me retrouver face à elle... non, de me retrouver à ses pieds ! Elle continue à parler un moment avec Summer, puis elle me tourne le dos, enlève sa robe comme si c'était normal et je me retrouve face à un énorme cul que je ne connais que trop bien, hélas ! Elle me dit :— Montre que tu es contente de me revoir... À moins que tu ne préfères un peu de fouet pour te stimuler ?
J'écarte ses fesses et je lèche son anus, seule façon de ne pas me faire fouetter. Les jeunes dans les pick up sifflent, poussent des cris des joies et applaudissent.
Madame Stone leur dit :— C'est la meilleure lécheuse de cul à l'ouest du Pecos.
— Ouaiiss !!!
Ils sont morts de rire. Je voudrais lui enfoncer un poignard dans le cœur, mais en attendant, je poignarde son anus avec ma langue !! Ses retrouvailles avec Madame Stone ont un goût amer ! Quand j'ai bien enfoncé ma langue dans son cul, elle me dit :— On dirait que tu y prends goût ! C'est bon, arrête et déshabille-toi.
Je me relève. Elle ne va pas me fouetter quand même ! Non, quand je suis nue, elle dit aux autres esclaves et aux jeunes gens :— L'esclave qui vient de me lécher le cul, c'est l'ex-première dame des États-Unis et la vedette du film Cléopâtre.
Il y a des rires et des cris joie, même de la part des esclaves. J'ai un peu honte... Non : je suis morte de honte ! La seule chose de bien avec Madame Stone, c'est que je n'ai pas besoin de réfléchir, elle me donne un ordre et j'obéis à la seconde tellement j'ai peur d'elle !!
Elle me donne un tee-shirt rouge, des baskets et une casquette. Je m'habille... J'ai l'impression qu'il manque quelque chose ! Elle me met un collier autour du cou, sur lequel il est inscrit mon nom. Il y a aussi un anneau pour attacher celle qui le porte. Ensuite elle me met un large bracelet avec un écran sur le poignet gauche. Le collier et le bracelet ne sont pas en métal mais dans un plastique très résistant. Il n'y a pas moyen de le couper, paraît-il, il faut le code. Quand je suis vêtue ou dévêtue, au choix, elle me dit :— Tourne-toi.
Elle me donne une formidable claque sur les fesses en disant :— Grimpe dans le camion !
Je pousse un cri et je monte dans le véhicule en gémissant. Dans le pick up, il y a une bonne vingtaine d'esclaves assises par terre. Deux filles me font une place. Assise, je craque et je me mets à pleurer dans mes mains, mais bien, je veux dire en sanglotant. Une des filles met son bras autour de moi, en disant :— Pleure pas, allez, ça va s'arranger...
En hoquetant je réponds :— Madame... Stone... elle est trop... méchante.
— C'est vrai, elle est dure, mais elle n’a jamais vraiment blessé une esclave.
— Je... voulais rester... avec ma Maîtresse.
— Moi aussi, d'autant plus que c'est ma sœur.
Là, j'arrête de pleurer et je la regarde... C'est une jolie brune d'une trentaine d'années... Elle a un léger accent. Je lui dis :— Je t'ai déjà vue.
— Bien sûr, dans le bordel à Washington. C'est quand tu étais la Première Dame et que tu es venue avec Madame Stone.
— Oui ! Tu étais avec ta sœur.
Là, elle me raconte son histoire. Elle s'appelle Radia et sa sœur Nouzha. Elles ont été condamnées pour trafic de drogue, mais en fait c'est elle, la seule responsable. Un ami avocat a prouvé l'innocence de Nouzha et elle a racheté sa sœur. C'est tellement surprenant de les retrouver ici que j'en oublie de pleurer.
Radia a dealé, parce qu'elle était accro à la "met". Sa sœur a décidé de la garder comme esclave et de ne l'affranchir que lorsqu'elle serait clean. Summer l'a engagée pour les fouilles. Je lui raconte aussi mon parcours.
On se colle l'une à l'autre, seule façon d'un peu se réconforter. On se dirige vers des montagnes sur une mauvaise petite route. Atour de nous, il n'y a qu'une maigre végétation. Au bout d’environ une heure, les véhicules s'arrêtent devant une terre qui se trouve juste en dessous des premières montagnes. Madame Stone nous réunit toutes. Une grande et jolie femme la rejoint. Radia me murmure :— C'est ma sœur...
Oh ? ! Elle a l'air énergique et discute un peu avec Madame Stone. Elles semblent bien s'entendre. Il y a aussi des esclaves hommes, mais beaucoup moins que de femmes. Ils ont des tee-shirts rouges et pas de pantalon, comme nous. Madame Stone nous dit :— Voici Madame Nouzha, elle s'occupera de vous aussi, vous aurez intérêt à lui obéir très vite. Sinon...
Elle prend deux fouets dans un sac ouvert près d'elle et en donne un à Nouzah. On a compris ! Ces fouets se terminent par trois lanières un peu aplaties. Ils laissent de belles marques rouges mais ne blessent pas. Elle se tourne vers Nouzha, qui nous avertit :— Vous devez obéir à tous ceux qui ne sont pas des esclaves. En ce qui concerne le fouet, en plus de Madame Stone et moi-même, quatre étudiants peuvent également vous fouetter.
Elle fait un signe. Deux filles et deux garçons s'approchent. Ils sont très jeunes, sans doute en première année d'études de sciences. Elle remet un fouet à chacun d'eux. Quelle mise en scène à la con, mais ça n'empêche que mes fesses se serrent d'appréhension ! Madame Stone reprend la parole :— Je vous rappelle que vous êtes localisables grâce à votre collier. Les gardes s'occuperont des hommes, Madame Nouzha s'occupera des filles avec l'aide des quatre étudiants. Vous allez recevoir à manger et demain, debout à 6 h et gare à celle qui ne donnera pas la maximum.
On est arrivés en fin d'après-midi et il commence à faire noir. On reçoit un repas d'esclave : des galettes de maïs, des fruits, de la viande séchée et une bouteille d'eau. Ensuite ils nous donnent deux couvertures et on doit dormir par terre, parce que les tentes ne sont pas encore installées. Radia et moi, on se blottit l'une contre l'autre. Beaucoup d'autres filles font la même chose.
La nuit, je rêve que je trouve un troupeau de petits dinosaures.
***Le lendemain, on est réveillées par des coups de sifflet. Nouzha et deux étudiants nous crient de nous dépêcher, le fouet en main. On s'habille rapidement et on déjeune : toujours des galettes de maïs, des fruits et de l'eau ! Nouzha nous dit :— Premier travail : les feuillées.
C'est quoi ça ? On doit aller en bordure du camp et creuser une tranchée... Je crois que j'ai compris, cette tranchée sera nos toilettes. Je ne recommanderai jamais ce gîte, les chambres sont horribles et les salles de bain aussi.
Le sol est assez sableux, mais il est quand même dur à creuser. Comme on est les fesses à l'air, Nouzha et les deux étudiants nous stimulent en nous donnant de nombreux coups de fouet. Il y a de l'ambiance : le sifflement des lanières, nos cris et les rires des gardes et des autres étudiants venus regarder la scène.
Quand la tranchée de 30 cm de large atteint une profondeur suffisante, on doit toutes s'accroupir, les pieds de chaque côté de la tranchée et... faire ce qu'on veut. On est encouragées par les spectateurs. On fait toutes pipi, puis le reste... Ensuite on remet un peu de terre dans la tranchée... Tu me suis toujours, lectrice imaginaire ?
On retourne au camp, Madame stone nous attend. Elle nous dit :— Il est essentiel de trouver très rapidement ces fossiles. Vous devez chercher vite et bien. Celles qui traîneront seront fouettées. Pour vous convaincre que c'est très loin d’être agréable, on va vous faire une petite démonstration.
Oh non ! Sale garce ! Elle poursuit :— Mettez-vous à quatre pattes.
À suivre.
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