Attirance mutuelle - histoire érotique

A l’époque, j’avais 21 ans. J’étais étudiante en histoire. Je suivais également des cours de géographie dans le but de devenir professeur. Une année, un jeune professeur a été chargé des cours de géopolitique. Il était beau, 27 ans, 1m80, cheveux noirs et yeux verts. Ses yeux étaient aussi verts qu’une émeraude, et vous pouvez me croire, je n’en rajoute pas ! Il avait un corps mince de sportif. Il était magnifique, et super sexy ! Il s’appelait Stéphane. Au début j’ai essayé de lutter contre mon attirance pour lui. Je me disais que ce n’était que passager, et que l’éveil de mon corps dès que je le voyais, ne témoignait juste que du manque d’affection et de caresse que je ressentais depuis ma séparation avec Paul-Antoine. Mais la situation s’est nettement compliquée, quand il s’est mis à prendre le même bus que moi chaque jour. La première fois, un matin à 7h, je suis montée, j’ai pointé ma carte de bus, et j’ai survolé le car, pour voir où je pouvais m’asseoir, c’est là que j’ai croisé son regard. Mon cœur s’est mis à battre la chamade. Il m’a sourit, je suis passée à côté de lui. Evidemment j’ai été obligée de lui dire bonjour mais je me suis assise derrière lui. Quelle erreur je n’ai pas faite !! Je n’ai fais que penser à lui, à cause de son parfum boisé qui me chatouillait les sens. J’avais envie de me jeter sur lui ! De lui montrer à quel point j’avais envie de lui. Et plus les jours passaient, plus ça devenait une torture. Jusqu’au jour, où par manque de place, je me suis assise à côté de lui. Nous avons commencé à discuter, et nous nous sommes découverts une passion commune : l’art abstrait. Il m’a invité à une exposition dans la ville, le week-end suivant. Comme je n’habitais pas dans la ville et que les bus ne desservaient plus après 22h, je décidais de réserver une chambre à l’hôtel. Comme il s’agissait d’une réception dans une galerie privée j’avais également préparé une robe de soirée noire, style antique. J’avais relevé mes cheveux longs et je les avais coiffés en bandeau. Stéphane me rejoignit directement à la galerie. J’étais stressée et surexcitée à la fois. Je sentais mon cœur battre dans ma poitrine. J’avais l’impression d’être sous l’eau, les sons me parvenaient de très loin. Stéphane arriva, il me donna le bras en parfait gentleman et nous fîmes le tour des tableaux de la galerie. A chaque fois, nous nous amusions à essayer de deviner ce que le peintre avait voulu montrer avant de regarder la fiche technique. Personnellement j’avoue que mes idées sont assez perverses, car sur les 30 peintures exposées, au moins 20 avaient pour nous une connotation sexuelle. Bizarrement mon professeur ne semblait pas trouver ça dramatique ni s’en offusquer. Nous avons ensuite décidé de prendre un verre dans un bar, une bouteille de champagne. Les bulles m’ont rendu plus euphorique encore que ce que j’étais. Je ne cessais de rire. Stéphane s’en est beaucoup amusé. Il a insisté pour me raccompagner jusqu’à la porte de ma chambre. Mais une fois devant, tout a basculé. Au moment de nous dire au revoir, nous nous sommes fixés longuement. J’avais chaud, mon corps tout entier me disait de l’embrasser, de me serrer contre lui, de l’entraîner dans la chambre. Il n’eût pas besoin de moi pour ça. Il me poussa dans la chambre, referma la porte à clef. Une appréhension se mêlait à mon désir. En avais-je vraiment envie ? Qu’allait-il faire ?
Il a planté son regard dans le mien. Il avançait vers moi, tandis que je reculais d’un pas à chaque fois, jusqu’à buter contre le lit. Il me poussa sur le lit, sans ménagement. Il se pencha au-dessus de moi, son visage à quelques centimètres du mien. Puis il m’embrassa. Ça été un baiser passionné. Ses lèvres chaudes sur les miennes, sa langue s’enroulant autour de la mienne. Instinctivement, je déboutonnais sa chemise, puis son jean, je baissais son boxer. Stéphane m’enleva rapidement la robe, ses mains me retenaient, je ne pouvais plus bouger.
- Je sais que tu en as envie, laisse-toi faire, m’ordonna-t-il.
- Je t’en prie… Fais-moi l’amour !
- Tu vas passer une excellente nuit.
Je me sentais mouiller dans mon tanga. Sa main descendit sur mon sexe, je retirais mon tanga, dévoilant une chatte toute lisse et blanche. Je sentais mes lèvres gonflées, le pénis de Stéphane appuyant contre mon bas-ventre. J’ondulais de plaisir. Il me léchait les tétons, me les mordillait. Je gémissais de plaisir. Je n’en pouvais plus, je voulais qu’il me pénètre, qu’il me prenne comme il voulait. La situation bascula rapidement, c’était le désir sexuel qui prenait le dessus rapidement. Son regard était dur et dominateur.
- Tu vas être gentille maintenant, hein ? Tu sais ce que je veux…, me dit-il.
- Oui, je sais
- Oui qui ? Ce soir tu es à moi ton corps est pour moi. Je suis le seul qui est le droit de te donner du plaisir, petite cochonne !!
- Oui maître.
- C’est bien. Suces moi maintenant ! Je veux sentir ta langue, tes lèvres sur mon sexe !
Je rougissais, mais je fis ce qu’il me demandait. Je commençais à le sucer. J’avais de plus en plus envie de lui. Son sexe était gros, il était bien membré. Je faisais des gorges profondes, je chatouillais son gland, je le léchais comme on lèche une glace. Je le suçais pour qu’il soit content de moi. J’aimais ça !
- Tu es douée petite cochonne ! Allonge-toi ! Ecarte bien les jambes, que je voie ta chatte… Huum… elle est douce, toute lisse. Ton sexe est gonflé ! Je vais te faire du bien crois-moi !
- Je vous crois maître, dis-je implorante.
- Tais-toi ! m’ordonna Stéphane en me pinçant les tétons. Je vais t’en donner moi des coups de bites ! Tu vas hurler de plaisir !! J’adore, tu es toute gluante petite salope !
- Pitié maître… Prenez-moi ! Je veux votre bite en moi, qu’elle me fasse du bien.
Il plaça son pénis à l’entrée de ma chatte. J’ondulais le bassin, je gémissais. Huum… Haaa… Il me pénétra d’un coup ma petite chatte. Ma chatte est étroite et serrée, je me suis sentie écartelée. Au début je ressentis une petite douleur, mais je l’oubliais vite, remplacée par un plaisir intense.
- Ta chatte est chaude ma cochonne et bien étroite ! C’est bon ça ! Huum… Huuum !!
- Oh c’est bon maître ! Plus vite… Plus vite !! J’aime votre queue !! C’est bon !! Aaaahhh… Ouiiii… Huum… J’en veux encore !! Je suis votre cochonne !!
- Salope !! Tiens ! Prends ça !
Stéphane me burinait la chatte. Je jouissais ! J’adorais ça de sentir sa bonne bite me ramonait la chatte. Huumm !! J’étais une chienne en chaleur !