Bonne soumise partie 2
Récit érotique écrit par PetiteBibiche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Bonne soumise partie 2
J’étais en train de prendre du plaisir. Ma maîtresse était en moi, elle m’avait prise l’anus avec son gode ceinture. Elle me claquait les fesses, tout en faisant des vas et viens de plus en plus fort dans mon cul. C’était bon, mon anus lui appartenait. J’étais sa chose.
- Tiens prends ça !! Olalala ça m’excite de te voir dans cette position, dit ma maîtresse.
- Oh… Aaaah… Huuum… Haaan…. Huuum…, couinais-je les yeux perdus dans le vague.
Soudain, elle enleva le sex toys de mon vagin afin de voir toute la mouille qui coulait. Elle continuait à me sodomiser, les pinces sur mes tétons les avaient faits gonflés et durcir. Tout d’un coup, je sentis la jouissance venir. Une jouissance qui venait de mon vagin. Je jouissais sous la forme de gémissements et de couinements.
- Huuum… Haaan… Aaaaaahhhh… Ohh maîtresse c’était tellement bon…
- Tu méritais de jouir salope ! En plus tu devais montrer à la caméra aux gens qui te regarderont si tu n’es pas obéissante, bientôt sur internet, à quel point tu es une cochonne qui fera tout ce qu’ils te demanderont de faire… Maintenant, viens lécher le gode qui sort de ton anus chienne !!
- Ouii maîtresse !
Je me mis à quatre pattes et je suçais comme il faut le gode ceinture. Soudain deux mains m’empoignèrent les hanches et quelqu’un me bourra l’anus. Je fus paniquée mais ma maîtresse me prit par les cheveux pour me forcer à continuer ma besogne de cochonne. Quand elle se retira, un homme blanc, un vieux de 50 ans, s’approcha en ricanant et me planta sa verge devant la bouche.
- Suce ma bitte chienne ! dit le vieil homme.
- Ma chérie, je t’offre à des hommes ce soir. Ils sont 3, dit ma maîtresse. Il faut que tu obéisses. Je reste dans la pièce pour filmer et regarder. Je te surveille cochonne !!
- Huum, fut tout ce que je pus dire car j’avais la bitte du vieux dans la bouche.
Un deuxième homme m’avait prise par l’anus. Sa queue était longue et épaisse, mon anus s’était considérablement élargit. Mes gémissements de chienne étaient étouffés par la bitte du vieux. Quand un troisième homme arriva, nu avec la queue tendue, ils me retournèrent. L’homme se coucha au-dessous de moi et je dû m’empaler sur son pieux. Ils grognaient tous. Mais ce n’était pas fini. Les trois hommes me burinaient la bouche, le vagin et mon cul. Mes trois trous étaient remplis. Ma bave coulait le long de ma poitrine, et ma mouille inondait la bitte enflammée du troisième homme. Je gémissais de douleur car ils me tiraient un peu de touts les côtés, mais des tapes et des coups de bittes plus forts me faisaient encore plus gémir. Alalala… Je gémissais comme une pute. La soirée se passa comme ça. Ils n’arrêtaient jamais. Ils tournaient, changeant de place. Je n’avais pas de répits. J’étais prise de partout et j’aimais ça. Je gémissais de plaisir et les trois hommes s’acharnaient sur moi. Le vieux en particulier était le plus pervers.
- Dis que t’es une cochonne, m’ordonna le vieux avec une respiration saccadée.
- Huum… Haaan… aaahhh… Burinez moi pitié… Maître… Je suis pour vous… une cochonne… Encore…
- T’inquiète espèce de gouine en chaleur !! Tiens… Tiens… Tiens… dit un des trois hommes en s’acharnant tellement que je jouis pour la deuxième fois.
Ils en profitaient pour me toucher les seins. Ça faisait beaucoup de bien. Je suis une soumise et ça m’excitait qu’ils soient là à me caresser comme ils le voulaient, me rappeler que j’étais à ma maîtresse et que j’étais une bonne chienne. Une cochonne faite pour obéir ! J’étais très excitée. Quand ils décidèrent de se reposer un peu, ils me demandèrent de me caresser devant eux. Mes zones intimes étaient particulièrement sensibles à forces de me faire limer. Le pire c’était mon clito. Il était dur de plaisir et il était encore plus sensible que d’habitude. Nous allâmes au salon. Je suivis à quatre pattes les trois hommes et ma maîtresse. Ils s’assirent dans les fauteuils de cuir, moi je dus me contenter de rester sur le tapis à leurs pieds. Leurs sexes avaient débandés. Soudain le vieux m’ordonna de m’approcher :
- Viens ici sale cochonne. Tu sais que t’es belle… Caresse la queue de ton papi, me dit-il. Ne te fais pas prier petite soumise. J’adore les jeunettes comme toi… Caresses-moi la verge cochonne !!
- Oui maître.
- Non appelle-moi papi ma chérie ça m’excite d’avantage !
- Oui papi, dis-je en câlinant la bite du vieux.
- C’est bien ma petite ! Oh tu es une bonne fille à son papi. Suce-moi !
Je pris la bite à moitié molle du papi. Je n’avais pas eu le droit de la prendre avec ma main, mais je réussis à la mettre dans ma bouche. Il appuya ses mains sur ma tête pour faire rentrer sa bite en profondeur. Les autres hommes riaient. Je les voyais du coin de l’œil s’astiquer. Un se caressait à peine le gland lentement. Il était le plus beau et le plus jeune de tous. Il était doux avec moi, pourtant il agissait aussi comme un maître. Jusqu’à ce soir-là je ne savais pas que cela fut possible, de donner des ordres tout en douceur. D’ailleurs il est devenu mon maître depuis cette soirée. Je m’acharnais sur la verge du papi. J’aimais prendre des bites dans ma bouche. Il me tirait sur les tétons, ce qui me faisait couiner.
- Ohh t’es une bonne soumise toi… jouissait le papi.
- Huum… Huum, dis-je en couinant.
- Viens ici ! appela le deuxième homme.
Je m’approchais de lui à quatre pattes. Je commençais à lui sucer la verge quand il m’ordonna de m’empaler sur lui.
- Empale-toi sur ma bite cochonne ! Je veux que tu te laisses tomber de tout ton poids sur ma queue !!
- Oui maître !!
Je me positionnais au-dessus de sa bite, quand je sentis son gland à l’entrée de mon trou, je commençais lentement à laisser entrer cette magnifique verge en moi. Comme je n’obéissais pas vraiment à l’ordre, il me tira fortement les seins. Le papi se leva et s’appuya sur mes épaules de façon à ce que je sois obligée de m’empaler de suite sur la verge tendue. Je gémissais de douleur, mais je dus vite faire des vas et viens sur la bite.
- Huum… Haan… Ouii… Huumm… Oooh… Haan… couinais-je.
- Cochonne ! Salope ! T’es une pute… Chienne… dis le que t’es notre esclave !
- Ohh ouiii… je suis… une pute… Je suis… Huuum… une chienne… Oooh… C’est bon !! gémissais-je.
Le papi me fit pencher sur le torse de l’homme et il me planta sa bite dans l’anus. Il me burina fort, j’avais mal, je gémissais de douleur mais aussi le plaisir montait rapidement. Le troisième homme s’était approché et tant bien que mal, je lui léchais le gland. Ma bave coulait le long de mon cou. Ils me tiraient les tétons, soupesaient mes seins, les malaxaient. J’étais comblée. Je souffrais aussi, mais l’humiliation provoquait un grand plaisir. Ensuite ils échangèrent de position. Ils trouvaient que je n’étais pas assez punie certainement. A ce moment là j’eus très peur car deux d’entre eux me firent une double pénétration mais dans le même orifice. Mon vagin. Mon anus en feu était tranquille, mais mon vagin serré recevait deux énormes bites qui m’écartelèrent. C’était l’ultime chose que je devais subir cette soirée.
PS : Quand je raconte ce récit, je dois dire que malgré les descriptions un peu violentes, ce sont des actes partagés et consentis, mis au point à l’avance. Il est rare que je sois dans ce rôle de soumise. Ma soumission je peux la stopper net à tout moment, j’aime aussi bien les soirées cochonnes que les relations beaucoup plus affectueuses que j’ai avec mon amant attitré. J’espère que ces récits vous plaisent quand même, et à bientôt.
- Tiens prends ça !! Olalala ça m’excite de te voir dans cette position, dit ma maîtresse.
- Oh… Aaaah… Huuum… Haaan…. Huuum…, couinais-je les yeux perdus dans le vague.
Soudain, elle enleva le sex toys de mon vagin afin de voir toute la mouille qui coulait. Elle continuait à me sodomiser, les pinces sur mes tétons les avaient faits gonflés et durcir. Tout d’un coup, je sentis la jouissance venir. Une jouissance qui venait de mon vagin. Je jouissais sous la forme de gémissements et de couinements.
- Huuum… Haaan… Aaaaaahhhh… Ohh maîtresse c’était tellement bon…
- Tu méritais de jouir salope ! En plus tu devais montrer à la caméra aux gens qui te regarderont si tu n’es pas obéissante, bientôt sur internet, à quel point tu es une cochonne qui fera tout ce qu’ils te demanderont de faire… Maintenant, viens lécher le gode qui sort de ton anus chienne !!
- Ouii maîtresse !
Je me mis à quatre pattes et je suçais comme il faut le gode ceinture. Soudain deux mains m’empoignèrent les hanches et quelqu’un me bourra l’anus. Je fus paniquée mais ma maîtresse me prit par les cheveux pour me forcer à continuer ma besogne de cochonne. Quand elle se retira, un homme blanc, un vieux de 50 ans, s’approcha en ricanant et me planta sa verge devant la bouche.
- Suce ma bitte chienne ! dit le vieil homme.
- Ma chérie, je t’offre à des hommes ce soir. Ils sont 3, dit ma maîtresse. Il faut que tu obéisses. Je reste dans la pièce pour filmer et regarder. Je te surveille cochonne !!
- Huum, fut tout ce que je pus dire car j’avais la bitte du vieux dans la bouche.
Un deuxième homme m’avait prise par l’anus. Sa queue était longue et épaisse, mon anus s’était considérablement élargit. Mes gémissements de chienne étaient étouffés par la bitte du vieux. Quand un troisième homme arriva, nu avec la queue tendue, ils me retournèrent. L’homme se coucha au-dessous de moi et je dû m’empaler sur son pieux. Ils grognaient tous. Mais ce n’était pas fini. Les trois hommes me burinaient la bouche, le vagin et mon cul. Mes trois trous étaient remplis. Ma bave coulait le long de ma poitrine, et ma mouille inondait la bitte enflammée du troisième homme. Je gémissais de douleur car ils me tiraient un peu de touts les côtés, mais des tapes et des coups de bittes plus forts me faisaient encore plus gémir. Alalala… Je gémissais comme une pute. La soirée se passa comme ça. Ils n’arrêtaient jamais. Ils tournaient, changeant de place. Je n’avais pas de répits. J’étais prise de partout et j’aimais ça. Je gémissais de plaisir et les trois hommes s’acharnaient sur moi. Le vieux en particulier était le plus pervers.
- Dis que t’es une cochonne, m’ordonna le vieux avec une respiration saccadée.
- Huum… Haaan… aaahhh… Burinez moi pitié… Maître… Je suis pour vous… une cochonne… Encore…
- T’inquiète espèce de gouine en chaleur !! Tiens… Tiens… Tiens… dit un des trois hommes en s’acharnant tellement que je jouis pour la deuxième fois.
Ils en profitaient pour me toucher les seins. Ça faisait beaucoup de bien. Je suis une soumise et ça m’excitait qu’ils soient là à me caresser comme ils le voulaient, me rappeler que j’étais à ma maîtresse et que j’étais une bonne chienne. Une cochonne faite pour obéir ! J’étais très excitée. Quand ils décidèrent de se reposer un peu, ils me demandèrent de me caresser devant eux. Mes zones intimes étaient particulièrement sensibles à forces de me faire limer. Le pire c’était mon clito. Il était dur de plaisir et il était encore plus sensible que d’habitude. Nous allâmes au salon. Je suivis à quatre pattes les trois hommes et ma maîtresse. Ils s’assirent dans les fauteuils de cuir, moi je dus me contenter de rester sur le tapis à leurs pieds. Leurs sexes avaient débandés. Soudain le vieux m’ordonna de m’approcher :
- Viens ici sale cochonne. Tu sais que t’es belle… Caresse la queue de ton papi, me dit-il. Ne te fais pas prier petite soumise. J’adore les jeunettes comme toi… Caresses-moi la verge cochonne !!
- Oui maître.
- Non appelle-moi papi ma chérie ça m’excite d’avantage !
- Oui papi, dis-je en câlinant la bite du vieux.
- C’est bien ma petite ! Oh tu es une bonne fille à son papi. Suce-moi !
Je pris la bite à moitié molle du papi. Je n’avais pas eu le droit de la prendre avec ma main, mais je réussis à la mettre dans ma bouche. Il appuya ses mains sur ma tête pour faire rentrer sa bite en profondeur. Les autres hommes riaient. Je les voyais du coin de l’œil s’astiquer. Un se caressait à peine le gland lentement. Il était le plus beau et le plus jeune de tous. Il était doux avec moi, pourtant il agissait aussi comme un maître. Jusqu’à ce soir-là je ne savais pas que cela fut possible, de donner des ordres tout en douceur. D’ailleurs il est devenu mon maître depuis cette soirée. Je m’acharnais sur la verge du papi. J’aimais prendre des bites dans ma bouche. Il me tirait sur les tétons, ce qui me faisait couiner.
- Ohh t’es une bonne soumise toi… jouissait le papi.
- Huum… Huum, dis-je en couinant.
- Viens ici ! appela le deuxième homme.
Je m’approchais de lui à quatre pattes. Je commençais à lui sucer la verge quand il m’ordonna de m’empaler sur lui.
- Empale-toi sur ma bite cochonne ! Je veux que tu te laisses tomber de tout ton poids sur ma queue !!
- Oui maître !!
Je me positionnais au-dessus de sa bite, quand je sentis son gland à l’entrée de mon trou, je commençais lentement à laisser entrer cette magnifique verge en moi. Comme je n’obéissais pas vraiment à l’ordre, il me tira fortement les seins. Le papi se leva et s’appuya sur mes épaules de façon à ce que je sois obligée de m’empaler de suite sur la verge tendue. Je gémissais de douleur, mais je dus vite faire des vas et viens sur la bite.
- Huum… Haan… Ouii… Huumm… Oooh… Haan… couinais-je.
- Cochonne ! Salope ! T’es une pute… Chienne… dis le que t’es notre esclave !
- Ohh ouiii… je suis… une pute… Je suis… Huuum… une chienne… Oooh… C’est bon !! gémissais-je.
Le papi me fit pencher sur le torse de l’homme et il me planta sa bite dans l’anus. Il me burina fort, j’avais mal, je gémissais de douleur mais aussi le plaisir montait rapidement. Le troisième homme s’était approché et tant bien que mal, je lui léchais le gland. Ma bave coulait le long de mon cou. Ils me tiraient les tétons, soupesaient mes seins, les malaxaient. J’étais comblée. Je souffrais aussi, mais l’humiliation provoquait un grand plaisir. Ensuite ils échangèrent de position. Ils trouvaient que je n’étais pas assez punie certainement. A ce moment là j’eus très peur car deux d’entre eux me firent une double pénétration mais dans le même orifice. Mon vagin. Mon anus en feu était tranquille, mais mon vagin serré recevait deux énormes bites qui m’écartelèrent. C’était l’ultime chose que je devais subir cette soirée.
PS : Quand je raconte ce récit, je dois dire que malgré les descriptions un peu violentes, ce sont des actes partagés et consentis, mis au point à l’avance. Il est rare que je sois dans ce rôle de soumise. Ma soumission je peux la stopper net à tout moment, j’aime aussi bien les soirées cochonnes que les relations beaucoup plus affectueuses que j’ai avec mon amant attitré. J’espère que ces récits vous plaisent quand même, et à bientôt.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je reverais de me faire defoncer comme toi
J'aimerais êtres a ta place me faire humiliée, maltraitée comme ça mmmh
Vos récits sont un délice et ne vous inquiétez pas, vous n'êtres pas la seule a vivre ce
genre d'expériences. En tant que personne "de l'autre côté du miroir" si vous comprenez,
je peux vous dire que nous savons faire attention a vous tout en faisant ressortir vos
fantasmes ainsi enfouis.
genre d'expériences. En tant que personne "de l'autre côté du miroir" si vous comprenez,
je peux vous dire que nous savons faire attention a vous tout en faisant ressortir vos
fantasmes ainsi enfouis.
superbe récit continues