Au grand air
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Au grand air
Un autre moment du confinement… Nous étions là, tous les trois - Rémi, Paulo et moi – à lire tranquillement dans le salon par un chaud après midi de ce printemps décidément pas ordinaire. On était tous absorbé par ce qu’on lisait ce qui n’empêchait pas toutefois les mains ou les jambes baladeuses. On n’a jamais pu rester longtemps les uns à côté des autres sans se toucher, se caresser, s’embrasser - souvent -. C’est qu’on se désire encore très fort tous les trois.
Paulo, cela fait des années qu’on est ensemble. Oui mais avec beaucoup de longues éclipses dues à son métier qui lui fait courir le monde. Rémi est entré dans nos vies il y a un peu plus d’un an. Il faut surtout dire que, tous les trois, on est surtout porté très fortement sur le sexe. Il ne se passe pas une journée sans que l’on ne fasse l’amour - et même souvent plusieurs fois si on inclue la nuit -. Au fur et à mesure que l’après midi avançait, la chaleur grimpait. Alors, tout à trac, Rémi nous lança :« -Hé ! Les garçons. Et si on allait se rafraichir à la rivière ?
-C’est vrai ça, pourquoi pas ? »Pas le temps de le dire, on est déjà dans la voiture avec serviettes et maillots. On sait où on va. On a, depuis quelques temps déjà, repéré un endroit impec à quarante cinq minutes de la ville, le long d’une belle rivière, au bout d’un chemin de terre, au milieu de nulle part. Comme il fait super chaud, on est déjà tous en maillots dans la voiture.
Je conduis. Paulo est à côté de moi et Rémi derrière. Distraitement, Paulo a posé sa main sur mon slip…Rémi, lui, agace les cheveux de Paulo par l’arrière…Arrivera-t-on à destination ou faudra-t-il faire une pause avant ? Ca rigole, ça chante, ça se caresse… A un moment, Paulo, détache sa ceinture et plonge sa tête sur mon slip, carrément. J’arrive toutefois à garder la trajectoire de la voiture ! Très vite, il se met à fourrager dans mon slip pour en extraire ma bite bandée et il commence aussitôt à m’agacer le gland.
Rémi, intéressé, se rapproche entre les deux sièges pour mieux voir. Je vous dis pas les coups de klaxon des routiers qui nous croisent… Ca dure ainsi un bon moment mais Rémi réclame sa part. Alors Paulo le rejoint à l’arrière. A genoux sur la banquette, face à face, ils vont ainsi se caresser, s’embrasser, se sucer à gogo…Mais, nous voilà arrivés à destination. L’endroit est toujours aussi tranquille et idyllique. Personne à l’horizon. C’est vrai qu’il faut vraiment connaître. A peine le temps de se garer que Rémi et Paulo sont déjà dans la rivière.
« -Wouah ! Viens vite ! Elle est super bonne ! »C’est vrai qu’elle est parfaite. Ni trop chaude, ni trop froide. Bien claire, avec un bon courant. Le niveau de l’eau est encore assez haut. On a de l’eau jusqu’à la taille.
Alors, pendant plus d’une heure, les trois gosses vont s’en donner à cœur joie. Et c’est vrai qu’on redevient vite des enfants dans des circonstances pareilles. Malgré nos âges, a-t-on vraiment complètement quitté l’enfance ? Ce ne sont que plongeons, cris, éclaboussements, empoignades, courses, apnées… On se dépense sans compter dans la bonne humeur partagée. Un peu crevés, on remonte sur la berge. On installe nos serviettes en un grand carré sur la belle herbe, on retire nos maillots et on se met en étoile, nos trois têtes proches les unes des autres. On se laisse sécher et griller par le chaud soleil. On ne dit plus rien. On s’assoupit même par moments. On est trop bien.
L’été n’est pas encore commencé mais Rémi et moi on est déjà pas mal hâlés, intégralement. Paulo, on n’en parle pas , c’est sa couleur naturelle. C’est alors qu’on entend un bruit. Tiens, sur le chemin de terre, on dirait bien qu’un tracteur s’approche, dans un nuage de poussière. C’est vrai que, la campagne est aussi un lieu de travail. Le tracteur passe à proximité en klaxonnant. Le chauffeur nous fait un signe de la main.
« -Dis donc, ils sont tous comme ça maintenant les paysans à la campagne ? » demande Rémi.
C’est vrai que celui qu’on vient de voir passer était plutôt un beau spécimen. Jeune, en short, bien bâti, très très hâlé… C’est vrai que, s’il s’était arrêté, on aurait causé bien volontiers. On continue notre sieste. Deviendra-t-elle crapuleuse ? Probablement… Paulo, lui, pour une fois, a sombré complètement dans les bras de Morphée. Allongé sur le dos, complètement nu, il offre un fabuleux spectacle. Rémi, lui, commence à frétiller. Il me chuchote à l’oreille, pour ne pas réveiller Paulo :« -J’aimerais essayer de te sucer sous l’eau… Et plus, si affinités ! »Pas de problèmes. Ca peut s’envisager. On file tous les deux dans la rivière. Cette perspective me fai déjà bander comme un ours. Je choisis un endroit où j’ai de l’eau jusqu’à la taille, j’écarte les jambes et je laisse faire Rémi, amusé. Il prend une profonde inspiration, me fait un signe de la main et disparaît sous l’eau. Aussitôt, je sens ses lèvres sur mon gland…Agréable ! La sensation est complètement différente, plus…diluée ! En tous cas, j’aime ! Oui mais, combien de temps Rémi va-t-il tenir ?
Mentalement je compte…J’arrive à 25 quand il émerge telle une bombe, à la recherche d’air. Deux, trois goulées et déjà, il replonge. Je l’encourage en empoignant sa tête. Il me fera ainsi cette gâterie une dizaine de fois. Je me dois bien de lui rendre la pareille. A mon tour de plonger à de multiples reprises pour le gober. Les dernières fois, j’ai même commencé à le doigter car j’ai en tête de le pénétrer sous l’eau. Toutes ces pipes nous ont bien excité tous les deux sans nous faire jouir.
Il n’a aucune objection à formuler, bien au contraire. On se redresse alors tous les deux et il se colle à moi, jambes bien écartées. L’eau remplace avantageusement le gel et je le pénètre facilement. Une fois complètement dans son ventre, il s’accroche à moi par la taille et, grâce à la poussée d’Archimède, on n’a aucun mal à rester ainsi, bien au contraire. Par jeu, on se laisse même dériver dans le courant, accrochés l’un à l’autre.
Trop coool ! On va ainsi échanger les rôles plusieurs fois sans jamais conclure complètement. On en profite aussi largement pour s’embrasser avec fougue. Rémi adore embrasser. Ce qu’il fait très bien, d’ailleurs. A un moment, on décide de remonter pour rejoindre Paulo qui a toujours l’air endormi.
Tiens, revoilà le tracteur qui s’annonce dans l’autre sens. Du coup, par pure provocation, on décide, en une fraction de seconde, de se remettre en étoile comme tout à l’heure mais, allongés sur le dos, exposant nos trois bites à sa vue en faisant semblant de dormir…Il s’approche…on perçoit nettement la décélération du moteur. Visiblement, il a ralenti pour profiter plus longtemps du spectacle. A travers nos yeux mi clos, on le voit qui regarde avec intensité. Ira-t-il jusqu’à s’arrêter ? Hé non, malheureusement…Le bruit du tracteur n’a même pas réveillé Paulo. Alors, avec Rémi, on décide de s’amuser un peu.
On décide de stimuler ses rêves - s’il en a -, pour les rendre les plus érotiques possible. On ne veut surtout pas le réveiller, juste le stimuler. Avec une infinie douceur, Rémi entreprend de lui lécher le plus doucement possible sa hampe du bout de sa langue.. Moi, je lui mets ma bite sous le nez pour le stimuler par l’odorat. Maintenant, Rémi lui titille très très légèrement le bout du gland à moitié décalotté – Paulo n’a JAMAIS la bite totalement au repos complet -. Rémi me fait signe de venir voir. Le méat de Paulo laisse échapper quelques gouttes de mouille et on voit sa bite se gonfler très doucement. Ca marche ! Paulo a l’air toujours endormi mais peut être fait-il semblant ?
On rigole silencieusement. Rémi se décide à le prendre en bouche, du bout des lèvres. La bite grossit encore. Je lui lèche doucement les couilles du bout de ma langue.
Maintenant, sa bite est pratiquement droite. Quel beau morceau ! D’une belle couleur, bien droite, fine, lisse. Sa toison, Paulo la laisse pousser un peu maintenant, tout en la maintenant assez rase et bien délimitée sur les côtés. Très esthétique en tous cas.
Je me décide à le branler très très légèrement du bout des doigts. Rémi, lui, s’enhardit à lui gober entièrement le gland mais sans pression aucune. Et Paulo qui dort toujours - ou qui fait très bien semblant -. Alors, pour le réveiller tout à fait, on décide de faire monter la pression à donf. Rémi lui fait une gorge profonde et moi je le branle énergiquement en le serrant pas mal. Ca ne rate pas. Paulo se réveille et se montre surpris mais enchanté de la situation. Il se montre aussitôt coopératif en empoignant nos deux bites et en les branlant puissamment. Toujours prêt Paulo ! Comme les scouts !
Charmant tableau bucolique. Il ne manquerait plus que notre cher paysan repasse une nouvelle fois…C’est alors que Paulo nous demande si ça nous dirait de lui faire une double pénétration.
Nous, on n’a rien contre. Il va chercher le flacon de gel dans la voiture. On se met à le préparer sérieusement en le doigtant à deux. Déjà deux doigts, puis trois, puis quatre.
Ca devrait aller. Rémi me demande s’il peut se placer au dessus de moi. Je ne peux rien refuser à Rémi. Je m’allonge, Paulo vient s’empaler puis Rémi, à califourchon sur moi, essaie de passer sa bite lui aussi. Ca prend un certain temps. On y va piano, on ne veut pas martyriser Paulo. Moi, de là où je suis, je peux indifféremment malaxer le cul de Paulo ou celui de Rémi. Je ne m’en prive pas. Rémi m’annonce qu’il a passé son gland. Le reste devrait aller aussi. Surtout que ce n’est pas sa première double à Paulo. Re gel et Rémi commence à progresser. Je sens sa bite coulisser lentement contre la mienne. Paulo souffle mais l’encourage fortement à continuer. Ca y est ! Il est au fond. Paulo se tortille sur nos deux queues. Je le branle régulièrement. Rémi commence à bouger et moi à me soulever pour le sodomiser à fond. Paulo nous supplie d’aller encore plus vite. Je vois son visage radieux.
« -Do you feel good, there ? You feel our dicks ? » ( Tu nous sens bien là ? Tu les sens nos bites ?)-Oh my god ! I feel them ! I love them ! FUCK ! FUCK ! FUCK ME HARD ! » ( Oh mon dieu !
Je les sens ! Je les aime ! Baisez moi ! Baisez moi de toutes vos forces )C’est ce qu’on va faire mon bon Paulo. Tes désirs sont des ordres. Et on se met à se déchaîner sur son trou, oubliant toute retenue. A chaque coup de bite, Paulo en redemande en criant. On y va à fond. Rémi jouit le premier longuement. Aussitôt, on échange nos places et je me remets à pilonner Paulo. Je sens la bite de Rémi qui débande un peu et qui me laisse plus de place pour coulisser. Surtout que son sperme lubrifie tout ça un max. Rémi a continué à branler Paulo. Il sait aussi que ce serait parfait s’il arrivait à le faire jouir APRES que j’ai joui. Mais Rémi, malgré son jeune âge, a beaucoup d’expérience dans les choses du sexe. On peut lui faire confiance. Je préviens Rémi que moi aussi, je vais bientôt venir. Alors, il se déchaîne à fond sur la bite de Paulo. Ca y est, j’inonde Paulo pour la deuxième fois. Il nous remercie en portugais. Rémi le branle à toute vitesse et, lui aussi, il inonde le visage de Rémi de jets puissants.
On retombe tous les trois, rassasiés. On reste ainsi un bon moment à récupérer sous le soleil. Puis on repart à la rivière pour une nouvelle séance de jeux et aussi pour se nettoyer.
Un bel après midi, au grand air !
Paulo, cela fait des années qu’on est ensemble. Oui mais avec beaucoup de longues éclipses dues à son métier qui lui fait courir le monde. Rémi est entré dans nos vies il y a un peu plus d’un an. Il faut surtout dire que, tous les trois, on est surtout porté très fortement sur le sexe. Il ne se passe pas une journée sans que l’on ne fasse l’amour - et même souvent plusieurs fois si on inclue la nuit -. Au fur et à mesure que l’après midi avançait, la chaleur grimpait. Alors, tout à trac, Rémi nous lança :« -Hé ! Les garçons. Et si on allait se rafraichir à la rivière ?
-C’est vrai ça, pourquoi pas ? »Pas le temps de le dire, on est déjà dans la voiture avec serviettes et maillots. On sait où on va. On a, depuis quelques temps déjà, repéré un endroit impec à quarante cinq minutes de la ville, le long d’une belle rivière, au bout d’un chemin de terre, au milieu de nulle part. Comme il fait super chaud, on est déjà tous en maillots dans la voiture.
Je conduis. Paulo est à côté de moi et Rémi derrière. Distraitement, Paulo a posé sa main sur mon slip…Rémi, lui, agace les cheveux de Paulo par l’arrière…Arrivera-t-on à destination ou faudra-t-il faire une pause avant ? Ca rigole, ça chante, ça se caresse… A un moment, Paulo, détache sa ceinture et plonge sa tête sur mon slip, carrément. J’arrive toutefois à garder la trajectoire de la voiture ! Très vite, il se met à fourrager dans mon slip pour en extraire ma bite bandée et il commence aussitôt à m’agacer le gland.
Rémi, intéressé, se rapproche entre les deux sièges pour mieux voir. Je vous dis pas les coups de klaxon des routiers qui nous croisent… Ca dure ainsi un bon moment mais Rémi réclame sa part. Alors Paulo le rejoint à l’arrière. A genoux sur la banquette, face à face, ils vont ainsi se caresser, s’embrasser, se sucer à gogo…Mais, nous voilà arrivés à destination. L’endroit est toujours aussi tranquille et idyllique. Personne à l’horizon. C’est vrai qu’il faut vraiment connaître. A peine le temps de se garer que Rémi et Paulo sont déjà dans la rivière.
« -Wouah ! Viens vite ! Elle est super bonne ! »C’est vrai qu’elle est parfaite. Ni trop chaude, ni trop froide. Bien claire, avec un bon courant. Le niveau de l’eau est encore assez haut. On a de l’eau jusqu’à la taille.
Alors, pendant plus d’une heure, les trois gosses vont s’en donner à cœur joie. Et c’est vrai qu’on redevient vite des enfants dans des circonstances pareilles. Malgré nos âges, a-t-on vraiment complètement quitté l’enfance ? Ce ne sont que plongeons, cris, éclaboussements, empoignades, courses, apnées… On se dépense sans compter dans la bonne humeur partagée. Un peu crevés, on remonte sur la berge. On installe nos serviettes en un grand carré sur la belle herbe, on retire nos maillots et on se met en étoile, nos trois têtes proches les unes des autres. On se laisse sécher et griller par le chaud soleil. On ne dit plus rien. On s’assoupit même par moments. On est trop bien.
L’été n’est pas encore commencé mais Rémi et moi on est déjà pas mal hâlés, intégralement. Paulo, on n’en parle pas , c’est sa couleur naturelle. C’est alors qu’on entend un bruit. Tiens, sur le chemin de terre, on dirait bien qu’un tracteur s’approche, dans un nuage de poussière. C’est vrai que, la campagne est aussi un lieu de travail. Le tracteur passe à proximité en klaxonnant. Le chauffeur nous fait un signe de la main.
« -Dis donc, ils sont tous comme ça maintenant les paysans à la campagne ? » demande Rémi.
C’est vrai que celui qu’on vient de voir passer était plutôt un beau spécimen. Jeune, en short, bien bâti, très très hâlé… C’est vrai que, s’il s’était arrêté, on aurait causé bien volontiers. On continue notre sieste. Deviendra-t-elle crapuleuse ? Probablement… Paulo, lui, pour une fois, a sombré complètement dans les bras de Morphée. Allongé sur le dos, complètement nu, il offre un fabuleux spectacle. Rémi, lui, commence à frétiller. Il me chuchote à l’oreille, pour ne pas réveiller Paulo :« -J’aimerais essayer de te sucer sous l’eau… Et plus, si affinités ! »Pas de problèmes. Ca peut s’envisager. On file tous les deux dans la rivière. Cette perspective me fai déjà bander comme un ours. Je choisis un endroit où j’ai de l’eau jusqu’à la taille, j’écarte les jambes et je laisse faire Rémi, amusé. Il prend une profonde inspiration, me fait un signe de la main et disparaît sous l’eau. Aussitôt, je sens ses lèvres sur mon gland…Agréable ! La sensation est complètement différente, plus…diluée ! En tous cas, j’aime ! Oui mais, combien de temps Rémi va-t-il tenir ?
Mentalement je compte…J’arrive à 25 quand il émerge telle une bombe, à la recherche d’air. Deux, trois goulées et déjà, il replonge. Je l’encourage en empoignant sa tête. Il me fera ainsi cette gâterie une dizaine de fois. Je me dois bien de lui rendre la pareille. A mon tour de plonger à de multiples reprises pour le gober. Les dernières fois, j’ai même commencé à le doigter car j’ai en tête de le pénétrer sous l’eau. Toutes ces pipes nous ont bien excité tous les deux sans nous faire jouir.
Il n’a aucune objection à formuler, bien au contraire. On se redresse alors tous les deux et il se colle à moi, jambes bien écartées. L’eau remplace avantageusement le gel et je le pénètre facilement. Une fois complètement dans son ventre, il s’accroche à moi par la taille et, grâce à la poussée d’Archimède, on n’a aucun mal à rester ainsi, bien au contraire. Par jeu, on se laisse même dériver dans le courant, accrochés l’un à l’autre.
Trop coool ! On va ainsi échanger les rôles plusieurs fois sans jamais conclure complètement. On en profite aussi largement pour s’embrasser avec fougue. Rémi adore embrasser. Ce qu’il fait très bien, d’ailleurs. A un moment, on décide de remonter pour rejoindre Paulo qui a toujours l’air endormi.
Tiens, revoilà le tracteur qui s’annonce dans l’autre sens. Du coup, par pure provocation, on décide, en une fraction de seconde, de se remettre en étoile comme tout à l’heure mais, allongés sur le dos, exposant nos trois bites à sa vue en faisant semblant de dormir…Il s’approche…on perçoit nettement la décélération du moteur. Visiblement, il a ralenti pour profiter plus longtemps du spectacle. A travers nos yeux mi clos, on le voit qui regarde avec intensité. Ira-t-il jusqu’à s’arrêter ? Hé non, malheureusement…Le bruit du tracteur n’a même pas réveillé Paulo. Alors, avec Rémi, on décide de s’amuser un peu.
On décide de stimuler ses rêves - s’il en a -, pour les rendre les plus érotiques possible. On ne veut surtout pas le réveiller, juste le stimuler. Avec une infinie douceur, Rémi entreprend de lui lécher le plus doucement possible sa hampe du bout de sa langue.. Moi, je lui mets ma bite sous le nez pour le stimuler par l’odorat. Maintenant, Rémi lui titille très très légèrement le bout du gland à moitié décalotté – Paulo n’a JAMAIS la bite totalement au repos complet -. Rémi me fait signe de venir voir. Le méat de Paulo laisse échapper quelques gouttes de mouille et on voit sa bite se gonfler très doucement. Ca marche ! Paulo a l’air toujours endormi mais peut être fait-il semblant ?
On rigole silencieusement. Rémi se décide à le prendre en bouche, du bout des lèvres. La bite grossit encore. Je lui lèche doucement les couilles du bout de ma langue.
Maintenant, sa bite est pratiquement droite. Quel beau morceau ! D’une belle couleur, bien droite, fine, lisse. Sa toison, Paulo la laisse pousser un peu maintenant, tout en la maintenant assez rase et bien délimitée sur les côtés. Très esthétique en tous cas.
Je me décide à le branler très très légèrement du bout des doigts. Rémi, lui, s’enhardit à lui gober entièrement le gland mais sans pression aucune. Et Paulo qui dort toujours - ou qui fait très bien semblant -. Alors, pour le réveiller tout à fait, on décide de faire monter la pression à donf. Rémi lui fait une gorge profonde et moi je le branle énergiquement en le serrant pas mal. Ca ne rate pas. Paulo se réveille et se montre surpris mais enchanté de la situation. Il se montre aussitôt coopératif en empoignant nos deux bites et en les branlant puissamment. Toujours prêt Paulo ! Comme les scouts !
Charmant tableau bucolique. Il ne manquerait plus que notre cher paysan repasse une nouvelle fois…C’est alors que Paulo nous demande si ça nous dirait de lui faire une double pénétration.
Nous, on n’a rien contre. Il va chercher le flacon de gel dans la voiture. On se met à le préparer sérieusement en le doigtant à deux. Déjà deux doigts, puis trois, puis quatre.
Ca devrait aller. Rémi me demande s’il peut se placer au dessus de moi. Je ne peux rien refuser à Rémi. Je m’allonge, Paulo vient s’empaler puis Rémi, à califourchon sur moi, essaie de passer sa bite lui aussi. Ca prend un certain temps. On y va piano, on ne veut pas martyriser Paulo. Moi, de là où je suis, je peux indifféremment malaxer le cul de Paulo ou celui de Rémi. Je ne m’en prive pas. Rémi m’annonce qu’il a passé son gland. Le reste devrait aller aussi. Surtout que ce n’est pas sa première double à Paulo. Re gel et Rémi commence à progresser. Je sens sa bite coulisser lentement contre la mienne. Paulo souffle mais l’encourage fortement à continuer. Ca y est ! Il est au fond. Paulo se tortille sur nos deux queues. Je le branle régulièrement. Rémi commence à bouger et moi à me soulever pour le sodomiser à fond. Paulo nous supplie d’aller encore plus vite. Je vois son visage radieux.
« -Do you feel good, there ? You feel our dicks ? » ( Tu nous sens bien là ? Tu les sens nos bites ?)-Oh my god ! I feel them ! I love them ! FUCK ! FUCK ! FUCK ME HARD ! » ( Oh mon dieu !
Je les sens ! Je les aime ! Baisez moi ! Baisez moi de toutes vos forces )C’est ce qu’on va faire mon bon Paulo. Tes désirs sont des ordres. Et on se met à se déchaîner sur son trou, oubliant toute retenue. A chaque coup de bite, Paulo en redemande en criant. On y va à fond. Rémi jouit le premier longuement. Aussitôt, on échange nos places et je me remets à pilonner Paulo. Je sens la bite de Rémi qui débande un peu et qui me laisse plus de place pour coulisser. Surtout que son sperme lubrifie tout ça un max. Rémi a continué à branler Paulo. Il sait aussi que ce serait parfait s’il arrivait à le faire jouir APRES que j’ai joui. Mais Rémi, malgré son jeune âge, a beaucoup d’expérience dans les choses du sexe. On peut lui faire confiance. Je préviens Rémi que moi aussi, je vais bientôt venir. Alors, il se déchaîne à fond sur la bite de Paulo. Ca y est, j’inonde Paulo pour la deuxième fois. Il nous remercie en portugais. Rémi le branle à toute vitesse et, lui aussi, il inonde le visage de Rémi de jets puissants.
On retombe tous les trois, rassasiés. On reste ainsi un bon moment à récupérer sous le soleil. Puis on repart à la rivière pour une nouvelle séance de jeux et aussi pour se nettoyer.
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