Au Restaurant
Récit érotique écrit par Patricia rousse et pulpeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2005 dans la catégorie Plus on est
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Au Restaurant
Mon prénom est Patricia, je suis mariée depuis 10 ans avec 3 merveilleux enfants et un mari que j’aime. Mon bonheur est presque parfais, sauf peut être depuis mes 35 ans une obsession permanente. Cette obsession prend des formes diverses la première fois que cela m’est arrivé j’étais assise à la terrasse de ce café. Je regardais passez les gens en sirotant un perrier. La journée était belle pour une journée d’automne. Vêtue d’une grande jupe rouge et d’un pull bordeaux en strech très décolleté, ma poitrine voluptueuse attirait un grand nombre de regards. Assis à la table à coté un groupe de 5 hommes plaisantaient tout en tournant des regards avides vers moi. Je me sentais désirée et troublée. J’avais un besoin de plaire à tout prix et quel qu’en soit le prix à payer. L’un d’eux se décida à faire plus ample connaissance et s’attabla. La conversation fut d’abord assez froide pour tourner vers le mondain. Très rapidement je me sentis en confiance et accepta de rejoindre la table. Ce fut très amicale ces hommes étaient drôles et charmants et me complimentaient sur ma beauté. Je buvais beaucoup de champagne et me sentait très bien dans ma peau. Ils m’invitèrent alors au restaurant. Au restaurant entouré de ces hommes qui continuaient de me flatter. La main de mon voisin de droite se glissa en dessous de la table et se posa sur mon genoux. Je tentais de repousser l’audacieux qui recommença de plus belle. Durant plusieurs minutes nous jouâmes ainsi. A chaque tentative il devenait plus audacieux. Il réussit enfin à glisser sa main en dessous de ma jupe qu’il avait faite remonter jusqu’au haut de mes cuisses. Il me caressa alors les genoux et remonta sur le haut de mes cuisses en laissant glisser sa main sur mes bas. Mon souffle était fort sous la pression de cette main qui me malaxait les cuisses. Mon voisin de gauche qui n’était pas dupe du manège se hasarda aussi à ce petit jeu. Je décidais de ne pas résister en attendant avec impatience la fin du repas afin de pouvoir échapper à ces deux curieux. Mes fantasmes prenaient formes et consistance, plus loin que je ne l’imaginais. Les caresses se faisaient de plus en plus fortes. L’homme de droite décida de monter plus haut. Il découvrit en continuant à monter sa main que je portais des portes jarretelles ce qui l’excita encore plus. Il monta jusqu'à la culotte, il me passa un doigt en dessous de ma culotte de soie rouge. Je voulus l’en empêcher mais l’autre homme me pris la main de force et m’empêcha de me défendre. Il glissa son doigt dans mon sexe en alternant les mouvements forts et lents. Toute la table avait compris. Un des hommes assis en face de moi commença à me caresser les jambes avec ses pieds. J’avais compris que je serais le jouet de ces 5 hommes et que je ne pourrais rien faire tant qu’ils n’auraient pas atteint leurs plaisirs. A ce moment l’homme de gauche me pris la main et la dirigea vers son entre jambe. Il me contraignit à lui malaxer le sexe que je sentais durcir sous ma main. La peur, la surprise, le désir, et surtout la présence de ces mâles qui me voulaient, m’excitaient, ma culotte était trempée bien que toujours occupée par la main de mon nouvel amant. Un des hommes dit
« Je crois que pour le dessert on a trouvé ce qu’il nous faut ».
La conversation commença à devenir plus torride.
- Tu crois que c’est une bonne lécheuse?
- En tout cas elle est trempée
L’homme qui avait enfoui son doigt dans mes parties les plus intimes décida de pousser l’expérience plus loin. Il prit ma tête et me pencha de force vers son sexe.
« Sort la moi et suce moi la ».
J’essayais de résister mais l’homme de gauche m’empêchait de me relever. Je sortis le pénis de cet homme et l’engloutis tout entier. Il était énorme et je crus étouffer. Je le suçais tout en alternant avec les coups de langue sur le gland. L’homme m’arrêta, me releva et dit
« Payons l’addition, on va la terminer ailleurs ».
Ils payèrent et sortirent du restaurant. J’avais un homme de chaque coté qui me tenait un bras. Ils m’emmenèrent vers un parking dans lequel un renault espace nous attendait. Ils ouvrirent la voiture. 2 hommes montèrent devant les 3 autres se mirent à l’arrière, m’entourant. Tout s’accéléra. Un des 3 se mis à me caresser les seins au travers de mon pull en strech. L’autre avait à nouveau remonté ma jupe, laissant apparaître mes portes jarretelles bordeaux. Je vis que un des deux hommes devant avait sorti un caméscope et qu’il me filmait. Ils écartèrent mon décolleté pour faire sortir mes deux gros seins (3 accouchements aident à devenir voluptueuse). D’un geste violent, ils m’arrachèrent mon soutien gorge bordeaux. Je poussais un cri mais les hommes me maintenaient. Ils me malaxaient les seins. Un des hommes passa devant moi et sorti son sexe. Son sexe était énorme et dressé. J’eu un mouvement de recul. Il se pencha vers moi et le plaça entre mes deux seins et me dit
« malaxe-moi la bitte avec tes deux miches ma belle »
Je lui coinçais son sexe et pétrit ce bel appareil entre mes seins. Ma poitrine serrait ce sexe tendu, dégoulinant de plaisir. Sa bitte coulissait entre mes deux grosses miches de plus en plus rapidement. Ce coulissement s’accélérez
« ohhh cochonne vas y branle moi-la pétrit moi la »
« t’aime ca salope ».
Pendant ce temps, l’autre homme me violait mon intimité, me caressant la chatte à pleine main au travers de ma culotte. Il jouit très rapidement sur mes seins et m’inonda d'une traînée blanche sur mon pull bordeaux. Il me força à le prendre en bouche afin d’essuyer ce sexe humide. J’avalais les dernières gouttes et léchais entièrement le membre de bas en haut. Le second décida de pousser un peu plus loin le jeu, il me retourna, me couchant sur ses genoux, les fesses en hauteur. Après avoir remonté ma jupe, il me palpa les fesses à pleines mains. Afin de les exciter d’avantage, Je voulus crier, mais l’autre homme me bâillonna avec sa main. Il me coinça la culotte dans la raie des fesses, laissant mes fesses offertes. Elles étaient bien rondes et appelaient au plaisir. Il m’appliqua une grande claque sur les fesses, je criais, essayant de me débattre, ayant constaté que cela augmentait leurs désirs. Mais me tenant fermement, il me fessa avec force. Les claques résonnaient dans la voiture sous l’œil envieux du cameraman. A la fin de la fessée, il me repoussa afin que je sois en position de prendre sa bitte dans la bouche. J’enfouis ce sexe à nouveau dans ma bouche qui était gonflé et rempli de désir. Me tenant fermement par les cheveux, je pompais goulûment le sexe de mon agresseur. Pendant que je le léchais, il me palpait les nichons débordant de mes vêtements humides encore du sperme de l’homme précédent. Les coups de langue combinés avec les caresses s’accéléraient, l’homme gémissait sous l’impulsion de ma langue.
« humm vas y grosse salope lèche moi, t’es une experte, haaa c’est bon, t’es une bonne lécheuse »,
« t’aime que je te pétrisse tes nibards cochonne « .
Je n’en pouvais plus, la bouche envahie par ce sexe énorme, Je voulu me libérer mais il me tenait toujours la tête par les cheveux, la maintenant sur son sexe
« non je vous en prie, laissez moi, arrêtez je ne veux plus, prennez moi maintenant, donnez moi vos sexes».
« Tais-toi, cela ne fait que commencer salope.».
J’absorbais complètement et goulûment ce bâton de chair. N’en pouvant plus, l’homme sorti de ma bouche et se masturba à hauteur de mon visage. Il m’inonda de son sperme sur le visage, m’obligeant à avaler le liquide blanc. J’avalais tout en lui léchant le gland pour ne rien laisser. Pendant ce temps, le conducteur avait amené la voiture dans un petit bois à la sortie de la ville. Il stoppa et ouvrit la porte arrière, j'etais en train de finir d’avaler la semence de son partenaire. Le conducteur me demanda de sortir de la voiture, il me retourna contre la voiture, me souleva sa jupe. Mes cuisses hautes où glissaient des bas soutenus par des portes jarretelles me rendaient terriblement attirante. Avec force il m’arracha ma culotte encore coincée dans la raie des fesses. Le bruit de la soie déchirée provoqua une terrible érection chez l’homme qui, sans précaution, enfonça son sexe violemment en moi.
« T’es une bouffeuse de bitte saloperie »
Il me martela de son sexe en me donnant des grandes claques sur ma croupe. Mes fesses étaient rougissantes. Le bruit retentissait dans le bois, ainsi que les gémissements. Je criais
« Plus vite, pitié, ohhh c'est bon, j’en peux plus, joui en moi vite ».
Il accéléra les mouvements de va et vient. Avec sa cravate il me ligota les bras. Je ne pouvais plus me défendre (si telle en avait été mon attention). Le cameramen me plaça ma culotte déchirée dans la bouche afin de me bâillonner. IL me poussa dans la voiture où le dernier homme m’attendait pour me prendre par devant
« vient la grosse salope, on va te prendre par tous les trous comme une chienne, une cochonne».
Je m’empalais sur le sexe qui commença à me ramoner, les vas et vient s’accéléraient pendant que l’autre homme ouvrait son chemin par l’autre coté. Je n’avais jamais été sodomisée et j'étais très étroite. Il m’écarta les fesses et enfonça son doigt en écartant l’orifice anal. Il sortit son doigt pour y introduire son sexe. Ma culotte me servant de bâillon ne suffisait plus à étouffer mes cris de plaisir. Je fus alors prise comme une chienne. Mes fesses tendues en avant, coulissant sur le sexe humide, excitaient terriblement l’homme qui enfonça son sexe dans mon anus. Je fus sodomisée d’un coup sans précaution.
« T ‘aime cela cochonne qu’on t’encule c’est bon heinn ».
Pendant plus de 20 minutes , il me ramonèrent comme des bêtes. La douleur avait fait place au plaisir. Ils me palpaient les seins.
« T’as des grosses miches de grosse vache »
« t’es une sacré baiseuse, t’aime cela de te faire limer et prendre en sandwich cochonne ».
Ils se retirent afin de jouir sur mon visage et mes seins. J’avalais une grosse quantité de sperme. Se fut pour moi une expérience extraordinaire que je savais n’être que la première.
« Je crois que pour le dessert on a trouvé ce qu’il nous faut ».
La conversation commença à devenir plus torride.
- Tu crois que c’est une bonne lécheuse?
- En tout cas elle est trempée
L’homme qui avait enfoui son doigt dans mes parties les plus intimes décida de pousser l’expérience plus loin. Il prit ma tête et me pencha de force vers son sexe.
« Sort la moi et suce moi la ».
J’essayais de résister mais l’homme de gauche m’empêchait de me relever. Je sortis le pénis de cet homme et l’engloutis tout entier. Il était énorme et je crus étouffer. Je le suçais tout en alternant avec les coups de langue sur le gland. L’homme m’arrêta, me releva et dit
« Payons l’addition, on va la terminer ailleurs ».
Ils payèrent et sortirent du restaurant. J’avais un homme de chaque coté qui me tenait un bras. Ils m’emmenèrent vers un parking dans lequel un renault espace nous attendait. Ils ouvrirent la voiture. 2 hommes montèrent devant les 3 autres se mirent à l’arrière, m’entourant. Tout s’accéléra. Un des 3 se mis à me caresser les seins au travers de mon pull en strech. L’autre avait à nouveau remonté ma jupe, laissant apparaître mes portes jarretelles bordeaux. Je vis que un des deux hommes devant avait sorti un caméscope et qu’il me filmait. Ils écartèrent mon décolleté pour faire sortir mes deux gros seins (3 accouchements aident à devenir voluptueuse). D’un geste violent, ils m’arrachèrent mon soutien gorge bordeaux. Je poussais un cri mais les hommes me maintenaient. Ils me malaxaient les seins. Un des hommes passa devant moi et sorti son sexe. Son sexe était énorme et dressé. J’eu un mouvement de recul. Il se pencha vers moi et le plaça entre mes deux seins et me dit
« malaxe-moi la bitte avec tes deux miches ma belle »
Je lui coinçais son sexe et pétrit ce bel appareil entre mes seins. Ma poitrine serrait ce sexe tendu, dégoulinant de plaisir. Sa bitte coulissait entre mes deux grosses miches de plus en plus rapidement. Ce coulissement s’accélérez
« ohhh cochonne vas y branle moi-la pétrit moi la »
« t’aime ca salope ».
Pendant ce temps, l’autre homme me violait mon intimité, me caressant la chatte à pleine main au travers de ma culotte. Il jouit très rapidement sur mes seins et m’inonda d'une traînée blanche sur mon pull bordeaux. Il me força à le prendre en bouche afin d’essuyer ce sexe humide. J’avalais les dernières gouttes et léchais entièrement le membre de bas en haut. Le second décida de pousser un peu plus loin le jeu, il me retourna, me couchant sur ses genoux, les fesses en hauteur. Après avoir remonté ma jupe, il me palpa les fesses à pleines mains. Afin de les exciter d’avantage, Je voulus crier, mais l’autre homme me bâillonna avec sa main. Il me coinça la culotte dans la raie des fesses, laissant mes fesses offertes. Elles étaient bien rondes et appelaient au plaisir. Il m’appliqua une grande claque sur les fesses, je criais, essayant de me débattre, ayant constaté que cela augmentait leurs désirs. Mais me tenant fermement, il me fessa avec force. Les claques résonnaient dans la voiture sous l’œil envieux du cameraman. A la fin de la fessée, il me repoussa afin que je sois en position de prendre sa bitte dans la bouche. J’enfouis ce sexe à nouveau dans ma bouche qui était gonflé et rempli de désir. Me tenant fermement par les cheveux, je pompais goulûment le sexe de mon agresseur. Pendant que je le léchais, il me palpait les nichons débordant de mes vêtements humides encore du sperme de l’homme précédent. Les coups de langue combinés avec les caresses s’accéléraient, l’homme gémissait sous l’impulsion de ma langue.
« humm vas y grosse salope lèche moi, t’es une experte, haaa c’est bon, t’es une bonne lécheuse »,
« t’aime que je te pétrisse tes nibards cochonne « .
Je n’en pouvais plus, la bouche envahie par ce sexe énorme, Je voulu me libérer mais il me tenait toujours la tête par les cheveux, la maintenant sur son sexe
« non je vous en prie, laissez moi, arrêtez je ne veux plus, prennez moi maintenant, donnez moi vos sexes».
« Tais-toi, cela ne fait que commencer salope.».
J’absorbais complètement et goulûment ce bâton de chair. N’en pouvant plus, l’homme sorti de ma bouche et se masturba à hauteur de mon visage. Il m’inonda de son sperme sur le visage, m’obligeant à avaler le liquide blanc. J’avalais tout en lui léchant le gland pour ne rien laisser. Pendant ce temps, le conducteur avait amené la voiture dans un petit bois à la sortie de la ville. Il stoppa et ouvrit la porte arrière, j'etais en train de finir d’avaler la semence de son partenaire. Le conducteur me demanda de sortir de la voiture, il me retourna contre la voiture, me souleva sa jupe. Mes cuisses hautes où glissaient des bas soutenus par des portes jarretelles me rendaient terriblement attirante. Avec force il m’arracha ma culotte encore coincée dans la raie des fesses. Le bruit de la soie déchirée provoqua une terrible érection chez l’homme qui, sans précaution, enfonça son sexe violemment en moi.
« T’es une bouffeuse de bitte saloperie »
Il me martela de son sexe en me donnant des grandes claques sur ma croupe. Mes fesses étaient rougissantes. Le bruit retentissait dans le bois, ainsi que les gémissements. Je criais
« Plus vite, pitié, ohhh c'est bon, j’en peux plus, joui en moi vite ».
Il accéléra les mouvements de va et vient. Avec sa cravate il me ligota les bras. Je ne pouvais plus me défendre (si telle en avait été mon attention). Le cameramen me plaça ma culotte déchirée dans la bouche afin de me bâillonner. IL me poussa dans la voiture où le dernier homme m’attendait pour me prendre par devant
« vient la grosse salope, on va te prendre par tous les trous comme une chienne, une cochonne».
Je m’empalais sur le sexe qui commença à me ramoner, les vas et vient s’accéléraient pendant que l’autre homme ouvrait son chemin par l’autre coté. Je n’avais jamais été sodomisée et j'étais très étroite. Il m’écarta les fesses et enfonça son doigt en écartant l’orifice anal. Il sortit son doigt pour y introduire son sexe. Ma culotte me servant de bâillon ne suffisait plus à étouffer mes cris de plaisir. Je fus alors prise comme une chienne. Mes fesses tendues en avant, coulissant sur le sexe humide, excitaient terriblement l’homme qui enfonça son sexe dans mon anus. Je fus sodomisée d’un coup sans précaution.
« T ‘aime cela cochonne qu’on t’encule c’est bon heinn ».
Pendant plus de 20 minutes , il me ramonèrent comme des bêtes. La douleur avait fait place au plaisir. Ils me palpaient les seins.
« T’as des grosses miches de grosse vache »
« t’es une sacré baiseuse, t’aime cela de te faire limer et prendre en sandwich cochonne ».
Ils se retirent afin de jouir sur mon visage et mes seins. J’avalais une grosse quantité de sperme. Se fut pour moi une expérience extraordinaire que je savais n’être que la première.
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