Cadeau de Saint Valentin

- Par l'auteur HDS Patricia rousse et pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : Cadeau de Saint Valentin Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cadeau de Saint Valentin
En ce mercredi 14 février fête des amoureux, j’étais restée à la maison, prétextant une grosse migraine. Une fois seule je m’étais habillée. Ensemble Entracte Paris composé d’une jupe moulante grise et d’un pull tout aussi moulant col en V violet. J’avais revêtis des dessous roses Lise Charmel avec porte-jarretelles assorti. J’attendais la visite de mon neveu (par alliance) Sébastien qui m’avait demandé ce rendez vous. Il sonna vers 10H.

- Salut Tantine, humm très élégante pour une migraineuse
- Ne commence pas avec tes blagues douteuses et entre vite. Je ne tiens pas à ce que tout le quartier sache que tu es venu.

Il entra, et me suivi jusque dans le salon. Juste avant de me retourner je le sentis se coller à moi.

- Humm Tantine ça fait bien longtemps….
- Laisses moi tranquille, soit un peu romantique que diable ce n’est pas la Saint Valentin ?
- Tu as raison d’ailleurs j’ai un petit cadeau pour toi

Il me remit alors un paquet cadeau, une boite rectangulaire. Déposant le paquet sur la table je l’ouvris immédiatement.

- Sébastien mais tu es complètement pervers que veux tu que je fasse de tout cet équipement ?

Il s’agissait d’une boite de sextoy spécial saint valentin, composé d’accessoires divers (menotte, étrange appareil devant servir de bâillon, plusieurs sexe de taille diverses…)

- Au travail Tata on a toute la matinée pour tout essayer…

Il était collé contre mon dos, ses mains s’étant saisie de mon corps qu’il poussait contre la table.

- Déballe moi d’abord le bâillon, et donne le moi.

Je le sorti de la boite et lui passai l’objet composé d’une boule, en latex rouge de taille moyenne et d’une sangle en cuir ajustable avec une boucle derrière la tête. Il me plaqua la boule dans la bouche, et m’enserra le visage avec la lanière.

- C’est comme ça que je t’aime. Choisi ton gode maintenant prends ton préféré et donne le moi.

Je choisi un vibromasseur nommé « Double Rabbit Pleasures Vibe ». Autour du membre principal, reproduisant de manière précise le sexe d’un homme se trouvait 2 ergots. Je lui passai l’instrument.

- Très bon choix, Tu vas adorer ce vibromasseur. Tandis que sa tête rotative à billes va te masser délicieusement les parois vaginales, les 2 ergots, le premier clitoridien, et l'autre anal, vont exercer une stimulation lors des vas et viens. Je pense que je vais te le placer en vitesse rapide.

Il releva ma jupe découvrant mes jambes et cuisses gainés de mes bas et soutenus de mes portes jartelles. Ecartant ma culotte il frotta son jouet à l’entrée de mon vagin. Je gémissais sous mon bâillon.

- Remue tes grosses fesses Tata, je veux te voir te trémousser comme une vraie chienne

J’obéis. Je remuais ma croupe d’avant en arrière ou de gauche à droite répondant au provocation de son jouet qu’il frottait contre mon entre cuisse. Tout doucement il enfila son instrument entre mes cuisses, délicatement, vu la taille de l’appareil. Une fois bien en place il s’amusa à remuer le godemiché en moi, pour m’exciter d’avantage. L’appareil m’envahissait entièrement. Connaissant Sébastien je savais qu’il ne retirerait son jouet qu’après avoir la certitude que j’avais jouie plusieurs fois. Cela l’amusait de me voir dans une telle position soumise et son excitation était aussi à son comble.

- Passe moi les menottes maintenant, ordonna t’il

Il m’emprisonna les poignets derrière le dos. Couchée sur le ventre contre la table sa boite de sex toy devant moi, ma jupe remontée, mon slip écartée j’étais bâillonnée menottée et envahie par un godemiché qui se mit a vibrer en moi de manière rapide et incessante. Pendant que son appareil s’occupait de moi, Sébastien me caressait les fesses avec ses mains. Pétrissant ma croupe de ses plaines mains comme malaxant une pâte, il laissait son instrument s’emparer de moi. Je me laissais entièrement aller aux stimulations de son gadget qui m’envahissait de toute part. De petites claques sur mes fesses me rappelaient régulièrement de mon devoir de remuer mon cul afin de maintenir l’excitation de Sébastien. Il s’était assis sur une chaise et me regarder de me faire posséder par son instrument pendant qu’il se masturbait. De temps en temps il se relevait et venait remuer le gode en moi, ou parfois le faisant ressortir afin de le renfoncer juste après. Mes yeux se perdaient, il me forçait à le regarder mais la stimulation était trop grande et je ne savais garder le contrôle de mon corps. Mes gémissements se faisant de plus en plus fort, il su capter le moment précis ou je me perdis dans une dernière stimulation envahie par la jouissance que me produisait son instrument. Il arrêta enfin les stimulations.

- C’est bien tata, tu es si belle quand tu jouis, me disait il en caressant mes fesses. Observons ce qui nous reste dans cette belle boite. Tiens donc occupons nous maintenant de ton opulente poitrine.

Il me retourna, et me fit asseoir sur la chaise. Ne pouvant me retirer mon pull du fait de mes menottes il le releva et baissa mes balconnets afin de faire apparaître mes seins. Il plaça alors ses stimulateurs de mamelons sur mes seins et les démarra. . Vibrant et disposant d’un système d'aspiration, chaque appareil englouti entièrement mes deux seins. Sébastien était passé entre mes cuisses ou sa langue venait lécher les restes du précédent jeu. J’avais donc mes cuisses au dessus de ses épaules les mains menottés derrière le dos et la chaise, une boule de latex rouge dans la bouche et une espèce de grosse ventouse m’enserrait la poitrine aspirant mes seins comme une vache entrain de se faire tirer du lait. Il savait que j’adorais cela et que j’allais sûrement de nouveau jouir. Combien d’assaut de la sorte allais je subir avant que Sébastien ait assouvi son désir. Mes jambes retombés de chaque coté de ses épaules, soulevées régulièrement par l’effet que faisait sa langue entre mes cuisses. Il me parcourait entièrement chaque partie intime de mon corps. Sa langue me fouillait, me léchait, me happait. Ses mains s’étaient glissées en dessous de mes fesses et me palpait ma croupe. Les deux vibromasseurs m’engloutissaient la poitrine. Mes énormes seins résonnaient au caractère mécanique de cette sucion permanente. J’allais à nouveau partir, mes yeux se perdant dans ce délire de jouissance et de caresse infini. Je cambrai mes hanches une dernière fois pour aller au devant de cette langue affamée qui me buvait depuis plusieurs minutes, hurlant de plaisir sous mon bâillon. Apres un ultime cri il me libéra de sa langue, et enleva ses vibromasseur. Qu’aillait y maintenant inventer. J’étais la sur cette chaise ravagée de plaisir attachée, libre à sa soumission. Je le vis se diriger vers la boite en carton. Qu’allait t’il donc faire ?

Il sorti une dernière boite revint près de moi et me lu la description : « Je suis un gadget qui devient vite indispensable ! En écartant les lèvres de ton vagin, positionne mon renflement à l'ouverture de ton sexe. Attaché à tes cuisses et à tes hanches, actionne alors mes vibrations variables pour atteindre l'extase. ». Il me releva et positionna son appareil à mes cuisses et mes hanches. Comme décrit la protubérance entra en moi et après son activation de douce sensation me reprit. Il m’emmena dans la chambre et me coucha sur le lit. Pendant que son appareil m’occupait de mon sexe, je sentis son membre pointer vers mon orifice anal. Il allait me sodomiser…

Il entra en moi me tenant les hanches. Son sexe s’enfonça entièrement dans mon anus.

- t’aime quand je t’encule tantine, c’est bon ça une dans chaque trou. Je vais te troncher jusqu'à ce que tu t’évanouisses grosse pute pleine de sperme. Dis moi que t’aime te faire défoncer la rondelle salope
- hummmmmmmmmmmmmmmmm
- Tu cries trop fort usine à foutre, je ne t’enlèverais pas ton bâillon. Bouge moi ton gros cul de bourgeoise allez plus vite.

Il était couché sur moi et me pilonnait de toute ses forces je n’en pouvais plus . Je sentais son sexe gros et dur taper on fond de mon rectum me sodomisant de toutes ses forces comme jamais.

- J’en peux plus Tatie enlève moi ton bâillon tu vas bouffer mon jus

Il me débarrassa de mon bâillon, et me releva. J’étais toujours attachée avec son gode en moi me tenant par les cheveux il se branla devant moi jusqu'à déverser de grande trace de foute sur mon visage. Il enfonça a nouveau son sexe au fond de ma bouche pour se nettoyer, et me libéra de tout appareil. Je m’effondrais sur le lit anéantie de plaisir et recouverte de sperme.

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