Paques au Balcon
Récit érotique écrit par Patricia rousse et pulpeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Paques au Balcon
<p>De retour chez moi, plusieurs semaines passèrent sans aucune nouvelle de ma belle mère. Enfin Sophie décida d’inviter ses parents pour fêter paques. Le repas se déroula dans la bonne humeur, Sophie ayant mis les petits plats dans les grands. A dessein je servis mes beaux parents en Vin de manière abondante. A la fin du repas Sophie et sa mère entreprirent de faire la vaisselle pendant que mon beau père et moi-même regardions le grand prix. Mon beau père s’endormit rapidement devant la télé sous l’effet du vin. Sophie entra dans le salon :
- As-tu pensé à ramener le plat à Backoeff de chez Sandrine
- Oups non j’ai complètement zappé
- Bon je lui téléphone et tu files le chercher
- Avec ce qu’il a bu c’est pas raisonnable renchérit ma Belle mère
- Tu as raison j’y vais moi, je dois pas en avoir pour plus de 20 minutes
Après avoir téléphoné, elle prit son sac son manteau nous laissant seul tous les 2 (oups pardon 3).
Patricia pardon – ma belle mère - s’installa sur le canapé au coté de mon beau père. Je l’a regardais et bandais comme un fou. Il fallait que je trouve un stratagème pour qu’on s’isole de mon beau père. J’aurais eu l’air fin si il devait se réveiller.
- Pourquoi me regardes tu ainsi
- Tu m’accompagnes pour une cigarette sur le balcon.
- Bonne idée un peu d’air frais
Nos sortîmes sur le bacon et nos installâmes dans le petite loggia pour nous abriter du vent. De ma position je garder un œil sur le canapé.
- Et bien cela fait bientôt 2 mois depuis Paris, sans aucune nouvelle
- Je ne me sentais pas très à l’aise je dois avouer
- Pourtant dans la chambre d’hôtel tu avais l’air très à ton aise
- Tu crois qu’une partie de jambe en l’air avec mon gendre ne me rend pas un peu coupable ?
- Peut être mais quelle partie ! Avoue que tu avais rarement jouie comme ça
- Prétentieux !!!
- Allez avoue moi que tu as aimé te faire prendre la dernière fois et que tu arrêtes pas d’y penser depuis. Je suis même sur que rien d’en parler tu dois être toute humide. Laisse moi vérifier …
Je m’approchais d’elle que se recula buttant contre la fenêtre du salon. De mes deux mains je relevais sa jupe découvrant pour l’occasion de magnifique bas soutenue par des portes jar telles de toutes beautés
- Ha je vois que madame s’est habillée en conséquence
- Non Arrête si mon mari se réveille il va nous trucider
- Avec ce qu’il a picolé y a rien à craindre, en plus tu en meurs d’envie, montre moi comme tu mouilles cochonne, je sens cela d’ici
Je passais ma main entre ses deux jambes lui malaxant la chatte sous sa culotte, mon autre main palpait ses gros seins au travers sa veste de tailleur entre ouverte. Très vite mes doigts passèrent sous la dentelle afin de visiter son intimité. Un doigt puis deux, je jouais avec sa fente tout en faisant aller et venir mes deux doigts dans sa chatte ouverte. Elle avait écarté ses jambes afin de me laisser le passage. Je la retournais afin qu’elle me présente ses fesses. Mes 2 doigts replongèrent dans sa fente.
- Surveille ton Mari pendant que je te termine cochonne, tu es trempée ma salope tu aimes vraiment ça hein ?
- Je t’en prie arrête Sophie va revenir, ohhh j’en peux plus tu me fais jouir, ahhh
Elle souffler de plus en plus vite, je continuais à jouer de sa fente tout en surveillant mon beau père. Je ne voulais pas la baiser juste la rendre dépendante, afin de disposer de son corps plus tard en toute tranquillité. Je décidais néanmoins de pousser le vice plus loin. Mon pouce écarta son slip ouvrant la voie à son petit trou. Je m’enfonçais doucement. Elle se mordait la main pour étouffer ses gémissements. Mes 2 doigts dans sa chatte pendant que mon pouce jouait de son anus. Je continuais plusieurs minutes. Ses seins se balançaient sous les coups de ma main, je la sentie jouir partir s’abandonner.
La porte de l’immeuble du garage claqua. Sophie venait de rentrer.
- Rhabille toi belle maman j’espère que tu seras sur Messenger lundi pour continuer notre discussion.
Je l’abandonnais défaite perdue hagarde. J’avais toutefois enlevé son string.
- Tu le récupéreras la prochaine fois si tu es bien sage.
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- As-tu pensé à ramener le plat à Backoeff de chez Sandrine
- Oups non j’ai complètement zappé
- Bon je lui téléphone et tu files le chercher
- Avec ce qu’il a bu c’est pas raisonnable renchérit ma Belle mère
- Tu as raison j’y vais moi, je dois pas en avoir pour plus de 20 minutes
Après avoir téléphoné, elle prit son sac son manteau nous laissant seul tous les 2 (oups pardon 3).
Patricia pardon – ma belle mère - s’installa sur le canapé au coté de mon beau père. Je l’a regardais et bandais comme un fou. Il fallait que je trouve un stratagème pour qu’on s’isole de mon beau père. J’aurais eu l’air fin si il devait se réveiller.
- Pourquoi me regardes tu ainsi
- Tu m’accompagnes pour une cigarette sur le balcon.
- Bonne idée un peu d’air frais
Nos sortîmes sur le bacon et nos installâmes dans le petite loggia pour nous abriter du vent. De ma position je garder un œil sur le canapé.
- Et bien cela fait bientôt 2 mois depuis Paris, sans aucune nouvelle
- Je ne me sentais pas très à l’aise je dois avouer
- Pourtant dans la chambre d’hôtel tu avais l’air très à ton aise
- Tu crois qu’une partie de jambe en l’air avec mon gendre ne me rend pas un peu coupable ?
- Peut être mais quelle partie ! Avoue que tu avais rarement jouie comme ça
- Prétentieux !!!
- Allez avoue moi que tu as aimé te faire prendre la dernière fois et que tu arrêtes pas d’y penser depuis. Je suis même sur que rien d’en parler tu dois être toute humide. Laisse moi vérifier …
Je m’approchais d’elle que se recula buttant contre la fenêtre du salon. De mes deux mains je relevais sa jupe découvrant pour l’occasion de magnifique bas soutenue par des portes jar telles de toutes beautés
- Ha je vois que madame s’est habillée en conséquence
- Non Arrête si mon mari se réveille il va nous trucider
- Avec ce qu’il a picolé y a rien à craindre, en plus tu en meurs d’envie, montre moi comme tu mouilles cochonne, je sens cela d’ici
Je passais ma main entre ses deux jambes lui malaxant la chatte sous sa culotte, mon autre main palpait ses gros seins au travers sa veste de tailleur entre ouverte. Très vite mes doigts passèrent sous la dentelle afin de visiter son intimité. Un doigt puis deux, je jouais avec sa fente tout en faisant aller et venir mes deux doigts dans sa chatte ouverte. Elle avait écarté ses jambes afin de me laisser le passage. Je la retournais afin qu’elle me présente ses fesses. Mes 2 doigts replongèrent dans sa fente.
- Surveille ton Mari pendant que je te termine cochonne, tu es trempée ma salope tu aimes vraiment ça hein ?
- Je t’en prie arrête Sophie va revenir, ohhh j’en peux plus tu me fais jouir, ahhh
Elle souffler de plus en plus vite, je continuais à jouer de sa fente tout en surveillant mon beau père. Je ne voulais pas la baiser juste la rendre dépendante, afin de disposer de son corps plus tard en toute tranquillité. Je décidais néanmoins de pousser le vice plus loin. Mon pouce écarta son slip ouvrant la voie à son petit trou. Je m’enfonçais doucement. Elle se mordait la main pour étouffer ses gémissements. Mes 2 doigts dans sa chatte pendant que mon pouce jouait de son anus. Je continuais plusieurs minutes. Ses seins se balançaient sous les coups de ma main, je la sentie jouir partir s’abandonner.
La porte de l’immeuble du garage claqua. Sophie venait de rentrer.
- Rhabille toi belle maman j’espère que tu seras sur Messenger lundi pour continuer notre discussion.
Je l’abandonnais défaite perdue hagarde. J’avais toutefois enlevé son string.
- Tu le récupéreras la prochaine fois si tu es bien sage.
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