Auto-stop

- Par l'auteur HDS Jimauv -
Récit érotique écrit par Jimauv [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Auto-stop Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Auto-stop
L'auto-stop peut procurer des surprises. Des rencontres inédites aussi.

J'étais sur une petite route de campagne et j'attendais qu'un automobiliste accepte de me prendre à son bord quand effectivement un coupé s'arrêta à ma hauteur.

Le conducteur me proposa de monter. Je mis ma valise dans son coffre et m'installai sur le siège passager. Plutôt beau mec, mince, des abdos visibles sous son tee-shirt moulant, brun aux yeux marrons, bref mon chauffeur était du genre très attirant.

Au bout de quelques kilomètres, il s'arrêta dans un chemin creux. Je pensais qu'il souhaitait simplement faire une pause, mais je compris rapidement de quelle type de pause il s'agissait.

J'ai aperçu un magazine dépasser de la poche de ta valise. C'est un magazine gay, je crois ?
Oui. Pourquoi, tu veux me faire descendre ? T'aime pas les homos ?
Non, en fait je suis abonné. J'ai reconnu la couverture. J'ai bien aimé l'article sur l'épilation intégrale. Je suis un adepte et cela m'a beaucoup servi. En fait, je suis content de t'avoir trouvé, si tu vois ce que je veux dire.

Effectivement, je voyais bien, en particulier la bosse qui commençait à grossir son pantalon au niveau de l'entre-jambes. Bien sur, j'eus immédiatement envie de toucher et pas seulement avec les yeux. Quand ma main commença à caresser la bosse en question, mon chauffeur fermait les yeux, un sourire aux lèvres, sa respiration se faisant plus rapide.
Suce-moi, j'adore cela.
Je libérais alors son membre de fort belle taille et commencais à titiller son gland du bout de ma langue. J'adorais son odeur virile et je me disais que j'allais lui procurer une pipe dont il se rappellerait.
Petit à petit, mes lèvres se son faites à leur tour caressantes, ma langue restant toujours active. Ma main agrippa son membre bien dressé par la base , je commençais les va-et-vient le long de sa hampe pour goûter à l'intégralité de la gourmandise qu'il me proposait, d'abord lentement, puis un peu plus vite. A sa respiration, je sentais le plaisir monter en lui, mais j'avais envie de le prolonger. Alors je me suis retiré et commençais à lécher son membre de haut en bas, m'arrêtant quelques instants pour chatouiller la base de son chibre à la naissance de ses couilles puis les gobais une à une.
Ma main remplaça alors ma langue et je commençais à le branler doucement,, ma bouche se contentant d'enserrer son gland et ma langue poursuivant son mouvement autour de celui-ci.
Il commença alors à bouger ses hanches d'avant en arrière. Je connaissais parfaitement ce stade. A chaque fois que je pratique une fellation ,c'est celui ou mon amant s’apprête à jouir. J'accélérais alors la caresse de ma main le long de son membre, et comme je m'y attendais, dans un râle, mon amant s'est libéré dans ma bouche d'un long et délicieux jet, crémeux comme je les aime.

Merci, me dit-il, tu suces divinement.
J'ai adoré le faire, tu as une queue superbe.

Nous reprîmes alors notre route. Mais nous n'avons pas fait plus de 50 kilomètres quand il s'arrêta de nouveau dans un coin légèrement en retrait de la route.

Tu sais , tu m'a fait énormément de bien tout-à-l'heure, je voudrais te rendre ce plaisir. Bon suceur comme tu es, tu dois aussi aimer te faire enculer ?
Je confirmais d'un grand sourire.

Nous descendîmes de la voiture, il se mit à m'embrasser puis passa directement aux choses sérieuses. Il défit ma ceinture fit descendre mon pantalon sur mes chevilles. Mon string suivit le même chemin. Il me fit m'appuyer contre le capot de la voiture et s'agenouilla derrière moi. Je sentis alors son souffle au niveau de mes fesses, pendant que sa main les malaxait. Son visage se rapprocha encore de mes fesses, je sentis alors sa langue chercher un passage et enfin atteindre mon petit trou. Sa caresse buccale sur mon anus fut d'abord légère, puis plus profonde. Pour l'aider, je me penchais au maximum en avant, me retrouvant quasi-allongé sur le capot. Sa caresse anale avait surtout l'avantage de lubrifier mon anus, le rendant prêt à accepter la sodomie qui allait venir.

Il se redressa, enfila une capote sur son membre bien raide et commença à titiller mon anus de son gland. A chaque fois qu'il revenait, la caresse était plus précisément orientée ; à sa troisième venue, il pointa directement sur mon anus. A chaque nouvelle caresse, il pénétrait un peu plus mon intimité, jusqu'enfin entrer complètement et n'avoir plus que la longueur (conséquente) de son membre entre mes fesses et son pubis. Longueur qu'il s'ingénia très vite à réduire, une première fois doucement, puis voyant que mon cul accueillait sa queue sans difficulté, avec des va-et-vient de plus en plus rapides et des mouvements de hanches vers l'avant de plus en plus amples.

Flac, flac, flac, faisaient ses cuisses contre mes fesses.

Hummm, vas-y, encule moi ! Put...n, c'est bon !

Mon plaisir ne tarda pas à monter de manière intense.

Mes gémissements s'accélérèrent au moment où lui aussi commença à gémir.

Jouis dans mon cul, j'en ai vraiment envie !

A ce moment-là, un bruit de moteur s'approcha. Mon amant se retira avant d'avoir joui, moi je n'avais eu qu'un ou deux orgasmes mais j'en espérais beaucoup plus.

De la voiture (un quatre-quatre low-cost avec un autocollant « police Municipale » sur le capot) descendit un homme plutôt costaud, en uniforme réglementaire.

Et bien que vois-je ? On se fait des petits plaisirs ?

Il sortit une paire de menottes, et m'attacha les deux mains à la galerie de sa voiture. Puis il prit sa matraque et commença à la passer entre mes fesses.

Le coin m'a l'air accueillant, on va voir jusqu'à quel point !

Et il commença à positionner la matraque entre mes fesses. Brutalement, il l'enfonça dans mon anus qui heureusement avait été assoupli par la sodomie profonde que je venais de subir. La matraque m'avait pénétré de plusieurs centimètres, quand soudain je sentis une claque sur mes fesses. Puis une autre. A chaque fois, mes fesses cherchaient à se contracter, mais la matraque me rappelait sa présence. La douleur était plus forte au niveau de mon anus que celle que me procurait la fessée du policier.

Au bout d'une quinzaine de fessées, mon petit trou avait pris l'habitude de l'objet, ne se contractait plus, mais il n'avait plus rein de « petit ». C'est à ce moment que le flic fit ressortir la matraque.

C'est bon, ton cul doit être très très accueillant, maintenant.

Il me détacha et m'amena derrière le coupé de mon premier amant qui se branlait pour maintenir son érection et attendait que la matraque eut fini son office.

Le flic sortit à son tour son membre énorme de son pantalon.

Tourne-toi, empale toi sur la queue de ton copain, m'ordonna le flic.

Toujours excité et en manque, espérant pouvoir arriver à l'orgasme suprême dont m'avait frustré l'arrivée inopinée du flic, et malgré le traitement que je venais de subir, je m'exécutais. Je pensais que le flic allait m'offrir sa queue à sucer en même temps, voire attendre pour me sodomiser ensuite, mais ce n'est pas du tout ce qu'il avait en tête.

Mon chauffeur s'allongea donc sur l'herbe et recommença ses allées et venues dans mon cul comme si rien n'avait eu lieu. Le flic, queue en érection habillée d'une capote dans la main, s'approcha et se mit à genoux devant moi. Saisissant mes chevilles, il souleva mes jambes. Mon chauffeur m'agrippa au niveau des genoux, pour maintenir ma position et laisser mon anus béant déjà rempli de sa queue à la vue du flic. Celui-ci lâcha mes chevilles, reprit sa queue en main et la positionna devant mon anus. D'une poussée brutale, il me pénétra à son tour. J' étais en train de me prendre deux queues en même temps dans le cul. Une première, et un fantasme enfin réalisé !

Le plaisir me fit très vite pousser des gémissements, puis de vrais cris de pucelle quand je sentis un orgasme dévastateur monter dans mes entrailles, la sensation passant de mon cul à ma queue, puis envahissant chaque fibre de mon corps. Je me mis à jouir d'un long jet au moment où mon chauffeur se libérait dans mon anus et que le flic, se retirant brusquement de mon cul, jouit à son tour d'une longue rasade de sperme qui arriva jusqu'au visage de mon chauffeur.

Nous reprîmes chacun notre route, mon chauffeur me laissa son numéro une fois arrivé à destination. l'expérience avait vraiment été inoubliable.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
merveilleux me rappelle un mec que j'avais embarqué a Québec et que j'avais emmené chez moi quel beau souvenir xx

Histoire Erotique
Hyper excitant , encore!



Texte coquin : Auto-stop
Histoire sexe : Une rose rouge
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