Trio magique - histoire érotique

Ce soir là, je suis allé au club échangiste habituel sans ma femme , occupée avec ses copines. Comme on ne se cache rien, elle sait où je suis, et j’ai carte blanche pour me faire du bien.

Attablé au bar, je vois s’approcher une jolie blonde, plutôt petite, la quarantaine charmante. Et directe !
- Salut, me dit-elle, moi c’est Sarah. Mon mari et moi sommes des occasionnels ici, et la dernière fois que je t’ai vu, c’était aussi la première fois que je voyais deux hommes baiser ensemble ! Pourtant d’habitude tu viens avec une femme. C’est une copine pour entrer en couple ou ta femme tu es bi ?
- Je suis bi, effectivement, ma femme le sait et elle me laisse vivre ma sexualité.
- J’aimerais que mon mari soit comme toi. Pour tout dire, j’ai couché avec une copine récemment, et j’ai très envie de recommencer régulièrement. Mais je pense qu’il ne comprendra pas. Alors si il pouvait élargir son propre horizon, cela nous ouvrirait de nombreuses possibilités. En fait, j’aimerais te voir l’enculer. Comme cela, tu ferais de lui un vrai pédé.
- Écoute, on peut se faire un plan à trois ce soir et je tâte le terrain. En plus ton mari, je l’ai déjà repéré, c’est un mec plutôt bien foutu. Donc m’occuper de lui n,e me pose pas de problème.

Par bonheur son mari – Luc - était d’accord pour ce plan à trois, sans savoir ce qu’il lui réservait. Nous partons donc nous isoler dans un coin un peu plus intime.

Entièrement nus tous les trois, je commence à m’occuper de la blondinette pendant que son mari nous mate. Je caresse doucement ses cheveux puis rapidement descends sur ses mamelons. Je soupèse sa lourde poitrine, un sein après l’autre, et commence à les prendre en bouche, faire tourner ma langue autour des mamelons, les mordiller, les lécher, les mordiller encore, téter comme le ferait un bébé pour extraire le lait nourricier, les lécher encore. Pendant ce temps, je vois la queue de Luc commencer à entrer en érection. Beau chibre bien épais, poilu à sa base, un gros gland turgescent qui cherche à émerger du prépuce. Je me dis que cette soirée promet énormément.

Ma partenaire ne reste pas passive et commence à son tour à me caresser les boules. Elle se penche sur moi et prend ma queue en bouche pour une longue pipe. Je la laisse faire et tourne mes yeux vers Luc que je vois sourire légèrement.
- Elle est très douée dans cet exercice, je pense que tu t’en rends compte !
- Moi aussi, et j’aimerais te le montrer.

Je me penche alors vers lui, attrape son chibre et le décalotte complètement. Puis je mets mes lèvres autour afin de goûter son gland. Ma langue fait le tour de son engin pendant que ma main se pose sur ses boules pour dégager la plus grande longueur de la hampe. Je commence mon mouvement de va et vient parfois en ressortant parfois sa queue pour la lécher telle une bonne glace, parfois en l’enfonçant au plus profond de ma gorge. Je sens Sarah ralentir son mouvement jusqu’à ne plus sentir la chaude humidité de sa caresse buccale autour de ma queue. Elle se met dans un coin pour profiter du spectacle. A sa grande surprise, mais pas forcément la mienne car j’avais senti à quelques échanges de regard qu’il était aussi intéressé par les hommes, son mec semble apprécier ma fellation.
- Tu as raison, mon salaud, tu suces bien. Tu es le meilleur suceurs de tous les mecs que j’ai connus. Et Sarah ne le sait pas, mais j’en ai connus plus d’un.
- Super. Et si tu aimes te faire sucer, je suppose que tu aimes aussi enculer ? Les mecs, je veux dire. Les femmes, ce n’est pas mon problème.
- Je sentais bien en toi une salope. Oui, je vais prendre ton trou du cul et te le ramoner comme tu as l’air d’aimer.
Il retire son membre de ma bouche et me donne une claque sur les fesses pour m’inciter à les tourner vers lui. Ce faisant, je me retrouve face à Sarah, qui n’a rien perdu du spectacle. Sa chatte rasée est luisante de mouille.
- Regarde comme ma chère t tendre apprécie le spectacle ! Pour qu’elle soit encore plus aux premières loges, tu vas te rapprocher d’elle et lui lécher toute sa mouille. Pendant ce temps là, je vais t’enculer comme tu n’as jamais connu, et elle sera au plus près de l’action.
Obéissant comme une bonne salope soumise, je me rapproche de Sarah et comment à lui lécher sa petite chatte délicieuse, faisant de mon mieux pour assécher le flux continuel de sa mouille qui traduit son excitation . Je sens alors sur le haut de ma raie la fraîcheur du gel que Luc a déversé et commence à m’appliquer consciencieusement, s’attardant quasi professionnellement sur mon petit trou qu’il caresse, presse, pénètre d’un doigt pour bien faire rentrer le lubrifiant. Il pose son gros gland à proximité de mon trou, et je sens la pression annonciatrice de la pénétration. Celle-ci survient juste après, me déchirant les entrailles pour aussitôt se transformer en plaisir explosif, celui qui me fait toujours revenir auprès des hommes.
Luc me pénètre une fois doucement, amenant son membre dans mon anus jusqu’à ce que ses couilles touchent mes fesses. Il se retire, tout aussi doucement, puis me reprend, cette fois ci brutalement. Une fois. Deux fois. Trois fois. A chaque fois, son mouvement est plus brusque, la douleur de la pénétration plus violente puis le plaisir de le sentir en moi plus fort. Je bande fort pendant toute cette enculade, pourtant je reste concentré sur la mouille sucrée de Sarah dont le débit ne s’est pas tari.
Luc reste en moi plusieurs trop courtes minutes, donnant de grands coups de rein pour faire claquer ses cuisses contre mes fesses.
- Alors ma salope, tu aimes ça, dit-il, s’adressant sans doute à la fois à sa femme et à moi.
- Oh putain c’est bon. Tu es brutal mais cela fait du bien ! Continue à me baiser, fais de moi ta femme autant que l’autre, déchire ma chatte d’homme comme tu déchires sa chatte de femme. Baise-moi fort, encule-moi ! Encore !
Après ce traitement brutal de mon trou du cul, je le sens se raidir et éjaculer dans le préservatif dont il avait habillé son membre.
Le retirant, il me demande de lécher le reste de son jus. Je m’arrache à la fente de Sarah pour m’exécuter et commence à reprendre son membre d’où sortent encore quelques gouttes de sa semence, gouttes que je ne laisse pas perdre. Son goût à changé par rapport à tout-à-l’heure, plus musqué, plus viril.

- Tu sais, on n’a pas fini. J’ai fait une promesse à ta femme. Et j’ai bien l’intention de la tenir. Alors maintenant c’est toi qui va t’installer entre ses cuisses et m’offrir ton cul, pour qu’elle soit au premier rang quand je vais t’enculer.
C’est presque décevant, mais le beau mâle s’exécute sans protester. A mon tour, je badigeonne son anus de gel et prépare son trou du cul que je trouve plutôt rétif et étroit.
- Dis-moi, tu ne serais pas puceau de ce côté là, mon salaud ?
- Non, pas tout-à-fait. Mais je n’ai pas une très grosse pratique.
Je glisse alors un doigt dans son anus, pour le préparer doucement à la pénétration. Le beau mâle, toujours le nez dans la chatte de sa femme, commence à gémir et se tortiller. J’insiste un peu, les gémissements se font plus forts. Ne souhaitant pas prolonger cette torture, je prends une capote, la mets et présente mon gland devant son trou du cul. Mon regarde croise alors celui de Sarah, qui bien que lointain de part le plaisir apporté par la caresse buccale de son homme, exprime tout l’intérêt qu’elle trouve à la situation.
Doucement, j’avance mon gland dans la rondelle de Luc, l’écartant doucement jusqu’à le pénétrer entièrement. Une fois dans cette position, je commence des mouvements de va-et-vient qui provoquent chez lui, comme je l’espérais, des forts gémissements , un halètement rauque. Putain, il est à deux doigts de jouir ! Je me retire alors, laisse retomber un peu son plaisir, puis lui remets ma queue dans le cul d’un grand coup de reins. Doucement, je bouge en lui et quand je le sens de nouveau proche de l’extase, je me retire de nouveau quelques secondes et le reprends brutalement. Je recommence mes va-et-vient, cette fois dans l’intention de le mener jusqu’à l’explosion. Celle-ci ne tarde pas à avoir lieu, marquée d’un grand cri rauque et d’un long jet de foutre . N’étant pas encore prêt à jouir, je continue à limer son anus, ne tenant pas compte de ses hurlements de plaisir. Je fais monter mon plaisir et finis par exploser à mon tour dans son cul, en poussant à mon tour un gémissement.

Sarah, qui n’a rien perdu de ce qui s’est déroulé devant ses yeux, est aux anges. Elle se saisit de nos deux chibres, un dans chaque main, et les lèche tour à tour, se délectant de nos odeurs mêlant le foutre et l’anus.

- Tu sais quoi, mon chéri, j’en ai appris de belles ce soir sur tes sorties « entre potes’. Rassure-toi, je vais te laisser continuer. Mais pour tout dire, je suis bi, moi aussi. C’est bien que tu le saches. Et peut-être qu’une prochaine fois, la femme de Jim se joindra à nous et j’espère que si elle, elle n’est pas bi, elle le devienne très vite. Car elle me fait très envie.