Avalanche de foutre en Savoie - histoire érotique

Fin décembre dernier, nous étions partis pour une semaine à la station des Gets en Savoie, Sonia et Aurélien 23 et 26 ans mon pote et Annabelle ma copine et moi-même Arnaud 24 et 27 ans, nous avions loués un appart dans la station et cohabitions en totale osmose tous les quatre depuis le début de la semaine.

Mercredi matin nous nous étions bien éclatés sur les pistes, mais en début d'après-midi la neige s'était mise à tomber fortement, ce qui modifiait notre plan ski. Après le repas nous sommes allés faire des raquettes durant deux petites heures, mais ensuite retour à l'appart.
Annabelle et Sonia après avoir pris leur douche décidèrent de descendre à la station prendre un chocolat chaud au salon de thé et papoter entre nénettes.

Nous, peu enclins à les suivre, nous décidons de rester à l'appart prendre notre douche et regarder la télé tranquillos.
Une fois les nanas sorties, Aurélien va prendre sa douche et moi je m'étale dans le canapé attendant mon tour, il fait au moins 23°C dans l'appartement... une fournaise pour moi.
Une demi-heure après Aurélien sort de la salle d'eau... encore humide, la serviette de bain autour de la taille.
" Tu peux y aller, c'est dispo " me dit-il en finissant de se sécher les cheveux avec une petite serviette d'appoint.
Moi :
" Ok, j'y vais ! "
Et me voici sous la douche, appréciant la chaleur de l'eau et la douceur du gel douche que les filles utilisaient.
Après vingt minutes, je sors de la salle d'eau envahie de vapeur d'eau...
" Un vrai sauna... ça fait du bien " dis-je,
Et me voici débarquant dans le salon à poil dégoulinant légèrement et ma serviette autour du cou...
"Ben, ne te gênes pas... Fais comme chez toi ! " Me lance Aurélien en me découvrant la bite à l'air...
Moi, j’avais bien envie de déconner, je me mets à me dandiner devant lui en remuant la queue.
Aurélien surpris et agacé :
" Tu pourrais t'habiller... non ! " Me relance-t-il avec une légère pointe d'ironie.
Je lui réponds aussitôt :
" Si c'est pour être revêtu comme toi, avec une simple serviette autour de la taille, je ne vois pas la différence… Moi elle est autour du cou ! "

Faisant un signe dépité :
« N’importe quoi !... Il fait chaud là-dedans d’accord, mais t’es pas tout seul chez toi… Le Vivre-ensemble ne signifie pas obligatoirement de tous vivre à poil ! »
Et malgré sa remarque pertinente… Je m’aperçus qu’il n'arrêtait pas de fixer ma queue...il était affalé dans le canapé, jambes écartées et sa serviette jaune retombait sur ses cuisses, ne laissant rien paraître de son entrejambe.

Pour l’agacer encore un peu plus, je m'approche de lui et me plante au milieu de ses jambes bien écartées, mon sexe mou au niveau de sa tête, je m’amusais à faire tourner ma queue comme une hélice :

" Et alors, ça te défrise vraiment que je sois à poil ? " en le narguant gentiment.
Un peu hésitant et surpris il me répond en bafouillant :
"Non, non... au contraire, enfin je veux dire… Après tout tu fais ce que tu veux… Non… Ça ne me gêne pas, enfin c'est-à-dire que… "

Et là, j'approche ma queue, qui s’était un peu raidie, de sa bouche et lui enfourne....
" Tu disais quoi au juste... je n'ai pas compris ? " lui dis-je en rigolant.

Et là, je commence à remuer ma queue dans sa bouche chaude, elle continuait son érection…
Aurélien ne me rejetait pas du tout, j'avais même l'impression qu'il appréciait la situation soudaine ce petit salaud, à son tour il se mettait à assurer le mouvement de la bouche pour me pomper...
Tout en me prêtant au jeu de la fellation forcée, après plusieurs vas et vient je lui tire sa serviette sur le côté et dévoile sa queue qui entamait un début d'érection elle aussi...

Je lui sors :
" Mais tu bandes mon salaud ! Tu n’es plus outré apparemment… La queue de ton petit copain Arnaud semble te faire de l'effet ! Je te croyais hétéro.... Tu caches bien ton jeu... "
Et là, il s'échappe de ma queue et me dis :
" Arrête, tu m'excites trop, je n'en peux plus, c'est fou...arrête maintenant, si les nanas arrivent on va vraiment avoir l'air cons tous les deux ! "
Moi excité aussi de mon côté et la bite maintenant bien dure, droite et mouillée de sa salive, je lui remets en pleine bouche :
Je lui balance :
« Rassure-moi Aurélien… T’es pas pédé ? »
Il se recule en échappant ma pine pour me répondre :
« C’est toi qui me demandes si je ne suis pas pédé, ben merde alors… C’est bien toi qui as commencé non ! »
Et il reprend instinctivement mon membre dégoulinant de salive en bouche.

" Allez, vas-y, fais-moi cracher, je veux te baiser la bouche à fond et te larguer mon sperme chaud dans ta petite bouche gourmande… De ma semence masculine que tu n’as jamais goûtée... Allez pompe-moi fort comme une petite pute affamée... Hummmmmmm… c’est bon ! "

Il assurait parfaitement son rôle de salope, il me serrait le membre avec ses lèvres, me léchait la tige de tout son long, me titillait le gland décalotté, en me palpant les burnes, et il reprenait mon membre jusqu'au fond de sa gorge... en même temps il se paluchait très fort et son érection était totale, sa bite devait bien faire 20 x 5 cm, c'était mon pote, mais je ne le connaissais pas ainsi, au cours de nos séances de piscine j’avais bien vu qu’il devait en avoir entre les jambes tellement son boxer de bain était enflé, rien à voir avec le mien, mais là, j’étais bluffé… Je ne l’avais jamais vu bander ce salaud !

Il se branlait tellement fort qu'il en gémissait, ses jambes tellement écartées que je voyais ses grosses couilles s'aplatir et rebondir sur le canapé... et moi je sentais que ma queue allait bientôt larguer toute sa purée dans la bouche de mon pote... Nous gémissions de plaisir tous les deux sans se soucier de nos nanas qui n'allaient pas tarder à remonter à l'appart...

" Attention lui dis-je…. Je vais tout larguer… "
Et je lui envoie un jet puissant au fond de la gorge.... Il se retire rapidement... et le reste de mon jus venait en rafale s'étaler sur ces joues, son cou, le dossier et l’assise du canapé de cuir...
" Putain tu craches comme un geyser ! " me dit-il en avalant mon sperme largué dans sa bouche et s’essuyant le sperme dégoulinant de ses lèvres....
" Oui, tu m'as trop fait kiffer, tu es une vraie petite pompeuse.... Tu l'as déjà pratiqué on dirait ? "
Il me répond aussitôt :
" Non, je t'assure c'est la première fois que j'ai une aventure avec un mec... et mon copain en plus.... J'ai un peu honte ! "
" Honte de quoi ? Après tout on est potes... on peut tout se permettre ! " Lui dis-je sans trop réfléchir à cette réponse qui ne voulait pas dire grand-chose...

Malgré le sperme étalé sur son visage, il continuait de se palucher le braquemard de façon insistante... et rapidement il me lance :
" Attentionnnnnnn ça va partir... "
Et là, continuant de branler son monstre de tige dont le gland était devenu rouge violacé d'excitation, je vois partir un jet qui m'arrive sur le bas ventre et qui me dégouline dans mes poils de pubis, puis un second jet qu'il dirige sur mes couilles, un autre sur le canapé entre ses cuisses… Puis sa queue dégorgeant moins abondement, il récupérait son sperme qu'il essuyait avec ses doigts et les suçait pour ne rien perdre de son nectar...
" Putain que ça fait du bien de jouir comme ça !!! " Me lance -t-il en se marrant.

A peine avait-il terminé d'éjaculer que l'interphone retentit :
" Salut les mecs.... C'est nous, merci d'ouvrir on ne voudrait pas dormir dehors ce soir.... Merci ! "

Branle-bas de combat dans l’appart !
"Oh putain... elles arrivent trop tôt ! " Lance Aurélien en paniquant et en s'essuyant précipitamment le visage, le cou et aussi le dossier et l’assise du canapé avec sa serviette...
" On est vraiment comme des cons mon pote ! " Magne-toi...lui dis-je autant affolé que lui…
Je m'essuie aussi avec ma serviette, je remets un peu d'ordre sur le canapé... Aurélien revient de sa chambre il vient d'enfiler son slip, son jean et un sweat et appuie sur le bouton de l'interphone. Heureusement elles ont trois étages à monter à pied !
Je ramasse les deux serviettes et les emmène dans la salle d'eau et pars en courant dans la chambre enfiler un boxer, un pantalon de jogging et un tee-shirt, je n'ai pas pris le temps de me nettoyer correctement la bite, Aurélien non plus d’ailleurs… juste un essuyage rapide...

"Ouf... on l'a échappée belle ! " me lance Aurélien encore sous le choc et l'excitation.
Je lui réponds :
" Oui, c'est le moins que l'on puisse dire, je n'imagine pas leur réaction en nous découvrant dans nos ébats masculins ! "
La porte s'ouvre, Sonia et Annabelle toutes guillerettes enlèvent leurs doudounes et bonnets :
" Alors les mecs... qu'avez-vous préparé pour le dîner ? " nous lance Sonia.
Je réponds du tac au tac :
"Rien, car nous n'aimons que ce que vous nous préparez avec amour mesdemoiselles !
Nous avons bêtement lambiné devant la télé, affalés sur le canapé en vous attendant ".
Aurélien me lance un regard amusé en ayant l'air de dire :
" T'es gonflé mon coco ! ".
Annabelle reprend :
" Comme d'hab vous attendez pour vous glisser les pieds sous la table ! "
Sonia enfonce le clou en nous reprochant gentiment :
« De toute façon, les mecs en vacances ils ne veulent rien branler ! »

Après cette déclaration fracassante, on se regarde avec Aurélien, tous deux avec un léger rictus, en se disant qu’elle se trompait totalement la petite Sonia… Au contraire… Justement des mecs en vacances… Ça branle plutôt bien !

Le dîner se déroula normalement en enchainant les blagues et discutant du planning du lendemain... puis Annabelle apporta le dessert, yaourts ou bananes ?
Les filles prennent chacune un yaourt et Aurélien et moi prenons une banane... sans que les filles ne s'en rendent compte, après l’avoir tendrement épluchée, nous enfilons la banane dans notre bouche et faisons mutuellement des vas et vient avec.... En simulant nos ébats d'il y a tout juste quelques heures sur le canapé du salon... en suçant nos bananes respectives et en imaginant qu’elles pourraient être la queue du copain, Aurélien me donne un coup de pied sous la table et me lance un clin d'œil... pendant ce temps nos nanas dégustaient leurs yaourts nature, nous les imaginions avaler un pot de sperme dont nous aurions été les heureux donateurs....

Je n’en revenais toujours pas, mon pote et moi, ses couilles et les miennes, sa bite et la mienne… avions franchi une étape totalement inattendue dans notre amitié, nos intimités et nos pulsions sexuelles.

Aurélien et moi n'avions qu'un souhait….
Que nos nanas repartent prendre un thé ou un chocolat au centre-ville de la station avant la fin de la semaine…
En prenant tout leur temps cette fois-ci !