Aventure rocambolesque - chapitre 2 - - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Chapitre 2

Le mois suivant j’ai encore eut mes règles et la, Marie a craquée dans une sorte de dépression étrange. Elle ne voulait plus rien, ni manger ni boire ni travailler même pas me câliner ou se laisser câliner. Je l’ai faite hospitaliser elle est restée deux mois en centre spécialisé avant de me revenir. Pendant son absence je ne suis pas restée enfermée comme une none, j’ai fait la fête.
Mon premier amant a été un client, il est entré dans mon institut, je l’ai regardée un peu étonné de voir un homme chez moi. Il m’a demandé
- Bonjours madame, je ne sais pas si vous le faites mais je voudrais une épilation ?
- Oui, les jambes ?
- Non
- Le torse alors
- Non, je voudrais le pubis, vous êtes le troisième centre que je visite, les autres ont refusé. J’en ai vraiment besoin pour mon travail.
- Bien, je vais vous le faire. Entrez dans la cabine et déshabillez-vous.
Je suis parti chercher la cire et les bandelettes et je suis entrée dans la cabine. Il était debout a coté de la table, il avait gardé son short. Je l’ai regardé plus en détail, c’étais un très beau garçon, grand, très fin mais bien musclé, les cheveux assez long, un visage très doux presque féminin.
- Retirez votre short et allongez-vous.
Il s’est exécuté et je suis resté en arrêt devant lui, il avait un sexe qui m’a parut monstrueux il pendait entre ses jambes jusqu'à mi cuisse. Il s’est allongé sur la table, je l’ai regardée intriguée. Il n’était pas spécialement gros mais très long. Je me sentais toute excitée en m’imaginant avoir un tel truc dans notre ventre. La cire étant à la bonne température j’ai commencée mon travail. Il n’a pas crié de douleur quand j’ai arraché la première bandelette mais il s’était raidi et je voyais des larmes pointer au coin de ses yeux.
- C’est la première fois que vous vous faite épiler ?
- Oui, c’est pour mon travail.
- Vous n’avez pas trop mal ?
- Non, c’est supportable mais ça brule un peu.
J’ai baissé la température de la cire et j’ai continué mon travail. A chaque fois que j’arrachais une bandelette je le sentais se tétaniser sous la douleur. Quand j’ai eut fini, il était tout rouge, je lui ai passé de la crème apaisante pour calmer l’inflammation. J’ai vu son sexe se gonfler doucement sous la caresse de mes doigts.
- Vous avez moins mal ?
- Oui, ça va beaucoup mieux mais il faudrait aussi me faire les bourses, ils me le demandent a mon travail.
- Mai quel est votre travail pour avoir besoin d’une telle épilation ?
- Je suis acteur.
- Ah bon et vous montrez votre sexe ?
- Oui, le suis acteur porno et le réalisateur de mon dernier film me demande une épilation totale.
A présent il bandait très fort, j’ai arrêté de caresser son pubis et je l’ai admiré.
- Je comprends mieux votre travail il n’y en a pas beaucoup d’aussi belle que la votre.
- Vous croyez ?
- Je ne croie pas, j’en suis sure, c’est la première fois de ma vie que j’en vois une aussi belle et longue.
- Vous voulez l’essayer, vous êtes très belle et moi, je n’ai rien contre.
Je suis sortie de la cabine, j’ai fermé la porte du salon à clef et je suis retourné le voir. Il s’était relevé, il m’a pris dans ses bras et m’a embrassée. C’était complètement fou, moi, la petite lesbienne, j’étais entrain de me taper un acteur porno et j’adorais ça. Sous ses caresses je me suis mise à gémir de plaisir. Il m’a déshabillée en me faisant avoir mon premier orgasme puis il m’a couchée sur la table et il m’a pénétré. Je n’en revenais pas, j’étais couchée sur cette table les jambes bien écartées, lui debout devant moi me possédait, je le sentais butter au fond de mon vagin et il avait juste un tiers de son chibre enfoncé dans mon vagin. Après une série d’aller et retours énergiques qui m’ont donné des frissons comme jamais, il s’est immobilisé bien au fond de moi, son gland contre la bouche de mon utérus et de ses mains il me caressait le clitoris. Rapidement, un orgasme foudroyant s’est emparé de moi et il a poussé, fort, il a franchi la bouche de mon utérus pour s’enfoncer au plus profond de mon être.il se contentais de se balancer doucement d’un coté a l’autre puis d’avant en arrière, ses mouvements étaient transmis a son engin monstrueux au fond de mon ventre et presque sans bouger il me faisait jouir, c’étais merveilleux. Après un temps interminable pendant lequel je n’ai pas arrêté de crier mon plaisir, il a éjaculé tout au fond de mon utérus et le plaisir que ça a provoqué chez moi m’a faite tomber dans les pommes.
Après mon réveil il m’a dit
- J’espère que tu prends la pilule.
- Non, mais j’ai adoré.
- Tu n’a pas peur de tomber enceinte après ce que nous venons de faire ?
- Non, je désire être enceinte depuis un bon moment et je n’y arrive pas alors si ça se fait, ce ne sera que très bien.
- Ah bon, tu es la première fille à me raconter un truc comme ça, tu as un copain qui n’y arrive pas ?
- Non, une amie qui veut que je lui fasse un enfant, c’est tout.
- Je n’en reviens pas, tu es lesbienne ?
- Oui et non, j’étais une vraie, maintenant je commence a aimer les hommes.
- Tu peux m’épiler les bourses.
- Bien sur mais garde ton instrument dans tes mains que je ne te le brule pas, ce serait dommage.
Je l’ai épilé, a nouveau, j’ai vu qu’il était au bord des larmes puis il s’est calmé quand je lui ai passé la pommade. C’était impressionnant de voir ce sexe monstrueux entièrement lisse. Il s’est rhabillé et m’a demandé
- Combien je vous dois pour cette épilation magique ?
- Rien, c’est le cadeau de la maison pour vous remercier du plaisir fantastique que vous m’avez donné.
Il m’a embrassé en partant et m’a promis qu’il reviendrait me voir s’il avait besoin de refaire une épilation.
Ce soir la, j’ai dormis comme un bébé.
Les jours suivants j’ai eut d’autres aventures avec des hommes mais je n’ai jamais eut la même sensation d’être remplie complètement.