Baisé(e) dans un parc public.
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Baisé(e) dans un parc public.
Après une semaine de vacances à Marseille, J'avais un peu flâné dans le centre-ville. La rue Saint-Ferréol, l'Opéra, la rue Longue des Capucins. Cette dernière est toujours fréquentée. Elle abrite le marché le plus couru de la ville. A certaines heures, elle est plus bondée que le métro à Paris.
J'aime la promiscuité. Elle me permet, quand je suis habillé en fille, de recevoir les hommages gestuels dûs à mon corps. J'aime les caresses. Les meilleurs moments pour moi, sont quand on me tripotte, ou quand on me déshabille. Il me semble, depuis le peu de temps que je suis là, que les gens du Sud sont plus vicelards que ceux du Nord. Vicelards, ou portés sur le cul.
J'ai décidé de traverser cette rue Longue des Capucins, vêtu d'une jupe écossaise rouge ultra courte et de collants blancs. Vus mon visage et mes formes, vus aussi les regards, aucun doute, on m'a pris pour une fille. En réalité, des doutes je n'en avais pas. Je sais très bien l'effet que font sur les gens, mon cul et mon visage. Déjà à l'école, on me prenait pour une fille. Cest vrai que quand je me regarde dans une glace, mes cheveux blonds, style Miou-Miou, et mes taches de rousseur, mes lèvres fines et mon petit cul bombé, je comprend le malaise. J'en joue souvent d'ailleurs !
C'est fou, le nombre de mecs qui se sont frottés à mon cul ou qui m'ont branché. J'ai répondu d'un petit rire mutin. Quand aux mains qui ont exploré sur et sous la jupe, le galbe de mes fesses, n'en parlons pas !
Le quartier de l'Opéra est celui des putes. Peut-être, mais à côté de la rue St-Denis à Paris, c'est plutôt charmant. Je me suis assis sur le bord de la place. Une femme m'interpela :
- Eh ! Le jardin d'enfants, c'est à la colonne ! Ici, c'est les vraies femmes !
- C'est où la colonne ? demandai-je d'une voix fluette.
La pouf partit d'un rire tonitruant :
- Excuse-moi, ma belle, dit-elle, j'ai cru que tu venais ratisser sur nos terres. Tu cherches vraiment le jardin de la colonne ? Tu sais, la nuit c'est pas sûr, y a eu des viols là-haut !
- Non, je veux pas aller au jardin, mentis-je, on m'a dit qu'à côté, c'est le chemin pour Notre Dame de la garde.
- Aaahhhhh ! Une religieuse ! T'es vraiment pas au bon endroit !
Elle m'a indiqué la route et je suis parti.
Dans la rue Saint-Férréol, j'avais repèré un magasin spécialisé pour gamines. J'ai acheté un short rose et un sweat "Hello Kitty", de la même couleur. Dans la même veine, j'ai acheté un sac à dos où j'ai fourré la jupe et les collants. J'ai remplacé ceux-ci par des chaussettes roses, "Hello Kitty", elles aussi. Quand je suis ressorti de la cabine d'essayage, les vendeuses ne m'ont pas reconnu. Un peu plus loin dans la même rue, j'ai acheté une grosse sucette.
J'avais vu Emmanuelle, le film de Just Jackin où Christine Boisson lèche une sucette et dit à Emmanuelle que ça excite les vieux. Pour avoir testé le stratagème, je confirme que ça marche. Tout en lèchant ma sucette, j'ai remonté la rue Saint Férreol. Devant la préfecture, j'ai demandé mon chemin à une vieille dame. Elle m'a passé une main sur la joue.
- C'est par là, ma puce ! dit-elle. Tu peux pas te tromper ! C'est tout en haut. Tu verras une grille avec une statue blanche. Tu peux pas te perdre !
- Merci madame, répondis-je, d'une petite voix.
Pour accentuer le trait, j'ai émis un petit rire et j'ai plié les genoux, une sorte de révérence, comme font les petites filles. J'ai senti quelques regards mâles se retourner sur moi. Pour mieux les exciter, j'ai donné un large et long coup de langue sur ma sucette, en battant plusieurs fois des cils. J'en vis certains ouvrir la bouche.
Sur le cours Pierre Puget, les têtes se retournaient sur moi. Au premier carrefour, un homme d'environ cinquante ans m'a empêché de traverser en disant :
- Attention jeune fille, tu vas te faire écraser !
Je l'ai regardé, lui ai tiré la langue et suis parti. Dans mon dos, avec un sourire intèrieur, j'ai entendu :
- Petite peste !
J'ai réussi mon coup. On me prenait bien pour une gamine. Une fois dans le jardin, je suis monté jusqu'à une sorte de clairière, parsemée de bancs en bois, autour d'un espace de jeux pour enfants. Je me suis assis et j'ai continué à lècher ma sucette en balançant les jambes.
Un homme, 55-60 ans, marchait dans le sable, jetant des coups d'oeil dans tous les sens. De temps en temps, il tournait la tête dans ma direction. J'avais compris son manège. Il vérifiait qu'il n'y avait personne dans le secteur. Au bout d'un long moment, le soir tombant, il vint se camper devant moi. Il avait sorti sa bite et la tenait dans sa main. Je lèchais toujours ma sucette. Le type me dit :
- Je vois que t'es seule !
Il s'approcha tout près, et, tendant sa queue vers ma bouche, il dit :
- Tu préfères pas lècher celle-là de sucette ?
- Je veux bien, dis-je avec une petite voix.
J'ai ouvert la bouche et mes lèvres se sont refermées sur son membre. Le vieux a rejeté ses bras en arrière. La bouche ouverte, il haletait et vacillait un peu sur ses jambes. Je l'ai pris par le bras et l'ai fait asseoir sur le banc. Je me suis penché et l'ai repris dans ma bouche. Le vieux était en extase. Il était toujours vert, sa queue était raide et dure. Il glissa sa main dans mon short et glissa un doigt entre mes fesses. Sa respiration s'accélèra.
- Quel cul, murmura-t-il, et se penchant à mon oreille, on t'a déjà baisée ?
Sortant la main du short, il la glissa entre mes cuisses. Quand il a senti ma queue, il s'est brusquement dégagé.
- Putain, un mec !
J'ai relevé la tête, et l'ai toisé.
- Et alors ! T'as aimé quand même, j'ai dit. J'ai entendu aussi que t'as apprècié mon cul !
- Ouais, mais t'es un mec !
- Et alors ! Elles ont un cul, elles aussi ! T'as qu'à fermer les yeux et imaginer que je suis une fille. Tu vas voir, quand tu seras dans mon cul, tu feras pas la différence !
Je me suis approché de lui et j'ai descendu son pantalon et son slip. J'ai baissé mon short et me suis retourné.
- Bordel, grommela-t-il, tu ressembles vraiment à une salope !
Je l'ai enjambé, ai saisi sa bite et me suis empalé dessus.
Montant et descendant le long de sa colonne, j'entendais le vieux râler dans mon dos. Ses mains se posèrent sur mes fesses pour accompagner le mouvement. D'un coup, il s'empara de ma bite et me branla. Quand il a joui dans mon cul, je me suis levé, et me suis rhabillé. Je l'ai regardé dans les yeux. Il me sourit. J'étais redevenu une fille. Redescendant sur terre, il dit :
- C'est la première fois avec un homme, dit-il, je savais pas que c'était aussi bon. Jamais on m'a sucé comme ça. Maintenant, je saurais !
J'aime la promiscuité. Elle me permet, quand je suis habillé en fille, de recevoir les hommages gestuels dûs à mon corps. J'aime les caresses. Les meilleurs moments pour moi, sont quand on me tripotte, ou quand on me déshabille. Il me semble, depuis le peu de temps que je suis là, que les gens du Sud sont plus vicelards que ceux du Nord. Vicelards, ou portés sur le cul.
J'ai décidé de traverser cette rue Longue des Capucins, vêtu d'une jupe écossaise rouge ultra courte et de collants blancs. Vus mon visage et mes formes, vus aussi les regards, aucun doute, on m'a pris pour une fille. En réalité, des doutes je n'en avais pas. Je sais très bien l'effet que font sur les gens, mon cul et mon visage. Déjà à l'école, on me prenait pour une fille. Cest vrai que quand je me regarde dans une glace, mes cheveux blonds, style Miou-Miou, et mes taches de rousseur, mes lèvres fines et mon petit cul bombé, je comprend le malaise. J'en joue souvent d'ailleurs !
C'est fou, le nombre de mecs qui se sont frottés à mon cul ou qui m'ont branché. J'ai répondu d'un petit rire mutin. Quand aux mains qui ont exploré sur et sous la jupe, le galbe de mes fesses, n'en parlons pas !
Le quartier de l'Opéra est celui des putes. Peut-être, mais à côté de la rue St-Denis à Paris, c'est plutôt charmant. Je me suis assis sur le bord de la place. Une femme m'interpela :
- Eh ! Le jardin d'enfants, c'est à la colonne ! Ici, c'est les vraies femmes !
- C'est où la colonne ? demandai-je d'une voix fluette.
La pouf partit d'un rire tonitruant :
- Excuse-moi, ma belle, dit-elle, j'ai cru que tu venais ratisser sur nos terres. Tu cherches vraiment le jardin de la colonne ? Tu sais, la nuit c'est pas sûr, y a eu des viols là-haut !
- Non, je veux pas aller au jardin, mentis-je, on m'a dit qu'à côté, c'est le chemin pour Notre Dame de la garde.
- Aaahhhhh ! Une religieuse ! T'es vraiment pas au bon endroit !
Elle m'a indiqué la route et je suis parti.
Dans la rue Saint-Férréol, j'avais repèré un magasin spécialisé pour gamines. J'ai acheté un short rose et un sweat "Hello Kitty", de la même couleur. Dans la même veine, j'ai acheté un sac à dos où j'ai fourré la jupe et les collants. J'ai remplacé ceux-ci par des chaussettes roses, "Hello Kitty", elles aussi. Quand je suis ressorti de la cabine d'essayage, les vendeuses ne m'ont pas reconnu. Un peu plus loin dans la même rue, j'ai acheté une grosse sucette.
J'avais vu Emmanuelle, le film de Just Jackin où Christine Boisson lèche une sucette et dit à Emmanuelle que ça excite les vieux. Pour avoir testé le stratagème, je confirme que ça marche. Tout en lèchant ma sucette, j'ai remonté la rue Saint Férreol. Devant la préfecture, j'ai demandé mon chemin à une vieille dame. Elle m'a passé une main sur la joue.
- C'est par là, ma puce ! dit-elle. Tu peux pas te tromper ! C'est tout en haut. Tu verras une grille avec une statue blanche. Tu peux pas te perdre !
- Merci madame, répondis-je, d'une petite voix.
Pour accentuer le trait, j'ai émis un petit rire et j'ai plié les genoux, une sorte de révérence, comme font les petites filles. J'ai senti quelques regards mâles se retourner sur moi. Pour mieux les exciter, j'ai donné un large et long coup de langue sur ma sucette, en battant plusieurs fois des cils. J'en vis certains ouvrir la bouche.
Sur le cours Pierre Puget, les têtes se retournaient sur moi. Au premier carrefour, un homme d'environ cinquante ans m'a empêché de traverser en disant :
- Attention jeune fille, tu vas te faire écraser !
Je l'ai regardé, lui ai tiré la langue et suis parti. Dans mon dos, avec un sourire intèrieur, j'ai entendu :
- Petite peste !
J'ai réussi mon coup. On me prenait bien pour une gamine. Une fois dans le jardin, je suis monté jusqu'à une sorte de clairière, parsemée de bancs en bois, autour d'un espace de jeux pour enfants. Je me suis assis et j'ai continué à lècher ma sucette en balançant les jambes.
Un homme, 55-60 ans, marchait dans le sable, jetant des coups d'oeil dans tous les sens. De temps en temps, il tournait la tête dans ma direction. J'avais compris son manège. Il vérifiait qu'il n'y avait personne dans le secteur. Au bout d'un long moment, le soir tombant, il vint se camper devant moi. Il avait sorti sa bite et la tenait dans sa main. Je lèchais toujours ma sucette. Le type me dit :
- Je vois que t'es seule !
Il s'approcha tout près, et, tendant sa queue vers ma bouche, il dit :
- Tu préfères pas lècher celle-là de sucette ?
- Je veux bien, dis-je avec une petite voix.
J'ai ouvert la bouche et mes lèvres se sont refermées sur son membre. Le vieux a rejeté ses bras en arrière. La bouche ouverte, il haletait et vacillait un peu sur ses jambes. Je l'ai pris par le bras et l'ai fait asseoir sur le banc. Je me suis penché et l'ai repris dans ma bouche. Le vieux était en extase. Il était toujours vert, sa queue était raide et dure. Il glissa sa main dans mon short et glissa un doigt entre mes fesses. Sa respiration s'accélèra.
- Quel cul, murmura-t-il, et se penchant à mon oreille, on t'a déjà baisée ?
Sortant la main du short, il la glissa entre mes cuisses. Quand il a senti ma queue, il s'est brusquement dégagé.
- Putain, un mec !
J'ai relevé la tête, et l'ai toisé.
- Et alors ! T'as aimé quand même, j'ai dit. J'ai entendu aussi que t'as apprècié mon cul !
- Ouais, mais t'es un mec !
- Et alors ! Elles ont un cul, elles aussi ! T'as qu'à fermer les yeux et imaginer que je suis une fille. Tu vas voir, quand tu seras dans mon cul, tu feras pas la différence !
Je me suis approché de lui et j'ai descendu son pantalon et son slip. J'ai baissé mon short et me suis retourné.
- Bordel, grommela-t-il, tu ressembles vraiment à une salope !
Je l'ai enjambé, ai saisi sa bite et me suis empalé dessus.
Montant et descendant le long de sa colonne, j'entendais le vieux râler dans mon dos. Ses mains se posèrent sur mes fesses pour accompagner le mouvement. D'un coup, il s'empara de ma bite et me branla. Quand il a joui dans mon cul, je me suis levé, et me suis rhabillé. Je l'ai regardé dans les yeux. Il me sourit. J'étais redevenu une fille. Redescendant sur terre, il dit :
- C'est la première fois avec un homme, dit-il, je savais pas que c'était aussi bon. Jamais on m'a sucé comme ça. Maintenant, je saurais !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Qui voudrer me prendre comme un grosse chienne ?!?
Qui voudrer me prendre comme un grosse chienne ?!?
trés belle histoire. J'aurai aimé être à la place de la petite "fille"