J'ai manqué de bite
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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J'ai manqué de bite
J'avais 21 ans quand j'ai revu Jordi. Il errait dans les rues de la ville, comme un SDF. 15 ans après, il ne m'avait pas oublié. Je l'ai ramené à la maison, conscient qu'il ne se rappellerait pas l'adresse. Je l'ai gardé deux ans. Mentalement, il était resté 15 ans en arrière. Quand on s'est rencontré, il m'a pris dans ses bras et a dit :
- Tu pleures plus, petit garçon ?
J'ai failli pleurer. Tout ces souvenirs qui sont remontés à la surface. Suite à la plainte de ma mère, le pauvre garçon a été interné, puis, je n'ai plus eu de ses nouvelles. Jordi était vraiment un beau garçon. Mais, j'étais toujours son "petit garçon". Avec sa force herculéenne, il me prenait toujours dans ses bras et me berçait. Je sais que j'ai dit que le sexe était moins important que les caresses mais, un jour, je suis repassé devant mon cinéma préféré, et j'ai eu comme une sensation de manque. Finalement, rien n'avait changé en cinq ans.
J'ai remonté l'allée jusque derrière les fauteuils. Toujours le même rituel. Je me suis replacé, comme avant.
Un type est passé et a passé sa main sur mon cul. Au deuxième passage, il a suivi de son doigt, la raie de mes fesses. J'ai reconnu son pas. La troisième fois, il s'est arrêté. Il s'est collé contre moi. Ma grande expérience m'a fait deviner que le gars avait sorti sa queue. Je la sentais longue et épaisse, collée à ma raie, à travers le tissu de mon short.
Le gars se baissa et passa une main sur ma cuisse, en remontant du genou jusqu'à mon short. Il glissa ses doigts dessous et remonta jusqu'à mon slip. Ses mains se retirèrent et il me prit par la taille. Il me plaqua contre lui et s'attaqua à la boutonnière de mon short. Il s'agenouilla, et tira le short vers le bas. Le slip suivit le même chemin.
Le gars écarta mes fesses et sa langue s'insinua jusqu'à mon petit trou. Pendant qu'il me lubrifiait l'entrée de service, il se saisit de ma bite et me branla. Il s'arrêta quand il me sentit prêt à jouir. Il se releva et posa sa bite sur mon trou.
Dans ce cinéma, une sodomie était la récompense du travail accompli et un spectacle prisé. Quand la queue du gars pénétra dans mon cul, la plupart des hommes étaient attroupés autour de nous. Il y avait aussi les profiteurs, bien sûr. L'un d'eux s'est précipité, a sorti sa bite, et, profitant que j'étais penché en avant, me l'a fourrée dans la bouche. Je n'ai pas protesté. Le plus important se passait dans mon dos.
Le gars m'a pris par les hanches et s'est enfoncé loin dans mon cul. Il n'a pas réussi à me la mettre tout entière, elle était trop longue. Alors, il s'est activé, et mon trou de balle a glissé le long de sa pine, comme l'anneau d'un rideau sur une tringle. Le gars devait être en manque depuis un bout de temps, parce qu'il a joui deux fois dans mon cul et une fois sur mon dos. Les profiteurs aussi. Excités par la grosse queue qui perforait mon cul, ils avaient sorti la leur et se branlaient. J'ai avalé la liqueur de celui qui était dans ma bouche et je me suis relevé. Le sperme coulait de mon dos entre mes fesses et puis le long de mes cuisses. Quelques autres l'ont étalé sur ma peau, la poitrine, les fesses, entre aussi. Bref, c'était comme une crème cosmétique.
Une fois sec, je me suis rhabillé. Les hommes se sont rapprochés. J'ai reçu des tapes amicales sur l'épaule, dans le dos, et même des caresses sur les fesses. Des voix murmuraient :
- Reviens !
- Tu reviendras, dis !
- C'était très beau ! Reviens quand tu veux !
Je suis rentré chez moi, j'ai pris une douche et me suis couché. Dans ma tête, je pensais déjà à ma prochaine visite.
- Tu pleures plus, petit garçon ?
J'ai failli pleurer. Tout ces souvenirs qui sont remontés à la surface. Suite à la plainte de ma mère, le pauvre garçon a été interné, puis, je n'ai plus eu de ses nouvelles. Jordi était vraiment un beau garçon. Mais, j'étais toujours son "petit garçon". Avec sa force herculéenne, il me prenait toujours dans ses bras et me berçait. Je sais que j'ai dit que le sexe était moins important que les caresses mais, un jour, je suis repassé devant mon cinéma préféré, et j'ai eu comme une sensation de manque. Finalement, rien n'avait changé en cinq ans.
J'ai remonté l'allée jusque derrière les fauteuils. Toujours le même rituel. Je me suis replacé, comme avant.
Un type est passé et a passé sa main sur mon cul. Au deuxième passage, il a suivi de son doigt, la raie de mes fesses. J'ai reconnu son pas. La troisième fois, il s'est arrêté. Il s'est collé contre moi. Ma grande expérience m'a fait deviner que le gars avait sorti sa queue. Je la sentais longue et épaisse, collée à ma raie, à travers le tissu de mon short.
Le gars se baissa et passa une main sur ma cuisse, en remontant du genou jusqu'à mon short. Il glissa ses doigts dessous et remonta jusqu'à mon slip. Ses mains se retirèrent et il me prit par la taille. Il me plaqua contre lui et s'attaqua à la boutonnière de mon short. Il s'agenouilla, et tira le short vers le bas. Le slip suivit le même chemin.
Le gars écarta mes fesses et sa langue s'insinua jusqu'à mon petit trou. Pendant qu'il me lubrifiait l'entrée de service, il se saisit de ma bite et me branla. Il s'arrêta quand il me sentit prêt à jouir. Il se releva et posa sa bite sur mon trou.
Dans ce cinéma, une sodomie était la récompense du travail accompli et un spectacle prisé. Quand la queue du gars pénétra dans mon cul, la plupart des hommes étaient attroupés autour de nous. Il y avait aussi les profiteurs, bien sûr. L'un d'eux s'est précipité, a sorti sa bite, et, profitant que j'étais penché en avant, me l'a fourrée dans la bouche. Je n'ai pas protesté. Le plus important se passait dans mon dos.
Le gars m'a pris par les hanches et s'est enfoncé loin dans mon cul. Il n'a pas réussi à me la mettre tout entière, elle était trop longue. Alors, il s'est activé, et mon trou de balle a glissé le long de sa pine, comme l'anneau d'un rideau sur une tringle. Le gars devait être en manque depuis un bout de temps, parce qu'il a joui deux fois dans mon cul et une fois sur mon dos. Les profiteurs aussi. Excités par la grosse queue qui perforait mon cul, ils avaient sorti la leur et se branlaient. J'ai avalé la liqueur de celui qui était dans ma bouche et je me suis relevé. Le sperme coulait de mon dos entre mes fesses et puis le long de mes cuisses. Quelques autres l'ont étalé sur ma peau, la poitrine, les fesses, entre aussi. Bref, c'était comme une crème cosmétique.
Une fois sec, je me suis rhabillé. Les hommes se sont rapprochés. J'ai reçu des tapes amicales sur l'épaule, dans le dos, et même des caresses sur les fesses. Des voix murmuraient :
- Reviens !
- Tu reviendras, dis !
- C'était très beau ! Reviens quand tu veux !
Je suis rentré chez moi, j'ai pris une douche et me suis couché. Dans ma tête, je pensais déjà à ma prochaine visite.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire bien bandante!!
moi aussi à l'epoque des cine cochons j'allais souvent apres la derniere rangee , j'y ai connu des sensations delicieuses et à force j'avais une petite cour qui chaque fois savait comment j'aimais etre traite en femme bises