L'invasion des phytophalles
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2014 dans la catégorie A dormir debout
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L'invasion des phytophalles
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La première fois où j'ai entendu parler des "phytophalles" c'était au Japon. Une femme venait de se faire violer et elle accusait une plante.
Tout le monde la prenait pour une menteuse qui voulait cacher une aventure extra-conjugale. La seconde fois, les gens eurent des doutes. Surtout quand la femme donna des détails.
La plante était un buisson dont les tiges avaient une drôle de forme. On eu dit des sexes. La jeune fille se pencha pour en cueillir une, quand quelques unes s'enroulèrent autour de son cou et de ses bras. Les autres tiges s'animèrent et explorèrent son corps, son visage,sa poitrine, son sexe, ses fesses.
Une des tiges s'infiltra sous sa jupe et l'arracha. Deux autres s'enroulèrent autour de ses seins. Une autre encore s'infiltra sous sa culotte. Elle ressortit de l'autre côté et tira, déchirant le léger vêtement.
La jeune fille essaya de se débattre mais la plante resserra sa prise. Deux autres tiges s'enroulèrent autour de ses chevilles, la maintenant les jambes écartées. Une tige tâtonna à l'entrée de son sexe, avant de s'y engouffrer.
La jeune fille hurla. Une tige se dirigea vers sa bouche et força l'ouverture de ses lèvres. Elle était couverte du pseudo sperme de la plante. L'action conjuguée des tiges de la plante retournèrent la jeune fille et l'une d'entre elles s'enfonça dans son cul. A présent, les tiges allaient et venaient dans tous les orifices de la malheureuse.
La police et les scientifiques se rendirent sur les lieux indiqués par l'infortunée et n'ont trouvé aucun indice. Près d'une centaine de témoignages de femmes racontèrent la même histoire.
Curieux, je me rendis sur le site initial. Après une semaine, rien. Je me suis dit que la plante n'avait agressé que des femmes. Je me suis habillé en fille. En pleine campagne déserte, je tombe sur une plante correspondant à la description des femmes. Comme dans le témoignage, je me suis baissé pour cueillir une tige.
Comme prévu, les tiges s'enroulèrent autour de mon cou et de mes bras. Parvenues sur ma poitrine, les tiges eurent un temps d'arrêt. Pas de poitrine.
Le buisson se secoua et soudain, les tiges se mirent à grossir. L'une d'elles se glissa sous ma jupe. Celle qui s'enroulait autour de ma taille resserra sa prise. Une autre tige tâtonna ma petite culotte, devant et derrière. Elle se glissa dedans et l'arracha. D'autres tiges m'arrachèrent la jupe et le chemisier. La plante me retourna sur le dos et les tiges me tenaient en l'air, à poil, par les bras et par les jambes. Une tige grosse comme mon bras, rampa jusqu'à mon visage et se planta devant mes yeux. Elle se retira lentement et le bourgeon en forme de gland explora la raie de mon cul.
Elle se fraya un passage jusqu'à mon trou et je sursautai. Une autre tige se posa sur mon ventre et rampa jusqu'à ma bouche. Je refusai de l'ouvrir, mais la tige en forme de sexe, heurtait mes lèvres, de plus en plus fort. Bientôt, elle s'ouvrit le passage et coulissa dans ma bouche.
Sur mon trou, la tige énorme, en forme de gland, me chatouillait les poils. Elle cherchait un passage. Plusieurs autres vinrent à son aide. Elles projetèrent sur mon cul un flot de liquide blanchâtre et visqueux, que j'ai identifié comme du sperme. Baignée par cette semence abondante, la grosse tige tenta de s'enfoncer dans mon cul. Elle était trop volumineuse. Les tiges qui tenaient mes jambes, les replièrent sur mon torse, offrant mes fesses bien ouvertes à leur consoeur. Deux autres tiges s'enroulèrent autour de mes cuisses et le gland força l'entrée. Je voulais crier mais ma bouche était pleine. La grosse tige poussait de plus en plus fort, comme pour me punir.
Sur mon ventre, maculé de son sperme, une tige de la plante écrivit :
PAS FEMELLE = PAS REPRODUCTION
PAS NOUS TROMPER !
Et la grosse tige accéléra le mouvement. Et grossit encore. Mon trou du cul était dilaté à l'éxtrème. Je ruai, mais les tiges me maintenaient fermement. J'ai fini par aimer ça, mais la douleur fut trop violente et j'ai perdu connaissance.
Quand je suis revenu à moi, j'étais dans un hôpital. J'ai demandé pourquoi j'étais là. Un médecin polyglotte m'a expliqué qu'on m'avait trouvé nu dans un champ, un cheval à côté de moi.
- Vous savez, dit-il, avec un petit sourire ironique, ici au Japon on accepte toutes les formes de sexualité. Mais enfin, vous auriez dû prendre un animal à votre taille. Le sphincter est un muscle élastique mais pas indéfiniment...
- Non, mais...
Je ne finis pas ma phrase. Je me souvenais de l'incrédulité provoquée par le récit des autres victimes.
- Vous avez raison. Répondis-je. La prochaine fois, j'y réfléchirai...
De retour dans mon pays, j'ai remarqué que nous importions de plus en plus de culturel en provenance du Japon. Les sushis, le kawaï, les mangas. Là-bas, j'ai vu aussi l'engouement des Japonais pour les monstres tentaculaires.
C'est un genre provoqué par la censure. La reproduction du pénis étant interdite là-bas, on dessinateur a contourné l'interdiction en transformant la bite en tentacule.
Vu ce qui m'est arrivé, qui sait si comme les sushis, les phytophalles ne viendront pas chez nous.
La première fois où j'ai entendu parler des "phytophalles" c'était au Japon. Une femme venait de se faire violer et elle accusait une plante.
Tout le monde la prenait pour une menteuse qui voulait cacher une aventure extra-conjugale. La seconde fois, les gens eurent des doutes. Surtout quand la femme donna des détails.
La plante était un buisson dont les tiges avaient une drôle de forme. On eu dit des sexes. La jeune fille se pencha pour en cueillir une, quand quelques unes s'enroulèrent autour de son cou et de ses bras. Les autres tiges s'animèrent et explorèrent son corps, son visage,sa poitrine, son sexe, ses fesses.
Une des tiges s'infiltra sous sa jupe et l'arracha. Deux autres s'enroulèrent autour de ses seins. Une autre encore s'infiltra sous sa culotte. Elle ressortit de l'autre côté et tira, déchirant le léger vêtement.
La jeune fille essaya de se débattre mais la plante resserra sa prise. Deux autres tiges s'enroulèrent autour de ses chevilles, la maintenant les jambes écartées. Une tige tâtonna à l'entrée de son sexe, avant de s'y engouffrer.
La jeune fille hurla. Une tige se dirigea vers sa bouche et força l'ouverture de ses lèvres. Elle était couverte du pseudo sperme de la plante. L'action conjuguée des tiges de la plante retournèrent la jeune fille et l'une d'entre elles s'enfonça dans son cul. A présent, les tiges allaient et venaient dans tous les orifices de la malheureuse.
La police et les scientifiques se rendirent sur les lieux indiqués par l'infortunée et n'ont trouvé aucun indice. Près d'une centaine de témoignages de femmes racontèrent la même histoire.
Curieux, je me rendis sur le site initial. Après une semaine, rien. Je me suis dit que la plante n'avait agressé que des femmes. Je me suis habillé en fille. En pleine campagne déserte, je tombe sur une plante correspondant à la description des femmes. Comme dans le témoignage, je me suis baissé pour cueillir une tige.
Comme prévu, les tiges s'enroulèrent autour de mon cou et de mes bras. Parvenues sur ma poitrine, les tiges eurent un temps d'arrêt. Pas de poitrine.
Le buisson se secoua et soudain, les tiges se mirent à grossir. L'une d'elles se glissa sous ma jupe. Celle qui s'enroulait autour de ma taille resserra sa prise. Une autre tige tâtonna ma petite culotte, devant et derrière. Elle se glissa dedans et l'arracha. D'autres tiges m'arrachèrent la jupe et le chemisier. La plante me retourna sur le dos et les tiges me tenaient en l'air, à poil, par les bras et par les jambes. Une tige grosse comme mon bras, rampa jusqu'à mon visage et se planta devant mes yeux. Elle se retira lentement et le bourgeon en forme de gland explora la raie de mon cul.
Elle se fraya un passage jusqu'à mon trou et je sursautai. Une autre tige se posa sur mon ventre et rampa jusqu'à ma bouche. Je refusai de l'ouvrir, mais la tige en forme de sexe, heurtait mes lèvres, de plus en plus fort. Bientôt, elle s'ouvrit le passage et coulissa dans ma bouche.
Sur mon trou, la tige énorme, en forme de gland, me chatouillait les poils. Elle cherchait un passage. Plusieurs autres vinrent à son aide. Elles projetèrent sur mon cul un flot de liquide blanchâtre et visqueux, que j'ai identifié comme du sperme. Baignée par cette semence abondante, la grosse tige tenta de s'enfoncer dans mon cul. Elle était trop volumineuse. Les tiges qui tenaient mes jambes, les replièrent sur mon torse, offrant mes fesses bien ouvertes à leur consoeur. Deux autres tiges s'enroulèrent autour de mes cuisses et le gland força l'entrée. Je voulais crier mais ma bouche était pleine. La grosse tige poussait de plus en plus fort, comme pour me punir.
Sur mon ventre, maculé de son sperme, une tige de la plante écrivit :
PAS FEMELLE = PAS REPRODUCTION
PAS NOUS TROMPER !
Et la grosse tige accéléra le mouvement. Et grossit encore. Mon trou du cul était dilaté à l'éxtrème. Je ruai, mais les tiges me maintenaient fermement. J'ai fini par aimer ça, mais la douleur fut trop violente et j'ai perdu connaissance.
Quand je suis revenu à moi, j'étais dans un hôpital. J'ai demandé pourquoi j'étais là. Un médecin polyglotte m'a expliqué qu'on m'avait trouvé nu dans un champ, un cheval à côté de moi.
- Vous savez, dit-il, avec un petit sourire ironique, ici au Japon on accepte toutes les formes de sexualité. Mais enfin, vous auriez dû prendre un animal à votre taille. Le sphincter est un muscle élastique mais pas indéfiniment...
- Non, mais...
Je ne finis pas ma phrase. Je me souvenais de l'incrédulité provoquée par le récit des autres victimes.
- Vous avez raison. Répondis-je. La prochaine fois, j'y réfléchirai...
De retour dans mon pays, j'ai remarqué que nous importions de plus en plus de culturel en provenance du Japon. Les sushis, le kawaï, les mangas. Là-bas, j'ai vu aussi l'engouement des Japonais pour les monstres tentaculaires.
C'est un genre provoqué par la censure. La reproduction du pénis étant interdite là-bas, on dessinateur a contourné l'interdiction en transformant la bite en tentacule.
Vu ce qui m'est arrivé, qui sait si comme les sushis, les phytophalles ne viendront pas chez nous.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
original…la scene d'ouverture est excellente…elle me rappel une scène du film evil dead...