Baisé par son pote avec les encouragements de mon mari
Récit érotique écrit par Dis-moi-oui [→ Accès à sa fiche auteur]
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Baisé par son pote avec les encouragements de mon mari
Je suis une femme en couple avec un homme formidable, mais notre vie a pris un tournant inattendu. Nous avons toujours voulu avoir un enfant, et pendant des mois, nous avons fait l'amour de manière presque mécanique, en fonction de mes cycles. La passion s'est transformée en une routine froide et calculée, et malgré tous nos efforts, rien ne se passait. Les tests ont finalement révélé que mon mari était stérile, et cette nouvelle a été un coup dur pour nous deux.
Pour lui, c'était une souffrance insupportable. Il était prêt à tout pour être père, même à élever un enfant qui ne serait pas le sien. L'adoption lui paraissait trop longue et compliquée, et il a proposé une solution qui, au début, m'a semblé folle : faire un enfant avec quelqu'un d'autre. Et qui de mieux que notre ami de longue date, Marc ?
Un soir, lors d'une soirée organisée chez des amis communs, mon mari a pris Marc à part. "Marc, j'ai besoin de te parler de quelque chose d'important," a-t-il commencé, l'air grave. "Tu sais que nous essayons d'avoir un enfant depuis des mois, et les tests ont révélé que je suis stérile. C'est une épreuve terrible pour nous deux, et je suis prêt à tout pour devenir père. J'ai pensé à une solution, mais j'ai besoin de ton aide."
Marc, surpris, a écouté attentivement. "Bien sûr, je suis là pour vous aider. De quoi as-tu besoin ?"
"Voilà, j'ai pensé que nous pourrions essayer d'avoir un enfant avec quelqu'un d'autre. Quelqu'un en qui nous avons confiance. Et je n'ai trouvé personne de plus digne de confiance que toi," a expliqué mon mari, la voix tremblante d'émotion.
Marc a réfléchi un moment, visiblement touché par la situation. "Je comprends, et je suis prêt à vous aider. C'est un grand geste, mais je le fais de tout cœur. Vous méritez d'être heureux."
Je les ai observés de loin, le cœur battant. J'ai toujours été secrètement amoureuse de Marc, mais mon mari n'en avait jamais rien su. Quand mon mari m'a parlé de son plan, j'ai fait mine de refuser, mais en réalité, j'étais excitée à l'idée de revivre cette passion perdue. Je pouvais sentir une chaleur humide se répandre entre mes cuisses, mon corps réagissant déjà à cette perspective.
Le jour J est arrivé, et je me suis préparée avec une excitation palpable. J'ai enfilé une tenue pornographique achetée dans un sexe shop : un body en latex rouge, ouvert à l'entrejambe et au niveau des seins, laissant peu de place à l'imagination. Mes talons aiguilles noirs ajoutaient une touche de provocation, et mon maquillage, accentué, soulignait mon désir. Mon mari a tout organisé, et nous nous sommes retrouvés dans une ambiance intime et chargée de désir.
Marc, avec qui j'avais partagé tant de moments, me regardait avec une intensité qui me faisait frissonner. "Tu es magnifique," a-t-il murmuré en s'approchant de moi. "Pour assurer le succès, je propose qu'on utilise un langage explicite et grossier," ai-je suggéré, un sourire coquin aux lèvres. "C'est nécessaire, chéri," ai-je expliqué à mon mari. "Une fellation dès le départ pour assurer un sperme de très bonne qualité."
Il a acquiescé, et nous avons commencé à nous embrasser passionnément. Mes mains se sont glissées sous sa chemise, explorant chaque muscle de son torse. "Suce-moi, salope," a-t-il murmuré à mon oreille, et je me suis empressée d'obéir. Je l'ai pris dans ma bouche, le suçant avec avidité, sentant son membre grossir et durcir. "Oui, comme ça, continue," a-t-il gémi, ses mains agrippant ma tête.
Je l'ai sucé avec ardeur, ma langue tournant autour de son gland, jusqu'à ce qu'il commence à se retirer, pensant que je souhaitais qu'il jouisse sur mon corps. Mais je n'avais pas l'intention de le laisser partir si facilement. Je l'ai retenu, le pompant encore plus fort, sentant sa queue avoir des spasmes au fond de ma gorge. Je me suis légèrement retirée pour qu'il puisse gicler sur ma langue, et j'ai senti son sperme chaud couler autour de ma bouche, un spectacle excitant pour mon mari qui observait. "Il faut purger le conduit pour assurer un sperme de très bonne qualité," ai-je expliqué, un sourire malicieux aux lèvres. Mon mari, qui observait, a hoché la tête en signe d'approbation, son excitation visible malgré l'interdiction de participer.
Nous avons ensuite passé à l'acte principal. Marc m'a penchée en avant, relevant ma jupe pour révéler mes fesses nues. "Putain, tu es tellement sexy," a-t-il murmuré en s'approchant. "Baise-moi, baise-moi fort," ai-je supplié, et il a obéi, me pénétrant d'un coup sec. "Oui, comme ça, plus fort," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. La sensation de sa queue en moi après toutes ces années de fidélité était grisante, un mélange de plaisir et de transgression. Mon clitoris, déjà gonflé d'excitation, frottait contre lui à chaque mouvement, envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps. Mes seins, durs et pointus, se balançaient sous les baisers et les caresses de Marc, ajoutant à l'intensité du moment.
Il m'a baisée avec une vigueur incroyable, ses mains agrippant mes hanches. "Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire baiser comme une chienne ?" a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, incapable de parler tant le plaisir était intense. "Oui, oui, continue, ne t'arrête pas," ai-je gémi, sentant l'orgasme monter en moi. "Il faut qu'il te remplisse bien, chérie," a murmuré mon mari, et j'ai acquiescé, sentant le plaisir exploser en moi, mon corps tremblant de jouissance. Je pouvais sentir ma chatte se contracter autour de lui, comme si elle l'aspirait, se modelant à cette nouvelle queue qui me comblait enfin. Je jouissais comme une folle, des spasmes de plaisir parcourant tout mon corps, ma chatte trempée et palpitante.
Après un moment intense, il s'est retiré, et je me suis retournée pour le regarder. "Je veux te sentir en moi, je veux que tu jouisses en moi," ai-je supplié, et il a obéi, me pénétrant à nouveau. "Oui, comme ça, continue, ne t'arrête pas," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. Il a joui en moi, et j'ai senti son sperme chaud inonder mon ventre. "Il m'a bien rempli, chéri," ai-je murmuré à mon mari, l'embrassant passionnément, nos langues s'entremêlant. Mon mari, excité et bandant comme un fou, a dû se contenter de caresser mes seins, ses mains glissant sur ma peau humide de sueur et de plaisir.
Pour le troisième round, j'ai décidé de prendre les choses en main. "Je veux te sentir en moi, mais par-derrière," ai-je murmuré, un sourire coquin aux lèvres. "Tu es sûre ?" a-t-il demandé, et j'ai acquiescé. "Oui, je veux que tu me baises par-derrière. Il a un peu de mal à bander, et il faut assurer des jets bien puissants," ai-je expliqué, le guidant vers mon cul. Mon mari a hoché la tête, comprenant l'importance de la situation.
Il a obéi, me pénétrant lentement, et j'ai gémi de plaisir. "Oui, comme ça, continue, ne t'arrête pas," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. "Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire baiser par-derrière ?" a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, incapable de parler tant le plaisir était intense. "Oui, oui, continue, ne t'arrête pas," ai-je gémi, sentant l'orgasme monter en moi. "Tu sais, quand on était jeunes, je n'osais pas trop te parler," a-t-il murmuré, "mais je me branlais en pensant à toi tous les soirs."
Ces mots ont ajouté une dimension nouvelle à notre étreinte, un mélange de nostalgie et de désir brut.
Nous avons alterné les positions durant une dizaine de minutes, passant de la levrette à la missionnaire, puis au califourchon. Dans cette position, je me suis masturbée le clitoris avec ardeur, sentant des jets de cyprine s'ajouter à notre mélange. "Putain, tu es tellement excitée," a-t-il murmuré, sentant mon corps trembler de plaisir. "Oui, baise-moi, baise-moi fort," ai-je crié, sentant l'orgasme monter en moi. "Tu es incroyable," a-t-il gémi, accélérant le rythme jusqu'à ce que nous atteignions tous les deux le summum du plaisir.
Il a encore changé de position, me pénétrant à nouveau par-devant, et j'ai senti son membre durcir en moi. "Oui, baise-moi, baise-moi fort," ai-je supplié, sentant le plaisir monter en moi. Il a accéléré le rythme, ses coups de reins puissants me faisant crier de plaisir. "Je vais jouir, je vais jouir en toi," a-t-il gémi, et j'ai senti son sperme chaud se mêler à celui de la deuxième fois, remplissant ma chatte complètement. Le mélange de nos fluides a commencé à dégouliner le long de mes cuisses, un signe visible de notre passion débridée. "Tu sens comme c'est bon ?" a-t-il murmuré, sentant ma chatte trempée et palpitante. "Oui, continue, remplis-moi encore," ai-je gémi, sentant chaque jet tapisser les parois de ma chatte.
Après, je me suis blottie contre lui, et nous avons partagé un moment de complicité et de tendresse. Mon mari, qui avait tout observé, nous a rejoints, et nous avons partagé un moment de bonheur intense. "Il m'a bien rempli comme jamais, chéri," ai-je murmuré, l'embrassant tendrement. "J'espère que ça va fonctionner," a-t-il répondu, un sourire d'espoir sur le visage. "Tu sais, peut-être qu'il faudrait reprogrammer quelques rendez-vous sans que tu sois là," ai-je suggéré. "Le stress de ta présence pourrait rendre sa semence moins performante." Mon mari a réfléchi un moment avant d'acquiescer. "Tu as raison, chérie. Faisons ça. Je veux ce qu'il y a de mieux pour nous."
En off, je dois avouer que j'ai pris la pilule. Je veux faire durer ce moment de passion et de désir. Je ne veux pas que ça s'arrête, et je suis prête à tout pour revivre ces sensations intenses. Mon corps, trempé de sueur et de plaisir, vibre encore de l'intensité de ces moments. Mon clitoris, gonflé et sensible, pulse au rythme de mon cœur, et mes seins, lourds et lourds, portent encore les marques des baisers et des caresses de mon amant. Je me sens comblée, comme si chaque cellule de mon corps avait été réveillée, et je sais que je suis prête à tout pour revivre cette passion dévorante.
Pour lui, c'était une souffrance insupportable. Il était prêt à tout pour être père, même à élever un enfant qui ne serait pas le sien. L'adoption lui paraissait trop longue et compliquée, et il a proposé une solution qui, au début, m'a semblé folle : faire un enfant avec quelqu'un d'autre. Et qui de mieux que notre ami de longue date, Marc ?
Un soir, lors d'une soirée organisée chez des amis communs, mon mari a pris Marc à part. "Marc, j'ai besoin de te parler de quelque chose d'important," a-t-il commencé, l'air grave. "Tu sais que nous essayons d'avoir un enfant depuis des mois, et les tests ont révélé que je suis stérile. C'est une épreuve terrible pour nous deux, et je suis prêt à tout pour devenir père. J'ai pensé à une solution, mais j'ai besoin de ton aide."
Marc, surpris, a écouté attentivement. "Bien sûr, je suis là pour vous aider. De quoi as-tu besoin ?"
"Voilà, j'ai pensé que nous pourrions essayer d'avoir un enfant avec quelqu'un d'autre. Quelqu'un en qui nous avons confiance. Et je n'ai trouvé personne de plus digne de confiance que toi," a expliqué mon mari, la voix tremblante d'émotion.
Marc a réfléchi un moment, visiblement touché par la situation. "Je comprends, et je suis prêt à vous aider. C'est un grand geste, mais je le fais de tout cœur. Vous méritez d'être heureux."
Je les ai observés de loin, le cœur battant. J'ai toujours été secrètement amoureuse de Marc, mais mon mari n'en avait jamais rien su. Quand mon mari m'a parlé de son plan, j'ai fait mine de refuser, mais en réalité, j'étais excitée à l'idée de revivre cette passion perdue. Je pouvais sentir une chaleur humide se répandre entre mes cuisses, mon corps réagissant déjà à cette perspective.
Le jour J est arrivé, et je me suis préparée avec une excitation palpable. J'ai enfilé une tenue pornographique achetée dans un sexe shop : un body en latex rouge, ouvert à l'entrejambe et au niveau des seins, laissant peu de place à l'imagination. Mes talons aiguilles noirs ajoutaient une touche de provocation, et mon maquillage, accentué, soulignait mon désir. Mon mari a tout organisé, et nous nous sommes retrouvés dans une ambiance intime et chargée de désir.
Marc, avec qui j'avais partagé tant de moments, me regardait avec une intensité qui me faisait frissonner. "Tu es magnifique," a-t-il murmuré en s'approchant de moi. "Pour assurer le succès, je propose qu'on utilise un langage explicite et grossier," ai-je suggéré, un sourire coquin aux lèvres. "C'est nécessaire, chéri," ai-je expliqué à mon mari. "Une fellation dès le départ pour assurer un sperme de très bonne qualité."
Il a acquiescé, et nous avons commencé à nous embrasser passionnément. Mes mains se sont glissées sous sa chemise, explorant chaque muscle de son torse. "Suce-moi, salope," a-t-il murmuré à mon oreille, et je me suis empressée d'obéir. Je l'ai pris dans ma bouche, le suçant avec avidité, sentant son membre grossir et durcir. "Oui, comme ça, continue," a-t-il gémi, ses mains agrippant ma tête.
Je l'ai sucé avec ardeur, ma langue tournant autour de son gland, jusqu'à ce qu'il commence à se retirer, pensant que je souhaitais qu'il jouisse sur mon corps. Mais je n'avais pas l'intention de le laisser partir si facilement. Je l'ai retenu, le pompant encore plus fort, sentant sa queue avoir des spasmes au fond de ma gorge. Je me suis légèrement retirée pour qu'il puisse gicler sur ma langue, et j'ai senti son sperme chaud couler autour de ma bouche, un spectacle excitant pour mon mari qui observait. "Il faut purger le conduit pour assurer un sperme de très bonne qualité," ai-je expliqué, un sourire malicieux aux lèvres. Mon mari, qui observait, a hoché la tête en signe d'approbation, son excitation visible malgré l'interdiction de participer.
Nous avons ensuite passé à l'acte principal. Marc m'a penchée en avant, relevant ma jupe pour révéler mes fesses nues. "Putain, tu es tellement sexy," a-t-il murmuré en s'approchant. "Baise-moi, baise-moi fort," ai-je supplié, et il a obéi, me pénétrant d'un coup sec. "Oui, comme ça, plus fort," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. La sensation de sa queue en moi après toutes ces années de fidélité était grisante, un mélange de plaisir et de transgression. Mon clitoris, déjà gonflé d'excitation, frottait contre lui à chaque mouvement, envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps. Mes seins, durs et pointus, se balançaient sous les baisers et les caresses de Marc, ajoutant à l'intensité du moment.
Il m'a baisée avec une vigueur incroyable, ses mains agrippant mes hanches. "Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire baiser comme une chienne ?" a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, incapable de parler tant le plaisir était intense. "Oui, oui, continue, ne t'arrête pas," ai-je gémi, sentant l'orgasme monter en moi. "Il faut qu'il te remplisse bien, chérie," a murmuré mon mari, et j'ai acquiescé, sentant le plaisir exploser en moi, mon corps tremblant de jouissance. Je pouvais sentir ma chatte se contracter autour de lui, comme si elle l'aspirait, se modelant à cette nouvelle queue qui me comblait enfin. Je jouissais comme une folle, des spasmes de plaisir parcourant tout mon corps, ma chatte trempée et palpitante.
Après un moment intense, il s'est retiré, et je me suis retournée pour le regarder. "Je veux te sentir en moi, je veux que tu jouisses en moi," ai-je supplié, et il a obéi, me pénétrant à nouveau. "Oui, comme ça, continue, ne t'arrête pas," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. Il a joui en moi, et j'ai senti son sperme chaud inonder mon ventre. "Il m'a bien rempli, chéri," ai-je murmuré à mon mari, l'embrassant passionnément, nos langues s'entremêlant. Mon mari, excité et bandant comme un fou, a dû se contenter de caresser mes seins, ses mains glissant sur ma peau humide de sueur et de plaisir.
Pour le troisième round, j'ai décidé de prendre les choses en main. "Je veux te sentir en moi, mais par-derrière," ai-je murmuré, un sourire coquin aux lèvres. "Tu es sûre ?" a-t-il demandé, et j'ai acquiescé. "Oui, je veux que tu me baises par-derrière. Il a un peu de mal à bander, et il faut assurer des jets bien puissants," ai-je expliqué, le guidant vers mon cul. Mon mari a hoché la tête, comprenant l'importance de la situation.
Il a obéi, me pénétrant lentement, et j'ai gémi de plaisir. "Oui, comme ça, continue, ne t'arrête pas," ai-je crié, sentant chaque coup de reins me rapprocher du plaisir ultime. "Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire baiser par-derrière ?" a-t-il murmuré, et j'ai acquiescé, incapable de parler tant le plaisir était intense. "Oui, oui, continue, ne t'arrête pas," ai-je gémi, sentant l'orgasme monter en moi. "Tu sais, quand on était jeunes, je n'osais pas trop te parler," a-t-il murmuré, "mais je me branlais en pensant à toi tous les soirs."
Ces mots ont ajouté une dimension nouvelle à notre étreinte, un mélange de nostalgie et de désir brut.
Nous avons alterné les positions durant une dizaine de minutes, passant de la levrette à la missionnaire, puis au califourchon. Dans cette position, je me suis masturbée le clitoris avec ardeur, sentant des jets de cyprine s'ajouter à notre mélange. "Putain, tu es tellement excitée," a-t-il murmuré, sentant mon corps trembler de plaisir. "Oui, baise-moi, baise-moi fort," ai-je crié, sentant l'orgasme monter en moi. "Tu es incroyable," a-t-il gémi, accélérant le rythme jusqu'à ce que nous atteignions tous les deux le summum du plaisir.
Il a encore changé de position, me pénétrant à nouveau par-devant, et j'ai senti son membre durcir en moi. "Oui, baise-moi, baise-moi fort," ai-je supplié, sentant le plaisir monter en moi. Il a accéléré le rythme, ses coups de reins puissants me faisant crier de plaisir. "Je vais jouir, je vais jouir en toi," a-t-il gémi, et j'ai senti son sperme chaud se mêler à celui de la deuxième fois, remplissant ma chatte complètement. Le mélange de nos fluides a commencé à dégouliner le long de mes cuisses, un signe visible de notre passion débridée. "Tu sens comme c'est bon ?" a-t-il murmuré, sentant ma chatte trempée et palpitante. "Oui, continue, remplis-moi encore," ai-je gémi, sentant chaque jet tapisser les parois de ma chatte.
Après, je me suis blottie contre lui, et nous avons partagé un moment de complicité et de tendresse. Mon mari, qui avait tout observé, nous a rejoints, et nous avons partagé un moment de bonheur intense. "Il m'a bien rempli comme jamais, chéri," ai-je murmuré, l'embrassant tendrement. "J'espère que ça va fonctionner," a-t-il répondu, un sourire d'espoir sur le visage. "Tu sais, peut-être qu'il faudrait reprogrammer quelques rendez-vous sans que tu sois là," ai-je suggéré. "Le stress de ta présence pourrait rendre sa semence moins performante." Mon mari a réfléchi un moment avant d'acquiescer. "Tu as raison, chérie. Faisons ça. Je veux ce qu'il y a de mieux pour nous."
En off, je dois avouer que j'ai pris la pilule. Je veux faire durer ce moment de passion et de désir. Je ne veux pas que ça s'arrête, et je suis prête à tout pour revivre ces sensations intenses. Mon corps, trempé de sueur et de plaisir, vibre encore de l'intensité de ces moments. Mon clitoris, gonflé et sensible, pulse au rythme de mon cœur, et mes seins, lourds et lourds, portent encore les marques des baisers et des caresses de mon amant. Je me sens comblée, comme si chaque cellule de mon corps avait été réveillée, et je sais que je suis prête à tout pour revivre cette passion dévorante.
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Les avis des lecteurs
C’est une poufiasse qui prends son mari pour un con.
