La prime du patron cocu
Récit érotique écrit par Dis-moi-oui [→ Accès à sa fiche auteur]
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La prime du patron cocu
Ce soir, à la soirée d'entreprise organisée dans un hôtel luxueux, je me sentais particulièrement frustré. Mon patron, ce connard autoritaire, avait non seulement été odieux avec moi aujourd'hui, mais il avait aussi gelé mon augmentation. Il me traitait comme un moins que rien, et je savais que sa femme, Isabelle, n'était pas plus heureuse que moi. Il la laissait de côté pour briller devant ses employés, et je pouvais voir la tristesse dans ses yeux.
Je décidai de profiter de l'occasion pour me venger. Je repérai Isabelle, vêtue d'une robe élégante qui mettait en valeur ses courbes. Je m'approchai d'elle avec confiance, mes intentions claires. Je commençai à lui murmurer des compliments, et elle sembla flattée. Je sentis qu'elle était réceptive, alors je me permis de la tripoter discrètement. Mes mains glissèrent sous sa robe, révélant une lingerie sexy. Sa culotte était trempée, et je sus qu'elle en voulait plus.
Je lui proposai de monter dans une des chambres réservées pour l'occasion. Elle accepta, un sourire complice sur les lèvres. Une fois dans la chambre, je la poussai doucement contre le mur, mes mains explorant son corps. Je sentais son excitation monter, et je savais qu'elle en voulait plus. Je la fis se pencher légèrement, et je commençai à lui lécher la chatte avec avidité. Elle gémit de plaisir, se laissant complètement aller. Elle prit ses seins dans ses mains, les pressant, les caressant, et se lécha les tétons, ce qui me rendit encore plus dur. C'était digne d'un film X, et je sentis mon excitation atteindre des sommets.
Je continuai à la lécher, intensifiant mes caresses, sentant qu'elle était proche de l'orgasme. Elle jouit enfin, dans un cri étouffé, son corps tremblant de satisfaction. Un énorme jet de cyprine jaillit de sa chatte, remplissant ma bouche. Je bus avidement, savourant chaque goutte de son plaisir. Je me redressai, mon érection palpitant. Je la fis se mettre à genoux, et elle me regarda avec des yeux pleins de désir. Elle commença à me sucer, ses lèvres douces et chaudes autour de ma queue. Je sentis mon plaisir monter, mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Je voulus me retirer, mais elle me tint fermement, accélérant le mouvement de sa tête.
"Je veux te sentir," murmura-t-elle, ses yeux fixés sur les miens.
Je ne pus résister plus longtemps. Mon orgasme explosa, et je me vidai dans sa bouche. Elle ouvrit légèrement les lèvres, laissant le sperme couler légèrement sur le côté de sa bouche, qu'elle rattrapa avec un doigt. Elle me sourit, un sourire satisfait, et je sentis ma vigueur revenir instantanément.
Je la relevai, la poussai sur le lit, et je la pénétrai avec force. Elle s'accrocha à moi, ses ongles s'enfonçant dans ma peau, tandis que je la pilonnais sans relâche. Je pris ses seins dans mes mains, les pressant, les caressant, sentant ses tétons durcir sous mes doigts. Elle se cambra, gémissant de plaisir, et je sentis qu'elle était à nouveau sur le point de jouir.
Mais ce soir, je voulais plus. Je voulais la marquer, la posséder complètement. Je la fis se retourner, et je me positionnai derrière elle. Je commençai à la pénétrer doucement par derrière, sentant sa résistance initiale. Elle se crispa, mais je continuai, lentement, jusqu'à ce qu'elle se détende. Elle gémit, un son entre la douleur et le plaisir.
"Je n'ai jamais fait ça," murmura-t-elle, sa voix tremblante. "Je ne sais pas si j'ai envie."
"Fais-moi confiance," répondis-je, ma voix rauque de désir. "Je vais te faire découvrir quelque chose de nouveau."
Je commençai à bouger, lentement d'abord, puis de plus en plus vite. Elle gémit, ses mains agrippant les draps, et je sentis qu'elle commençait à apprécier, ses gémissements se transformant en cris de plaisir. Je continuai, sentant mon propre orgasme monter.
"Marc," haleta-t-elle, "je veux te sentir en moi. Vide-toi en moi."
Ces mots me poussèrent au bord du gouffre. Je continuai à la baiser avec force, sentant mon orgasme exploser en elle. Je me vidai complètement, sentant chaque giclée de sperme la remplir. Elle cria, son propre orgasme la submergeant, son corps convulsant autour de moi.
Nous restâmes ainsi un moment, haletants, nos corps trempés de sueur. Je me retirai doucement, et elle se retourna pour me regarder, un sourire satisfait sur les lèvres.
"C'était incroyable," murmura-t-elle. "Je n'aurais jamais cru que ça pouvait être si bon."
Je lui souris, sachant que j'avais non seulement assouvi un désir, mais aussi marqué un point contre mon patron. Ce soir, c'était moi qui avais le pouvoir. Et ça méritait bien ce que je n'avais pas eu, avec ce paiement en nature. Isabelle se blottit contre moi, et nous restâmes ainsi, savourant ce moment de plaisir partagé.
"Il faudrait refaire ça plus souvent," murmura-t-elle, un sourire coquin sur les lèvres.
Et je sus que ce ne serait pas la dernière fois.
Je décidai de profiter de l'occasion pour me venger. Je repérai Isabelle, vêtue d'une robe élégante qui mettait en valeur ses courbes. Je m'approchai d'elle avec confiance, mes intentions claires. Je commençai à lui murmurer des compliments, et elle sembla flattée. Je sentis qu'elle était réceptive, alors je me permis de la tripoter discrètement. Mes mains glissèrent sous sa robe, révélant une lingerie sexy. Sa culotte était trempée, et je sus qu'elle en voulait plus.
Je lui proposai de monter dans une des chambres réservées pour l'occasion. Elle accepta, un sourire complice sur les lèvres. Une fois dans la chambre, je la poussai doucement contre le mur, mes mains explorant son corps. Je sentais son excitation monter, et je savais qu'elle en voulait plus. Je la fis se pencher légèrement, et je commençai à lui lécher la chatte avec avidité. Elle gémit de plaisir, se laissant complètement aller. Elle prit ses seins dans ses mains, les pressant, les caressant, et se lécha les tétons, ce qui me rendit encore plus dur. C'était digne d'un film X, et je sentis mon excitation atteindre des sommets.
Je continuai à la lécher, intensifiant mes caresses, sentant qu'elle était proche de l'orgasme. Elle jouit enfin, dans un cri étouffé, son corps tremblant de satisfaction. Un énorme jet de cyprine jaillit de sa chatte, remplissant ma bouche. Je bus avidement, savourant chaque goutte de son plaisir. Je me redressai, mon érection palpitant. Je la fis se mettre à genoux, et elle me regarda avec des yeux pleins de désir. Elle commença à me sucer, ses lèvres douces et chaudes autour de ma queue. Je sentis mon plaisir monter, mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Je voulus me retirer, mais elle me tint fermement, accélérant le mouvement de sa tête.
"Je veux te sentir," murmura-t-elle, ses yeux fixés sur les miens.
Je ne pus résister plus longtemps. Mon orgasme explosa, et je me vidai dans sa bouche. Elle ouvrit légèrement les lèvres, laissant le sperme couler légèrement sur le côté de sa bouche, qu'elle rattrapa avec un doigt. Elle me sourit, un sourire satisfait, et je sentis ma vigueur revenir instantanément.
Je la relevai, la poussai sur le lit, et je la pénétrai avec force. Elle s'accrocha à moi, ses ongles s'enfonçant dans ma peau, tandis que je la pilonnais sans relâche. Je pris ses seins dans mes mains, les pressant, les caressant, sentant ses tétons durcir sous mes doigts. Elle se cambra, gémissant de plaisir, et je sentis qu'elle était à nouveau sur le point de jouir.
Mais ce soir, je voulais plus. Je voulais la marquer, la posséder complètement. Je la fis se retourner, et je me positionnai derrière elle. Je commençai à la pénétrer doucement par derrière, sentant sa résistance initiale. Elle se crispa, mais je continuai, lentement, jusqu'à ce qu'elle se détende. Elle gémit, un son entre la douleur et le plaisir.
"Je n'ai jamais fait ça," murmura-t-elle, sa voix tremblante. "Je ne sais pas si j'ai envie."
"Fais-moi confiance," répondis-je, ma voix rauque de désir. "Je vais te faire découvrir quelque chose de nouveau."
Je commençai à bouger, lentement d'abord, puis de plus en plus vite. Elle gémit, ses mains agrippant les draps, et je sentis qu'elle commençait à apprécier, ses gémissements se transformant en cris de plaisir. Je continuai, sentant mon propre orgasme monter.
"Marc," haleta-t-elle, "je veux te sentir en moi. Vide-toi en moi."
Ces mots me poussèrent au bord du gouffre. Je continuai à la baiser avec force, sentant mon orgasme exploser en elle. Je me vidai complètement, sentant chaque giclée de sperme la remplir. Elle cria, son propre orgasme la submergeant, son corps convulsant autour de moi.
Nous restâmes ainsi un moment, haletants, nos corps trempés de sueur. Je me retirai doucement, et elle se retourna pour me regarder, un sourire satisfait sur les lèvres.
"C'était incroyable," murmura-t-elle. "Je n'aurais jamais cru que ça pouvait être si bon."
Je lui souris, sachant que j'avais non seulement assouvi un désir, mais aussi marqué un point contre mon patron. Ce soir, c'était moi qui avais le pouvoir. Et ça méritait bien ce que je n'avais pas eu, avec ce paiement en nature. Isabelle se blottit contre moi, et nous restâmes ainsi, savourant ce moment de plaisir partagé.
"Il faudrait refaire ça plus souvent," murmura-t-elle, un sourire coquin sur les lèvres.
Et je sus que ce ne serait pas la dernière fois.
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