Ballade en forêt

- Par l'auteur HDS Nyalis -
Récit érotique écrit par Nyalis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ballade en forêt Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ballade en forêt
A cette période là je vivais à la campagne dans la région toulousaine. A proximité de ma fermette se trouvait une belle forêt. J'avais remarqué deux lieux de drague fréquentés par les hommes.Au printemps, avec le retour des beaux jours, j'allais m'y promener le cœur battant d'excitation.Je me souviens plus particulièrement d'une soirée inoubliable au mois de juin. Il faisait beau, la température était agréable et la soirée promettait d'être longue et douce avant la nuit.J'étais vêtu d'un t-shirt et d'un short de sport moulant style boxer qui mettait en valeur mes fesses et ma virilité.Sur place il y avait pas mal d'hommes qui allaient et venaient. Je commence à faire le tour de l'endroit, pour sentir l'ambiance et me montrer.Visiblement, je ne laisse pas indifférent ceux que je croise, qui se retournent sur moi. Certains se mettent à me suivre. 3 à 4 séances hebdomadaires de musculation m'ont forgé un corps mince et finement musclé. A quarante ans passés, j'en parais moins et je plais facilement.Je marche lentement. Derrière moi, un petit groupe d'une demie douzaine d'hommes s'est formé. Certains échangent quelques mots en me regardant. La situation commence à m'émoustiller vraiment. Je décide de prendre un petit chemin qui s'enfonce dans la forêt. Mon intention est d'atteindre un endroit plus discret et d'y attirer mes suiveurs.Tous m'emboîtent le pas à quelques mètres de distance, probablement curieux de la suite.Arrivé à un endroit qui me semble suffisamment loin du chemin principal, je m'arrête et feins d'être absorbé par la contemplation de la nature.Certains s'approchent de moi, d'autres restent à proximité.Les plus entreprenants me saluent et sans autre cérémonial viennent au contact. Je les laisse me toucher sans protester ni reculer. Une main avide, puis deux, trois, quatre peut-être caressent la bosse de mon petit short, mes fesses, mon torse. Ce pelotage en règle me fait gémir de plaisir. Dans le short mon pénis gonfle et durcit. Mes tétons pointent à travers le tissu du t-shirt sous lequel se glisse une main. Une autre écarte l'élastique du short et saisit ma queue gonflée. Mon short est tiré vers le bas. Mes bourreaux veulent enlever tout obstacle à leur pelotage. Alors, pour faciliter leurs investigations manuelles, je retire short et t-shirt, apparaissant totalement nu, le sexe bandé. J'accroche à un arbre mes vêtements et ma petite sacoche, bien pratique pour y mettre préservatifs, lubrifiant, kleenex et clé de la voiture.Et je fais face à eux, superbement indécent, le sexe pointant vers eux, bronzé intégralement. Très exhib, j'adore être nu face à des personnes perverses et complices. En une seconde, ils sont de nouveau sur moi. L'un s'agenouille pour emboucher mon pénis sans hésiter, un autre titille mes tétons. On malaxe mes fesses. Un homme s'approche, s'agenouille dernière moi, écarte mes globes et entreprend un anulingus gourmand. Submergé par l'intense plaisir que me procurent ces caresses érogènes, je suis en transe. Mes gémissements redoublent, deviennent des cris de jouissance. Je leur crie que j'aime ça, que c'est délicieux, que j'ai envie d'être baisé. Les voyeurs se sont rapprochés. Certains ont sorti leur sexe et se masturbent.L'un d'eux s'avance et me demande : tu te fais prendre ? Entre deux gémissement je souffle un oui . L'homme, un trentenaire plutôt avenant, extirpe de son pantalon un sexe épais et imposant.Tout en continuant à jouir des caresses de ceux qui s'approprient mon corps et parties intimes, je lorgne sur ce superbe organe. La croupe cambrée, les fesses ouvertes par le gourmand qui lèche ma rosette palpitante d'excitation, je l'imagine en moi. Je tends la main vers lui pour le saisir, en sentir le poids dans ma paume, la douceur de la peau. Tu en as envie s'exclame un des voyeurs ! Sans hésiter, je réponds oui, j'en ai envie.Baise-le dit-il à l'homme en rut. Mes carresseurs s'écartent pour lui laisser la place. Me saisissant de ma sacoche, je prends un préservatif XL. Prévoyant, j'en ai toujours un parmi les tailles standard. Je lui donne et je badigeonne ma rosette de gel. En appui sur un arbre, jambes écartées, la croupe cambrée, je me mets en position pour une saillie, que j'appréhende un peu vu la largeur du pénis. L'homme s'approche. Il s'est débarrassé de son short pour être à l'aise.Il me saisit par les hanches, positionne son gland sur mon œillet. Vas-y doucement je lui dis. L'homme bande dur. Je sens la pression du gros gland sur l'anus qui s'ouvre peu à peu. Soudain, le gland entrouve l'anneau. Douleur fugace, petit cri. Mon "violeur" marque un temps d'arrêt mais, dans un geste de soumission, j'accentue la cambrure de mes reins vers lui. Il s'enfonce en moi petit à petit, laissant l'anus s'adapter au volume de son braquemart. Puis il entame un lent mouvement. Il n'est pas brutal, heureusement. Les voyeurs font cercle autour de nous. Certains sont tout proche, obnubilés par la vision de notre accouplement contre nature, le va et vient du large chibre dans mon cul dilaté. Un homme saisit mon pénis et me masturbe frénétiquement. Des commentaires obscènes fusent de la petite assemblée: Quel cul ! Quelle salope, il aime ça.Vas-y , baise-le bien. Ces mots crus m'excitent. Je me sens animal, jouissant sans retenue de mon côté "femelle", de ma croupe avide de sexe masculin. Soudain un orgasme fulgurant m'envahit. Je dois me tenir aux branches pour ne pas vaciller. Je crie mon plaisir. Surpris par cet orgasme puissant, mes spectateurs encouragent encore mon baiseur à me sodomiser. Il est endurant, visiblement pas pressé d'éjaculer. Tant mieux, car je déteste être traité comme un "vide couilles", trop vite délaissé. La présence des voyeurs, leurs regards sur mon corps et mon cul soumis au braquemart d'un inconnu me surexcitent. Notre copulation est un spectacle obscène et beau en même temps, dont j'aime être l'acteur principal.Je savoure le lent mouvement  de l'épais phallus dans mon fourreau sensible. Plusieurs orgasmes me font délirer et gémir de plaisir. Je jouis de tout mon corps, une main caresse mon sexe bandé, des doigts pincent mes tétons. Soudain, je sens venir entre mes reins l'orgasme éjaculateur. Dans la main du voyeur , mon pénis se tend, se gorge de sang, et libère les jets de foutre. Orgasme décuplé par la sensation du gros chibre dans mes chairs surchauffées. Je tremble de tout mon corps, je n'en peux plus de tant d'intenses jouissances. Je sens alors mon "violeur " se raidir, ses mains plus fermes sur mes hanches me bloquent contre son ventre et ses cuisses, son braquemart entier au fond de mon fourreau. À son tour, enfoui en moi, Il jouit libérant sa semence dans la capote. Ah comme j'aimerais la sentir gicler en moi, puis couler chaude et douce de ma rosette dilatée par la saillie. Plaisir interdit hélas. Nous restons un instant unis l'un à l'autre, le temps de redescendre sur terre. Délicatement, il se retire de moi. Je ressens alors cette sensation de vide entre mes fesses, comme à chaque fois qu'un sexe d'homme sort de mon rectum dilaté. Nos spectateurs se dispersent, certains après un compliment, un commentaire flatteur, un au revoir, d'autres sans un mot. Nous nous rhabillons et quittons cet endroit dont je garderai un souvenir impérissable. En cheminant ensemble jusqu'au parking, nous faisons connaissance. Nous découvrons que nous habitons dans la même commune à  proximité l'un de l'autre. Nous décidons de nous revoir et échangeons nos contacts. De cette rencontre fortuite et coquine,  est née une chaste amitié qui durera jusqu'à mon départ de la région. 

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