Baptème Gang bang
Récit érotique écrit par Chaemi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2012 dans la catégorie Plus on est
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Baptème Gang bang
Charlotte est la femme qui me correspond. Elle est belle, tendre, attentionnée et surtout très sexy. Les hommes et les femmes se retournent à son passage, donc je ne suis pas le seul à avoir cet avis. Je suis fier d’être à ces côtés et je ne suis surtout pas habitué à cette situation, car je suis assez grand (+ de 2 mètres) et souvent j’étais le catalyseur des regards « curieux ». Mais quand je me promène avec ma chérie, elle est tellement éblouissante que les yeux des mateurs se porte sur elle, surtout quand elle habillée très légèrement, dévoilant ces formes très attirantes.
Charlotte n’a pas conscience de ce potentiel de séduction. Du moins, il faut que je lui prouve qu’elle a un physique qui pourrait lui valoir beaucoup de passe-droit, voire de chercher des plaisirs divers et variés.
Ma puce se découvre régulièrement à moi. Nous avons fait des courses très « chaudes » qui a excité quelques lecteurs….( voir notre première histoire écrite), elle m’a réservé des séances de masturbations extraordinaires avec son sex-toy préféré, elle adore que je la doigte lors de voyages en voiture ou en train, nous avons fait l’amour sur des airs de repos le long des routes de notre région. Et je ne vous parle pas de nos ébats sexuels qui sont quotidiens et très humides. Je suis un homme qui est chanceux, qui peut s’exprimer totalement sans tabou sur le sexe à deux. Nous aimons faire l’amour ensemble, souvent et c’est très appréciable surtout quand le niveau de perversité est égal entre nous. Nous nous permettons des fantasmes à plusieurs quand nous nous câlinons tendrement. Et l’excitation monte de plusieurs crans quand je raconte des scénarios de scène pornographique, aux creux de l’oreilles de ma chérie, dans lesquels elle est la principale actrice. Je suis souvent le déclencheur de thème « fantasmique », mais des moments, ma petite puce, prend le relai et je dois avouer que ces récits sont très croustillants. Elle a une imagination à la hauteur de mon addiction sexuelle, elle se (fait) met (tre) dans des situations que je n’imaginais pas, avec des acteurs très proches de notre quotidien (son patron, nos amies, nos voisins…) Cela paraît tellement réel, que je pars souvent le premier dans des jets de spermes incontrôlables, ensuite je m’applique à la faire jouir avec mon sexe encore gaillard, voir avec mes doigts qui balaient les parois juteuses de sa petite chatte.
Nous n’avons pas réalisé nos fantasmes. Ce n’est pas faute d’insister, mais ma puce n’a pas confiance en elle. Elle a peur de « l’après », Je devais rester patient, la démarche doit venir d’elle, pour que cela se passe dans les meilleures conditions possibles.
Et ma patience a payée, ma chérie s’est lâchée dernièrement. Et je peux vous dire qu’elle n’est pas allé à la légère, je vous en laisse juge….
Ce mercredi commence comme d’habitude, je me lève pour aller bosser à 6h00. Le réveil sonne, ma chérie éteint de réveil et je me colle à elle. Tous les matins, j’ai la gaule, je ne pense pas que cela soit mécanique, car des fois, quand le réveil me surprend dans mes rêves, je suis en plein plan cul avec ma douce. Donc, je me cale derrière elle et je me plante à l’entrée de sa grotte magique. Elle se cambre pour faciliter ma venue. Mon gland connait le chemin, il s’introduit en douceur dans la fente offerte. Centimètre par centimètre, ma bite disparaît dans la chatte du matin, déclenchant une accélération de la respiration de ma puce. J’arrive au fond, et je reste quelques instants dans cette position. Je profite de cette position pour bisouiller les oreilles de ma princesse, pour lécher son cou qui lui déclenche des frisons. Ces petites attentions érotiques provoquent une coulée de mouille que je sens passer le long de mon sexe. A partir de ce moment, je sais que le fruit défendu de ma dulcinée est bien mur, et je commence mes va et vient. J’écarte ces fesses pour mater ma tige, bien huilée par ses humeurs , sortir et s’enfoncer. Cette séquence matinale et l’odeur qui remonte à mes narines m’excite énormément. J’accélère le rythme, mon bas-ventre claque ses fesses. Ma petite pute commence à gémir, je la bourre encore plus fort en la tenant par les épaules, je balance un dernier coup de rein, elle jouit fort et je sors pour étaler mon jus sur son tatouage situé au creux de ses reins. Je reste un peu, je nettoie un peu, mais je dois partir au turbin. Je prends mon petit déjeuner, je m’habille et je retourne à la chambre pour dire au revoir à ma louloute.
Et là, première surprise de la journée, elle avait sorti son gode et se masturbait énergiquement. Mon arrivée surprise, lui a permis de commencer le processus qui va l’amener à la jouissance. Voyant cela, je m’installe près d’elle, je prends l’engin en main, je lui prends ces 2 mains dans mon autre main, pour qu’elle est la sensation d’être prise de force. Et je ramone sa petite cheminée, j’alterne l’aller-retour et les mouvements circulaires. Elle commence à crier, à se débattre, mais je position mon corps pour qu’elle ne puisse avoir que les jambes écartées au maximum. Elle me supplie d’arrêter…
- Stop mon chéri, je vais jouir !!!!!
- Et alors, tu n’étais pas parti pour ça ? Mais là, tu vas plus que jouir, c’est moi qui te le dit.
Je fais sortir le gode, pour le réintroduire profondément en prenant soit de faire frotter les nervures contre sont clitoris. Au bout de 3-4 insertions, elle n’en peut plus.
- Salaud !!! tu me bourres comme une pute !!! Tu aimes çà !!!! hahaha…
- Tu es ma pute, et je fais ce que je veux de toi, allez prends ça !!!!
- Ououh, je jouie, continue à me démonter mon cochon !!!! Je viens, ouiiiiiii
Et je vois quand je ressors le gode, des filets de mouilles dégouliner sur le bas de son vagin et va disparaître dans son anus. Je continue le traitement pendant 2 minutes et à chaque pilonnage, ma petite cochonne crie sa jouissance, tout en voulant se défaire de mes liens. Elle n’en peut plus, elle a du mal à respirer entre ses spasmes. Je ralentis à la fois le rythme et la pression de mes mains sur ces poignets, pour la lâcher totalement et lui laisser profiter de ces instants post-jouissances, pendant lesquels son corps est très sensible et encore secoué par des mini-spasmes.
Je me relève, et j’embrasse ses lèvres inférieures chaudes et humides, afin de garder son odeur sur moi, pendant une partie de la journée. Je lui donne un baiser langoureux, tout en regardant son regard exprimant un bien-être et une excitation encore présente dans ses yeux verts.
Je lui glisse quels mots d’amour, avant de partir. Elle me dit :
- Tu m’as vidée, je vais finir ma nuit, mais tu m’as excitée comme jamais, j’ai très envie de rester toute la journée dans cet état… tu ne veux pas m’aider ?
- Mais non, tu sais que j’ai une réunion importante ce matin, je dois y aller.
- Il faut donc que je trouve quelqu’un pour prendre ta place….
- Si tu veux, je t’autorise….
- Ah oui ???
- Que de la gueule….
Je pars sur cette dernière phrase provocatrice, je crois que ma douce me parler, mais je n’entends pas…. J’aime bien la provoquer, elle se fait un malin plaisir à répondre. Lorsque je pars en déplacement pour plusieurs jours, elle m’a donné des spectacles hards en webcam, toujours avec son gode ou ses doigts. Sur cette provocation, j’avoue que je ne pensais pas qu’elle allait le relever.
Sur le chemin, j’ai reçu un sms de ma petite excitée, avec une photo de sa moule luisante, et un commentaire « cherche grosses bites pour remplir ma chatte en manque de sperm ». Je suis mords de rire, et je lui réponds « tu risques d’avoir tous les chiens de la ville à sa porte d’ici midi ». Elle me répond : « tu as intérêt de prendre un ticket pour ce soir, mon amour ». Là, j’ai pensé que cela arrêter là.
J’arrive au boulot avec une gaule d’enfer, et je passe ma matinée en réunion, sans être très attentif à ce qu’il se passe, d’autant plus que c’est un thème qui ne m’intéresse pas.
A midi pétante, je reçois un message de ma petite chérie : « Je te prends le ticket numéro 3 si tu te ramènes maintenant ? Car, j’ai déjà 2 candidats !!!! »
Je décide de mettre fin à ma journée de travail (pratique quand on est cadre….) et j’essaie d’appeler à la maison et sur son portable, pour prévenir que je rentrai. Mais personne ne réponds, j’envoie un sms et je lui écris « OK, pour le numéro 3, mais les 2 premiers devront attendre mon arrivée pour passer sur toi ». 2 minutes après, je reçois une réponse, « OK, tu es numéro 3 et je vais les faire patienter… »
J’ai ½ heure de route, pendant laquelle, je me pose la question, si c’est du lard ou du cochon… mais en tout cas, je suis très excité rien qu’à l’idée que ce scénario ne provenant que de l’esprit perverse de ma petite coquine.
Arrivée à l’appartement, je monte les escaliers, et je constate que la porte est entrouverte. Je rentre, et je découvre une scène incroyable. Ma chérie à genou, en face du canapé donnant sur la porte d’entrée, habillée uniquement avec sa petite nuisette noire en soie, sans culotte, talon haut, s’occupant des bites de 2 lascars assis, jambes écartées. Ma chérie crache la bite quelle suçait, et me dit :
- Comme je te l’ai dit, je me suis occupé des numéros 1 et 2. Je suis une bonne maîtresse de maison.
- Je n’en doute pas mon amour, tu es très douée pour cela.
- Je te présente Mamadou et Roger, ils sont de la région et sont des internautes, ils ont répondus à mon manque de bite.
- Je vois, et tu as vérifié la marchandise ?
- Pas de problème, j’ai donné mes exigences, Capotes tailles XXL et queutards avérés.
- Ok, si tu te sens pour satisfaire 3 males en rut, je te laisse faire ?
- Non, je suis ton esclave, tu dois me donner des ordres que j’exécuterai sans rien dire.
- Ah oui, et bien là, tu vas subir tous mes fantasmes….
- J’attends que çà depuis ce matin, quand tu m’as bourré avec le gode…
Je pose mes affaires, mon esclave sexuelle était répartie à donner une fellation à Mamadou, un black de grand corpulence et ayant un sexe très long. Pendant qu’une de ses mains branlait Roger, un métis de taille moyen avec une bite très épaisse. Je me suis demandé comment ma petite perverse a pu faire son marché…. Bref, passons à l’action.
- Arrêtes immédiatement, va te mettre au lit de suite et mets-toi à poil.
- D’accord
Elle se lève, se plante devant nous, et fait glisser sa nuisette à ses pieds, découvrant la totalité de son corps à ses futurs amants, monté sur ces talons hauts. Roger qui ne bandait pas trop fort, a fait un commentaire :
- Oh putain, quel corps de rêve, on va bien s’amuser.
Et j’ai vu son sexe se redresser et grossir encore plus. J’ai pensé qu’il allait être le premier à investir la grotte de ma chérie.
Une fois sortie, je commençais à dialoguer avec mon équipe.
- Bonjour à vous deux, je tiens à vous remercier d’avoir répondu à l’invitation.
- De rien, pour ce gens de RDV, je suis toujours volontaire, surtout avec cette beauté, dit Roger de plus en plus excité
- J’en ai l’habitude, cela fait 2 ans que je nique des blanches dans tous les sens, répliqua Mamadou.
- Et bien, je vois que le casting est parfait. Je tiens à préciser que c’est la première fois qu’elle le fait avec plusieurs hommes. Je vous demande d’être patient et attentionné, car elle est un peu longue à jouir, mais quand elle a eu un orgasme elle peut en enchaîner plusieurs de suite.
- Ok, je comprends, mais elle paraît très chaude, me faisait remarquer Roger
- Oui, répondis-je, je l’ai bien taquinée ce matin. Ce qui va l’exciter encore plus, c’est qu’elle ne sache pas qui va la prendre, donc je vais aller lui mettre un bandeau. A mon retour, Roger tu vas y aller, tu lui fais son affaire tranquillement. Dès que nous entendrons qu’elle aura jouie, Mamadou rentrera à son tour pour la prendre. Et moi, je mater et pour la finir. Vous avez vos capotes, on est d’accord, les pénétrations ne se feront qu’avec elles.
Mes deux queutards me montrent leurs capotes. Je prends la direction de la chambre, en prenant une cravate qui trainait sur une chaise. Arrivée dans la pièce, je trouve ma petite pute nue sur nos en drap en satin, qu’elle avait mis pour l’occasion. Elle était très excitée, car ses tétons pointent et sa chatte luit à la lumière provenant de la fenêtre.
- C’est toi qui viens me prendre en premier ?
- Tu es sur que tu veux faire ça ?
- Oui, mon amour, tu m’as tellement excitée ce matin, que j’ai réalisé que c’était le moment d’avoir cette expérience. Alors, c’est toi qui va me prendre ?
- Je ne sais pas, tu devineras.
- Comment ça !
- Je vais te bander les yeux.
- Ah oui, bonne idée, je vais deviner qui me prend !
Une fois avoir bandé les yeux de ma puce, je l’embrasse longuement et je lui dis : « je t’aime mon amour et merci ».
Je sors des quatre coins du lit, les chaînes que j’avais installées il y a quelques temps et j’attache les poignets et les chevilles de ma douce. Elle ne se débat pas, et elle me dit :
- je les avais oubliées celles-là.
- moi, pas. Et là, je pense que tu es vraiment une esclave et là on va tu vas savoir ce qu’est un gang bang.
Je sors de la chambre et j’appelle discrètement Roger. Je lui rappelle les consignes, un minimum de préliminaires avant la pénétration.
Je vais au salon, en laissant les portes ouvertes pour profiter un maximum des gémissements de Charlotte. A peine, ai-je eu le temps de servir un verre à Mamadou, que nous commençons à entendre des murmures de ma puce. Et en peu de temps, les murmures se sont transformés en cris. Je vais voir, pour savoir si Roger a respecté les consignes. En m’approchant, je vois la tête de Roger en train de brouter en alternance le minou et l’anus de Charlotte, qu’il avait soigneusement mis à découvert en surélevant son bassin avec un coussin. Un spectacle, qui me mit la gaule instantanément. Et Charlotte jouissait directement, avec la langue vicieuse de Roger. J’ai pensé que les orgasmes aillaient s’enchaîner…. Rassuré par la méthode de Roger, je rejoins Mamadou, laissant mon brouteur continuer son travail de fond. Pendant 5 minutes, Charlottes criait par intermittence. Puis un silence de 30 secondes. Ensuite :
- Oh, quelle grosse queue !!!! Roger, tu vas m’exploser la chatte !!!!! Vas-y doucement !!!!
- T’inquiète, je n’ai pas encore passé mon gland.
- Oui, je suis remplie mon chérie, il va me démonter, je vais prendre mon pied…. Haaaaa !!!!
- Tiens, tu vois elle n’est pas bien longue, tu l’as entière dans la chatte !!!
- Oh oui, elle est grosse et j’en ai rêvée, vas-y enfonce moi….
- Ok, petite salope, maintenant, tu vas en prendre pour ton grade !!!!!
- Oh oui !!!! oh ouuuuuuuuuui oh …… Je jouis !!!!!!
Roger devait la ramoner grave, car Charlotte clamait quelle jouissait au moins 3 fois en 5 minutes….
- Putain, elle est bonne ta femme, elle mouille comme une chienne, elle est étroite en plus, je vais lâcher la purée….. dixit Roger
Puis plus rien, Donc comme convenu, Mamadou et moi prenons la direction de la chambre. Arrivée sur place, Roger avait déchargé sur les seins de Charlotte. Elle était immaculée de sperm, on pouvait voir 5 jets différents, zébrant les nichons de ma catin. Je me place à la hauteur la bouche de ma putain, dos à mes partenaires admiratifs, et je l’embrasse tendrement :
- Alors mon amour, Roger t’a plus ?
- Oh oui, c’est un homme qui sait faire jouir une femme, et là j’ai fait ma petite salope.
- Vu ce j’ai entendu, je crois que tu as été très salope.
- Dis-moi, cela t’a plus mon chéri ?
- Oh oui, et ce n’est pas fini
- Je sais, et j’en veux…… hoooooooo !!!!!
Elle n’a pas eu le temps finir sa phrase, que Mamadou s’est planté directement dans la chatte de Charlotte. Et ça, elle adore être prise par surprise, en plus yeux bandés et attachées, l’excitation de ma femelle est montée d’un cran jamais atteint. Mamadou rentrait sa longue queue, pas encore totalement raide dans le fourreau juteux. Sa bite se tordait dans le vagin béant. Quand, il était dedans, il a entrepris un déhanché mortel. Charlotte n’a pas eu le temps de gémir, qu’un cri strident est sorti de sa bouche. Je n’ai jamais pu faire jouir Charlotte à ce point. Je me retourne pour voir le travail de Mamadou, il était collé au bas ventre de ma salope et lui avait relevé les jambes. J’ai fait le tour pour voir le plus prêt. Des giclées de mouille sortaient par les côtés des lèvres inférieures à chaque mouvement de Mamadou. C’était impressionnant, il y a avait une flaque sous les fesses de Charlotte. Et elle n’arrêtait pas de crier.
- Quelle bite, tu me tapes au fond salaud….. ah oui, vas-y, tortilles-toi…. C’est bon !!!
Mais la bite du black commençait à bander dure, et elle ne rentrait plus dans le vagin de Charlotte. Et il commençait les va et vient. C’est-à-dire que chaque fois, qu’il s’enfonçait, il tapait au fond du vagin de ma chienne. Et Charlotte, elle est très sensible. Chaque fois, que la bite touchait dans le mille, ma douce jouissait instantanément. Vu de derrière, c’était impressionnant, la capote du queutard ressortait entourée des humeurs blanchâtres de ma jouisseuse. Au bout de 10 aller-retour, Charlotte a hurlé de plaisir, et a expulsée la tige, pour devenir une femme fontaine. 3 jets ont jailli de sa chatte ouverte. Les 3 jets ont pris des directions différentes dans la chambre, car le bassin de Charlotte bougeait comme si il était électrocuté. J’ai reçu le second jet sur le torse. J’étais sur le cul…. Mamadou avait quitté sa capote et se masturbait au-dessus de la bouche de Charlotte. Roger, lui, avait repris de la vigueur et commençait à se masturber. Ma belle continuait à crier, car les spasmes n’était pas finis, le Mamadou vient lui remplir la bouche de son jus. Les jets sont tellement consistant qu’elle ne peut pas tout avaler, et elle laisse couler de chaque côté de sa bouche des filets de sperm. Roger commençait à être vraiment excité, la queue était raide. Et Charlotte, me dit :
- Amour, tu es là, tu as vu, Mamadou m’a rendue fontaine.
- Oui, j’ai vu et j’ai reçu, j’en ai de partout
- Tu étais derrière, mon cochon, tu as doit être très excité.
- Oh oui, et il n’y a pas que moi.
- Roger, il rebande, ah oui…. J’ai 2 bites à disposition…..
- Oui, je sais comment on va finir le feu d’artifesse.
- Je suis vannée, mais j’attends vos propositions messieurs.
Je montre à Roger que je vais passer dessous et que lui va passer dessus. Moi dans son cul, et lui dans sa chatte. J’ai déjà sodomisée Charlotte, avec un gode dans sa chatte, mais là 2 bites, dont une XXL…. On va voir si cela passe….. Je me place, sous Charlotte, et je pointe ma bite dans la chatte baveuse, pour lubrifier mon pieu. Après 3 aller-retour, mes boulles sont couvertes de mouille. Je prends Charlotte par les seins, je les pinces, elle aime cela et je commence à lui taquiner la rondelle.
- Oulà, tu attaques la face nord, mon bébé ?
- Oui, ma chérie, je vais t’enculer devant tes 2 amants, afin de leur montrer qui est le maître ici !!!!
- Oh oui, mon chéri, déchires-moi le cul, je l’ai bien méritée !!!!
Je présente mon gland à l’entrée de son cul, et comme les 2 éléments sont lubrifiés, je ne peine pas à forcer l’entrée. Mon gland progresse lentement. Et il vient se figer, une fois l’anneau passé, c’est le moment le plus délicat de la sodomie. Je reste immobile et je demande à Charlotte si je peux continuer. Elle me répond par l’affirmative dans un soupir. Je rentre au maximum, mes boules sont écrasées contre les fesses de ma chérie. Je commence des va et viens, c’est étroit, et j’ai envie de rester le plus longtemps possible. J’arrête le mouvement, malgré les protestations de Charlotte. C’est à ce moment-là que Roger se positionne au fond du lit, sa bite à hauteur de l’entrée de la chatte déjà visitée. Il renter d’un coup, Charlotte surprise, hurle de plaisir immédiatement. Moi, j’ai l’impression que mon sexe est compressé comme une sardine dans sa boite, je suis à deux doigts de jouir. Roger n’y va pas par quatre chemins, il bourre ma pute comme une pute….
- Tiens, tu voulais de la bite, et bien voilà, tu en as dans les 2 trous !!!!! Tu vas comprends le mot baiser….
Il lui inflige une fessée, au moment il retire son sexe. Puis la pine de nouveau encore plus fort. Charlotte est en sueur et en jouissance continuelle.
- Oh mon chéri, tu vois comme je suis une salope… ouha… je me fais baiser par tous les trous !!!! Tu aimes çà, et moi …..ouha… j’aime aussi…. Vas-y défonce moi le cul…. Oha….
Sur ces paroles, j’entreprends de soulever tout ce beau monde et de recommencer le pistonnage de sa rondelle. Ma salope est bourrée en alternance par 2 queues, d’autant plus que nous avions trouvé un rythme synchronisé de pistonnage, qui fait en sorte qu’elle est remplie par une bite tout le temps. Au bout de 5 minutes de jouissances et spasmes, Roger décharge de nouveau sur les seins de Charlotte, D’ailleurs, j’ai pris quelques gouttes sur le nez. Et j’ai joui à l’intérieur de ma baisée préférée, en lui disant :
- Voilà, ma chérie, ton baptême du gang bang est terminé. J’espère que cette première fois ne sera pas la dernière.
- Oh, je pense que l’on aura l’occasion de remettre le couvercle. Mais là, je suis cuite…..
Je libère mon esclave et je laisse nue immaculée de sperm, je raccompagne mon équipe de baiseurs, en les remerciant. J’ai pris leur numéro, au cas Où ma Charlotte aurait envie d’une autre partie de jambe en l’air avec plusieurs bites……
Charlotte n’a pas conscience de ce potentiel de séduction. Du moins, il faut que je lui prouve qu’elle a un physique qui pourrait lui valoir beaucoup de passe-droit, voire de chercher des plaisirs divers et variés.
Ma puce se découvre régulièrement à moi. Nous avons fait des courses très « chaudes » qui a excité quelques lecteurs….( voir notre première histoire écrite), elle m’a réservé des séances de masturbations extraordinaires avec son sex-toy préféré, elle adore que je la doigte lors de voyages en voiture ou en train, nous avons fait l’amour sur des airs de repos le long des routes de notre région. Et je ne vous parle pas de nos ébats sexuels qui sont quotidiens et très humides. Je suis un homme qui est chanceux, qui peut s’exprimer totalement sans tabou sur le sexe à deux. Nous aimons faire l’amour ensemble, souvent et c’est très appréciable surtout quand le niveau de perversité est égal entre nous. Nous nous permettons des fantasmes à plusieurs quand nous nous câlinons tendrement. Et l’excitation monte de plusieurs crans quand je raconte des scénarios de scène pornographique, aux creux de l’oreilles de ma chérie, dans lesquels elle est la principale actrice. Je suis souvent le déclencheur de thème « fantasmique », mais des moments, ma petite puce, prend le relai et je dois avouer que ces récits sont très croustillants. Elle a une imagination à la hauteur de mon addiction sexuelle, elle se (fait) met (tre) dans des situations que je n’imaginais pas, avec des acteurs très proches de notre quotidien (son patron, nos amies, nos voisins…) Cela paraît tellement réel, que je pars souvent le premier dans des jets de spermes incontrôlables, ensuite je m’applique à la faire jouir avec mon sexe encore gaillard, voir avec mes doigts qui balaient les parois juteuses de sa petite chatte.
Nous n’avons pas réalisé nos fantasmes. Ce n’est pas faute d’insister, mais ma puce n’a pas confiance en elle. Elle a peur de « l’après », Je devais rester patient, la démarche doit venir d’elle, pour que cela se passe dans les meilleures conditions possibles.
Et ma patience a payée, ma chérie s’est lâchée dernièrement. Et je peux vous dire qu’elle n’est pas allé à la légère, je vous en laisse juge….
Ce mercredi commence comme d’habitude, je me lève pour aller bosser à 6h00. Le réveil sonne, ma chérie éteint de réveil et je me colle à elle. Tous les matins, j’ai la gaule, je ne pense pas que cela soit mécanique, car des fois, quand le réveil me surprend dans mes rêves, je suis en plein plan cul avec ma douce. Donc, je me cale derrière elle et je me plante à l’entrée de sa grotte magique. Elle se cambre pour faciliter ma venue. Mon gland connait le chemin, il s’introduit en douceur dans la fente offerte. Centimètre par centimètre, ma bite disparaît dans la chatte du matin, déclenchant une accélération de la respiration de ma puce. J’arrive au fond, et je reste quelques instants dans cette position. Je profite de cette position pour bisouiller les oreilles de ma princesse, pour lécher son cou qui lui déclenche des frisons. Ces petites attentions érotiques provoquent une coulée de mouille que je sens passer le long de mon sexe. A partir de ce moment, je sais que le fruit défendu de ma dulcinée est bien mur, et je commence mes va et vient. J’écarte ces fesses pour mater ma tige, bien huilée par ses humeurs , sortir et s’enfoncer. Cette séquence matinale et l’odeur qui remonte à mes narines m’excite énormément. J’accélère le rythme, mon bas-ventre claque ses fesses. Ma petite pute commence à gémir, je la bourre encore plus fort en la tenant par les épaules, je balance un dernier coup de rein, elle jouit fort et je sors pour étaler mon jus sur son tatouage situé au creux de ses reins. Je reste un peu, je nettoie un peu, mais je dois partir au turbin. Je prends mon petit déjeuner, je m’habille et je retourne à la chambre pour dire au revoir à ma louloute.
Et là, première surprise de la journée, elle avait sorti son gode et se masturbait énergiquement. Mon arrivée surprise, lui a permis de commencer le processus qui va l’amener à la jouissance. Voyant cela, je m’installe près d’elle, je prends l’engin en main, je lui prends ces 2 mains dans mon autre main, pour qu’elle est la sensation d’être prise de force. Et je ramone sa petite cheminée, j’alterne l’aller-retour et les mouvements circulaires. Elle commence à crier, à se débattre, mais je position mon corps pour qu’elle ne puisse avoir que les jambes écartées au maximum. Elle me supplie d’arrêter…
- Stop mon chéri, je vais jouir !!!!!
- Et alors, tu n’étais pas parti pour ça ? Mais là, tu vas plus que jouir, c’est moi qui te le dit.
Je fais sortir le gode, pour le réintroduire profondément en prenant soit de faire frotter les nervures contre sont clitoris. Au bout de 3-4 insertions, elle n’en peut plus.
- Salaud !!! tu me bourres comme une pute !!! Tu aimes çà !!!! hahaha…
- Tu es ma pute, et je fais ce que je veux de toi, allez prends ça !!!!
- Ououh, je jouie, continue à me démonter mon cochon !!!! Je viens, ouiiiiiii
Et je vois quand je ressors le gode, des filets de mouilles dégouliner sur le bas de son vagin et va disparaître dans son anus. Je continue le traitement pendant 2 minutes et à chaque pilonnage, ma petite cochonne crie sa jouissance, tout en voulant se défaire de mes liens. Elle n’en peut plus, elle a du mal à respirer entre ses spasmes. Je ralentis à la fois le rythme et la pression de mes mains sur ces poignets, pour la lâcher totalement et lui laisser profiter de ces instants post-jouissances, pendant lesquels son corps est très sensible et encore secoué par des mini-spasmes.
Je me relève, et j’embrasse ses lèvres inférieures chaudes et humides, afin de garder son odeur sur moi, pendant une partie de la journée. Je lui donne un baiser langoureux, tout en regardant son regard exprimant un bien-être et une excitation encore présente dans ses yeux verts.
Je lui glisse quels mots d’amour, avant de partir. Elle me dit :
- Tu m’as vidée, je vais finir ma nuit, mais tu m’as excitée comme jamais, j’ai très envie de rester toute la journée dans cet état… tu ne veux pas m’aider ?
- Mais non, tu sais que j’ai une réunion importante ce matin, je dois y aller.
- Il faut donc que je trouve quelqu’un pour prendre ta place….
- Si tu veux, je t’autorise….
- Ah oui ???
- Que de la gueule….
Je pars sur cette dernière phrase provocatrice, je crois que ma douce me parler, mais je n’entends pas…. J’aime bien la provoquer, elle se fait un malin plaisir à répondre. Lorsque je pars en déplacement pour plusieurs jours, elle m’a donné des spectacles hards en webcam, toujours avec son gode ou ses doigts. Sur cette provocation, j’avoue que je ne pensais pas qu’elle allait le relever.
Sur le chemin, j’ai reçu un sms de ma petite excitée, avec une photo de sa moule luisante, et un commentaire « cherche grosses bites pour remplir ma chatte en manque de sperm ». Je suis mords de rire, et je lui réponds « tu risques d’avoir tous les chiens de la ville à sa porte d’ici midi ». Elle me répond : « tu as intérêt de prendre un ticket pour ce soir, mon amour ». Là, j’ai pensé que cela arrêter là.
J’arrive au boulot avec une gaule d’enfer, et je passe ma matinée en réunion, sans être très attentif à ce qu’il se passe, d’autant plus que c’est un thème qui ne m’intéresse pas.
A midi pétante, je reçois un message de ma petite chérie : « Je te prends le ticket numéro 3 si tu te ramènes maintenant ? Car, j’ai déjà 2 candidats !!!! »
Je décide de mettre fin à ma journée de travail (pratique quand on est cadre….) et j’essaie d’appeler à la maison et sur son portable, pour prévenir que je rentrai. Mais personne ne réponds, j’envoie un sms et je lui écris « OK, pour le numéro 3, mais les 2 premiers devront attendre mon arrivée pour passer sur toi ». 2 minutes après, je reçois une réponse, « OK, tu es numéro 3 et je vais les faire patienter… »
J’ai ½ heure de route, pendant laquelle, je me pose la question, si c’est du lard ou du cochon… mais en tout cas, je suis très excité rien qu’à l’idée que ce scénario ne provenant que de l’esprit perverse de ma petite coquine.
Arrivée à l’appartement, je monte les escaliers, et je constate que la porte est entrouverte. Je rentre, et je découvre une scène incroyable. Ma chérie à genou, en face du canapé donnant sur la porte d’entrée, habillée uniquement avec sa petite nuisette noire en soie, sans culotte, talon haut, s’occupant des bites de 2 lascars assis, jambes écartées. Ma chérie crache la bite quelle suçait, et me dit :
- Comme je te l’ai dit, je me suis occupé des numéros 1 et 2. Je suis une bonne maîtresse de maison.
- Je n’en doute pas mon amour, tu es très douée pour cela.
- Je te présente Mamadou et Roger, ils sont de la région et sont des internautes, ils ont répondus à mon manque de bite.
- Je vois, et tu as vérifié la marchandise ?
- Pas de problème, j’ai donné mes exigences, Capotes tailles XXL et queutards avérés.
- Ok, si tu te sens pour satisfaire 3 males en rut, je te laisse faire ?
- Non, je suis ton esclave, tu dois me donner des ordres que j’exécuterai sans rien dire.
- Ah oui, et bien là, tu vas subir tous mes fantasmes….
- J’attends que çà depuis ce matin, quand tu m’as bourré avec le gode…
Je pose mes affaires, mon esclave sexuelle était répartie à donner une fellation à Mamadou, un black de grand corpulence et ayant un sexe très long. Pendant qu’une de ses mains branlait Roger, un métis de taille moyen avec une bite très épaisse. Je me suis demandé comment ma petite perverse a pu faire son marché…. Bref, passons à l’action.
- Arrêtes immédiatement, va te mettre au lit de suite et mets-toi à poil.
- D’accord
Elle se lève, se plante devant nous, et fait glisser sa nuisette à ses pieds, découvrant la totalité de son corps à ses futurs amants, monté sur ces talons hauts. Roger qui ne bandait pas trop fort, a fait un commentaire :
- Oh putain, quel corps de rêve, on va bien s’amuser.
Et j’ai vu son sexe se redresser et grossir encore plus. J’ai pensé qu’il allait être le premier à investir la grotte de ma chérie.
Une fois sortie, je commençais à dialoguer avec mon équipe.
- Bonjour à vous deux, je tiens à vous remercier d’avoir répondu à l’invitation.
- De rien, pour ce gens de RDV, je suis toujours volontaire, surtout avec cette beauté, dit Roger de plus en plus excité
- J’en ai l’habitude, cela fait 2 ans que je nique des blanches dans tous les sens, répliqua Mamadou.
- Et bien, je vois que le casting est parfait. Je tiens à préciser que c’est la première fois qu’elle le fait avec plusieurs hommes. Je vous demande d’être patient et attentionné, car elle est un peu longue à jouir, mais quand elle a eu un orgasme elle peut en enchaîner plusieurs de suite.
- Ok, je comprends, mais elle paraît très chaude, me faisait remarquer Roger
- Oui, répondis-je, je l’ai bien taquinée ce matin. Ce qui va l’exciter encore plus, c’est qu’elle ne sache pas qui va la prendre, donc je vais aller lui mettre un bandeau. A mon retour, Roger tu vas y aller, tu lui fais son affaire tranquillement. Dès que nous entendrons qu’elle aura jouie, Mamadou rentrera à son tour pour la prendre. Et moi, je mater et pour la finir. Vous avez vos capotes, on est d’accord, les pénétrations ne se feront qu’avec elles.
Mes deux queutards me montrent leurs capotes. Je prends la direction de la chambre, en prenant une cravate qui trainait sur une chaise. Arrivée dans la pièce, je trouve ma petite pute nue sur nos en drap en satin, qu’elle avait mis pour l’occasion. Elle était très excitée, car ses tétons pointent et sa chatte luit à la lumière provenant de la fenêtre.
- C’est toi qui viens me prendre en premier ?
- Tu es sur que tu veux faire ça ?
- Oui, mon amour, tu m’as tellement excitée ce matin, que j’ai réalisé que c’était le moment d’avoir cette expérience. Alors, c’est toi qui va me prendre ?
- Je ne sais pas, tu devineras.
- Comment ça !
- Je vais te bander les yeux.
- Ah oui, bonne idée, je vais deviner qui me prend !
Une fois avoir bandé les yeux de ma puce, je l’embrasse longuement et je lui dis : « je t’aime mon amour et merci ».
Je sors des quatre coins du lit, les chaînes que j’avais installées il y a quelques temps et j’attache les poignets et les chevilles de ma douce. Elle ne se débat pas, et elle me dit :
- je les avais oubliées celles-là.
- moi, pas. Et là, je pense que tu es vraiment une esclave et là on va tu vas savoir ce qu’est un gang bang.
Je sors de la chambre et j’appelle discrètement Roger. Je lui rappelle les consignes, un minimum de préliminaires avant la pénétration.
Je vais au salon, en laissant les portes ouvertes pour profiter un maximum des gémissements de Charlotte. A peine, ai-je eu le temps de servir un verre à Mamadou, que nous commençons à entendre des murmures de ma puce. Et en peu de temps, les murmures se sont transformés en cris. Je vais voir, pour savoir si Roger a respecté les consignes. En m’approchant, je vois la tête de Roger en train de brouter en alternance le minou et l’anus de Charlotte, qu’il avait soigneusement mis à découvert en surélevant son bassin avec un coussin. Un spectacle, qui me mit la gaule instantanément. Et Charlotte jouissait directement, avec la langue vicieuse de Roger. J’ai pensé que les orgasmes aillaient s’enchaîner…. Rassuré par la méthode de Roger, je rejoins Mamadou, laissant mon brouteur continuer son travail de fond. Pendant 5 minutes, Charlottes criait par intermittence. Puis un silence de 30 secondes. Ensuite :
- Oh, quelle grosse queue !!!! Roger, tu vas m’exploser la chatte !!!!! Vas-y doucement !!!!
- T’inquiète, je n’ai pas encore passé mon gland.
- Oui, je suis remplie mon chérie, il va me démonter, je vais prendre mon pied…. Haaaaa !!!!
- Tiens, tu vois elle n’est pas bien longue, tu l’as entière dans la chatte !!!
- Oh oui, elle est grosse et j’en ai rêvée, vas-y enfonce moi….
- Ok, petite salope, maintenant, tu vas en prendre pour ton grade !!!!!
- Oh oui !!!! oh ouuuuuuuuuui oh …… Je jouis !!!!!!
Roger devait la ramoner grave, car Charlotte clamait quelle jouissait au moins 3 fois en 5 minutes….
- Putain, elle est bonne ta femme, elle mouille comme une chienne, elle est étroite en plus, je vais lâcher la purée….. dixit Roger
Puis plus rien, Donc comme convenu, Mamadou et moi prenons la direction de la chambre. Arrivée sur place, Roger avait déchargé sur les seins de Charlotte. Elle était immaculée de sperm, on pouvait voir 5 jets différents, zébrant les nichons de ma catin. Je me place à la hauteur la bouche de ma putain, dos à mes partenaires admiratifs, et je l’embrasse tendrement :
- Alors mon amour, Roger t’a plus ?
- Oh oui, c’est un homme qui sait faire jouir une femme, et là j’ai fait ma petite salope.
- Vu ce j’ai entendu, je crois que tu as été très salope.
- Dis-moi, cela t’a plus mon chéri ?
- Oh oui, et ce n’est pas fini
- Je sais, et j’en veux…… hoooooooo !!!!!
Elle n’a pas eu le temps finir sa phrase, que Mamadou s’est planté directement dans la chatte de Charlotte. Et ça, elle adore être prise par surprise, en plus yeux bandés et attachées, l’excitation de ma femelle est montée d’un cran jamais atteint. Mamadou rentrait sa longue queue, pas encore totalement raide dans le fourreau juteux. Sa bite se tordait dans le vagin béant. Quand, il était dedans, il a entrepris un déhanché mortel. Charlotte n’a pas eu le temps de gémir, qu’un cri strident est sorti de sa bouche. Je n’ai jamais pu faire jouir Charlotte à ce point. Je me retourne pour voir le travail de Mamadou, il était collé au bas ventre de ma salope et lui avait relevé les jambes. J’ai fait le tour pour voir le plus prêt. Des giclées de mouille sortaient par les côtés des lèvres inférieures à chaque mouvement de Mamadou. C’était impressionnant, il y a avait une flaque sous les fesses de Charlotte. Et elle n’arrêtait pas de crier.
- Quelle bite, tu me tapes au fond salaud….. ah oui, vas-y, tortilles-toi…. C’est bon !!!
Mais la bite du black commençait à bander dure, et elle ne rentrait plus dans le vagin de Charlotte. Et il commençait les va et vient. C’est-à-dire que chaque fois, qu’il s’enfonçait, il tapait au fond du vagin de ma chienne. Et Charlotte, elle est très sensible. Chaque fois, que la bite touchait dans le mille, ma douce jouissait instantanément. Vu de derrière, c’était impressionnant, la capote du queutard ressortait entourée des humeurs blanchâtres de ma jouisseuse. Au bout de 10 aller-retour, Charlotte a hurlé de plaisir, et a expulsée la tige, pour devenir une femme fontaine. 3 jets ont jailli de sa chatte ouverte. Les 3 jets ont pris des directions différentes dans la chambre, car le bassin de Charlotte bougeait comme si il était électrocuté. J’ai reçu le second jet sur le torse. J’étais sur le cul…. Mamadou avait quitté sa capote et se masturbait au-dessus de la bouche de Charlotte. Roger, lui, avait repris de la vigueur et commençait à se masturber. Ma belle continuait à crier, car les spasmes n’était pas finis, le Mamadou vient lui remplir la bouche de son jus. Les jets sont tellement consistant qu’elle ne peut pas tout avaler, et elle laisse couler de chaque côté de sa bouche des filets de sperm. Roger commençait à être vraiment excité, la queue était raide. Et Charlotte, me dit :
- Amour, tu es là, tu as vu, Mamadou m’a rendue fontaine.
- Oui, j’ai vu et j’ai reçu, j’en ai de partout
- Tu étais derrière, mon cochon, tu as doit être très excité.
- Oh oui, et il n’y a pas que moi.
- Roger, il rebande, ah oui…. J’ai 2 bites à disposition…..
- Oui, je sais comment on va finir le feu d’artifesse.
- Je suis vannée, mais j’attends vos propositions messieurs.
Je montre à Roger que je vais passer dessous et que lui va passer dessus. Moi dans son cul, et lui dans sa chatte. J’ai déjà sodomisée Charlotte, avec un gode dans sa chatte, mais là 2 bites, dont une XXL…. On va voir si cela passe….. Je me place, sous Charlotte, et je pointe ma bite dans la chatte baveuse, pour lubrifier mon pieu. Après 3 aller-retour, mes boulles sont couvertes de mouille. Je prends Charlotte par les seins, je les pinces, elle aime cela et je commence à lui taquiner la rondelle.
- Oulà, tu attaques la face nord, mon bébé ?
- Oui, ma chérie, je vais t’enculer devant tes 2 amants, afin de leur montrer qui est le maître ici !!!!
- Oh oui, mon chéri, déchires-moi le cul, je l’ai bien méritée !!!!
Je présente mon gland à l’entrée de son cul, et comme les 2 éléments sont lubrifiés, je ne peine pas à forcer l’entrée. Mon gland progresse lentement. Et il vient se figer, une fois l’anneau passé, c’est le moment le plus délicat de la sodomie. Je reste immobile et je demande à Charlotte si je peux continuer. Elle me répond par l’affirmative dans un soupir. Je rentre au maximum, mes boules sont écrasées contre les fesses de ma chérie. Je commence des va et viens, c’est étroit, et j’ai envie de rester le plus longtemps possible. J’arrête le mouvement, malgré les protestations de Charlotte. C’est à ce moment-là que Roger se positionne au fond du lit, sa bite à hauteur de l’entrée de la chatte déjà visitée. Il renter d’un coup, Charlotte surprise, hurle de plaisir immédiatement. Moi, j’ai l’impression que mon sexe est compressé comme une sardine dans sa boite, je suis à deux doigts de jouir. Roger n’y va pas par quatre chemins, il bourre ma pute comme une pute….
- Tiens, tu voulais de la bite, et bien voilà, tu en as dans les 2 trous !!!!! Tu vas comprends le mot baiser….
Il lui inflige une fessée, au moment il retire son sexe. Puis la pine de nouveau encore plus fort. Charlotte est en sueur et en jouissance continuelle.
- Oh mon chéri, tu vois comme je suis une salope… ouha… je me fais baiser par tous les trous !!!! Tu aimes çà, et moi …..ouha… j’aime aussi…. Vas-y défonce moi le cul…. Oha….
Sur ces paroles, j’entreprends de soulever tout ce beau monde et de recommencer le pistonnage de sa rondelle. Ma salope est bourrée en alternance par 2 queues, d’autant plus que nous avions trouvé un rythme synchronisé de pistonnage, qui fait en sorte qu’elle est remplie par une bite tout le temps. Au bout de 5 minutes de jouissances et spasmes, Roger décharge de nouveau sur les seins de Charlotte, D’ailleurs, j’ai pris quelques gouttes sur le nez. Et j’ai joui à l’intérieur de ma baisée préférée, en lui disant :
- Voilà, ma chérie, ton baptême du gang bang est terminé. J’espère que cette première fois ne sera pas la dernière.
- Oh, je pense que l’on aura l’occasion de remettre le couvercle. Mais là, je suis cuite…..
Je libère mon esclave et je laisse nue immaculée de sperm, je raccompagne mon équipe de baiseurs, en les remerciant. J’ai pris leur numéro, au cas Où ma Charlotte aurait envie d’une autre partie de jambe en l’air avec plusieurs bites……
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