Incroyable épilogue au récit de Charlotte (suite de - histoire érotique

Charlotte, ma chérie est une vraie coquine. Depuis que nous sommes ensemble, je trouve qu’elle s’affirme de mieux en mieux, elle ose écrire les fantasmes qu’elle a en tête. Je la pousse vers cette délivrance manuscrite. Elle s’aperçoit, que le fait de traduire ses rêves érotiques par des mots, lui permet de vivre au quotidien plus libre et moins stressée….
Et donc, il m’arrive de plus en plus souvent de recevoir des mails très très hot de ma perverse bien-aimée. Le dernier, que vous pouvez découvrir pour le titre « une journée prometteuse », m’a mis dans une situation très chaude…

Il faut dire, que ma chérie donne des ordres à la fin de chaque mail érotique. Et à la fin de celui-ci, il y avait « je t’ordonne d’aller te branler ».
Etant en clientèle toute la journée pour mon job, une fois la lecture de cette histoire, j’exécute l’ordre, d’autant plus que je bande à fond dans mon slip.
Je prends la direction des WC, je choisis celui de droite et je rentre dedans. Chez ce client, il y a 2 toilettes « mixtes ».
Et donc, je sors ma queue et je commence à me secouer la nouille, qui se transforme en andouillette très rapidement. Les va-et-vient le long de ma tige me donne une sensation de chaleur, qui se répartie sur mon corps. Du fait que j’ai bandé pendant la lecture érotique, et un peu débandé, le temps que j’ailles au WC, du sperme s’est échappé de mon gland. Ma chérie appelle cela des « larmes d’amour ».
Je continue à m’astiquer le poireau avec « ma vinaigrette ». Et je ne suis pas loin de déverser mon foutre dans la cuvette.
A cet instant, je n’ai pas fait attention à mon environnement, du fait que j’étais concentré sur l’histoire de ma chérie. Il y avait quelqu’un qui avait poussé la porte de l’entrée des toilettes. Et elle rentre dans Mes WC, car j’avais oublié de mettre le verrou.
Nous nous sommes trouvés « con ». Moi, la queue dans ma main et l’autre personne surprise de l’occupation des lieux.
Après un temps que l’on pourrait qualifier de « grand moment de solitude », je commençais à ranger le matériel, avant d’entamer la conversation.
L’intruse (j’avais de la chance, une femme….) se prénomme Cécile, une salariée du client pour lequel je bosse. Je l’appelai « 2 neurones » car elle avait du mal à enregistrer les informations et elle avait l’allure d’une molle, et timide. En plus, elle n’avait pas un physique très avantageux, mais bon pour travailler cela n’avait pas d’importance. Mais là, j’ai eu l’impression d’avoir à faire à une autre personne.
En effet, elle prend la parole et me dit (on se tutoie) :
- tu as l’air de bien t’amuser
- oui, répondis-je, comme un petit garçon qui s’était fait choper par sa mère.
- Tu devais avoir très envie pour que tu oublies de fermer les toilettes.
- Si tu savais, c’est ma chérie qui m’a très excitée.
- Elle est là ? (réaction de blonde…, mais elle ne l’ai pas pourtant)
- Mais non, elle m’a envoyé un mail très chaud et elle m’a ordonné de me faire du bien après la lecture
- Ah oui, elle est vraiment chaudasse à ce point ?
- Oui, et j’en suis fière de l’avoir près de moi
- Tu me transféras le mail, avec son adresse.
- Euh, oui pourquoi pas….
- Bon allez, laisses-moi pisser…
Elle ferme la porte, baisse sa culotte et s’assoie en face de moi, sa tête à hauteur de mon sexe. Ce dernier a eu un coup de blouse, mais il reprend de la vigueur.
- Et bien, tu repenses à ton mail ? me dit-elle en pissant
- Non, c’est la situation qui est plutôt inédite pour moi
- Je te rassure, elle l’est pour moi aussi, je n’ai pas trop l’habitude, non plus de me trouver avec un garçon autre que mon mari.
- Ton mari est ton premier garçon
- Oui, le seul, je suis fidèle… jusqu’à présent
- Bien…
- Ah oui, je vois que ton baromètre monte en flèche, tu as un beau paquet. Ta femme doit prendre cher.
- Oui, je la prends souvent avec force et elle dégouline de plaisir.
- Tu sais, j’ai l’impression d’être dans un de mes nombreux fantasmes.
- Ah oui, et tu as déjà réalisé un de tes fantasme.
- Non, mais là, je crois que je suis en passe de le faire pour la première fois.
Elle se lève, se nettoie la choupinette et se rassoie sur la cuvette.
- baisse ton pantalon, tu ne vas pas rester avec les mains prises, me dit-elle.
Chose que je fais, et elle s’avance pour continuer la branlette que j’ai entamée. Ses mains sont douces et elle glisse sur la couche de « larmes d’amour ».
- Tu mouilles, toi-aussi. Dit-elle avec un sourire aux lèvres
- Et oui, je pourris souvent mes slips
- Je ne savais pas que cela existait, c’est agréable au touché. Et je vais voir si en bouche c’est la même chose.
Elle m’attire à elle, et me gobe le gland de ma tige. Elle me suce timidement et uniquement le bout. Très excitant, mais un peu juste.
Je lui dis :
- c’est bon, tu as peur ?
- Oui, car c’est la première fois que je le fais réellement, j’ai peur de te faire mal.
- Vas-y ouvre la bouche et avale ma bite comme une banane.
Elle avance et à ma grande surprise elle avale la totalité de ma tige. Puis elle effectue des va et viens sur la longueur totale. Sa langue me lèche le gland à chaque fois.
Comme j’étais proche de jouir avant son arrivée, je n’ai pas tardé à avoir envie de jouir.
- je vais jouir, tu te débrouilles très bien
- gloups !!!! à oui …. Je peux continuer ?
- Oui, je vais gicler…
- Gloups !!!! vas-y mon queutard, balance la purée…..
Je prends Cécile par les cheveux et je la bloque sur mon sexe. Je gère les aller-retour, de plus en plus rapidement. Elle ne résiste pas, elle ressert la bouche.
Et fatalement, je gicle mon foutre au fond de la gorge de ma suceuse amatrice. Plusieurs jets partent de mon bout et viennent se loger au fond de sa gorge.
Elle me finit, en me purgeant le tuyau de sperme restant et en léchant ma tige.
- Putain, que c’est bon. Dis-je
- Oh oui, me répondit Cécile, avec une goutte de sperme au bord des lèvres.
- Tu n’as jamais fait çà.
- Non, j’ai vu çà à la télé, en cachette de mon mari, sur canal+ un samedi soir.
- Et bien, tu as bien appris.
- Merci, et aussi pour avoir participé à la réalisation de mon fantasme.
- De rien, ce fut un plaisir
- Tu sais, j’en ai pleins d’autres, et aujourd’hui je sais qu’il faudra que je les accomplissent.
- Je te le souhaite.
- Au fait, ton sperme a un gout délicieux
- Ah oui, et celui de ton mari ?
- Bof… pas terrible,
- Dis-moi, tu ne serais pas une petite salope frustrée ?
- Je crois que oui…. Grâce à toi, j’en prends conscience.
- Et bien, je te fais passer le mail de ma femme et je veux que tu commences la journée comme elle le fait. Après, si tu veux, tu pourras faire la suite de la journée.
- Ok, je compte sur toi pour me guider vers le plaisir
- D’accord, déjà là, je vais partir et toi tu vas te faire du bien.
- Avec quoi ?
- Je ne sais pas, tu as quoi sur toi ?
- Je regarde dans mon sac…. Tiens cela peut faire ?
Elle sort une sorte de tige en plastique de 20 cm de long et pas trop large de son sac.
- ah oui, et je le veux sur mon bureau à ton retour
- Non
- Si, c’est un ordre….
Je repars les couilles vidées par ma nouvelle esclave sexuelle.
Un quart d’heure après, je revois ma Cécile radieuse et fière de me donner son sextoy improvisé.
Je le prends, il est totalement enduit de mouille, il glisse entre mes doigts…. Tout en la regardant, je porte à mon nez l’engin.
Cette petite pute dégage une odeur de folie, une odeur qui te donne envie de pousser plus loin les investigations quand tu la respires.
Je lui redonne, et je lui dit :
- lis le mail, identifie toi à la fille qui décrit sa journée. Et demain, on mange ensemble à midi, comme cela tu me raconteras ta journée….
- Ok, c’est très excitant
- C’est fait pour… Et puis, si tu oublies ta petite culotte demain, je ne t’en voudrais pas….
- Ah oui, tu es un vrai pervers
- Oui, et je ne suis pas le seul…. Ma femme dès que je vais lui raconter, elle va être folle…
- Bien, j’ai quelques fantasmes en stock avec une femme….
Je me dis que cela va promettre….
Et tout cela grâce à toi ma chérie…