Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Récit érotique écrit par AZIMOV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Partie 2 / Exhibit
Il était là, allongé sur la table de ping-pong du complexe sportif, entièrement nu, offert à la vue de tous. Il faisait beau, chaud pour l’heure. J’ai traîné chez mes amis jusque 23 heures avant de m’arrêter sur ce lieu de drague en plein centre-ville. C’est un espace ouvert, un complexe sportif avec un terrain en herbe, deux terrains de baskets, une salle de sport et deux tables de ping-pong. C’est là que je le retrouve, il y a un petit attroupement autour de lui. Tu parles ! Un beau mec, bien foutu, musclé sec, sa belle queue bandée entre sa main droite et l’autre main qui titille sa rondelle, t’imagine que ça plaît et ça attire les regards. Dès que j’approche, il me regarde et se relève. Il me sourit.
« Tu vas bien ? »
« Ouais pas mal ! »
« ça te dit de s’amuser de nouveau ? »
------
1 mois avant : ce mec est venu me débusquer dans un bosquet où un mec me suçait allégrement. C’était pas folichon. Le mec ne savait pas bien s’y prendre. J’étais chaud mais il avait tendance à me faire descendre la libido ce mec. Alors quand ce beau mec est arrivé, mon regard l’a agrippé et il est venu m’emballer. En deux temps trois mouvements, je me courbais sur sa queue bien dure. Je léchais bien toute la hampe de ce magnifique mandrin, je dirai dans les 18 cm sur 4.5. Très plaisant ! Forcément l’autre gars avait détalé, et nous étions maintenant seuls.
Mon bel homme m’a proposé d’aller dans un endroit plus tranquille pour œuvrer librement dans nos ébats. Bien cachés, il me baisse mon pantalon, mon boxer et soulève mon t-shirt. Il attaque mes tétons, les lèche, les triture avec les lèvres, les pince avec ses dents, et s’aide de ses doigts. Sa main attrape ma queue et me branle. Puis il veut que je lui rende la pareille, alors je lèche ses couilles velues, lèche son gland rose proéminent, et gobe jusqu’à ce que ses poils me chatouillent le nez. De longs va et vient auront raison de mon homme d’un soir. Dans une pipe – dit-il – magistrale, je vais le faire monter, grimper, puis lâcher sa semence sur mon torse glabre.
Il me relève, m’embrasse puis me branle très activement. Excité je ne tarde pas à jouir à mon tour dans un « hannnnnn » peu discret. Nous nous rhabillons. Un dernier baiser et chacun chez soi ! Je ne pensais pas - que dis-je – je ne devais pas le revoir. Il m’a glissé qu’il était de Paris et était rarement ici. Alors je pensais ne plus avoir affaire ou à faire avec lui.
Pourtant …
------
« ça te dit de s’amuser de nouveau ? »
« oui mais ici je pense que ça craint. J’ai vu de jeunes mecs un peu énervés là bas et je pense qu’ils vont venir par ici sous peu ! il vaudrait mieux décamper », et du regard je lui montre la direction de l’immeuble de 15 étages surplombant notre place.
« ok » et il se rhabille rapidos.
A peine habillé, on entend des voix s’approcher, quelques cris, du verre qui se casse par terre. Inutile de rester là à attendre les emmerdes. On décide de partir du centre-ville. J’espérais qu’il allait me proposer d’aller chez lui. Mais il n’en a rien été.
« on peut prendre ta voiture ? ». Oui bien sûr. Il me guide. On sort de la ville, on aborde la ville suivante, à gauche au feu, tout droit, je ne connais pas ce coin là. Ça ne fait que deux ans que j’ai emménagé dans le coin, alors je découvre un peu.
« Prends vers la gauche là ». On continue sur une route qui quitte les lotissements. On borde une rivière, les arbres se font plus nombreux.
« Je connais un parc tranquille le soir ». Il me dit de ralentir à l’abord du parc, on longe un mur et il me dit de me garer à proximité de la grille ouverte.
« C’est là, viens ! ». On sort de la voiture et nous passons la grille, le chemin monte un peu, de grands arbres bordent le chemin. Nous suivons le chemin jusqu’en haut, il serpente vers des ruines d’une maison – un manoir me dit-il – détruite depuis la guerre 39-45. Il est aux aguets, il fait sombre maintenant mais la lune éclaire tout de même un peu le parc. Personne aux environs, il n’y avait aucune voiture et il n’y a pas de maisons autour. Ça semble réellement tranquille. Nous poursuivons le chemin vers la gauche après la maison. Nous redescendons un peu, le chemin semble faire une boucle. Cent mètres plus bas, il s’arrête et dépose sa sacoche sur un banc.
« On va être bien ici ». C’est un coin découvert, il n’y a pas de bosquets ou d’arbres pour nous cacher, mais il semble que nous soyons seuls.
« Désapes toi ! ». J’enlève mon t-shirt, il en fait de même. Il pose son pied sur le banc, défait ses lacets, je le regarde faire. Il enlève ses pompes et baisse son pantalon et son boxer. Je baisse le mien également, il me sourit. Il pose ses affaires sur le banc et m’invite à faire de même. Il remet ses chaussures. Il est vraiment canon, rien que de le voir nu je suis déjà excité, fou de désir et de heureux de savoir que ce beau mec veut coucher avec moi.
« Fous-toi à poil là ». Je m’exécute et nous sommes rapidement nus. Il s’approche et me roule un furieux patin. Si je n’étais pas déjà excité par la situation, j’aurais pu bander de suite rien qu’avec ce baiser torride. Sa langue fouille ma bouche, s’enroule autour de la mienne. Ses lèvres appuient sur les miennes, sa salive inonde ma bouche. Mes lèvres se déforment sous la puissante de feu de mon homme. Ses mains ne sont pas en reste : elles parcourent mon corps, mon torse, mon dos, mes fesses, mes couilles, ma queue … tout y passe.
Il est chaud bouillant. Son excitation est palpable, pas seulement dans son érection prodigieuse. Tout respire le sexe chez lui. Son envie de me baiser est palpable, je la sens, elle sort par toutes les pores de sa peau. Chaque mouvement de sa part est fait pour me faire monter rapidement et me mettre à l’unisson de son besoin viscéral de me posséder.
Il me retourne rapidement, me dit de mettre un pied sur le banc et de ses mains il me fait me pencher. Dans cette position, dès lors qu’il se met accroupi, il a une vision bien claire de ma tendre rondelle et il peut la prendre d’assaut avec sa langue. D’abord elle approche en léchant avidement la surface, comme il lècherait une boule de glace pour en avoir le maximum dans la bouche dès la première lippée. Les suivantes ne seront pas moins avides. Il salive, il humidifie mon trou avant d’enfoncer la pointe de sa langue, durcie pour dépasser les bords du cratère. Il pénètre dans mon antre et à chaque coup s’enfonce un peu plus. Il n’explore pas, il pousse, il ouvre et il mouille mon trou.
Son majeur vient aider à la tâche. L’enjeu est clair, il faut rapidement préparer ce trou pour y mettre sa queue bien dure qui n’attend que cela. Il veut la mettre au chaud et coulisser, limer mon trou devenu bouillant de désir pour son gland.
Il l’a compris et très vite, il pénètre, s’enfonce, force le passage. Je retiens mon souffle, fais l’effort pour ouvrir mes sphincters. J’ai mal, il attend. Puis il s’enfonce doucement. Ressort. Crache sur sa queue capuchonnée, étale la salive sur son bout avant de l’enfoncer plus loin en moi. Je retiens ma respiration un moment, accepte la douleur, puis souffle. Il s’enfonce un peu plus. J’ai moins mal. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Il s’arrête.
« Ça va ? ». Maintenant oui. Il commence un va et vient lent. Je ne dis rien. Il accélère et rapidement il prend un bon rythme de croisière. Ma respiration s’accélère et je marque mon plaisir par des souffles et quelques gémissements. Je ne peux me retenir quand cela me fait du bien. Certains y arrivent, pas moi, j’ai la jouissance sonore. Ce ne sont pas non plus des cris, mais des gémissements, des râles et des souffles.
Il s’arrête brusquement. « Chut ! ». J’attends, et je regarde autour de nous. Imaginez … nous sommes emboités depuis 10 minutes, complètement à poil dans un parc public à minuit et demi un soir de début d’été. Si quelqu’un est là, soit il se rince l’œil, soit on va prendre cher. Je scrute l’obscurité, il écoute et regarde tout autour également.
« Non ! Rien ! On est seul » et il reprend ses mouvements qu’il accélère et intensifie. Il donne de grands coups maintenant, sa peau claque contre mes fesses. Il respire fort lui aussi. J’ai terriblement chaud, je transpire. Mon trou chauffe. Il crache sur sa queue de nouveau. La salive fraiche réduit l’incandescence de ma muqueuse. Des gouttes de sueurs glissent de son corps sur le mien, son torse se colle à mon dos. Nous sommes en nage. Il enroule ses bras autour de mon torse et donne de violents coups de butoir dans mon trou. Je ne peux réfréner de grands « haaaan » de surprise et de plaisir mélangés.
Il se détache de moi et appuie de ses deux mains sur mes mains, je creuse les reins. Ses coups sont plus longs et plus secs, je sens sa queue sur de nouvelles parties internes, il excite ma muqueuse dans d’autres endroits. Il ressort sa queue entièrement. L’air pénètre dans l’antre, rafraichit avant un nouveau coup de butoir. Il refait cela trois ou quatre fois. Puis il reprend son rythme d’endurance, régulier mais rapide. Sa queue butte contre la prostate. Elle délire, me fait partir dans un grand délire de plaisir.
Puis il accélère d’un coup, je ne sais plus depuis combien de temps je suis dans cette position, un pied sur le banc, le cul offert. Il attrape mes hanches et donne de violents coups. 1, 2, 3, 4 puis un cinquième. Et là il enchaîne par une accélération de fou. Je décolle sous l’effet de sa force. Je ne sens plus qu’une chaleur intense dans tout mon bas ventre. Mes yeux sont clos. Je vis ses coups de queue dans mon trou. Mon corps tout entier est rythmé par ses mouvements de bite. Je ne gémis plus. Ce ne sont plus que de longs râles continus. Lui aussi respire fort, gémit puis crie quand, dans un ultime effort, il lâche sa crème, son jus d’homme au plus profond de mon cul.
Deux puis trois allers et retours finissent de combler sa jouissance. Il attrape ma queue et me branle. Il ne faut pas plus de 4 ou 5 branles pour qu’à mon tour je lâche ma semence sur le gravier. Je suis exténué. Je respire fort. Il lâche ma queue, attrape sa bite et se retire. L’air frais pénètre dans mon cul ouvert et cela me ramène à la douce réalité. Jamais je ne me suis senti aussi vivant.
Déjà il se rhabille. Je fais de même. J’ai du mal à retrouver une respiration normale. Mais déjà nous reprenons le chemin pour retourner à la voiture.
« C’était bon », ce sera notre seul échange sur ce qui vient de se passer. La suite de la conversation tourne autour de « tu peux me déposer ? » ou « alors tu vis à Paname ? ». Alors que nous arrivons à la grille du parc, nous voyons un jeune homme descendre du parc par l’allée à notre gauche, celle que nous avions empruntée pour entrer dans le parc. Je me demande s’il nous a vus.
Il nous dépasse. Il se retourne. Il s’arrête, nous regarde. Il sourit.
« Bonsoir … ». Est-ce bien l’heure des politesses ? La seule chose qui tourne dans ma tête est « nous a t’il vu ? ».
« Bravo ! » et il fait mine de repartir. Il sort du parc, nous le suivons. Il part vers la droite après ma voiture. Je vais pour ouvrir ma voiture, il s’arrête, se retourne et me regarde fixement.
« T’es super endurant ! Wow ! C’était super !».
Je souris. Un merci est la seule chose qui sort de ma bouche.
« À plus … »
------
Je dépose mon bel amant dans le centre-ville. Il ne sait pas quand il reviendra, il part en Argentine puis en Uruguay pour trois mois. En fait, je ne le reverrai plus. Ce fût notre deuxième et dernière rencontre.
Pour ce qui est du jeune voyeur, il ne m’avait pas encore tout dit !
Mais ce soir là, je ne le savais pas.
Il était là, allongé sur la table de ping-pong du complexe sportif, entièrement nu, offert à la vue de tous. Il faisait beau, chaud pour l’heure. J’ai traîné chez mes amis jusque 23 heures avant de m’arrêter sur ce lieu de drague en plein centre-ville. C’est un espace ouvert, un complexe sportif avec un terrain en herbe, deux terrains de baskets, une salle de sport et deux tables de ping-pong. C’est là que je le retrouve, il y a un petit attroupement autour de lui. Tu parles ! Un beau mec, bien foutu, musclé sec, sa belle queue bandée entre sa main droite et l’autre main qui titille sa rondelle, t’imagine que ça plaît et ça attire les regards. Dès que j’approche, il me regarde et se relève. Il me sourit.
« Tu vas bien ? »
« Ouais pas mal ! »
« ça te dit de s’amuser de nouveau ? »
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1 mois avant : ce mec est venu me débusquer dans un bosquet où un mec me suçait allégrement. C’était pas folichon. Le mec ne savait pas bien s’y prendre. J’étais chaud mais il avait tendance à me faire descendre la libido ce mec. Alors quand ce beau mec est arrivé, mon regard l’a agrippé et il est venu m’emballer. En deux temps trois mouvements, je me courbais sur sa queue bien dure. Je léchais bien toute la hampe de ce magnifique mandrin, je dirai dans les 18 cm sur 4.5. Très plaisant ! Forcément l’autre gars avait détalé, et nous étions maintenant seuls.
Mon bel homme m’a proposé d’aller dans un endroit plus tranquille pour œuvrer librement dans nos ébats. Bien cachés, il me baisse mon pantalon, mon boxer et soulève mon t-shirt. Il attaque mes tétons, les lèche, les triture avec les lèvres, les pince avec ses dents, et s’aide de ses doigts. Sa main attrape ma queue et me branle. Puis il veut que je lui rende la pareille, alors je lèche ses couilles velues, lèche son gland rose proéminent, et gobe jusqu’à ce que ses poils me chatouillent le nez. De longs va et vient auront raison de mon homme d’un soir. Dans une pipe – dit-il – magistrale, je vais le faire monter, grimper, puis lâcher sa semence sur mon torse glabre.
Il me relève, m’embrasse puis me branle très activement. Excité je ne tarde pas à jouir à mon tour dans un « hannnnnn » peu discret. Nous nous rhabillons. Un dernier baiser et chacun chez soi ! Je ne pensais pas - que dis-je – je ne devais pas le revoir. Il m’a glissé qu’il était de Paris et était rarement ici. Alors je pensais ne plus avoir affaire ou à faire avec lui.
Pourtant …
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« ça te dit de s’amuser de nouveau ? »
« oui mais ici je pense que ça craint. J’ai vu de jeunes mecs un peu énervés là bas et je pense qu’ils vont venir par ici sous peu ! il vaudrait mieux décamper », et du regard je lui montre la direction de l’immeuble de 15 étages surplombant notre place.
« ok » et il se rhabille rapidos.
A peine habillé, on entend des voix s’approcher, quelques cris, du verre qui se casse par terre. Inutile de rester là à attendre les emmerdes. On décide de partir du centre-ville. J’espérais qu’il allait me proposer d’aller chez lui. Mais il n’en a rien été.
« on peut prendre ta voiture ? ». Oui bien sûr. Il me guide. On sort de la ville, on aborde la ville suivante, à gauche au feu, tout droit, je ne connais pas ce coin là. Ça ne fait que deux ans que j’ai emménagé dans le coin, alors je découvre un peu.
« Prends vers la gauche là ». On continue sur une route qui quitte les lotissements. On borde une rivière, les arbres se font plus nombreux.
« Je connais un parc tranquille le soir ». Il me dit de ralentir à l’abord du parc, on longe un mur et il me dit de me garer à proximité de la grille ouverte.
« C’est là, viens ! ». On sort de la voiture et nous passons la grille, le chemin monte un peu, de grands arbres bordent le chemin. Nous suivons le chemin jusqu’en haut, il serpente vers des ruines d’une maison – un manoir me dit-il – détruite depuis la guerre 39-45. Il est aux aguets, il fait sombre maintenant mais la lune éclaire tout de même un peu le parc. Personne aux environs, il n’y avait aucune voiture et il n’y a pas de maisons autour. Ça semble réellement tranquille. Nous poursuivons le chemin vers la gauche après la maison. Nous redescendons un peu, le chemin semble faire une boucle. Cent mètres plus bas, il s’arrête et dépose sa sacoche sur un banc.
« On va être bien ici ». C’est un coin découvert, il n’y a pas de bosquets ou d’arbres pour nous cacher, mais il semble que nous soyons seuls.
« Désapes toi ! ». J’enlève mon t-shirt, il en fait de même. Il pose son pied sur le banc, défait ses lacets, je le regarde faire. Il enlève ses pompes et baisse son pantalon et son boxer. Je baisse le mien également, il me sourit. Il pose ses affaires sur le banc et m’invite à faire de même. Il remet ses chaussures. Il est vraiment canon, rien que de le voir nu je suis déjà excité, fou de désir et de heureux de savoir que ce beau mec veut coucher avec moi.
« Fous-toi à poil là ». Je m’exécute et nous sommes rapidement nus. Il s’approche et me roule un furieux patin. Si je n’étais pas déjà excité par la situation, j’aurais pu bander de suite rien qu’avec ce baiser torride. Sa langue fouille ma bouche, s’enroule autour de la mienne. Ses lèvres appuient sur les miennes, sa salive inonde ma bouche. Mes lèvres se déforment sous la puissante de feu de mon homme. Ses mains ne sont pas en reste : elles parcourent mon corps, mon torse, mon dos, mes fesses, mes couilles, ma queue … tout y passe.
Il est chaud bouillant. Son excitation est palpable, pas seulement dans son érection prodigieuse. Tout respire le sexe chez lui. Son envie de me baiser est palpable, je la sens, elle sort par toutes les pores de sa peau. Chaque mouvement de sa part est fait pour me faire monter rapidement et me mettre à l’unisson de son besoin viscéral de me posséder.
Il me retourne rapidement, me dit de mettre un pied sur le banc et de ses mains il me fait me pencher. Dans cette position, dès lors qu’il se met accroupi, il a une vision bien claire de ma tendre rondelle et il peut la prendre d’assaut avec sa langue. D’abord elle approche en léchant avidement la surface, comme il lècherait une boule de glace pour en avoir le maximum dans la bouche dès la première lippée. Les suivantes ne seront pas moins avides. Il salive, il humidifie mon trou avant d’enfoncer la pointe de sa langue, durcie pour dépasser les bords du cratère. Il pénètre dans mon antre et à chaque coup s’enfonce un peu plus. Il n’explore pas, il pousse, il ouvre et il mouille mon trou.
Son majeur vient aider à la tâche. L’enjeu est clair, il faut rapidement préparer ce trou pour y mettre sa queue bien dure qui n’attend que cela. Il veut la mettre au chaud et coulisser, limer mon trou devenu bouillant de désir pour son gland.
Il l’a compris et très vite, il pénètre, s’enfonce, force le passage. Je retiens mon souffle, fais l’effort pour ouvrir mes sphincters. J’ai mal, il attend. Puis il s’enfonce doucement. Ressort. Crache sur sa queue capuchonnée, étale la salive sur son bout avant de l’enfoncer plus loin en moi. Je retiens ma respiration un moment, accepte la douleur, puis souffle. Il s’enfonce un peu plus. J’ai moins mal. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Il s’arrête.
« Ça va ? ». Maintenant oui. Il commence un va et vient lent. Je ne dis rien. Il accélère et rapidement il prend un bon rythme de croisière. Ma respiration s’accélère et je marque mon plaisir par des souffles et quelques gémissements. Je ne peux me retenir quand cela me fait du bien. Certains y arrivent, pas moi, j’ai la jouissance sonore. Ce ne sont pas non plus des cris, mais des gémissements, des râles et des souffles.
Il s’arrête brusquement. « Chut ! ». J’attends, et je regarde autour de nous. Imaginez … nous sommes emboités depuis 10 minutes, complètement à poil dans un parc public à minuit et demi un soir de début d’été. Si quelqu’un est là, soit il se rince l’œil, soit on va prendre cher. Je scrute l’obscurité, il écoute et regarde tout autour également.
« Non ! Rien ! On est seul » et il reprend ses mouvements qu’il accélère et intensifie. Il donne de grands coups maintenant, sa peau claque contre mes fesses. Il respire fort lui aussi. J’ai terriblement chaud, je transpire. Mon trou chauffe. Il crache sur sa queue de nouveau. La salive fraiche réduit l’incandescence de ma muqueuse. Des gouttes de sueurs glissent de son corps sur le mien, son torse se colle à mon dos. Nous sommes en nage. Il enroule ses bras autour de mon torse et donne de violents coups de butoir dans mon trou. Je ne peux réfréner de grands « haaaan » de surprise et de plaisir mélangés.
Il se détache de moi et appuie de ses deux mains sur mes mains, je creuse les reins. Ses coups sont plus longs et plus secs, je sens sa queue sur de nouvelles parties internes, il excite ma muqueuse dans d’autres endroits. Il ressort sa queue entièrement. L’air pénètre dans l’antre, rafraichit avant un nouveau coup de butoir. Il refait cela trois ou quatre fois. Puis il reprend son rythme d’endurance, régulier mais rapide. Sa queue butte contre la prostate. Elle délire, me fait partir dans un grand délire de plaisir.
Puis il accélère d’un coup, je ne sais plus depuis combien de temps je suis dans cette position, un pied sur le banc, le cul offert. Il attrape mes hanches et donne de violents coups. 1, 2, 3, 4 puis un cinquième. Et là il enchaîne par une accélération de fou. Je décolle sous l’effet de sa force. Je ne sens plus qu’une chaleur intense dans tout mon bas ventre. Mes yeux sont clos. Je vis ses coups de queue dans mon trou. Mon corps tout entier est rythmé par ses mouvements de bite. Je ne gémis plus. Ce ne sont plus que de longs râles continus. Lui aussi respire fort, gémit puis crie quand, dans un ultime effort, il lâche sa crème, son jus d’homme au plus profond de mon cul.
Deux puis trois allers et retours finissent de combler sa jouissance. Il attrape ma queue et me branle. Il ne faut pas plus de 4 ou 5 branles pour qu’à mon tour je lâche ma semence sur le gravier. Je suis exténué. Je respire fort. Il lâche ma queue, attrape sa bite et se retire. L’air frais pénètre dans mon cul ouvert et cela me ramène à la douce réalité. Jamais je ne me suis senti aussi vivant.
Déjà il se rhabille. Je fais de même. J’ai du mal à retrouver une respiration normale. Mais déjà nous reprenons le chemin pour retourner à la voiture.
« C’était bon », ce sera notre seul échange sur ce qui vient de se passer. La suite de la conversation tourne autour de « tu peux me déposer ? » ou « alors tu vis à Paname ? ». Alors que nous arrivons à la grille du parc, nous voyons un jeune homme descendre du parc par l’allée à notre gauche, celle que nous avions empruntée pour entrer dans le parc. Je me demande s’il nous a vus.
Il nous dépasse. Il se retourne. Il s’arrête, nous regarde. Il sourit.
« Bonsoir … ». Est-ce bien l’heure des politesses ? La seule chose qui tourne dans ma tête est « nous a t’il vu ? ».
« Bravo ! » et il fait mine de repartir. Il sort du parc, nous le suivons. Il part vers la droite après ma voiture. Je vais pour ouvrir ma voiture, il s’arrête, se retourne et me regarde fixement.
« T’es super endurant ! Wow ! C’était super !».
Je souris. Un merci est la seule chose qui sort de ma bouche.
« À plus … »
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Je dépose mon bel amant dans le centre-ville. Il ne sait pas quand il reviendra, il part en Argentine puis en Uruguay pour trois mois. En fait, je ne le reverrai plus. Ce fût notre deuxième et dernière rencontre.
Pour ce qui est du jeune voyeur, il ne m’avait pas encore tout dit !
Mais ce soir là, je ne le savais pas.
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J'adore, vivement la suite! Le voyeur, miam!