Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Récit érotique écrit par AZIMOV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Partie 4 / Bandés (1/3)
Craquement de brindilles. Effluves d’ajonc en fleur. Légère brise parcourant ma peau. Il fait bon mais je suis en alerte, chaque pore est aux aguets, prêts à un contact, une caresse, un baiser. Je suis debout, en pleine nature. Il fait nuit depuis deux heures. Et je suis entièrement nu, les yeux bandés. Je guette des pas qui trainent, qui me font patienter depuis bien trop longtemps. Mes mains sont liées dans mon dos et j’attends.
-----
2 semaines plus tôt …
Ce soir j’ai envie de sexe. Entre les révisions et les partiels, je n’ai pas vraiment eu le temps de m’occuper de ma libido. Maintenant j’ai tout le loisir de m’adonner aux ferveurs charnelles. Et j’ai décidé que cette nuit serait torride. Après le repas, je vais au parc où ça drague tard le soir. Il n’y a pas grand monde, je traîne, je passe de chemin en chemin. Je me pose sur un banc. Je regarde autour de moi. Un mec dans la quarantaine passe. Puis un autre. Ils vont dans un coin sombre, cachés par des arbres et des arbustes.
Un autre mec, plus jeune, arrive dans le coin opposé du parc. Ça attire mon attention, et je délaisse les deux mecs pour le regarder approcher de moi. Il passe juste devant, il me mate, je le mate. On se jauge, on estime, on décide de ne rien faire. Je le laisse partir vers le bosquet des deux autres mâles. Il y entre mais n’en ressort pas. Ça doit baiser sec dans ce coin. Je ne suis pas voyeur, pas trop en tout cas et surtout pas ce soir. Je me lève et je marche vers le haut du parc. Je les laisse, tranquille, faire leur affaire.
Il se passe un bon moment avant qu’une flopée de mecs arrive. Je suis assis sur le dossier d’un banc, ça me permet de voir plus loin. Là un beau mâle blond, typé surfeur beau gosse, passe à côté de moi. On se jauge, on se mate, on se sourit. Il part vers le haut du parc. A la croisée du chemin, il tourne à droite et prend un chemin qui revient vers mon banc. Je le suis du regard. Il me regarde aussi. Dans la pénombre, je le vois longer la route qui borde le parc. Des voitures passent de temps en temps, c’est un axe un peu fréquenté, il mène au port de commerce (haut lieu de la nuit avec ses bars de nuit).
Je détaille un peu plus mon beau blond quand il passe sur le chemin face à moi : cheveux mi-longs, tirant du blond au blanc, épaules assez large, hanche fine, il parait plutôt musclé, jeune, dans les 25 ans je dirai. La bosse de son jean est prometteuse. Et il me mate tout du long. Il arrive de nouveau au sentier par où il était arrivé. Il tourne à droite de nouveau et se dirige vers moi une nouvelle fois.
Il s’arrête non loin du banc, me regarde, me sourit. J’en fais de même. Alors il ose s’approcher doucement, comme s’il a peur de moi. « Salut » … hum oui salut. Il s’approche de plus en plus, et je le trouve de plus en plus beau. Il se plante devant moi et balbutie un « ça va ? ». Il a bu, je crois. Je sens les effluves d’alcool quand il parle. Il me le confirme rapidement « j’ai un peu fait la fête avec des potes ». Visiblement c’est une autre fête qu’il cherche maintenant. Il fait des mimiques tellement attendrissantes avec sa tête, il a l’air si doux et si viril. So cute !
« J’ai envie de te sucer … je peux ? ». Un rapide ‘cui là ! Cool … pas besoin de se demander ce qu’il cherche, c’est servi sur un plateau. Il s’approche, il se baisse et m’embrasse. Ses lèvres collent aux miennes, les effluves de vodka envahissent ma bouche, ma gorge. Hum si je ne veux pas me bourrer la gueule rien qu’avec ses relents d’alcool, va falloir vite passer à autre chose. Il ne cherche pas à envahir ma bouche de sa langue chercheuse. Il est cool et il le reste.
Sa main vient palper mon jean à la recherche d’un pénis à flatter. Je bande déjà. Il ouvre ma braguette et comme ma ceinture gêne, il la défait. Les boutons du jean suivent rapidement. Son action m’a fait écarter les jambes et il s’avance pour placer son torse entre mes cuisses largement ouvertes. Avec ses mains, il essaye de baisser mon jean pour atteindre mes couilles avec ses doigts. Je l’aide en glissant le pantalon de quelques centimètres sur mes cuisses.
Sa main caresse mes boules puis ma queue raide. Très vite, sa bouche gobe mon gland et sa langue glisse sur mon bout. De petits râles s’échappent de ma gorge. J’aime le contact chaud d’une bouche accueillante, bienveillante. Tout en passant délicatement ses doigts sur mes boules, il entame des va et vient dans sa bouche, toujours plus profondément.
Le temps s’étire. Je ne vois plus les voitures passer dans la rue adjacente. Je ne vois pas les hommes tourner autour de nous, tels des vautours en attente que le lion ait fini son repas. Je ne vois pas les regards mi-amusés, mi-envieux, mi-choqués de nous voir faire cela là. Mon beau blond s’en fout lui aussi, il s’active pour que mon gland luise. Il s’attache à me donner du plaisir. Il enfonce contre sa glotte ma tige droite, lime sa gorge avec mon engin puis, enfin, le déglutit. Avant de reprendre de doux mouvements de lèvres sur le gland, et des coups de langue sur mon frein. Il m’arrache des râles de plus en plus puissants, ma respiration est plus forte, bruyante.
J’ouvre les yeux pendant quelques secondes de répit. Je vois un type, la trentaine, qui se masturbe devant nous à moins de dix mètres. Je lui fais signe de partir. Il n’obtempère pas de suite. Deuxième demande. Rien. Sa main astique son manche. Troisième et dernière sommation, sur un ton qui ne laisse pas de choix. Il enfourne sa queue dans son pantalon et il s’éloigne, le pas peu décidé. Mon beau blond n’a rien vu, il continue de lécher mes couilles, de les mettre dans sa gorge. Il reprend mon vît dans sa bouche. Les va et vient sont de plus en plus rapides. Sa langue s’enroule autour du gland. Je râle de plus belle. Il accélère. Mon plaisir monte. Il poursuit son effort. Sa mâchoire s’écarte un peu plus et il fiche ma queue dans le fond de sa bouche. Cela a pour effet de me faire venir dans sa gorge. Mon précieux liquide coule directement dans son gosier. Il laisse couler au fond de son estomac mon nectar, mon jus d’homme. Il lèche de nouveau mon gland, il lappe les dernières gouttes.
En un rien de temps, il délaisse ma queue, se relève et me glisse un « merci ». Et je le vois partir sans m’en dire plus. Je reste quelques secondes assis, la queue à l’air, le cul nu au bord du dossier de ce banc. Deux mecs passent à côté de moi, ils me font un signe désapprobateur de la tête puis s’écartent au plus vite. Je relève mon boxer et mon jean. Je boutonne, ferme le ceinturon. Je me lève, réajuste mes vêtements et soupire. « Que c’est bon de se faire tirer le lait ainsi ! » mais dommage que mon beau blond n’ait pas voulu la pareille.
-----
Je décide de faire un tour de parc. Je croise de beaux mecs, de moins beaux. Je fais le tour des ‘’coins’’ et je trouve des mecs en train de baiser au calme ou à la vue de tous ceux qui savent chercher. Mon beau blond a disparu, il a dû partir sans doute. Je continue sur les sentiers, m’arrête parfois, croise une connaissance, discuter, devise sur la qualité de nos comparses. « Bandant ou pas bandant ? », c’est bien la question qui nous intéresse tous.
Près d’une heure s’est encore passée. Je décide de remonter le parc quand je vois au loin une allure agréable se dessiner et venir vers moi. J’attends patiemment que le jeune homme arrive. Il passe à côté de moi, on se dévisage, on se jauge. Je le suis. Il tourne souvent la tête, sourit mais repart de plus belle. Il quitte le square, longe le tribunal puis tourne dans le parking à droite. Je ne le vois plus mais j’ai bien l’intention de le retrouver rapidement. Je tourne moi aussi à droite et je tombe nez à nez sur le jeune homme, adossé au mur du tribunal, un pied relevé contre le mur.
« salut » … hum oui, salut ! Je le détaille : petite vingtaine, ma taille, brun, yeux bleus, peau mate, épaules larges sans plus, tee-shirt blanc dévoilant une musculature présente sans être trop développée (genre musclé sec), petit cul légèrement bombé. Belle gueule, beau mec, très bandant !
Il sourit, jette sa clope au loin et m’attire vers lui. Il m’embrasse. Sa langue prend possession de ma bouche. Au début ce baiser a le goût du tabac, mais peu à peu je me détends dans ce contact charnel et je lui trouve un goût bien à mon aise. Je bande direct.
« Dis … ça te dit d’aller plus loin ? ». Carrément, j’allais le proposer. On se met en recherche d’un coin peinard. Pas simple en pleine ville ! On se motive l’un l’autre en s’enfonçant dans les cours derrière les immeubles. Nous cherchons le coin parfait, pas trop grand, pas trop petit non plus, il faut des recoins pour se cacher. On finit par trouver un petit parking avec 4 voitures et surtout … un espace caché dans la pénombre. Nous nous y glissons pour reprendre nos baisers langoureux. Rapidement les mains cherchent le contact avec la peau de l’autre, elles se font caresses. Les bouches sont liées, les langues se tournent. Le désir monte sérieusement. Les mains prennent l’entrejambe à pleine pogne. Je bande, il bande.
Je lui enlève son tee-shirt et découvre son torse glabre. Les tétons pointent, en tête de pectoraux légèrement dessinés. Les abdos sont saillants sans être proéminant. J’adore. Sa peau est douce quand, de mes lèvres, je dépose des baisers enfiévrés. Je défais les boutons de son jean et je baisse le pantalon. Je m’accroupis et je tombe face à un boxer noir sérieusement déformé par une queue très en forme. Je baisse son boxer et gobe la queue. Ma main caresse son ventre, ses poils pubiens, ses couilles pendant que ma bouche s’active sur son pénis raide. Je le regarde, il a la tête en arrière et il souffle.
Je remonte en caressant son corps de toute sa hauteur. Il ouvre les yeux. Je l’embrasse de nouveau. Ses mains défont tous mes vêtements, je me retrouve à poil en un rien de temps. Mon bel amant s’accroupit et me suce rapidement. Cela dure un bon moment, 5 grosses minutes je dirai. Puis il me retourne rapidement en m’attrapant par les hanches. Il crache sur mon trou, fait glisser sa salive dans ma raie. Un doigt s’imisce plus loin dans mon anus. Il se lève de nouveau et place son sexe dans ma raie. Il frotte de haut en bas tout en m’embrassant dans le cou.
« J’ai envie de te prendre … je peux ? »
« Oui »
Il met de la salive dans sa main, glisse ses doigts sur mon trou, puis un doigt puis deux prennent possession du trou. Sa queue revient dans la raie, il l’attrape avec sa main gauche et fait pointer son gland sur mon trou. Il appuie, pénètre délicatement, recule avant d’entrer sans force dans mon anus bien ouvert. Tellement je le trouve beau, tellement je suis excité, je suis complètement ouvert, offert à lui et je n’attends plus qu’une baise sauvage. Et c’est bien ce qu’il me fait, me plaquant contre le mur de l’immeuble, donnant de grands coups dans mon fondement. Je gémis, je râle, je souffle. J’ai chaud, lui aussi, et la température monte encore plus à chaque coup de butoir.
« C’est trop bon » me dit-il dans le creu de l’oreille, avant de reprendre de violents coups dans mon cul. Je ne râle plus, je me contrôle pour ne pas nous faire remarquer. Mais c’est lui maintenant qui souffle et gémit. Dans une dernière série de coups, sa queue expulse sa liqueur dans mon antre bouillante. Il sort sa queue, me retourne de nouveau, et s’accroupit. Il reprend alors une pipe magistrale tout en branlant ma queue. Ce traitement dure à peine 30 secondes et je jouis dans sa bouche. J’en ai le souffle coupé. Il se lève, met son boxer puis son jean en place. Il attrape mes vêtements un à un et me les passe. Je m’habille. Il met son tee-shirt, me sourit.
Alors que je remets mon tee-shirt, je regarde le ciel. Les étoiles sont bien plus présentes qu’il y a une ou deux heures. Je remarque une fenêtre ouverte au deuxième étage. Je vois alors une ombre se dégager du cadre de la fenêtre. Et tout de suite après, c’est une petite lumière rouge que je vois. Je fais signe à mon amant de regarder. La lumière est toujours en marche, il la voit. Puis elle s’éteint. Je devine une ombre en arrière plan. Nous décidons de quitter les lieux au plus vite.
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De retour vers le parc, mon bel amant m’annonce qu’il s’appelle Samuel. Il est étudiant en Droit. Et nous discutons de ce que nous avons vu dans cette fenêtre. Nul doute pour nous que nos ébats ont plaisir à plus de monde que nous deux.
Déjà nous arrivons près du par cet je l’emmène vers ma voiture. Je m’adosse contre elle. Je le regarde. Il s’approche, vient entre mes jambes et il m’embrasse tendrement. Ses mains partent à l’assaut de mes fesses. Je me décolle de la voiture pour lui laisser l’accès à mon séant. Sa main droite se faufile dans ma raie et à travers mon jean et mon boxer, il enfonce ses doigts dans mon trou. Le boxer s’imbibe de jus d’homme. Le jean se mouille à son tour. Nul doute qu’il veut que je me souvienne de lui pendant tout le trajet retour vers chez moi. Génial !
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Samuel m’a appelé il y a deux jours. Il voulait me revoir. Il m’a proposé d’aller à la plage. Nous nous y sommes retrouvés. C’est une plage gay et naturiste. Je vais pouvoir y parfaire mon bronzage. Je ne suis pas un adapte du nudisme mais pourquoi pas … surtout si c’est pour lui que je le fais. Et puis il me plait ce mec. Je rêve de le revoir et de baiser encore avec lui depuis deux semaines. Alors il me proposerait n’importe quoi, je dirai oui.
Je l’appelle sur son portable. Il m’indique où il s’est installé. J’avance vers l’endroit, c’est sur la gauche de la plage. Il me voit de loin, me fait signe. J’approche. Il n’est pas seul. Il se lève, m’embrasse sur la joue et me présente son meilleur ami. C’est un beau blond, typé surfeur, peau blonde, légèrement poilu, doté d’une magnifique queue pendante, entourée de jolis poils blonds. Le beau blond se lève, m’embrasse à son tour puis s’allonge de nouveau. Je sors ma serviette, enlève mes vêtements et m’installe à la gauche de mon beau brun. Je m’allonge et je regarde un peu la faune aux alentours tout en conversant avec Samuel. Inutile de mater ou fantasmer sur les autres congénères, les deux plus beaux spécimens sont à mes côtés. Je continue la conversation avec Samuel et Sven, le blond canon.
Une demi-heure plus tard, mon beau brun propose une baignade. J’accepte volontiers alors que Sven se tourne sur le ventre et me fait admirer deux splendides fesses bombées. Et nous voilà, Samuel et moi-même, marchant rapidement vers l’eau. La baignade se transforme en jeux, en caresses, en baisers. Les queues se dressent et se battent en duel dans l’eau. Je plonge dans l’eau et me glisse entre les jambes de mon beau brun. J’attrape sa queue et le branle. Il en fait de même. Nous nous donnons du plaisir afin de retourner vers nos serviettes sans montrer nos attributs virils au plus haut de leur forme.
Satisfaits, nous retournons nous allonger. Samuel arrose les fesses blondes de Sven et les claque. Sven râle, se lève et file dans l’eau à son tour. Il nous rejoint quelques temps plus tard. Entre temps Samuel m’a expliqué comment ils se sont connus et sont devenus amants, amoureux puis amis inséparables.
Sven se sèche devant nous, la serviette sur les cheveux découvre son sexe appétissant. Samuel capte mon regard et en fait la remarque à Sven : « je crois que tu as réussi ton coup Sven, il a envie de te goûter ! ».
.../.. à suivre
Craquement de brindilles. Effluves d’ajonc en fleur. Légère brise parcourant ma peau. Il fait bon mais je suis en alerte, chaque pore est aux aguets, prêts à un contact, une caresse, un baiser. Je suis debout, en pleine nature. Il fait nuit depuis deux heures. Et je suis entièrement nu, les yeux bandés. Je guette des pas qui trainent, qui me font patienter depuis bien trop longtemps. Mes mains sont liées dans mon dos et j’attends.
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2 semaines plus tôt …
Ce soir j’ai envie de sexe. Entre les révisions et les partiels, je n’ai pas vraiment eu le temps de m’occuper de ma libido. Maintenant j’ai tout le loisir de m’adonner aux ferveurs charnelles. Et j’ai décidé que cette nuit serait torride. Après le repas, je vais au parc où ça drague tard le soir. Il n’y a pas grand monde, je traîne, je passe de chemin en chemin. Je me pose sur un banc. Je regarde autour de moi. Un mec dans la quarantaine passe. Puis un autre. Ils vont dans un coin sombre, cachés par des arbres et des arbustes.
Un autre mec, plus jeune, arrive dans le coin opposé du parc. Ça attire mon attention, et je délaisse les deux mecs pour le regarder approcher de moi. Il passe juste devant, il me mate, je le mate. On se jauge, on estime, on décide de ne rien faire. Je le laisse partir vers le bosquet des deux autres mâles. Il y entre mais n’en ressort pas. Ça doit baiser sec dans ce coin. Je ne suis pas voyeur, pas trop en tout cas et surtout pas ce soir. Je me lève et je marche vers le haut du parc. Je les laisse, tranquille, faire leur affaire.
Il se passe un bon moment avant qu’une flopée de mecs arrive. Je suis assis sur le dossier d’un banc, ça me permet de voir plus loin. Là un beau mâle blond, typé surfeur beau gosse, passe à côté de moi. On se jauge, on se mate, on se sourit. Il part vers le haut du parc. A la croisée du chemin, il tourne à droite et prend un chemin qui revient vers mon banc. Je le suis du regard. Il me regarde aussi. Dans la pénombre, je le vois longer la route qui borde le parc. Des voitures passent de temps en temps, c’est un axe un peu fréquenté, il mène au port de commerce (haut lieu de la nuit avec ses bars de nuit).
Je détaille un peu plus mon beau blond quand il passe sur le chemin face à moi : cheveux mi-longs, tirant du blond au blanc, épaules assez large, hanche fine, il parait plutôt musclé, jeune, dans les 25 ans je dirai. La bosse de son jean est prometteuse. Et il me mate tout du long. Il arrive de nouveau au sentier par où il était arrivé. Il tourne à droite de nouveau et se dirige vers moi une nouvelle fois.
Il s’arrête non loin du banc, me regarde, me sourit. J’en fais de même. Alors il ose s’approcher doucement, comme s’il a peur de moi. « Salut » … hum oui salut. Il s’approche de plus en plus, et je le trouve de plus en plus beau. Il se plante devant moi et balbutie un « ça va ? ». Il a bu, je crois. Je sens les effluves d’alcool quand il parle. Il me le confirme rapidement « j’ai un peu fait la fête avec des potes ». Visiblement c’est une autre fête qu’il cherche maintenant. Il fait des mimiques tellement attendrissantes avec sa tête, il a l’air si doux et si viril. So cute !
« J’ai envie de te sucer … je peux ? ». Un rapide ‘cui là ! Cool … pas besoin de se demander ce qu’il cherche, c’est servi sur un plateau. Il s’approche, il se baisse et m’embrasse. Ses lèvres collent aux miennes, les effluves de vodka envahissent ma bouche, ma gorge. Hum si je ne veux pas me bourrer la gueule rien qu’avec ses relents d’alcool, va falloir vite passer à autre chose. Il ne cherche pas à envahir ma bouche de sa langue chercheuse. Il est cool et il le reste.
Sa main vient palper mon jean à la recherche d’un pénis à flatter. Je bande déjà. Il ouvre ma braguette et comme ma ceinture gêne, il la défait. Les boutons du jean suivent rapidement. Son action m’a fait écarter les jambes et il s’avance pour placer son torse entre mes cuisses largement ouvertes. Avec ses mains, il essaye de baisser mon jean pour atteindre mes couilles avec ses doigts. Je l’aide en glissant le pantalon de quelques centimètres sur mes cuisses.
Sa main caresse mes boules puis ma queue raide. Très vite, sa bouche gobe mon gland et sa langue glisse sur mon bout. De petits râles s’échappent de ma gorge. J’aime le contact chaud d’une bouche accueillante, bienveillante. Tout en passant délicatement ses doigts sur mes boules, il entame des va et vient dans sa bouche, toujours plus profondément.
Le temps s’étire. Je ne vois plus les voitures passer dans la rue adjacente. Je ne vois pas les hommes tourner autour de nous, tels des vautours en attente que le lion ait fini son repas. Je ne vois pas les regards mi-amusés, mi-envieux, mi-choqués de nous voir faire cela là. Mon beau blond s’en fout lui aussi, il s’active pour que mon gland luise. Il s’attache à me donner du plaisir. Il enfonce contre sa glotte ma tige droite, lime sa gorge avec mon engin puis, enfin, le déglutit. Avant de reprendre de doux mouvements de lèvres sur le gland, et des coups de langue sur mon frein. Il m’arrache des râles de plus en plus puissants, ma respiration est plus forte, bruyante.
J’ouvre les yeux pendant quelques secondes de répit. Je vois un type, la trentaine, qui se masturbe devant nous à moins de dix mètres. Je lui fais signe de partir. Il n’obtempère pas de suite. Deuxième demande. Rien. Sa main astique son manche. Troisième et dernière sommation, sur un ton qui ne laisse pas de choix. Il enfourne sa queue dans son pantalon et il s’éloigne, le pas peu décidé. Mon beau blond n’a rien vu, il continue de lécher mes couilles, de les mettre dans sa gorge. Il reprend mon vît dans sa bouche. Les va et vient sont de plus en plus rapides. Sa langue s’enroule autour du gland. Je râle de plus belle. Il accélère. Mon plaisir monte. Il poursuit son effort. Sa mâchoire s’écarte un peu plus et il fiche ma queue dans le fond de sa bouche. Cela a pour effet de me faire venir dans sa gorge. Mon précieux liquide coule directement dans son gosier. Il laisse couler au fond de son estomac mon nectar, mon jus d’homme. Il lèche de nouveau mon gland, il lappe les dernières gouttes.
En un rien de temps, il délaisse ma queue, se relève et me glisse un « merci ». Et je le vois partir sans m’en dire plus. Je reste quelques secondes assis, la queue à l’air, le cul nu au bord du dossier de ce banc. Deux mecs passent à côté de moi, ils me font un signe désapprobateur de la tête puis s’écartent au plus vite. Je relève mon boxer et mon jean. Je boutonne, ferme le ceinturon. Je me lève, réajuste mes vêtements et soupire. « Que c’est bon de se faire tirer le lait ainsi ! » mais dommage que mon beau blond n’ait pas voulu la pareille.
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Je décide de faire un tour de parc. Je croise de beaux mecs, de moins beaux. Je fais le tour des ‘’coins’’ et je trouve des mecs en train de baiser au calme ou à la vue de tous ceux qui savent chercher. Mon beau blond a disparu, il a dû partir sans doute. Je continue sur les sentiers, m’arrête parfois, croise une connaissance, discuter, devise sur la qualité de nos comparses. « Bandant ou pas bandant ? », c’est bien la question qui nous intéresse tous.
Près d’une heure s’est encore passée. Je décide de remonter le parc quand je vois au loin une allure agréable se dessiner et venir vers moi. J’attends patiemment que le jeune homme arrive. Il passe à côté de moi, on se dévisage, on se jauge. Je le suis. Il tourne souvent la tête, sourit mais repart de plus belle. Il quitte le square, longe le tribunal puis tourne dans le parking à droite. Je ne le vois plus mais j’ai bien l’intention de le retrouver rapidement. Je tourne moi aussi à droite et je tombe nez à nez sur le jeune homme, adossé au mur du tribunal, un pied relevé contre le mur.
« salut » … hum oui, salut ! Je le détaille : petite vingtaine, ma taille, brun, yeux bleus, peau mate, épaules larges sans plus, tee-shirt blanc dévoilant une musculature présente sans être trop développée (genre musclé sec), petit cul légèrement bombé. Belle gueule, beau mec, très bandant !
Il sourit, jette sa clope au loin et m’attire vers lui. Il m’embrasse. Sa langue prend possession de ma bouche. Au début ce baiser a le goût du tabac, mais peu à peu je me détends dans ce contact charnel et je lui trouve un goût bien à mon aise. Je bande direct.
« Dis … ça te dit d’aller plus loin ? ». Carrément, j’allais le proposer. On se met en recherche d’un coin peinard. Pas simple en pleine ville ! On se motive l’un l’autre en s’enfonçant dans les cours derrière les immeubles. Nous cherchons le coin parfait, pas trop grand, pas trop petit non plus, il faut des recoins pour se cacher. On finit par trouver un petit parking avec 4 voitures et surtout … un espace caché dans la pénombre. Nous nous y glissons pour reprendre nos baisers langoureux. Rapidement les mains cherchent le contact avec la peau de l’autre, elles se font caresses. Les bouches sont liées, les langues se tournent. Le désir monte sérieusement. Les mains prennent l’entrejambe à pleine pogne. Je bande, il bande.
Je lui enlève son tee-shirt et découvre son torse glabre. Les tétons pointent, en tête de pectoraux légèrement dessinés. Les abdos sont saillants sans être proéminant. J’adore. Sa peau est douce quand, de mes lèvres, je dépose des baisers enfiévrés. Je défais les boutons de son jean et je baisse le pantalon. Je m’accroupis et je tombe face à un boxer noir sérieusement déformé par une queue très en forme. Je baisse son boxer et gobe la queue. Ma main caresse son ventre, ses poils pubiens, ses couilles pendant que ma bouche s’active sur son pénis raide. Je le regarde, il a la tête en arrière et il souffle.
Je remonte en caressant son corps de toute sa hauteur. Il ouvre les yeux. Je l’embrasse de nouveau. Ses mains défont tous mes vêtements, je me retrouve à poil en un rien de temps. Mon bel amant s’accroupit et me suce rapidement. Cela dure un bon moment, 5 grosses minutes je dirai. Puis il me retourne rapidement en m’attrapant par les hanches. Il crache sur mon trou, fait glisser sa salive dans ma raie. Un doigt s’imisce plus loin dans mon anus. Il se lève de nouveau et place son sexe dans ma raie. Il frotte de haut en bas tout en m’embrassant dans le cou.
« J’ai envie de te prendre … je peux ? »
« Oui »
Il met de la salive dans sa main, glisse ses doigts sur mon trou, puis un doigt puis deux prennent possession du trou. Sa queue revient dans la raie, il l’attrape avec sa main gauche et fait pointer son gland sur mon trou. Il appuie, pénètre délicatement, recule avant d’entrer sans force dans mon anus bien ouvert. Tellement je le trouve beau, tellement je suis excité, je suis complètement ouvert, offert à lui et je n’attends plus qu’une baise sauvage. Et c’est bien ce qu’il me fait, me plaquant contre le mur de l’immeuble, donnant de grands coups dans mon fondement. Je gémis, je râle, je souffle. J’ai chaud, lui aussi, et la température monte encore plus à chaque coup de butoir.
« C’est trop bon » me dit-il dans le creu de l’oreille, avant de reprendre de violents coups dans mon cul. Je ne râle plus, je me contrôle pour ne pas nous faire remarquer. Mais c’est lui maintenant qui souffle et gémit. Dans une dernière série de coups, sa queue expulse sa liqueur dans mon antre bouillante. Il sort sa queue, me retourne de nouveau, et s’accroupit. Il reprend alors une pipe magistrale tout en branlant ma queue. Ce traitement dure à peine 30 secondes et je jouis dans sa bouche. J’en ai le souffle coupé. Il se lève, met son boxer puis son jean en place. Il attrape mes vêtements un à un et me les passe. Je m’habille. Il met son tee-shirt, me sourit.
Alors que je remets mon tee-shirt, je regarde le ciel. Les étoiles sont bien plus présentes qu’il y a une ou deux heures. Je remarque une fenêtre ouverte au deuxième étage. Je vois alors une ombre se dégager du cadre de la fenêtre. Et tout de suite après, c’est une petite lumière rouge que je vois. Je fais signe à mon amant de regarder. La lumière est toujours en marche, il la voit. Puis elle s’éteint. Je devine une ombre en arrière plan. Nous décidons de quitter les lieux au plus vite.
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De retour vers le parc, mon bel amant m’annonce qu’il s’appelle Samuel. Il est étudiant en Droit. Et nous discutons de ce que nous avons vu dans cette fenêtre. Nul doute pour nous que nos ébats ont plaisir à plus de monde que nous deux.
Déjà nous arrivons près du par cet je l’emmène vers ma voiture. Je m’adosse contre elle. Je le regarde. Il s’approche, vient entre mes jambes et il m’embrasse tendrement. Ses mains partent à l’assaut de mes fesses. Je me décolle de la voiture pour lui laisser l’accès à mon séant. Sa main droite se faufile dans ma raie et à travers mon jean et mon boxer, il enfonce ses doigts dans mon trou. Le boxer s’imbibe de jus d’homme. Le jean se mouille à son tour. Nul doute qu’il veut que je me souvienne de lui pendant tout le trajet retour vers chez moi. Génial !
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Samuel m’a appelé il y a deux jours. Il voulait me revoir. Il m’a proposé d’aller à la plage. Nous nous y sommes retrouvés. C’est une plage gay et naturiste. Je vais pouvoir y parfaire mon bronzage. Je ne suis pas un adapte du nudisme mais pourquoi pas … surtout si c’est pour lui que je le fais. Et puis il me plait ce mec. Je rêve de le revoir et de baiser encore avec lui depuis deux semaines. Alors il me proposerait n’importe quoi, je dirai oui.
Je l’appelle sur son portable. Il m’indique où il s’est installé. J’avance vers l’endroit, c’est sur la gauche de la plage. Il me voit de loin, me fait signe. J’approche. Il n’est pas seul. Il se lève, m’embrasse sur la joue et me présente son meilleur ami. C’est un beau blond, typé surfeur, peau blonde, légèrement poilu, doté d’une magnifique queue pendante, entourée de jolis poils blonds. Le beau blond se lève, m’embrasse à son tour puis s’allonge de nouveau. Je sors ma serviette, enlève mes vêtements et m’installe à la gauche de mon beau brun. Je m’allonge et je regarde un peu la faune aux alentours tout en conversant avec Samuel. Inutile de mater ou fantasmer sur les autres congénères, les deux plus beaux spécimens sont à mes côtés. Je continue la conversation avec Samuel et Sven, le blond canon.
Une demi-heure plus tard, mon beau brun propose une baignade. J’accepte volontiers alors que Sven se tourne sur le ventre et me fait admirer deux splendides fesses bombées. Et nous voilà, Samuel et moi-même, marchant rapidement vers l’eau. La baignade se transforme en jeux, en caresses, en baisers. Les queues se dressent et se battent en duel dans l’eau. Je plonge dans l’eau et me glisse entre les jambes de mon beau brun. J’attrape sa queue et le branle. Il en fait de même. Nous nous donnons du plaisir afin de retourner vers nos serviettes sans montrer nos attributs virils au plus haut de leur forme.
Satisfaits, nous retournons nous allonger. Samuel arrose les fesses blondes de Sven et les claque. Sven râle, se lève et file dans l’eau à son tour. Il nous rejoint quelques temps plus tard. Entre temps Samuel m’a expliqué comment ils se sont connus et sont devenus amants, amoureux puis amis inséparables.
Sven se sèche devant nous, la serviette sur les cheveux découvre son sexe appétissant. Samuel capte mon regard et en fait la remarque à Sven : « je crois que tu as réussi ton coup Sven, il a envie de te goûter ! ».
.../.. à suivre
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